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22 janv. 2027

Apocalypse 14.6-11

Chapitre 14

Verset 6

Il est dans la nature humaine de toujours espérer des jours meilleurs car après tout l’espoir fait vivre. On voudrait tant que le sida et le cancer puissent être guéris, que tous les enfants mangent à leur faim, que les grands de ce monde se montrent raisonnables et s’accordent pour préserver l’environnement et pour mettre fin à la pauvreté au lieu de fabriquer des bombes. On souhaite voir les nations en conflit trouver un terrain d’entente afin de faire régner la paix et l’harmonie.

Mais ces aspirations des peuples ne font que servir les intérêts des politiciens de tout poil qui sont prêts à promettre la lune pour se faire élire. Et au final, tous les efforts humains aussi louables soient-ils, pour créer un monde meilleur, sont voués à l’échec. Tout ce que nos dirigeants parviennent à faire, c’est déplacer les chaises sur la plage afin de donner aux vacanciers une meilleure vue sur l’arrivée du tsunami qui va les emporter. Nous courrons à notre perte car Dieu va juger le monde aussi sévèrement que quand il l’a détruit par le déluge, mais cette fois-ci ce sera par le feu. Ensuite seulement viendront les jours meilleurs dans le royaume du Seigneur Jésus.

Dans les événements de la fin des temps, les anges jouent un rôle important car ils sont les messagers et les instruments du jugement de Dieu (Apocalypse 8.5-6, 13 ; 11.15 ; 16.1).

Je continue de lire dans le chapitre 14 de l’Apocalypse.

Ensuite je vis un autre ange volant au zénith. Il avait une Bonne Nouvelle éternelle à annoncer à tous les habitants de la terre, à toute nation, toute tribu, toute langue et tout peuple (Apocalypse 14.6).

Ce nouvel ange qui n’est pas identifié vole très haut, littéralement « au milieu du ciel » (mesouranêma) alors que le soleil est au zénith. Tout le monde peut voir et entendre cet ange car « il crie d’une voix forte » (v.7).

La proclamation de cet ange est appelée « Bonne Nouvelle éternelle », littéralement « un évangile éternel » et il est destiné « à tous les habitants de la terre ». Cette annonce est le premier de trois messages (Apocalypse 14.7, 8, 9-11) qui sont les pendants des trois « malheurs » annoncés par « l’aigle qui planait au zénith et qui a crié d’une voix forte – Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, quand retentiront les trois trompettes que les trois derniers anges vont faire sonner ! » (Apocalypse 8.13 ; comparez Apocalypse 11.14).

Le salut par la foi en Jésus-Christ a déjà été annoncé par les deux témoins venus du ciel, par les 144 000 Juifs et par d’autres croyants, car selon les paroles mêmes de Jésus que nous rapporte Matthieu : « la Bonne Nouvelle doit être annoncée à tous les peuples de la terre avant que vienne la fin » (Matthieu 24.14).

Verset 7

Je continue le texte.

Il (L’ange) criait d’une voix forte : – Révérez Dieu et donnez-lui gloire, car l’heure a sonné où il va rendre son jugement. Adorez donc celui qui a fait le ciel, la terre, la mer et les sources (Apocalypse 14.7).

C’est la première fois que le mot « jugement » (krisis) apparaît dans le livre mais il est interchangeable avec le mot « colère » que Jean a déjà utilisé plusieurs fois.

Le message de l’ange est similaire à celui que proclament les prophètes de l’Ancien Testament au peuple d’Israël idolâtre. L’ange déclare que « l’heure du juste jugement de Dieu a sonné ». Cet ultime avertissement est un dernier appel à la repentance, et il est urgent car « les coupes de la colère de Dieu » sont sur le point d’être déversées sur la terre. En clair, l’ange somme tous les habitants de la terre de se détourner des deux bêtes, l’Antichrist et le faux prophète, pour révérer et adorer le Créateur du ciel et de la terre.

