Les émissions

31 oct. 2024

Proverbes 10.3-32

Chapitre 10

Introduction

Quand j’étais enfant, j’ai souvent entendu de la part des adultes de ma famille l’expression : « la vie est mal faite ». Qui pourrait dire le contraire ? Dans le meilleur des mondes, les enfants ne souffrent pas de la faim ni de maladies, ne sont pas victimes de sévices sexuels ni de violences, et ils ne subissent pas les contrecoups des fautes de leurs parents. Ceux qui agissent bien sont récompensés et les vauriens punis. Oui mais voilà : « la vie est mal faite », ce qui est une autre façon de dire que l’injustice et le mal règnent partout.

Verset 3

Je continue de lire dans le chapitre 10 du livre des Proverbes.

L’Éternel ne permet pas que l’âme du juste ait faim, mais il frustre les désirs des méchants (Proverbes 10.3).

Ce proverbe et les deux suivants traitent du besoin élémentaire de nourriture et surtout, comment le satisfaire. Dans les Écritures, l’âme est le siège de la personnalité et de tous les appétits. En général, mais ce n’est pas systématiquement vrai, le juste obtient de Dieu ce qui lui est nécessaire pour vivre parce qu’il travaille. Dans le psaume 37, David écrit :

J’étais un enfant et me voilà vieux, jamais je n’ai vu celui qui est juste être abandonné, ni ses descendants mendier leur pain (Psaumes 37.25).

Les mauvais larrons qui restent les bras ballants et qui veulent s’enrichir sans travailler, emploient des moyens criminels, même légaux, mais le plus souvent ils finissent en prison. Quand Salomon écrit ses proverbes, il est sous le régime de la loi de Moïse, qui en théorie, fonctionne selon le principe de la rétribution : le juste est récompensé et l’impie est châtié. Mais si Dieu avait strictement suivi cette logique, le peuple d’Israël aurait fini par disparaître totalement. C’est pourquoi il faut prendre les proverbes comme des généralisations sur la vie, avec comme on dit, les exceptions qui confirment la règle.

Plusieurs personnages bibliques se sont trouvés dans de terribles détresses mais furent miraculeusement délivrés parce que leur conduite était juste. De ce nombre est Joseph, l’un des 12 fils de Jacob. Vendu comme esclave par dix de ses frères, il devient l’intendant d’un riche officiel de pharaon. Jeté en prison sur faux témoignage, il y moisit pendant longtemps et commence peut-être à se dire que Dieu l’a oublié quand soudainement, une suite d’événements le catapulte à la position de numéro deux du royaume.

Verset 4

Je continue le texte.

La main nonchalante appauvrit, mais la main active enrichit (Proverbes 10.4).

Beaucoup de proverbes dénoncent la paresse, qui est l’une des raisons pour lesquelles les gens sont pauvres. Inversement, celui qui est courageux à la tâche finit presque toujours par s’en sortir. Mon père était plâtrier et il a commencé avec rien, mais comme il n’avait pas peur du travail et qu’après guerre, il fallait réparer les dégâts et construire beaucoup de logements, il a monté une entreprise et a bien réussi.

Je reconnais qu’aujourd’hui les « trente années glorieuses » comme on les appelle, sont derrière nous et que les circonstances ont bien changé. Dans notre système capitaliste sauvage, nous avons le phénomène dit : « des travailleurs-pauvres », qui, quoi qu’ils fassent, sont condamnés à la demi-misère perpétuelle tandis que les grands bonnets du commerce et de la finance engrangent le pognon à la pelle. Pensez donc ! Il y en a de plus en plus, qui, entre salaires et primes, gagnent plusieurs millions d’euros par mois. Assez curieusement, quand les grands argentiers de la planète se réunissent pour discuter du tiers monde, ils ne font pas le lien entre, d’une part, cet argent scandaleux, grotesque, ignoble et obscène, et d’autre part, le milliard d’hommes et de femmes qui doivent survivre avec moins d’un euro par jour.

