Les émissions

01 janv. 2027

Apocalypse 8.13 – 9.5

Chapitre 8

Verset 13

Au lever du jour, la lumière filtre à travers mes fenêtres. Même quand le ciel est nuageux, le soleil est au rendez-vous. C’est chaque matin pareil depuis toujours et je m’attends à ce qu’il en soit ainsi demain et ainsi de suite. Les gens se lèvent, prennent leur café d’un œil à peine ouvert, puis se préparent pour leur activité quotidienne. Ils sont à moitié réveillés mais ils ne songent pas un instant que le soleil pourrait lui aussi ne se lever qu’à moitié. Et pourtant !

Le jugement de la quatrième trompette a obscurci en partie la lumière du soleil, mais la lune et les étoiles aussi tournent au ralenti. Bien entendu, la baisse des radiations des astres a des conséquences redoutables sur terre. C’est dans cette demi-obscurité opaque, qui est un vrai décor de fin du monde, que l’apôtre Jean assiste à un nouveau spectacle étonnant. Il voit et entend un aigle qui avertit les hommes qu’il reste encore les jugements de trois trompettes. Je finis de lire le chapitre huit du livre de l’Apocalypse.

Alors je vis un aigle qui planait au zénith et je l’entendis crier d’une voix forte : – Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, quand retentiront les trois trompettes que les trois derniers anges vont faire sonner ! (Apocalypse 8.13).

Cette scène est sinistre parce que « l’aigle » est un puissant prédateur qui est toujours prêt à foncer sur sa proie. Et comme il est en plein ciel, même dans la pénombre il est visible de tous. Il est évident que Jean ne voit pas un oiseau ordinaire mais un être céleste. On peut donc penser qu’il s’agit du quatrième ange, celui qui vient juste de sonner de la trompette. Ce n’est pas la première fois que l’apôtre voit « un aigle » car il a décrit le quatrième être vivant comme « semblable à un aigle en plein vol » (Apocalypse 4.7). Il se peut donc que ce soit cet être vivant qui vole là-haut et profère des menaces.

La répétition du mot « malheur », trois fois répété, doit attirer notre attention car il a pour but de nous avertir que les trois dernières plaies sont particulièrement douloureuses. Comme son nom l’indique, le mot « malheur » est de très mauvais augure. Ce mot apparaît souvent dans les Écritures parce qu’il indique un jugement, une condamnation ou une destruction, et ceux-ci sont malheureusement très fréquents dans la Parole de Dieu.

L’annonce par « l’aigle » de la venue de trois « malheurs » n’est pas une menace vaine car ils vont arriver. Cependant, cet avertissement a aussi pour but d’inciter les hommes à se repentir. En effet, Dieu ne châtie les êtres humains qu’à contrecœur et seulement quand ils persistent à lever le poing au ciel contre lui. Le prophète Ézéchiel écrit :

Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Éternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ? (Ézéchiel 18.23).

Dieu ordonne la succession des jugements de l’Apocalypse afin de reprendre en main la possession de la terre. Cependant, durant toute la durée de la Tribulation, le Seigneur désire et espère que les hommes changeront de comportement à son égard et se repentissent. Et c’est ce que font des multitudes puisque pendant l’interlude, entre l’ouverture du sixième et du septième sceau (Apocalypse 7.9), Jean voit une foule immense de rachetés. Malheureusement, on sait aussi que la majorité des êtres humains ne se repent pas. Suite au deuxième malheur qui correspond à la sonnerie de la sixième trompette, Jean dit :

Mais le reste des hommes qui avaient survécu à ces fléaux ne renoncèrent pas à leurs façons d’agir ; ils ne cessèrent pas d’adorer les démons ainsi que les idoles d’or, d’argent, de bronze, de pierre et de bois, bien qu’elles soient incapables de voir, d’entendre et de bouger. Ils ne renoncèrent pas à leurs meurtres, à leurs pratiques magiques, à leur immoralité et à leur malhonnêteté (Apocalypse 9.20-21).

Après la quatrième coupe, les hommes adoptent le même comportement car Jean dit :

Les hommes furent atteints de terribles brûlures, et ils insultèrent Dieu qui a autorité sur ces fléaux, mais ils refusèrent de changer et de lui rendre hommage (Apocalypse 16.9).

Enfin, après la cinquième coupe, on lit :

Sous le coup de leurs souffrances et de leurs ulcères, ils insultèrent le Dieu du ciel, et ils ne renoncèrent pas à leurs mauvaises actions (Apocalypse 16.11).