Au début de la révélation de l’avenir à Jean, on assiste déjà à une scène d’adoration dans le ciel. Alors, les 24 vieillards proclament :

Tu es digne, Seigneur notre Dieu, qu’on te donne gloire, honneur et puissance, car tu as créé tout ce qui existe, l’univers entier doit son existence et sa création à ta volonté (Apocalypse 4.11 ; comparez Psaumes 19.1-4 ; Ésaïe 40.21-26).

Les hommes qui ne croient pas en l’existence de Dieu et qui refusent de l’adorer sont sans excuse. Dans son épître aux Romains, l’apôtre Paul écrit :

Du haut du ciel, Dieu manifeste sa colère contre les hommes qui ne l’honorent pas et ne respectent pas sa volonté. Ils étouffent ainsi malhonnêtement la vérité. En effet, ce qu’on peut connaître de Dieu est clair pour eux, Dieu lui-même le leur ayant fait connaître. Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit. Ils n’ont donc aucune excuse. Alors qu’ils connaissent Dieu, ils ont refusé de lui rendre l’honneur que l’on doit à Dieu et de lui exprimer leur reconnaissance. Ils se sont égarés dans des raisonnements absurdes et leur pensée dépourvue d’intelligence s’est trouvée obscurcie (Romains 1.18-21).

L’orgueil des non-croyants se manifeste par leur esprit rebelle, leur refus de révérer et d’honorer Dieu. Les Écritures enseignent que l’homme doit craindre et rendre gloire à son Créateur et il est écrit plusieurs fois dans les Proverbes, dans un psaume et la première épître de Pierre : « la crainte révérencielle de l’Éternel est le commencement de la sagesse » (Proverbes 1.7 ; 9.10 ; 23.7 ; 24.21 ; Psaumes 111.10 ; 1Pierre 2.17).

L’ange proclame à tous les habitants de la terre que le jugement est imminent et qu’il est impérieux qu’ils se repentent, mais ce message est futile car les hommes encore debout sont blasés. Ils ont souffert le calvaire sous les jugements dévastateurs des sceaux et des trompettes ; ils ont vu des prodiges terrifiants à répétition ; la terre est dévastée et on compte les victimes par milliards. Mais malgré tout ce qu’ils ont vécu, ils refusent obstinément de se repentir. Cependant, dans sa grâce et sa miséricorde, Dieu lance un ultime appel aux pécheurs afin qu’ils se tournent vers lui.

Pour les croyants par contre, la proclamation de l’ange est une excellente nouvelle parce qu’elle signifie la fin des persécutions, et de la sentence de mort qui pèse constamment sur eux, ainsi que le châtiment de leurs ennemis (Apocalypse 11.18). De plus, ces derniers jugements seront tout de suite suivis du retour du Christ qui établira son règne tant attendu sur terre. Alors, les desseins de Dieu pour l’humanité seront entièrement accomplis, ce qu’un ange a déjà proclamé quand il a dit :

Au jour où retentira la trompette du septième ange, tout le plan secret de Dieu s’accomplira, comme il l’a annoncé à ses serviteurs, ses prophètes (Apocalypse 10.7).

Verset 8

Je continue le texte.

Un second ange le suivit (le premier), disant : – Elle est tombée, la grande Babylone est tombée, celle qui a fait boire à toutes les nations le vin de sa furieuse prostitution (Apocalypse 14.8).

Contrairement au premier ange, le second qui lui emboîte le pas, proclame uniquement un jugement. Il anticipe la chute de Babylone. Elle est décrite en détail plus loin (Apocalypse 17 et 18) comme ayant déjà eu lieu. En effet, le verbe « tomber » est répété deux fois et conjugué au passé, ce qui est une façon d’affirmer que la destruction de cette ville maudite est certaine, finale et totale.

Depuis le début de l’humanité, Babylone symbolise le mal et la rébellion contre Dieu. La Babylone antique, située en Mésopotamie, est la capitale politique, commerciale et religieuse d’un puissant empire du Moyen-Orient. Fondée par Nimrod (Genèse 10.9), un roi orgueilleux et puissant, cette ville s’appelle d’abord Babel. C’est à Babel que naît le premier système idolâtre (Genèse 11.1-4) symbolisé par la tour du même nom.

