Zacharie 9.2-8
Chapitre 9
Versets 1-2 a
Les Dardanelles n’évoquent pas un bon souvenir parce que c’est le nom d’une défaite des alliés pendant la Première Guerre mondiale. Le détroit des Dardanelles est un passage stratégique de 61 km qui comme celui du Bosphore, permet le contrôle des liaisons maritimes entre la Méditerranée et la mer Noire, entre l’Europe et l’Asie. Quel rapport avec le livre de Zacharie ? Eh bien, une prophétie qui concerne Alexandre le Grand. Après l’assassinat de son père Philippe II de Macédoine, Alexandre assure sa position de roi et en l’an 334, à la tête de son armée, il traversa le détroit des Dardanelles et arrive jusqu’à la capitale de la Phrygie, aujourd’hui en Turquie.
Les satrapes de l’empire perse, les gouverneurs des provinces, rassemblent alors leurs forces et la bataille a lieu à proximité de la célèbre ville de Troie. Les Perses sont battus à plat de couture et c’est la première victoire d’Alexandre en Asie. Vexé, l’empereur perse Darius III amasse une immense armée et l’année suivante, il vient personnellement pour en découdre avec Alexandre au sud du village d’Issus au nord de la Syrie. Darius subit une cuisante défaite et doit même s’enfuir en catastrophe. Suite à cette bataille, Alexandre descend sur la Palestine, ce que Zacharie prophétise dans le chapitre neuf de son livre.
Je commence de le lire.
Oracle. La parole de l’Éternel a atteint le pays de Hadrak. Elle s’arrête sur Damas, car l’Éternel a son œil sur les hommes et sur toutes les tribus d’Israël (auteur). La parole de l’Éternel est aussi pour Hamath, à la frontière de Damas (Zacharie 9.1-2 a).
Des inscriptions cunéiformes assyriennes situent « Hadrak » au nord de Damas. C’est à la fois une ville et un district. Mais les rabbins donnent à ce nom une interprétation messianique. Ils le divisent en deux et traduisent « coupant-doux » et ils extrapolent la signification : « Le Messie est tranchant vis-à-vis des nations du monde, et doux envers Israël. » C’est leur affaire.
Quant à la ville de « Hamath », elle se trouve au nord de la Syrie sur le fleuve Oronte.
Les nations qui ont fait du mal au peuple d’Israël vont subir le jugement de l’Éternel (Jérémie 32.19). Après la victoire d’Issus, Parmenion, l’un des généraux d’Alexandre le Grand, met le nord de la Syrie à feu et à sang. Il détruit « Hamath », deuxième ville syrienne, et Damas la capitale, et il s’empare de leurs richesses.
Versets 2b-4
Je continue.
(La parole de l’Éternel est aussi) pour Tyr et pour Sidon où l’on est très habile. Tyr s’est construit pour elle une tour fortifiée ; elle a accumulé l’argent comme de la poussière, ainsi que l’or comme la boue des rues. Mais voici : le Seigneur en prendra possession, il précipitera ses remparts dans la mer et la ville sera consumée par le feu (Zacharie 9.2 b-4).
Après être tombé sur la Syrie, le châtiment se dirige maintenant vers l’ouest et atteint Tyr et Sidon, les deux principales villes phéniciennes situées sur la côte méditerranéenne. Sidon qui à l’origine est la ville la plus importante est éclipsée par Tyr sa rivale depuis déjà longtemps. Celle-ci est devenue immensément riche par son commerce qui s’étend à toute la Méditerranée (Ézéchiel 27.33), ce qui avant l’exil inclue le trafic d’esclaves israélites que les Phéniciens achètent aux Philistins. Ces crimes exigent un châtiment.