Dieu mène une politique bien précise envers les êtres humains. Il désire qu’ils se repentent et se soumettent à lui en acceptant Jésus comme leur Sauveur et Seigneur. Mais tous ceux qui refusent, quelles qu’en soient la raison et la manière, sont inéluctablement jugés. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :

Prenez à cœur ce que dit l’Esprit Saint : Aujourd’hui si vous entendez la voix de Dieu, ne vous endurcissez pas, comme l’ont fait vos ancêtres lorsqu’ils se sont révoltés et qu’ils ont, dans le désert, voulu me forcer la main. C’est pourquoi j’ai été plein de colère contre cette génération-là (Hébreux 3.7-8, 10).

Dans les jugements des quatre premières trompettes (Apocalypse 8.7-12), les corps célestes ne remplissent pas leur fonction correctement et des objets non identifiés venus du ciel percutent la terre. Alors que depuis des millénaires, « les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains » (Psaumes 19.1 ; LSG), pendant les jours sombres de la Tribulation, les cieux déclarent sa colère. La destruction causée par les quatre premières trompettes est catastrophique, mais les trois malheurs encore à venir seront bien pires.

Cependant, la menace que profère l’aigle d’une voix forte est aussi un avertissement de la dernière chance, le tout dernier appel à la repentance avant que le crescendo des jugements de Dieu atteigne son paroxysme. En effet, les hommes qui survivent à la cinquième trompette et qui ne s’humilient pas devant Dieu, dépassent le point de non-retour ; ils sont confirmés dans leur rébellion et irrévocablement marqués pour le châtiment.

Chapitre 9

Verset 1

Nous arrivons donc maintenant aux jugements des trois dernières trompettes que l’apôtre Jean va décrire en détail, parce que ce sont des étapes importantes du châtiment divin dans la série de jugements progressifs que Dieu inflige au monde pendant la Tribulation. Je commence de lire le chapitre 9 de l’Apocalypse.

Puis le cinquième ange sonna de la trompette ; et je vis un astre qui était tombé du ciel sur la terre. La clé du puits de l’abîme lui fut donnée (Apocalypse 9.1).

Lorsque le cinquième ange du groupe des sept sonne de la trompette, l’attention de Jean se porte sur un nouveau personnage qu’il compare à « un astre tombé du ciel sur la terre ». Ce n’est pas la première fois que l’apôtre voit quelque chose tomber du ciel (Apocalypse 6.13 ; 8.8, 10), mais ici, au lieu d’un objet non identifié, il s’agit d’un être spirituel. Tout porte à croire que c’est Satan en personne, car dans les Écritures il est décrit plusieurs fois comme « tombant du ciel ». En effet, parlant de son péché et de sa chute, le prophète Ésaïe écrit :

Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant, fils de l’aurore ? Toi qui terrassais les nations, comment est-il possible que tu aies été abattu à terre ? Tu disais en ton cœur : “ Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône bien au-dessus des étoiles divines. Je siégerai en roi sur la montagne de l’assemblée des dieux, aux confins du septentrion. Je monterai au sommet des nuages, je serai semblable au Très-Haut. ” Mais te voilà précipité dans le séjour des morts, dans les profondeurs de l’abîme ! (Ésaïe 14.12-15).

Dans l’évangile selon Luc, quand les 70 disciples reviennent de mission et disent à Jésus que les démons leur sont soumis, le Seigneur leur répond :

Oui, je voyais Satan tomber du ciel comme l’éclair (Luc 10.18).

Le diable est visiblement furieux contre ces 70 hommes et cherche donc à venir en aide à ses démons afin qu’ils puissent résister aux disciples de Jésus.

Satan et les anges qui l’ont suivi dans sa rébellion contre Dieu ont été bannis du royaume des cieux qui était leur résidence permanente. Cependant, Satan a toujours accès auprès de Dieu, ce qu’on découvre avec effroi au début du livre de Job (1.6) et que Jean confirme. En effet, un peu plus loin dans le livre, l’apôtre écrit :

Alors une bataille s’engagea dans le ciel : Michel et ses anges combattirent contre le dragon, et celui-ci les combattit avec ses anges ; mais le dragon ne remporta pas la victoire et ne put maintenir leur position au ciel. Il fut précipité, le grand dragon, le Serpent ancien, qu’on appelle le diable et Satan, celui qui égare le monde entier. Il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Puis j’entendis dans le ciel une voix puissante qui disait : Maintenant, le temps du salut est arrivé. Maintenant, notre Dieu a manifesté sa puissance et instauré son règne. Maintenant, son Messie a pris l’autorité en mains. Car l’Accusateur de nos frères, celui qui, jour et nuit, les a accusés devant Dieu, a été jeté hors du ciel (Apocalypse 12.7-10).

Le théâtre d’opérations de Satan étant maintenant limité à la terre, il sait que pour lui le temps est court, sa liberté limitée et ses jours comptés. Alors il rassemble tous ses démons dans l’intention de freiner autant que possible l’heure de la venue de Jésus-Christ sur terre, car dès l’établissement du millénium, il sait qu’il sera lié pendant toute sa durée, pendant mille ans.

