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07 oct. 2026

Zacharie 7.8-14

Chapitre 7

Versets 8-9 a

On demande à une femme ayant atteint la quarantaine, pourquoi elle ne s’est jamais mariée. Elle répond : « J’ai un poêle qui fume, un chien qui gronde, un perroquet qui jure comme un charretier, et un chat qui roupille toute la journée et court la nuit, alors pourquoi me marierai-je ? Oui, évidemment, qui a besoin d’un mari pareil ? Et puis on a aussi le jeune homme qui tombe amoureux d’un appartement tout aménagé et qui, lui se marie, mais avec le four électrique, l’aspirateur, le frigo et le balai-brosse.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, de telles personnes ne sont pas rares. Ces comportements fous, transposés dans le domaine religieux, pourraient décrire la façon dont les colons juifs adorent l’Éternel. Oh, ils suivent bien les rites du judaïsme, mais seulement pour la forme, sans conviction. Il n’est donc pas étonnant que Dieu profite de la venue de délégués de la ville de Béthel pour reprocher à son peuple la tiédeur de sa dévotion et de son amour pour lui.

Le chapitre 7 décrit l’interlude historique du livre de Zacharie, interlude provoqué par l’arrivée à Jérusalem de personnalités qui viennent implorer la bénédiction de Dieu et pour poser une question religieuse précise aux prêtres et aux prophètes. En gros, ils veulent savoir s’ils doivent continuer à jeûner et à se lamenter quatre jours par an en souvenir des catastrophes qui ont frappé le royaume de Juda quand les Babyloniens ont détruit Jérusalem et le Temple, et se sont emparés de leur pays.

Je continue de lire dans le chapitre sept du livre de Zacharie.

L’Éternel adressa la parole à Zacharie en ces termes : – Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes (Zacharie 7.8-9 a).

Cette formule ou son équivalent, qui sera encore répétée deux fois (Zacharie 8.1, 18) sert à marquer les quatre différentes parties de la réponse de Dieu à la question posée par les représentants des habitants de Béthel. Ces quatre formules qui servent à introduire une réponse de l’Éternel sont liées au premier verset du chapitre sept dans lequel Zacharie précise la date à laquelle il a reçu ces quatre révélations.

Ici, le prophète donne le deuxième message de l’Éternel, la seconde partie de sa réponse. Dieu va rappeler les exhortations des anciens prophètes et surtout les menaces qu’ils ont proférées au peuple de Dieu, combien elles ont été très mal reçues et le châtiment qui a suivi. Ces paroles sont un avertissement à l’adresse des colons juifs qui sont retournés au pays de leurs ancêtres.

Verset 9

Je continue.

Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Rendez des jugements conformes à la vérité (comparez Ézéchiel 18.83), témoignez-vous mutuellement de l’amour et de la pitié (Zacharie 7.9).

Il faut que les jugements soient impartiaux, c’est à dire conformes à la vérité ; ils doivent donc être indépendants du statut social des personnes concernées, qu’elles soient pauvres ou riches. Dès le début de l’histoire du peuple d’Israël, l’Éternel lui prescrit l’abc de la conduite juste. Dans le livre de l’Exode, on lit :

Ne suis pas la majorité pour faire le mal et, si tu es appelé à témoigner dans un procès, ne te conforme pas au grand nombre pour fausser le droit. Ne favorise pas un pauvre dans un procès. Si tu rencontres le bœuf de ton ennemi ou son âne égaré, tu ne manqueras pas de les lui ramener. Lorsque tu verras l’âne de celui qui te déteste succomber sous sa charge, et que tu n’auras pas envie d’aider cet homme, aide-le quand même à délester son âne. Ne fausse pas le cours de la justice aux dépens du pauvre dans un procès. Ne te mêle pas d’une cause mensongère et ne cause pas la mort de l’innocent et du juste, car je ne tiendrai pas le coupable pour innocent (Exode 23.2-7 ; comparez Jacques 2.1-9).

Plus tard, les prophètes répètent ce que la Loi ordonne ; par exemple, Jérémie écrit :

Voici ce que dit l’Éternel : Exercez le droit et la justice ; délivrez celui que l’on exploite de l’oppresseur ! Ne maltraitez pas l’étranger, l’orphelin et la veuve ; ne commettez pas de violences envers eux ; ne tuez pas des innocents dans ce lieu (Jérémie 22.3).

Verset 10

Je continue le texte.

N’exploitez pas la veuve et l’orphelin, ni l’immigré et ceux qui sont dans le besoin, et ne tramez aucun mal les uns contre les autres (Zacharie 7.10).

Ce verset et le précédent donnent quatre exemples tests d’une vie conforme aux exigences du contrat d’alliance entre l’Éternel et son peuple. Ces ordonnances constituent aussi un bref résumé de la prédication des prophètes d’avant l’exil. On trouve aussi ces règles d’ordre moral dans le livre de l’Exode où il est dit :

Tu n’exploiteras pas l’étranger qui vit dans ton pays et tu ne l’opprimeras pas, car vous avez été vous-mêmes étrangers en Égypte. Vous n’opprimerez jamais ni la veuve ni l’orphelin (Exode 22.20-21 ; comparez Deutéronome 10.18-19).