Verset 5

Je continue le texte.

Celui qui amasse des provisions en été est un homme intelligent, mais celui qui dort pendant la moisson est un fils qui fait honte (Proverbes 10.5).

Un minimum de bon sens dicte que c’est pendant la moisson qu’il faut faire des provisions pour l’hiver à l’exemple de la fourmi de la fable de La Fontaine. La cigale ne dort pas comme le fils qui fait honte, mais elle joue de la musique au lieu d’engranger de la nourriture, et donc le résultat final est le même.

En été, je plante un jardin, mais quand il faut ramasser les haricots presque tous les jours, des fois je me dis : « si seulement je pouvais attendre Janvier quand il n’y a rien d’autre à faire. » Mais voilà, on doit ramasser les haricots et les tomates quand elles sont mûres, c’est à dire en pleine chaleur.

« Celui qui amasse des provisions en été », sait aussi tirer parti de toutes les occasions qui se présentent à lui et il ne faut pas hésiter trop longtemps. Quand vous êtes sur le quai de la gare et que les portes du train s’ouvrent, vous montez ou pas, c’est votre choix, mais une fois le train parti, le choix est fait.

Mon parcours éducatif est plutôt du genre hors-piste, mais il m’a très bien préparé aux opportunités qui se sont présentées à moi et que j’ai su saisir. En fait, avec du recul, je vois partout la main de Dieu et ce que j’ai accomplis je le dois à la grâce de Dieu qui a arrangé mes circonstances comme il l’a voulu.

Verset 6

Je continue le texte.

Des bénédictions reposent sur la tête du juste, mais la bouche des méchants couvre la violence (Proverbes 10.6).

Les justes, ceux qui sont une source de bienfaits pour les autres, sont bénis de Dieu et des hommes. L’aspect positif de ce proverbe a son parallèle dans le chapitre 11 où on lit :

Celui qui est généreux connaîtra l’abondance ; qui donne à boire aux autres sera lui-même désaltéré (Proverbes 11.25).

Soit dit en passant que l’apôtre Paul a repris cette idée quand il écrit :

Celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème en abondance moissonnera en abondance (2Corinthiens 9.6).

Abraham est un homme très généreux ; il donne à son neveu Lot le choix entre occuper la plaine du Jourdain qui est verdoyante et la montagne qui est plutôt aride. Mais au final, après avoir fait fortune et être devenu l’un des responsables de la ville de Sodome, Lot a tout perdu, jusqu’à son dernier centime, sa femme et son honneur, tout. Pourtant, comme il désapprouvait le style de vie de Sodome, dans sa seconde épître, l’apôtre Pierre le qualifie de : « homme juste » (2Pierre 2.7).

Une caractéristique des impies est que sous des paroles mielleuses et trompeuses, ils cachent leurs mauvais sentiments et les actes violents qu’ils sont prêts à commettre. Mais : « qui sème le vent récolte la tempête ». Tôt ou tard, les préjudices qu’ils causent à leur prochain se retournent contre eux.

Verset 7

Je continue le texte.

Le souvenir du juste continue à être en bénédiction aux autres, mais le nom des méchants pourrira (Proverbes 10.7).

Les effets de la conduite juste ou inique d’une personne se fait sentir même après sa mort.

Quand on est en bonne compagnie, on n’évoque pas les monstres dont la simple mention provoque la consternation ; on veut les oublier. Dans certaines cultures, quand le nom d’un despote est invoqué, on crache par terre en signe de dégoût. Par contre, on se souvient volontiers de ceux qui ont fait le bien autour d’eux, car ayant par leur vie, donné un bon exemple, ils sont une source d’inspiration.

Verset 8

Je continue.

Un esprit sage prend à cœur les commandements, mais le bavard insensé est l’artisan de sa propre perte (Proverbes 10.8).