Quand le cinquième ange sonne de la trompette, Jean remarque deux événements significatifs. Premièrement, que « un astre était tombé du ciel sur la terre », et deuxièmement, « la clé du puits de l’abîme lui fut donnée ». Le mot « abîme » est une translittération du grec « abussos ». Il apparaît sept fois dans le livre de l’Apocalypse et toujours pour désigner le lieu d’incarcération de certains anges déchus. Satan lui-même sera enchaîné et enfermé à double tour dans cette prison en compagnie de tous les autres démons pendant les mille ans de règne de Jésus-Christ (Apocalypse 20.1-3) comme je l’ai déjà dit.

Les Textes sacrés enseignent que tous les anges qui ont suivi Satan dans sa rébellion n’ont pas tous subi le même sort ; alors que certains sont libres d’aller ici et là, d’autres sont enfermés. Dans sa seconde épître, l’apôtre Pierre écrit :

Dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché : il les a précipités dans l’abîme où ils sont gardés pour le jugement, enchaînés dans les ténèbres (2Pierre 2.4).

L’expression de Pierre : « les a précipités dans l’abîme » est un participe qui est tiré du nom grec « Tartarus », « tartare » en français. À l’origine, ce mot provient de la mythologie grecque pour désigner le séjour des morts où vont les pires des pécheurs, c’est-à-dire ceux qui ont offensé les dieux. L’endroit où le Seigneur retient captifs certains anges déchus n’est évidemment pas le « Tartare » que les Grecs imaginaient. Toutefois, l’emploi de ce mot par l’apôtre Pierre enseigne qu’à cause du caractère abominable de leur faute, Dieu a emprisonné certains anges déchus dans un lieu d’isolation aussi terrible que le « Tartare » de la mythologie grecque. Ces démons sont enfermés en attendant leur jugement et leur condamnation finale dans l’étang de feu (Apocalypse 20.10, 13-14).

Du point de vue de Dieu, les anges déchus incarcérés dans l’abîme sont les pire, les plus vils. Parmi eux se trouvent ceux dont parle Jude quand il écrit :

Dieu a gardé, enchaînés à perpétuité dans les ténèbres pour le jugement du grand Jour, les anges qui ont abandonné leur demeure au lieu de conserver leur rang (Jude 6).

Ces démons sont des incubes en quelque sorte car ils ont eu des relations sexuelles avec des femmes. Cependant, leur but n’était pas de s’envoyer en l’air mais de corrompre la race humaine pour qu’il soit impossible à Dieu d’envoyer Jésus dans le monde (Genèse 6.1-4). Cependant, ces démons ne sont pas les seuls à être enfermés dans l’abîme, car pendant le ministère de Jésus, les esprits impurs lui demandent instamment de ne pas les envoyer dans ce lieu de perdition (Luc 8.31). Il y a donc différentes sortes de démons dans l’Abîme. D’une part, ceux qui se sont unis à des femmes, qui sont enchaînés éternellement, et donc n’en sortiront que pour être jetés dans l’étang de feu, et d’autre part, les autres qui pourront recouvrer provisoirement une liberté surveillée.

Verset 2

Je continue le texte.

Il (l’astre tombé du ciel) ouvrit le puits de l’abîme, et une fumée épaisse s’en éleva, comme celle d’une grande fournaise. Le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée qui s’échappait du puits (Apocalypse 9.2).

Dès que Satan a la clé en main, il fonce ouvrir l’abîme. Imaginez un peu à quoi ressemblerait le monde si on vidait tous les pénitenciers et prisons à haute sécurité. Les criminels de la pire espèce, les plus méchants, les plus violents et les plus féroces seraient dans les rues, et bientôt dans votre rue. Vous voyez le tableau. Eh bien, une situation encore pire guette le monde pendant la Tribulation. Expulsé du ciel, Satan est autorisé de libérer certains êtres diaboliques enfermés dans l’abîme. Dès que cette prison est ouverte, il en sort « une fumée épaisse » dit le texte, si épaisse que « le soleil et l’air furent obscurcis ». Semblable à un volcan en éruption, ce lieu infâme crache la corruption de ces esprits impurs qui va polluer le monde.

Verset 3

Je continue le texte.

De cette fumée sortirent des sauterelles qui se répandirent sur la terre. Il leur fut donné un pouvoir semblable à celui des scorpions (Apocalypse 9.3).

De ce nuage énorme et menaçant, Jean voit sortir une armée de démons qui ressemblent à des « sauterelles ». Il compare cette nouvelle plaie à ces insectes parce que dans l’Antiquité ils sont terriblement redoutés à cause de leur pouvoir de détruire dans sa totalité la végétation de toute une région (Deutéronome 28.38 ; 2Chroniques 7.13 ; Psaumes 105.34 ; Joël 2.25 ; Nahum 3.15) ce qui évidemment produit une famine.

