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05 janv. 2027

Apocalypse 9.16-21

Chapitre 9

Verset 16

Pendant la guerre de 14-18, quand les poilus partent au front, ils disent être « de la chair à canon » et qu’ils vont « au casse-pipes ». Cependant, beaucoup d’entre eux font aussi le beau et expriment le désir d’en découdre avec l’ennemi. Tous les conflits armés ont une part de bravade et il n’y a encore pas si longtemps que les combattants avançaient le buste bombé en chantant sous une pluie de projectiles. Que ce soit la Guerre de Sécession entre les états du nord et du sud de la jeune Amérique, les campagnes napoléoniennes, ou encore la première guerre mondiale, pour ne citer que celles-ci, ne sont rien de moins que d’immenses boucheries. Cependant, la description que fait l’apôtre Jean des jugements de la fin des temps montre que le pire est encore à venir. En effet, quand la sixième trompette de l’Apocalypse sonne, Jean rapporte que « on délia les quatre anges tenus prêts pour cette heure, ce jour, ce mois et cette année, afin qu’ils exterminent le tiers de l’humanité » (Apocalypse 9.15). Ça fait beaucoup de monde détruit par ces anges qui en réalité sont des esprits déchus qui ont sous leurs ordres une armée de démons. Je continue de lire dans le chapitre 9.

Ils étaient deux myriades de myriades de cavaliers. C’était leur nombre, tel que je l’entendis (Apocalypse 9.16 ; auteur).

Aujourd’hui, on pourrait facilement tuer entre un et deux milliards d’individus en utilisant ce qu’on appelle : « des armes à destruction massive ». Mais ce n’est pas de cette manière que les démons vont mettre à mort le tiers de l’humanité. Les quatre anges déchus vont plutôt déployer des effectifs militaires colossaux. En effet, « Deux myriades de myriades » sont équivalentes à 200 millions, ce qui en gros était le nombre de soldats de l’armée rouge de Mao Tsé-toung. Il faut prendre le chiffre de Jean littéralement puisqu’il insiste en disant : « C’était leur nombre, tel que je l’entendis ». Quand on ajoute à ces 200 millions de démons libérés de l’abîme, « les Puissances, les Autorités, les Pouvoirs de ce monde des ténèbres, et les esprits du mal dans le monde céleste », que mentionne l’apôtre Paul dans son épître aux Éphésiens (6.12), ça fait une armée innombrable.

Verset 17

Je continue le texte du chapitre 9.

Voici comment, dans ma vision, je vis les chevaux et leurs cavaliers : ils portaient des cuirasses rouge feu, bleu turquoise et jaune soufre ; les têtes des chevaux rappelaient celles des lions et leur gueule crachait du feu, de la fumée et du soufre (Apocalypse 9.17).

Jean commence par décrire brièvement les démons qui montent les chevaux d’outre-tombe, à cause de leurs couleurs vives qui frappent les regards : du rouge, du jaune et du bleu très foncé proche du noir de fumée. De tels monstres apparaissent dans la mythologie païenne et c’est sans doute à dessein que Jean emploie de telles expressions pour montrer que cette multitude infernale dépasse les créatures imaginaires les plus effrayantes de la superstition païenne.

« Le feu et le souffre » sont les deux éléments qu’on retrouve chaque fois qu’il est question de « l’étang de feu et de soufre » (Apocalypse 14.10 ; 19.20 ; 20.10 ; 21.8), la destination finale des anges déchus et des êtres humains rebelles à Dieu, condamnés à mort pour l’éternité.

Après « les cavaliers », Jean s’étend assez longuement sur « les chevaux ». Dans les Écritures, le cheval est souvent associé à la guerre, mais ici il est évident qu’il ne s’agit pas de vrais chevaux puisqu’ils ont une tête qui ressemble à celle du lion, mais comme le lion, ils traquent leurs victimes avec acharnement. De plus, ils ont un comportement qui est plus proche de celui du dragon que du cheval.