Seulement, dès l’époque du roi David, les habitants de Tyr ont pris la précaution de construire une ville annexe pour s’y réfugier en cas d’attaque. Elle est érigée sur un îlot qui se trouve à un peu moins de un kilomètre de la ville principale et elle est fortifiée par des murs de 50 mètres de haut, six mètres d’épaisseur sur 750 mètres de long. La ville terrestre de Tyr était tombée aux mains des Assyriens mais l’îlot avait résisté victorieusement à un siège de cinq ans (sous Salmanasar V).
Plus tard, l’îlot tient bon pendant 13 ans face à Nabuchodonosor qui finalement renonce. À cause de tous ces succès, les habitants de Tyr bombent le torse parce qu’ils se croient invincibles, mais leur orgueil démesuré va leur attirer le jugement de Dieu (comparez Ézéchiel 28.4-5).
En l’an 333, la ville principale de Tyr est rapidement conquise par Alexandre le Grand mais comme d’habitude l’îlot résiste. Alors les Grecs qui ont de la suite dans les idées, utilisent les ruines de la Tyr terrestre pour construire une digue jusqu’à l’îlot qui est pris après un siège relativement court de sept mois (Ézéchiel 26.17-21 ; 27.27, 34). Cette conquête militaire est racontée par une demi-douzaine d’historiens antiques. L’îlot conquis, les murailles sont démolies et les maisons brûlées. Dans la foulée, les Grecs massacrent environ dix mille hommes et vendent comme esclaves les femmes et les enfants. Après cette catastrophe, Tyr ne regagna jamais plus sa position, sa grandeur et son prestige. Quant à la digue de pierres construite par l’armée d’Alexandre, elle a subi les accumulations de sable et de débris de la mer qui l’ont transformée en un isthme de 800 mètres de large. Après avoir vu le sort subi par Tyr, les habitants de Sidon comprennent vite qu’ils n’ont pas la moindre chance d’échapper à la destruction et décident de se rendre aux Grecs sans offrir la moindre résistance.
Toutes ces villes ainsi que celles des Philistins dont il va être question, sont investies pour deux raisons, parce que, d’une part, elles se sont comportées en ennemies du peuple de Dieu, et d’autre part, elles font partie du territoire promis à Israël (Exode 23.31 ; Nombres 34.2-12 ; Deutéronome 11.24 ; Josué 13.1-7).
Verset 5
Je continue le texte.
Askalon le verra et elle prendra peur, Gaza aussi. Elle se tordra de douleurs, et Éqrôn se verra privée de son soutien. Plus de roi à Gaza, et Askalon n’aura plus d’habitants (Zacharie 9.5).
La sentence divine de jugement poursuit sa route en longeant la Méditerranée du nord au sud et arrive jusqu’au pays des Philistins. Ce territoire est une plaine ondulée située entre 15 et 30 mètres au-dessus du niveau de la mer. Elle s’étend sur 55 km de long et fait de 16 à 26 km de large.
Zacharie mentionne trois des cinq villes principales de la Philistie et dans le même ordre que le prophète Jérémie (Jérémie 25.20). Ayant appris que l’armée d’Alexandre a détruit la Syrie et la Phénicie, les Philistins sont pris de panique et on les comprend.
À cette époque, « Askalon » est tributaire de Tyr tandis que les autres villes de la Philistie dépendent de l’activité économique des cités phéniciennes. Non seulement les Philistins ont perdu le soutien des Phéniciens qui sont leurs alliés commerciaux, mais ils vont eux-mêmes subir la puissance militaire grecque.
La mention par Zacharie, « plus de roi à Gaza », a fait les choux gras de ceux qui veulent placer cette prophétie avant la conquête de la Palestine par les Assyriens et les Chaldeéns. Mais les Perses ont l’habitude de laisser aux peuples conquis une certaine indépendance politique. Nous savons par exemple que la ville de Gaza est dirigée par un homme appelé « chef » ou « roi » selon les historiens, et qu’il opposa une résistance héroïque et farouche aux conquérants grecs. Ce prince avait évidemment été installé par les Perses et gouvernait avec leur aval. Gaza résista plusieurs mois aux envahisseurs grecs mais elle fut conquise et subit alors le même sort que Tyr. Son chef fut attaché vivant au char d’Alexandre et traîné autour des murs, une imitation encore plus cruelle que le sort du guerrier Hector tué par Achille et son cadavre traîné derrière le chariot d’Achille devant les murailles de la ville de Troie.