Ces sauterelles font penser à la huitième plaie d’Égypte ; dans le livre de l’Exode on lit :

Elles recouvrirent tout le pays. La terre fut obscurcie. Elles dévorèrent toute la végétation, tous les fruits des arbres qui subsistaient après la grêle, de sorte qu’il ne resta aucun brin de verdure ni aux arbres ni dans les champs de toute l’Égypte (Exode 10.15).

Le prophète Joël mentionne lui aussi et longuement une invasion de sauterelles. Il écrit :

Ce qu’a laissé le vol de sauterelles, d’autres sauterelles l’ont dévoré ; ce que les sauterelles ont laissé, les criquets l’ont mangé ; ce que les criquets ont laissé, les grillons l’ont mangé. Un peuple attaque mon pays, il est puissant, on ne peut le compter. Il a des crocs de lion, il a des dents de lion. Il a fait de mes vignes une dévastation, et mes figuiers, il les a mis en pièces, il a complètement pelé leurs troncs et jonché le sol de débris, leurs rameaux sont tout blancs (Joël 1.4, 6-7).

Bien que Joël parle d’abord des insectes, ensuite, il les compare à l’armée de Babylone qui envahira le royaume de Juda. Puis il fait un saut supplémentaire dans l’avenir et voit ce qui arrivera à la fin des temps ; il écrit :

Tremblez, vous tous, habitants du pays, car il arrive le jour de l’Éternel, il est tout proche ! C’est un jour de ténèbres, un jour d’obscurité. C’est un jour de nuages et de nuées épaisses. Comme l’aurore qui se répand sur les montagnes, voici un peuple très nombreux et puissant. Il n’y en a pas eu de semblable par le passé, et après lui, il n’y en aura plus jamais dans les générations les plus lointaines (Joël 2.1-2).

Ces paroles auraient très bien pu être dites par l’apôtre Jean. En effet, il n’est pas exagéré de comparer une invasion de sauterelles à un nuage de fumée parce que une seule nuée de ces bestioles peut couvrir plusieurs milliers de kilomètres carrés. Dans les années 1951-52, la quasi-totalité de la végétation de l’Iran, l’Irak, la Jordanie et l’Arabie Saoudite a été dévorée par les sauterelles laissant derrière elles la désolation à perte de vue.

Cependant, ce que voit Jean est encore bien pire, car au lieu d’insectes il s’agit de démons. Or, ceux-ci reçoivent le pouvoir d’infliger aux hommes des souffrances similaires à celles que produit une piqûre de scorpion. Il faut en effet savoir que le venin de bon nombre d’espèces est extrêmement douloureux, et une bonne vingtaine d’entre elles peut tuer.

Versets 4-5

Je continue le texte.

Elles reçurent l’ordre de ne pas faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune plante verte, ni à aucun arbre, mais de s’attaquer seulement aux hommes qui ne portent pas le sceau de Dieu sur le front. Il leur fut donné non pas de les tuer, mais de les torturer pendant cinq mois. La douleur qu’elles causaient ressemblait à celle qu’une piqûre de scorpion inflige à un homme (Apocalypse 9.4-5).

Contrairement aux jugements des quatre premières trompettes, ce n’est pas la création physique, la terre et le ciel et tout ce qui s’y trouve, qui est visée. Ces sauterelles sortent vraiment de l’ordinaire car elles reçoivent l’ordre d’épargner toute végétation et de frapper les êtres humains. Cependant, les démons n’ont pas la permission de torturer les personnes qui appartiennent à Dieu, ce qui est conforme à la promesse que Jésus a faite aux fidèles de l’église de Philadelphie (Apocalypse 3.12 ; comparez Ézéchiel 9.4-6). Les croyants sont donc protégés comme Israël le fut pendant les X plaies d’Égypte (Exode 8.22 ; 9.4 ; 10.23).

Seuls les incroyants sont dans le collimateur des insectes démoniaques. Ils ne sont pas tués mais gravement tourmentés et ces attaques s’étendent sur 5 mois, ce qui correspond à la durée de vie normale de la sauterelle, habituellement de mai à septembre. Ici encore, dans sa miséricorde, Dieu donne aux hommes l’opportunité et le temps de se repentir. Alors que les démons font leur triste besogne, les 144 000 évangélistes juifs, les deux témoins venus du ciel dont il est question plus loin, ainsi que d’autres croyants, sont à pied d’œuvre, prêchant le message de repentance, de salut et de la grâce de Dieu en Jésus-Christ. Ces cinq mois seront pour une majorité de personnes la toute dernière occasion d’accepter le Seigneur, de se soumettre à lui et de recevoir la vie éternelle.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

avril 23 2024

Émission du jour | Job 1.1-5

Prospérité et épreuves de Job

Nos partenaires