Tout comme les cavaliers qui les montent, ces chevaux hybrides sont des anges déchus, des esprits méchants, et ils tuent leurs victimes avec « du feu, de la fumée et du soufre », ce qui revient à les brûler et à les asphyxier. Le soufre enflammé fait les deux à la fois : il consume ce qu’il touche et il dégage une fumée suffocante. C’est d’ailleurs de cette manière que l’Éternel a détruit Sodome et Gomorrhe ainsi que les autres villes de la vallée de Siddim. Dans le livre de la Genèse, on lit :

Alors l’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de soufre enflammé par un feu qui venait du ciel, de l’Éternel. Il fit venir une catastrophe sur ces villes ainsi que sur toute la région. Toute la population de ces villes périt ainsi que la végétation (Genèse 19.24-25).

Le tandem démoniaque cavalier-cheval est scintillant et coloré, mais assez curieusement, son aspect général rappelle une silhouette diffuse un peu comme celle des revenants que certains disent voir dans certains lieux hantés. Par contre, le feu que les chevaux crachent est bien réel puisqu’il consume ceux qui sont atteints.

Verset 18

Je continue le texte.

Par ces trois fléaux qui sortaient de leur gueule : le feu, la fumée et le soufre, le tiers de l’humanité fut exterminé (Apocalypse 9.18).

Jean emploie fréquemment le mot « fléau » (Apocalypse 11.6 ; 15.1, 6, 8 ; 16.9, 21 ; 18.4, 8 ; 21.9 ; 22.18) pour décrire les destructions qu’engendrent tous les jugements, et il se répète assez souvent parce qu’il sait très bien que ce spectacle de fin du monde auquel il assiste et qu’il essaie de décrire est inimaginable. Il veut donc marteler ces visions autant que possible dans l’esprit de ses lecteurs et dans le nôtre.

Verset 19

Je continue.

Car le pouvoir des chevaux se trouvait dans leur gueule et dans leur queue. En effet, leurs queues ressemblaient à des serpents, elles étaient pourvues de têtes qui leur servaient à nuire (Apocalypse 9.19).

Jean ne nous avait pas encore tout dit ; ces chevaux sont de plus en plus bizarres. Non seulement ils ont une tête de lion qui crache le feu, mais également une queue qui ressemble à celle d’un serpent, sauf qu’elle est « pourvue d’une tête » et dont le venin est mortel. Ces forces démoniaques sont redoutables car dotées d’armes surnaturelles qui leur permettent de tuer à volonté.

Verset 20 a

Je continue.

Mais le reste des hommes qui avaient survécu à ces fléaux ne renoncèrent pas à leurs façons d’agir (Apocalypse 9.20 a).

La mort du tiers de la population mondiale constitue la pire des catastrophes que l’humanité ait connue depuis le déluge. De plus, il est quasi certain que le nombre de victimes qu’ont fait les hordes démoniaques est bien supérieur à la totalité des êtres humains qui ont péri par les eaux du déluge.

Cela fait maintenant plusieurs années que les non-croyants ploient sous les jugements. Ils ont vécu des moments terribles et vu certains de leurs amis, voire de leur famille, décimés par les plaies. Ils souffrent et meurent, et pourtant, ceux qui sont encore debout s’endurcissent et lèvent le poing au ciel contre Dieu, tout au moins dans leur cœur.

Ils savent pourtant très bien ce que le Seigneur leur demande car les 144 000 évangélistes juifs (Apocalypse 7.1-8) et les deux témoins venus du ciel (Apocalypse 11.1-14), ainsi que d’autres croyants, annoncent fidèlement la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu en Jésus-Christ à qui veut l’entendre. Cependant, la majorité des survivants refuse toujours de se repentir et de s’humilier devant Dieu. Ils sont donc tout aussi rebelles et coupables que les Juifs qui ont rejeté le Christ comme leur Messie après avoir vu ses miracles, entendu son enseignement et l’annonce de sa résurrection (comparez Jean 12.38-40). Tous les incrédules de la fin des temps périront comme ceux du premier siècle.