En fait, c’est une ziggourat, un édifice à degrés constitué de plusieurs terrasses. On croit savoir que la Ziggourat de Babylone appelée « la Maison du Fondement du Ciel et de la Terre » (L’Etemenanki), est rectangulaire, a plus de 90 mètres de haut et 7 étages. Au sommet se trouve le petit temple de Mardouk, dieu de la ville.

C’est à Babel que Dieu porte un premier jugement contre l’idolâtrie de l’humanité rebelle en confondant son langage. Les hommes se mettent à parler différentes langues et ceux qui se comprennent se rassemblent. Puis chaque groupe part de son côté et ainsi les hommes se dispersent sur la surface de la terre (Genèse 11.5-9). Mais bien sûr, ils emportent avec eux le culte des faux dieux et partout où ils vont, l’idolâtrie prend racine.

C’est à Babylone qu’au 6e siècle avant Jésus-Christ, le peuple du royaume de Juda est emmené en captivité. Ensuite, certains courants du judaïsme donnent à Babylone, le nom de « Rome ». C’est le cas dans le livre de l’Apocalypse où Babylone représente le système politique, commercial et religieux de l’empire romain reconstitué sous la botte de l’Antichrist. Plus loin dans le livre, ce système est jugé tout comme l’ancienne Babylone l’a été. Le prophète Jérémie écrit :

Babylone était bien comme une coupe d’or entre les mains de l’Éternel ; elle enivrait la terre entière ; les nations ont bu de son vin ; c’est pourquoi les nations en ont perdu le sens. Babylone est tombée soudainement et elle s’est brisée (Jérémie 51.7-8 ; comparez Ésaïe 13.19-22 ; Jérémie 50.39-40 ; 51.24-26, 62-64).

Tout comme l’humanité était unie à Babel sous l’emprise d’une fausse religion idolâtre, de même elle le sera à la fin des temps sous l’égide du dernier système politique, économique, et religieux mondial. On revient donc à la case départ et la boucle est bouclée. Plus loin dans le livre de l’Apocalypse, la dernière Babylone est personnifiée en une prostituée (Apocalypse 17.1-5). Le texte dit :

Les rois de la terre se sont livrés à la débauche avec elle, et les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution (Apocalypse 17.2).

Pendant toute la durée de la Tribulation, l’idolâtrie et toute l’immoralité qui l’accompagne fascinent et intoxiquent les habitants de la terre.

Ici, Jean anticipe et dit déjà que Babylone « a fait boire à toutes les nations le vin de sa furieuse prostitution ». Le mot pour « furieuse » (thumos) décrit un désir ardent qui consume. La prostitution dont il est question est d’ordre spirituel car c’est une description de l’idolâtrie instituée par l’Antichrist quand il exige vouloir être reconnu et adoré comme dieu. Les habitants de la terre ayant bu le vin de la « furieuse prostitution » de Babylone devront aussi boire « le vin de la fureur de Dieu ».

Versets 9-10 a

Je continue le texte.

Un troisième ange les suivit (le premier et le second), proclamant d’une voix forte : – Celui qui adore la bête et son image et qui accepte de recevoir sa marque sur le front et sur la main, devra aussi boire du vin de la fureur de Dieu (Apocalypse 14.9-10 a).

Les anges apparaissent dans un ordre logique et chronologique encore que les deuxième et troisième pourraient échanger leur position respective. En tout cas, les habitants de la terre qui refusent d’écouter le premier ange et donc de se repentir vont être sévèrement punis pour avoir adoré l’Antichrist. Afin que nul ne soit pris par surprise, le troisième ange proclame haut et fort au monde entier que tous les idolâtres qui adorent la bête et qui reçoivent sa marque sont exposés à la fureur de Dieu.