Contrairement aux empires d’Asie qui permettent aux nations conquises de conserver leurs dirigeants, Alexandre le Grand les dépose ou les exécute et les remplace par un Macédonien. Il massacre ou déporte les habitants des villes conquises, puis il repeuple celles-ci par des populations qui lui sont fidèles, grecques ou d’autres ethnies. C’est ce qui est arrivé à Gaza.
Quant à l’antique « Askalon », elle est renommée pour son sanctuaire dédié au poisson-dieu Dagon ; c’est aussi dans cette ville qu’est né le roi Hérode le grand, et pour la petite histoire, sachez que « Askalon » a donné le mot « échalote ». Détruite puis reconstruite plusieurs fois, aujourd’hui il ne reste de cette ville que des ruines au milieu d’un parc où les Israéliens viennent pique-niquer.
Verset 6
Je continue le texte.
À Ashdod, des bâtards habiteront, et je retrancherai l’orgueil des Philistins (Zacharie 9.6).
« Ashdod » est la quatrième ville de la confédération philistine qui en compte cinq. Tout comme dans les prophéties d’Amos (Amos 1.6-8) et de Sophonie (Sophonie 2.4) la ville de « Gath », la cinquième de la confédération, n’est pas mentionnée parce qu’elle fait partie du territoire de Juda depuis que le roi Osias l’a conquise (2Chroniques 26.6 ; 2Rois 18.8).
Le mot hébreu traduit par « bâtard » ne se trouve que dans le livre du Deutéronome (Deutéronome 23.3). Il désigne une naissance illégitime suite à un inceste ou un adultère. Ici, ce mot signifie que des nomades ou des aventuriers prendront possession de la ville. Aujourd’hui, « Ashdod » est en territoire israélien. Après y avoir fait le ménage, les Juifs y ont construit un port artificiel ainsi que beaucoup d’habitations.
Verset 7 a
Je continue le texte.
J’ôterai le sang de sa bouche, j’arracherai d’entre ses dents ses mets abominables, et ce qui restera des Philistins appartiendra aussi à notre Dieu (Zacharie 9.7 a).
Les Philistins sont ici personnifiés. Contrairement aux Israélites (Lévitique 17.11-12 ; Deutéronome 12.15-16), ils consomment le sang des sacrifices d’animaux non saignés ou impurs. Tous les peuples païens ont des coutumes similaires. Après avoir offert un sacrifice à leur idole, ils boivent le sang de la victime et mangent sa chair. Après les conquêtes d’Alexandre le grand, les Philistins disparurent en tant que peuple distinct. Mais ici, Zacharie prophétise qu’il y aura un petit reste rescapé de Philistins qui sera guéri de l’idolâtrie et incorporé au peuple de Dieu.
On peut considérer que la famille de prêtres appelée Maccabée (Makabim en hébreu) fut un instrument entre les mains de Dieu pour accomplir en partie cette prophétie. Par la force, les frères Judas, Jonathan et Simon Maccabée mirent fin aux pratiques idolâtres des Philistins présents sur le territoire de Juda, ce qui est raconté dans le premier livre apocryphe des Maccabées.
Bien que ces événements répondent partiellement à la prophétie de Zacharie, celle-ci ne s’accomplira complètement que dans le royaume de Dieu où il n’y aura plus ni étrangers ni impurs, et quand toutes les nations seront soumises au Messie. Alors, « ce qui restera des Philistins appartiendra aussi à notre Dieu ». Pour la petite histoire, le mot « Maccabée » a pris le sens de « cadavre » parce que dans le deuxième livre des Maccabées, les morts s’empilent car il est beaucoup question de martyrs mais aussi de leur résurrection.