Verset 20 b

Je continue le texte.

Ils (les survivants) ne cessèrent pas d’adorer les démons ainsi que les idoles d’or, d’argent, de bronze, de pierre et de bois, bien qu’elles soient incapables de voir, d’entendre et de bouger (Apocalypse 9.20 b).

Jean énumère plusieurs comportements et pratiques qui montrent comment la majorité des êtres humains lance un défi et se rebelle contre le Créateur. Le premier est l’idolâtrie. Dans les psaumes 115 et 135, le psalmiste écrit :

Leurs idoles d’argent et d’or sont faites par des hommes. Elles ont une bouche mais ne peuvent parler ! Elles ont bien des yeux, mais elles ne voient pas. Elles ont des oreilles, mais qui n’entendent rien ; elles ont des narines mais qui ne sentent rien. Elles ont bien des mains, mais ne peuvent toucher ; elles ont bien des pieds, mais ne peuvent marcher. De leur gorge, jamais aucun son ne s’échappe (Psaumes 115.4-7). Et pas le moindre souffle ne se trouve en leur bouche (Psaumes 135.17).

Dès que Adam et Ève, nos premiers parents ont tourné le dos à Dieu, ils se sont enfoncés dans le péché et leurs descendants ont sombré dans l’idolâtrie en vénérant l’œuvre de leurs mains. De nature, l’homme est un être religieux parce que Dieu l’a conçu ainsi afin d’être adoré par lui. Mais tous ceux qui refusent de reconnaître en Jésus, Dieu fait homme sont condamnés à l’idolâtrie. C’était vrai dans l’Antiquité, mais ça l’est encore aujourd’hui dans bien des cultures où les gens rendent un culte à des idoles, des figurines et des images, qui sont des fabrications en métal ou en bois avec des clous et des visses, des sculptures faites de plâtre ou de papier mâché.

Adorer des idoles n’est pas un geste anodin car derrière elles se cachent une entité spirituelle, un esprit impur et méchant. Quand on vénère une idole, qui est une divinité qui n’existe pas, un ou plusieurs démons, qui eux existent vraiment, personnifient les faux dieux et tiennent leurs adorateurs captifs par leur puissance et leur tromperie. Les prêtres et praticiens des cultes païens sont dotés de réels pouvoirs qui leur sont donnés par les démons, qui utilisent ces moyens pour retenir prisonnier leurs victimes dans leurs griffes diaboliques.

Pendant la Tribulation foisonneront l’idolâtrie, l’occultisme et toutes sortes de fausses religions qui asserviront des multitudes. Dans sa première lettre à Timothée, l’apôtre Paul écrit :

L’Esprit déclare clairement que, dans les derniers temps, plusieurs se détourneront de la foi parce qu’ils s’attacheront à des esprits trompeurs et à des enseignements inspirés par des démons (1Timothée 4.1).

Dans l’Ancien Testament, les prophètes israélites dénoncent avec force l’idolâtrie de leurs concitoyens en les menaçant du jugement de Dieu ou en se moquant d’eux. Je vais lire quelques passages qui sont un peu longs mais ils valent le détour parce qu’ils montrent combien l’homme incrédule est stupide, ce qui le rend crédule, prêt à croire n’importe quoi. Les prophètes Ésaïe et Jérémie écrivent respectivement :