Ce passage montre clairement que pendant la Tribulation, il n’est pas possible de rester neutre et que chacun doit décider à qui il prête allégeance. Luc rapporte que à un moment de son ministère Jésus dit :

Celui qui n’est pas avec moi, est contre moi, et celui qui ne se joint pas à moi pour rassembler, disperse (Matthieu 12.30 ; comparez Luc 11.23).

Il en est de même pendant la Tribulation. Tout le monde sera dans une situation inconfortable car chacun devra prendre ouvertement position pour Jésus ou pour la bête ; c’est blanc ou noir et il faut choisir.

Dans toutes les parties du monde qui sont sous le contrôle de l’Antichrist, les êtres humains doivent l’adorer sous peine de mort, et en signe de loyauté ils sont aussi tenus de porter sa marque sur la main ou sur le front.

D’un autre côté, l’ange les avertit que s’ils se soumettent à la bête, un sort bien pire les attend car ils devront subir la fureur et le jugement de Dieu. En réalité, cette mise en garde est un acte de la grâce de Dieu car il appelle une fois encore les pécheurs à la repentance, à rejeter l’Antichrist et à se tourner vers lui.

Dans les Écritures, la colère de Dieu n’est jamais un état impulsif, une émotion incontrôlée ou un caprice, mais une action délibérée et réfléchie qui est la réponse du Créateur à la rébellion de l’homme contre lui. La colère de Dieu est toujours juste et aussi dure qu’une lame d’acier. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :

Il est terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant (Hébreux 10.31).

Cependant, Dieu n’oublie pas sa miséricorde et on a plusieurs exemples d’hommes, comme Abraham, Moïse, David, Daniel ou Job qui intercèdent pour des coupables et réussissent à faire fléchir Dieu. Bien entendu, nul ne peut faire changer Dieu d’avis si ce n’est pas déjà dans son plan. Pendant la Tribulation, par contre, la fureur de Dieu est impitoyable contre tous ceux qui portent la marque de la bête.

Verset 10 b

Je continue le texte.

Ce vin lui sera versé pur dans la coupe de la colère divine (Apocalypse 14.10 b).

Dans l’Ancien Testament, le jugement est souvent représenté sous l’aspect d’une coupe que le coupable doit boire. Dans le psaume 75, le psalmiste écrit :

L’Éternel tient dans sa main une coupe pleine d’un vin âpre et mélangé. Il en verse aux méchants de la terre qui devront vider la coupe en buvant jusqu’à la lie (Psaumes 75.9 ; comparez Ésaïe 51.17 ; Jérémie 25.15).

Les prophètes de l’Ancien Testament comparent la colère de Dieu à du vin qui remplit peu à peu une coupe. Puis quand elle est pleine, le pécheur est obligé de la boire jusqu’à la lie ce qui indique un châtiment sévère et l’absence de toute miséricorde.

Le vin de la fureur de Dieu sera versé « pur », littéralement : « mélangé sans être mélangé ». Cette expression fait allusion à la pratique dans l’Antiquité, qui consiste à diluer le vin avec de l’eau. Mais ici, le vin est non dilué, ce qui veut dire que les habitants de la terre vont expérimenter la vengeance de Dieu à l’état « pur » et donc subir sa colère ardente de plein fouet, dans toute sa rigueur. L’Éternel sera sans pitié quand il frappera tous ceux qui portent la marque de la bête.

Verset 10 c

Je continue le texte.

Et il souffrira des tourments dans le feu et le soufre devant les saints anges et devant l’Agneau (Apocalypse 14.10 c).

Dans les Écritures, « le feu et le soufre » apparaissent souvent ensemble et dans les jugements de Dieu. Quand l’Éternel détruit les villes de la vallée de Siddim, le texte dit :

L’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de soufre enflammé par un feu qui venait du ciel, de l’Éternel (Genèse 19.24).

Et David écrit :

Il (l’Éternel) fait pleuvoir sur les méchants du charbon, du feu et du soufre. Il les expose au vent brûlant : voilà la part qu’il leur réserve (Psaumes 11.6).