La caractéristique des insensés est leur vanité. Ils n’écoutent pas les conseils, parlent avant de réfléchir et ils ne tiennent pas compte des autres. Cyrus le Grand, roi de Perse, est un tyran, mais selon la petite histoire, quand on lui a lu la prophétie d’Ésaïe qui annonce deux fois (Ésaïe 44.28 ; 45.1-14) qu’il a été prédestiné à vaincre tous ses ennemis et à libérer les captifs juifs, il a signé leur libération. Et quand les dirigeants juifs ont montré à Alexandre le Grand qu’il est le léopard prophétisé par Daniel (7.6), il a renoncé à prendre Jérusalem. À l’opposé, alors que le roi Balthazar sait que son père Nabuchodonosor s’est humilié devant l’Éternel, lui commet une grave offense contre Dieu. Puis, se trouvant dans une grande détresse, il fait appel à Daniel, mais c’est trop tard car les dés sont jetés (Daniel 5.22-30).

Verset 9

Je continue de lire dans le chapitre 9.

Celui qui vit dans l’intégrité marche en sécurité. Celui qui suit des voies tortueuses sera vite démasqué (Proverbes 10.9).

Un honnête homme n’a rien à craindre de quiconque ce qu’atteste un autre proverbe qui dit :

Le méchant prend la fuite sans qu’on le poursuive, le juste a de l’assurance comme un jeune lion (Proverbes 28.1).

Par contre, la plupart de ceux qui empruntent des voies détournées n’ont pas la conscience tranquille et vivent dans la peur constante d’être découverts.

Versets 10-11

Je continue.

Celui qui cligne de l’œil cause du tourment, mais celui qui critique avec franchise procure l’apaisement. Les paroles du juste sont une source de vie, mais celles du méchant cachent la violence (Proverbes 10.10-11).

Quand un homme juste parle, ses paroles ont un effet salutaire. Par contre, le fourbe communique avec ses acolytes par des signes convenus d’avance. La mimique gestuelle sert à cacher ses vraies intentions.

Quand Judas vient à la tête d’une troupe en armes pour arrêter le Christ, il lui donne un baiser, mais au lieu que ce soit une marque d’amitié, c’est pour désigner aux soldats qui ne le connaissent pas que c’est lui qu’ils doivent emmener. Il a vendu Jésus avec ses lèvres. D’ailleurs, le Seigneur lui a dit :

Judas, trahis-tu le Fils de l’homme par un baiser ? (Luc 22.48).

Verset 12

Je continue.

La haine allume des querelles, mais l’amour couvre toutes les fautes (Proverbes 10.12).

Dans sa première épître, l’apôtre Pierre reprend cette idée quand il écrit :

Avant tout, aimez-vous ardemment les uns les autres, car l’amour pardonne un grand nombre de péchés (1Pierre 4.8).

L’amour est une attitude bienveillante qui regarde ce qu’il y a de positif chez l’autre et qui est prompt à pardonner. Tous les couples devraient faire de cette maxime leur règle de vie.

Versets 13-14

Je continue.

La sagesse se trouve sur les lèvres de l’homme sensé, et les coups de bâton sur le dos de l’insensé. Les sages amassent le savoir, mais lorsqu’un insensé parle, le malheur n’est pas loin (Proverbes 10.13-14).

Les plus hauts dignitaires de pays éloignés venaient à Jérusalem pour écouter la sagesse de Salomon. Pourtant, son fils Jéroboam est un insensé de première catégorie. Au lieu d’écouter les conseils des sages qui étaient au service de son père, il se fie à ceux des jeunes loups rapaces ambitieux de son âge. Sa stupidité est à l’origine de la scission du royaume et d’une guerre civile désastreuse (1Rois 12).

Verset 15

Je continue.

La fortune du riche lui tient lieu de place forte (Proverbes 18.11), alors que la pauvreté des petites gens fait leur ruine (Proverbes 10.15).

La fortune protège contre les mauvaises tuiles. Elle procure l’assurance, la considération d’autrui, ainsi que des amis de circonstances. Mais celui qui est sans ressources est renversé par le moindre déboire.