Verset 7 b, c
Je continue le texte.
Les Philistins seront semblables à un clan de Juda, Eqrôn sera comme un Yebousien (Zacharie 9.7 b, c ; auteur).
La même idée est répétée deux fois dans ce verset selon le principe du parallélisme de la poésie hébraïque.
Les tribus d’Israël sont divisées en clans qui comprennent une cohorte guerrière d’environ mille hommes ainsi que leur famille. Ces cohortes sont unies entre elles par des liens plus étroits que la simple appartenance à la même tribu. Cette prophétie signifie donc que les Philistins constitueront un clan au sein d’Israël.
« Eqrôn », qui est le nom de l’une des cinq villes principales de la Philistie, personnifie les Philistins qui seront comme les « Yebousiens », une ethnie qui fait partie des Cananéens. Les Yebousiens occupaient la montagne de Sion jusqu’à ce que David en fasse la conquête (2Samuel 5.6-7). Ensuite, les Yebousiens ne sont plus mentionnés dans l’Ancien Testament parce qu’ils sont incorporés à la nation d’Israël dont ils adoptent les mœurs et la religion (2Samuel 24.16 et suivants).
À cette époque, les guerres de conquête prennent du temps. Il est vrai qu’Alexandre le Grand est beaucoup plus rapide que ses ennemis, mais quand les Philistins apprennent qu’il s’avance pour les conquérir, ceux qui en ont le désir ou la possibilité ont amplement le temps de faire leur valise et chercher refuge en Juda. Une fois leur pays détruit, les Philistins qui choisissent de rester où ils se trouvent sont alors incorporés à Israël. Ces événements sont un accomplissement de la prophétie de Zacharie mais partiel seulement, car cette prophétie s’accomplira dans sa totalité dans le royaume de Dieu quand toutes les nations feront partie du peuple de Dieu et seront soumises au Messie.
Cela dit, la plupart des Philistins sont soit massacrés soit déportés par les Grecs, mais certains réussissent à passer à travers les mailles du filet et retournent en Philistie sans pour autant reconstruire leur nation. Mais, vers l’an 100 avant notre ère, ils sont obligés d’adopter le judaïsme sous peine de mort. À l’époque de Jésus-Christ, les Philistins ont entièrement disparu en tant que peuple car ils se sont fondus dans les populations qui habitent les deux anciens royaumes israélites. Cependant, le mot « Philistie » est resté puisque il a donné « Palestine » qui est le nom de toute la région. Dans une vision prophétique, le psalmiste du psaume 84 dit :
Parmi tous ceux qui me connaissent, je ferai mention de l’Égypte aussi bien que de Babylone, j’inscris la Philistie, et Tyr, et l’Éthiopie, comme étant nés ici (Psaumes 87.4).
Dans le récit des conquêtes d’Alexandre en Palestine, Zacharie ne dit pas un mot concernant les Ammonites, les Moabites et les Édomites parce que depuis l’invasion de la Palestine par les Chaldéens, ils n’existent plus en tant que nations distinctes et indépendantes.
Verset 8
Je continue la prophétie de Zacharie.
Je monterai la garde autour de ma maison et je la défendrai contre les gens de guerre qui passent et repassent. Aucun tyran ne l’opprimera plus, car maintenant j’y veille de mes propres yeux (Zacharie 9.8 ; auteur).
Dans le passé, l’Éternel a fermé les yeux pour ainsi dire, donnant carte blanche, d’une part, aux Assyriens pour qu’ils envahissent les deux territoires israélites et mettent fin au royaume des X tribus du Nord, et d’autre part, aux Chaldéens, en leur permettant de détruire le royaume de Juda. Mais maintenant, Dieu va être attentif et garder les yeux grand ouverts sur le temple que les colons sont en train de reconstruire afin qu’aucun ennemi ne vienne menacer son peuple et interrompre les travaux.