Une idole moulée, un artisan la fond, l’orfèvre la recouvre d’un fin placage d’or et, pour l’orner, il coule des chaînettes d’argent. Celui qui est trop pauvre pour une telle offrande choisit un bois qui ne pourrisse pas, puis il s’en va chercher un artisan habile pour faire une statue qui ne vacille pas (Ésaïe 40.19-20). L’artisan ferronnier appointe son burin, le passe dans les braises et, à coups de marteau, façonne son idole, avec la force de son bras. Mais, sitôt qu’il a faim, il n’a plus d’énergie, et s’il ne boit pas d’eau, le voilà qui faiblit ! Et voici le sculpteur : il a tendu sa corde, trace l’œuvre à la craie puis, avec le ciseau, il l’exécute, et il la dessine au compas. Il la façonne ainsi d’après la forme humaine, et à la ressemblance d’un homme magnifique pour qu’elle habite un temple. Il a coupé des cèdres, ou bien il s’est choisi du cyprès ou du chêne […], ou bien il prend un pin qu’il a planté lui-même, que la pluie a fait croître. Or, l’homme se sert de ces bois pour les brûler, il en prend une part pour se chauffer, il allume le feu pour y cuire son pain. Avec le même bois, il fait un dieu, et il l’adore ; il fabrique une idole et se prosterne devant elle. La moitié de ce bois, il l’a livrée au feu ; grâce à cette moitié, il mange de la viande, il fait cuire un rôti, et il s’en rassasie. Il prend aussi une part de ce bois pour se chauffer et dit : “ Qu’il fait bon avoir chaud et voir la belle flamme ! ” Quant au reste du bois, il en fait une idole, il la prend pour son dieu, il se prosterne devant elle et il l’adore. Il l’invoque et lui dit : “ Délivre-moi car toi, tu es mon dieu ! ” Ils sont sans connaissance, ils ne comprennent rien, et ils n’ont pas d’intelligence. On a bouché leurs yeux afin qu’ils ne voient pas, on a fermé leur cœur afin qu’ils ne saisissent pas. Aucun ne réfléchit, aucun n’a de savoir ni assez de raison pour se dire en lui-même : “ J’ai brûlé la moitié de mon bois dans le feu, j’ai aussi cuit du pain sur les braises du bois, j’ai rôti de la viande dont je me suis nourri, et de ce qui restait, j’ai fait une abomination, je me suis prosterné devant un bout de bois ! ” Il se repaît de cendres, car son cœur abusé l’a mené dans l’erreur (Ésaïe 44.12-20). Les coutumes des autres peuples ne sont que du néant, leur dieu n’est que du bois coupé dans la forêt, travaillé au ciseau par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’or ou d’argent, un marteau et des clous le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables à des épouvantails dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas (Jérémie 10.3-5).

Après avoir bu du vin dans les coupes d’or et d’argent que Nabuchodonosor avait rapportées du temple de Jérusalem, le roi de Babylone Balthazar ainsi que toute sa suite utilisent la vaisselle sacrée de l’Éternel pour leur beuverie. Mauvaise idée. Dans le livre de Daniel, on lit :

À ce moment-là apparurent soudain, devant le candélabre, les doigts d’une main humaine qui se mirent à écrire sur le plâtre du mur du palais royal. Le roi vit cette main qui écrivait (Daniel 5.5).

Le prophète Daniel est alors sommé de déchiffrer l’écriture, mais il commence par raconter comment l’Éternel a humilié Nabuchodonosor. Il dit :

Il fut chassé de la société des humains, sa raison devint semblable à celle des bêtes et il se mit à vivre en compagnie des ânes sauvages, il se nourrissait d’herbe comme les bœufs et son corps était trempé par la rosée du ciel. Cela dura jusqu’au jour où il reconnut que le Dieu Très-Haut est maître de toute royauté humaine et qu’il élève à la royauté qui il veut (Daniel 5.21).

Puis Daniel dit à Balthazar :

Et toi, son fils, Balthazar, tu savais tout cela, et cependant tu n’as pas gardé une attitude humble. Tu t’es élevé contre le Seigneur du ciel et tu t’es fait apporter les coupes de son temple, puis toi et tes hauts dignitaires, tes femmes et tes concubines, vous y avez bu du vin et tu as loué les dieux d’argent, d’or, de bronze, de fer, de bois et de pierre, des dieux qui ne voient rien, n’entendent rien et ne savent rien. Mais le Dieu qui tient ton souffle de vie dans sa main et de qui dépend toute ta destinée, tu ne l’as pas honoré (Daniel 5.22-23).