Versets 16-17

Je continue.

L’activité du juste le fait vivre ; ce que le méchant gagne sert à faire le mal. Celui qui tient compte des critiques qu’on lui fait est sur la voie de la vie, mais celui qui fait fi des reproches se fourvoie (Proverbes 10.16-17).

Un bon revenu grâce à son travail assure le confort, mais ce qui distingue un homme d’un autre, c’est la façon dont il use ou abuse de ses biens; l’impie les utilise à mauvais escient.

L’une des caractéristiques du sage est qu’il reconnaît ses torts, ce qui par ailleurs, lui évite le jugement de Dieu.

Absalom, fils de David, ne s’est jamais repenti d’avoir tué son demi-frère Amnon qui avait violé sa demi-sœur Tamar (2 Samuel 13) et il n’acceptait pas les reproches que lui faisait son père. Au contraire, il a même orchestré un coup d’État contre lui, mais il a fini misérablement, mis à mort comme un chien.

Versets 18-21

Je continue.

Qui cache sa haine a des lèvres menteuses, et celui qui répand des calomnies est insensé. Celui qui parle beaucoup ne saurait éviter de pécher, mais l’homme avisé met un frein à ses lèvres. La langue du juste est un argent de choix ; ce que pensent les méchants n’a pas grande valeur. Les paroles du juste restaurent beaucoup de gens, mais les insensés périssent faute de bon sens (Proverbes 10.18-21).

Ce passage traite du pouvoir de la langue à faire le bien ou le mal. Les impies cachent leur haine par le mensonge ou la répandent par la calomnie. Par contre, l’homme droit qui parle vaut la peine d’être écouté, car ce qu’il dit a du bon.

En dehors de ces émissions, je ne parle pas beaucoup, mais c’est encore trop parce qu’il n’est pas rare que je manque une occasion de me taire. Il vaut mieux économiser ses paroles; moins on dit et mieux on se porte. Dans son épître aux Éphésiens, l’apôtre Paul écrit :

Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent (Éphésiens 4.29).

Verset 22

Je continue le texte.

La bénédiction de l’Éternel, c’est elle qui enrichit, et il n’y ajoute aucune peine (Proverbes 10.22).

Ce proverbe est illustré par un non-Israélite appelé Obed-Édom. Parce qu’il a pris en pension chez lui le coffre de Dieu, lui et sa famille sont bénis. Dans le premier livre des Chroniques, on lit :

Par tirage au sort, la porte sud du temple échut à Obed-Édom, et la responsabilité des entrepôts revint à ses fils (1Chroniques 26.15).

Or, comme par le plus grand des hasards, c’est par la porte sud que le roi entre au Temple, donc la garder est un grand honneur. De plus, les fils d’Obed-Édom contrôlent les biens du roi.

L’objectif des gens de notre temps est d’avoir du bon temps, espérant ainsi trouver le bonheur. Mais tous ceux qui s’éclatent de quelque manière que ce soit, finissent par déchanter; ils se rendent compte qu’au fil du temps ils y prennent de moins en moins de plaisir, et à la fin de leur vie, il ne leur reste que les yeux pour pleurer. Dans l’Ecclésiaste, Salomon écrit :

Tiens compte de ton Créateur au temps de ta jeunesse, avant que n’adviennent les jours mauvais et avant que n’arrivent les années dont tu diras : “ Je n’y prends pas plaisir ! ” (Ecclésiaste 12.1).

Versets 23-25

Je continue.

Faire le mal est un jeu pour l’insensé mais la sagesse appartient à l’homme intelligent. Ce que le méchant redoute lui arrive, mais ce que le juste désire lui sera accordé. Quand la tempête a passé, le méchant n’est plus, alors que le juste est établi sur un fondement éternel (Proverbes 10.23-25).