Enfin, « l’étang ardent de feu et de soufre » est le terminus, la dernière station dans laquelle tous les damnés sont jetés (Apocalypse 19.20 ; 20.10 ; 21.8). Bien que « le feu et le soufre » soient une image de la réalité, celle-ci est encore pire que son symbole.

Le verbe traduit par « souffrira des tourments » signifie « éprouver une souffrance incessante insupportable ». Ce verbe apparaît dans la parabole de Lazare et du mauvais riche où le texte dit :

Du séjour des morts, où il (le mauvais riche) souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui (Luc 16.23).

Ceux qui boivent la coupe de la fureur de Dieu ne sont jamais soulagés de leurs tourments et n’auront aucun répit pendant l’éternité. Il est bien vrai que certains criminels méritent un châtiment sévère et exemplaire, comme par exemple celui qui viole puis étrangle une petite fille. Puis on a évidemment les grands classiques comme Hitler et Staline. Or, ce n’est pas dans cette vie qu’ils purgent leur peine, parce que déjà la plupart des bêtes malfaisantes échappent à la justice humaine et de toute façon celle-ci est totalement inadéquate.

On comprend aussi que le principe du châtiment éternel est cohérent avec la sainteté et la justice parfaites et infinies de Dieu, mais malgré tout, le châtiment éternel est un concept troublant et terrifiant.

Une seconde source de souffrance pour ceux qui sont jetés dans « l’étang de feu et de soufre » est qu’ils sont en spectacle « devant les saints anges et devant l’Agneau ». Non seulement ils expient leurs péchés, mais ils sont également rongés de regrets et de remords d’avoir fait le mal, de ne pas s’être repentis, et donc d’être condamnés au lieu d’être dans la gloire. Alors que les croyants sont ridiculisés par le monde impie, dans l’au-delà les tables sont inversées car ce sont leurs ennemis qui éprouvent de la honte devant les êtres célestes.

Il faut aussi remarquer que les « 24 vieillards » qui représentent l’Église ne sont pas mentionnés. Damnés et rachetés ne se verront pas et ne communiqueront pas. Il est d’ailleurs probable que dans les cieux, les bienheureux n’ont pas souvenir de leurs amis ou membres de leur famille qui ne sont pas présents avec eux.

Verset 11

Je continue le texte.

La fumée de leur tourment s’élèvera à perpétuité. Quiconque adore la bête et son image, quiconque accepte la marque de son nom ne connaîtra aucun repos, ni de jour, ni de nuit (Apocalypse 14.11).

Le troisième ange enfonce le clou. Il conclut son annonce en répétant ce qu’il a déjà dit mais par une image qui fait froid dans le dos. Ésaïe, Daniel, Jean Baptiste et l’apôtre Paul écrivent eux aussi que ceux qui n’entrent pas dans le royaume des cieux subiront un châtiment éternel (Ésaïe 66.24 ; Daniel 12.2 ; Matthieu 3.12 ; Luc 3.17 ; 2Thessaloniciens 1.9). Et dans les évangiles selon Matthieu et Marc, on lit que Jésus parle du « feu éternel » (Matthieu 18.8 ; 25.41), du « châtiment éternel » (Matthieu 25.46), du « feu qui ne s’éteint jamais » (Marc 9.43), et d’un lieu « où le ver rongeur ne meurt point et où le feu ne s’éteint jamais » (Marc 9.48). A bon entendeur, salut !

Il se fait tard à l’horloge divine. Le troisième ange a lancé le dernier appel à la repentance aux habitants de la terre avant que les coupes de la colère de Dieu ne soient déversées sur eux. Mais peu d’entre eux y prêtent attention car ils préfèrent les ténèbres à la lumière « parce que écrit Jean dans son évangile (Jean 3.19), leurs actes sont mauvais ».

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

avril 19 2024

Émission du jour | Esther 8.1-17

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