Ce réquisitoire est l’acte de condamnation à mort de Balthazar car dans la nuit, Babylone est conquise et le roi tué.

En France, on est proche de Balthazar car on adore aussi l’argent, la bonne bouffe, le pinard et les concubines, le bon temps, les week-ends et les vacances. Et comme on se dit athée, on remplace Dieu par une pseudo-science qui met l’homme au même niveau que l’huître et les choux de Bruxelles.

Verset 21

Je finis de lire le chapitre 9 du livre de l’Apocalypse.

Ils (le reste des hommes) ne renoncèrent pas à leurs meurtres, à leurs pratiques magiques, à leur immoralité et à leur malhonnêteté (Apocalypse 9.21).

Dans sa seconde lettre à Timothée, l’apôtre Paul prophétise disant :

(À la fin des temps,) les hommes seront égoïstes, avides d’argent, vantards et prétentieux. Ils parleront de Dieu d’une manière injurieuse et n’auront pas d’égards pour leurs parents. Ils seront ingrats, dépourvus de respect pour ce qui est sacré, sans cœur, sans pitié, calomniateurs, incapables de se maîtriser, cruels, ennemis du bien ; emportés par leurs passions et enflés d’orgueil, ils seront prêts à toutes les trahisons. Ils aimeront le plaisir plutôt que Dieu (2Timothée 3.2-4).

Ce n’est pas tout, car les impies, méchants et vicieux pourchasseront les croyants pour se venger des catastrophes que Dieu leur fait subir.

Après l’idolâtrie et la cruauté, l’apôtre Jean mentionne un troisième vice : « les pratiques magiques ». Le mot grec (pharmakôn) ainsi traduit a donné « pharmacie » et tous ses dérivés. Mais ce mot désigne aussi les poisons, les amulettes, les sortilèges, les séances de spiritisme, la sorcellerie, les incantations et les médiums.

Dans les religions à mystères, qui datent de l’époque de la tour de Babel, les dévots mystiques cherchent à communiquer avec les divinités au travers d’expériences extatiques. Pour atteindre ces états seconds, les adeptes utilisent des drogues, l’alcool et des danses frénétiques ou bien des comportements animaliers.

La culture du hard rock diffère très peu de ces rites païens car la drogue, les lumières clignotantes psychédéliques, et le rythme endiablé d’une musique assourdissante se combinent pour produire une sorte de transe hystérique de masse. Or, et comme par hasard, les stars du rock sont souvent des adeptes des religions orientales.

La quatrième pratique coupable mentionnée par Jean est « l’immoralité ». Le mot grec (porneia) ainsi traduit a donné « pornographie » en français. C’est un terme général qui décrit n’importe quel péché d’ordre sexuel, la débauche, la fornication, l’adultère, le viol, l’homosexualité ou les perversions.

Finalement, les impies de la Tribulation continueront leur « malhonnêteté », c’est à dire que la tromperie régnera, chacun essayant d’abuser son semblable. Ce sera la loi de la jungle et du chacun-pour-soi. À l’instar de l’immoralité, la fourberie remplacera la droiture dans les relations sociales et familiales ainsi que dans le monde professionnel et celui des affaires, car la compétition sera rude pour survivre et trouver ne serait-ce que les denrées de première nécessité et des médicaments pour se soigner.

À cause de l’influence démoniaque, l’humanité baignera dans un marasme de fausses religions, de perversions et de délits de tous ordres sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Il n’est donc pas étonnant que Jude prophétise :

(À la fin des temps,) le Seigneur va venir avec ses milliers d’anges pour exercer son jugement sur tous, et pour faire rendre compte, à tous ceux qui ne le respectent pas, de tous les actes qu’ils ont commis dans leur révolte et de toutes les insultes que ces pécheurs sacrilèges ont proférées contre lui (Jude 14-15).

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

avril 19 2024

Émission du jour | Esther 8.1-17

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