À partir d’ici et jusqu’à la fin du chapitre 10, la plupart des proverbes établissent un contraste entre le juste qui a une conduite droite et le malfrat qui n’en fait qu’à sa tête. Ici, nous retrouvons le thème de la rétribution dévolue au juste et à l’impie,

Dans la vie, nous devons tous faire face à des tempêtes, des calamités soudaines. Mais l’impie et l’athée n’ont pas d’assise pour résister parce que leurs objectifs sont uniquement temporels et temporaires. Peut-être que Jésus avait ce passage à l’esprit quand il a dit :

Celui qui écoute ce que je dis et qui l’applique, ressemble à un homme sensé qui a bâti sa maison sur le roc. Il a plu à verse, les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé avec violence, ils se sont déchaînés contre cette maison : elle ne s’est pas effondrée, car ses fondations reposaient sur le roc. Mais celui qui écoute mes paroles sans faire ce que je dis, ressemble à un homme assez fou pour construire sa maison sur le sable. Il a plu à verse, les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé avec violence, ils se sont déchaînés contre cette maison : elle s’est effondrée et sa ruine a été complète (Matthieu 7.24-27).

Verset 26

Je continue.

Comme du vinaigre sur les dents ou de la fumée dans les yeux, tel est le paresseux pour celui qui l’envoie (Proverbes 10.26 ; comparez Matthieu 25.26).

Au chapitre 18, ce proverbe a son parallèle qui dit :

Celui qui se relâche dans son travail est frère de celui qui détruit (Proverbes 18.9).

La négligence dans le travail, c’est comme du sabotage.

Versets 27-30

Je continue.

Révérer l’Éternel prolonge la vie, mais les années du méchant seront abrégées. L’attente du juste débouche sur la joie, mais les espérances des méchants seront déçues. La voie de l’Éternel est une forteresse pour l’homme intègre qui lui obéit, mais elle cause la ruine de ceux qui font le mal. Le juste ne sera jamais ébranlé, mais les méchants ne demeureront pas sur la terre (Proverbes 10.27-30).

La permanence du juste et la brièveté du méchant sont des thèmes fréquents des proverbes (Proverbes 3.2, 16 ; 4.10 ; 9.11 ; 14.27 ; 15.24). Les bénédictions de l’homme droit mentionnées ici sont : une longue vie, la joie, la protection et la sécurité, tous des bienfaits fort appréciables.

C’est la sixième fois que dans le livre des Proverbes, il est question de la crainte respectueuse de l’Éternel (Proverbes 1.7 ; 2.5 ; 3.7 ; 8.13 ; 9.10). Elle sera encore mentionnée neuf fois (Proverbes 14.26-27 ; 15.16, 33 ; 16.6 ; 19.23 ; 22.4 ; 23.17 ; 24.21). Les Hébreux connurent l’exil parce qu’ils ont méprisé l’Éternel (Lévitique 26.38 ; Amos 7.17).

Si on considère l’histoire du monde, tous les grands des âges passés, les pharaons, les césars, les rois et les empereurs, tous ont essayé de s’incruster sur terre en établissant leur dynastie. Il y en a encore quelques uns qui s’accrochent mais ils disparaîtront aussi. Il en sera de même de toutes les formes de gouvernement, le socialisme comme le capitalisme, les dictatures comme les démocraties. Par contre, quand Jésus reviendra, il sera le Roi des rois doté d’un pouvoir absolu et régnera pour l’éternité.

Versets 31-32

Je finis de lire le chapitre 10.

La bouche du juste est féconde en sagesse, mais la langue perverse sera coupée. Les lèvres du juste produisent la bienveillance, mais la bouche des méchants est perverse (Proverbes 10.31-32).

Le maître répète ce qu’il a déjà dit et dans le psaume 37, David dit :

Des paroles sages sortent de la bouche de ceux qui sont justes et leur langue parle, selon la droiture (Psaumes 37.30).

L’homme droit manifeste la sagesse par des paroles sensées qui ont un impact sur les cœurs.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

oct. 11 2024

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