En d’autres mots, tandis que les peuples païens subissent le jugement, Dieu promet de veiller sur les siens. C’est une confirmation des quatrième et cinquième visions (chap. 3, 4) où Zacharie a déjà vu « les sept yeux de l’Éternel qui parcourent toute la terre » (Zacharie 4.10 ; comparez Zacharie 3.9), comme gage de protection de son peuple.
Les « gens de guerre qui passent et repassent » fait référence aux armées d’Alexandre qui après la victoire d’Issus sur les Perses descendent jusqu’en Égypte détruisant tout sur leur passage, puis remontent dans le nord empruntant la même route. Ils sont ainsi passés deux fois devant Jérusalem mais sans l’attaquer et par ailleurs, Alexandre accorde des privilèges spéciaux aux Juifs.
Selon l’historien juif Flavius Josèphe, voilà comment s’est déroulée la rencontre entre Alexandre le Grand et les colons juifs :
« Alors que les Grecs faisaient le siège de la ville de Tyr, un détachement de l’armée vint demander aux Juifs leur reddition sans condition. Mais ceux-ci refusèrent par loyauté envers les Perses qui les avaient protégés. Après la chute de la ville philistine de Gaza, Alexandre marcha avec son armée en direction de Jérusalem avec l’intention de la punir. Alors qu’il s’en approchait, il rencontra sur sa route le grand-prêtre Josué vêtu de ses habits de cérémonie, et qui était à la tête d’une colonne de prêtres suivie par les colons vêtus de blanc. Le conquérant s’inclina en signe de respect devant le Saint Nom ».
Je fais une digression pour expliquer à quoi correspond « le Saint Nom ». Les vêtements sacerdotaux du grand-prêtre sont extrêmement élaborés parce qu’ils ont plusieurs significations symboliques. En plus des habits complexes et des pierres précieuses sur ses épaulettes, le grand-prêtre porte une sorte de diadème, sur le front, afin qu’il soit bien visible. L’Éternel a donné les instructions suivantes à Moïse. Dans le livre de l’Exode, on lit :
Tu feras une plaque frontale d’or pur sur laquelle tu graveras comme sur un cachet : “ Sainteté à l’Éternel ”. Tu la fixeras par un cordonnet de pourpre violette sur le devant du turban pour qu’elle orne le front d’Aaron (Exode 28.36-38). On fit la plaque frontale, le diadème sacré, en or pur et l’on y grava comme sur un sceau à cacheter : “ Sainteté à l’Éternel ” (Exode 39.30).
Je referme la parenthèse et continue l’histoire telle que l’écrit Flavius Josèphe.
Un des généraux d’Alexandre demanda au conquérant la raison de son comportement. Il répondit qu’en Macédoine, dans un rêve, il avait vu le Dieu de Josué, qui l’encouragea de passer en Asie et qui lui a dit qu’il serait victorieux. Ensuite, Alexandre entra respectueusement dans Jérusalem, offrit un sacrifice dans le temple, écouta la prophétie de Daniel le concernant (Daniel 2.39 ; 8.5) et accorda certains privilèges à tous les Juifs de son empire.
C’était en effet dans les habitudes d’Alexandre d’honorer les dieux célèbres quand l’un de leurs sanctuaires se trouvait sur sa route. Cependant, aucun autre historien antique ne fait allusion à cette rencontre du grand-prêtre Josué et d’Alexandre. Ce récit possède sans doute un fond de vérité mais a été embelli par la suite. Néanmoins, la pleine liberté et la protection accordées aux Juifs ont permis à la connaissance de l’Éternel de se répandre dans toute l’Asie.
Sous les successeurs d’Alexandre, Jérusalem subit plusieurs crises et la ville est momentanément occupée par les Syriens, mais elle est préservée de la destruction et devient même, sous la dynastie des Hérode, l’une des villes les plus célébrées de l’Orient.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.