La loi de Moïse interdit même la pensée de se venger ou de faire du mal à son prochain parce que c’est le premier pas vers l’oppression d’autrui. Le prophète Michée écrit :

Malheur à ceux qui méditent le mal et trament des méfaits tout au long de la nuit. Au point du jour, ils vont les accomplir en profitant de leur pouvoir (Michée 2.1).

Les règles de vie que l’Éternel ordonne aux colons juifs ne sont pas nouvelles, ce qui serait révolutionnaire par contre est qu’ils les observent. Mais s’ils ne s’y conforment pas, ils seront jugés comme leurs ancêtres.

Verset 11

Je continue le texte.

Mais ils ont refusé d’écouter : ils se sont rebellés et se sont bouché les oreilles pour ne pas entendre (Zacharie 7.11).

L’Éternel mentionne trois degrés de rébellion des Israélites contre lui. Premièrement, « ils ont refusé d’écouter « les prophètes ; deuxièmement, « ils se sont rebellés » contre eux. Littéralement, le mot pour « rebellés » est « retirés l’épaule ». L’image est celle d’un animal de trait qui refuse le joug, qui recule ou qui repousse le fardeau dont on veut le charger. Le prophète Osée écrit :

Comme une vache rétive, Israël est rétif (Osée 4.16 ; TOB).

Et Néhémie dit :

Tu leur as enjoint de revenir à ta Loi ; mais eux, dans leur orgueil, ils ont refusé d’obéir à tes commandements. Ils ont transgressé tes lois qui, pourtant, font vivre ceux qui les appliquent. Ils se sont montrés rebelles, se sont obstinés dans leur révolte, et n’ont rien voulu entendre (Néhémie 9.29).

Après avoir « refusé d’écouter » puis « s’être rebellés », les Israélites se sont endurcis davantage ; ils se sont bouché les oreilles pour ne pas entendre ». Littéralement « ils ont appesanties, rendu lourdes leurs oreilles ».

Verset 12 a

Le comble de cet esprit de rébellion est donné dans le verset suivant :

Ils ont rendu leur cœur aussi dur que le diamant pour ne pas entendre la Loi et les paroles que le Seigneur des armées célestes leur avait adressées par l’intermédiaire des prophètes d’autrefois qui parlaient sous l’action de l’Esprit (Zacharie 7.12 a).

Ce passage atteste l’inspiration divine des écrits des prophètes qui ont précédé Zacharie, prophètes dont il vient de rappeler quel était le fer de lance de leur prédication. C’est l’Esprit de Dieu qui les inspirait. Dans le livre de Néhémie, on lit :

Tu les as supportés pendant de longues années et, inlassablement, ton Esprit les a avertis par l’intermédiaire de tes prophètes, mais ils n’ont pas écouté (Néhémie 9.30 ; comparez 2Rois 17.13 ; Michée 3.8).

Dans le Nouveau Testament, l’apôtre Pierre aussi proclame haut et fort que les prophètes de l’Éternel sont inspirés par Dieu. Dans sa seconde épître, il écrit :

Ce n’est pas par une volonté humaine qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu (2Pierre 1.21).

Et l’apôtre Paul dans sa seconde lettre à Timothée, ajoute :

Toute l’Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, réfuter, redresser et apprendre à mener une vie conforme à la volonté de Dieu (2Timothée 3.16).

Quand sur l’ordre de l’Éternel, Zacharie écrit : « Ils ont rendu leur cœur aussi dur que le diamant », le mot pour « diamant » veut littéralement dire « qui ne peut être conquis ». À cette époque, on ne sait pas comment tailler ou graver le diamant, la plus dure des pierres.

Les deux nations israélites ont reçu la connaissance du Dieu unique et vrai, et pourtant elles ont été détruites et leurs populations déportées : le royaume des X tribus du nord par les Assyriens et le royaume de Juda par les Chaldéens. L’Éternel avait béni son peuple et les prophètes ont essayé de lui faire entendre raison, mais sans succès. Comme un animal regimbe sous le joug, les Israélites ont regimbé sous la Loi et complètement abandonné leur Dieu, un comportement hautement coupable du fait de la connaissance qu’ils avaient reçue.

Versets 12 b-13

Je continue de lire dans le chapitre 7.

Alors le Seigneur des armées célestes s’est mis dans une grande colère, et il a dit : – Puisque je les ai appelés, et qu’ils ne m’ont pas écouté, à leur tour ils appelleront, et je ne les écouterai pas (Zacharie 7.12 b-13).

Pendant des siècles, oui, des siècles, l’Éternel envoie des prophètes à son peuple pour l’exhorter, le supplier, oui, le supplier de revenir à lui. Il le menace mais en vain. Le prophète Osée qui exerce son ministère prophétique dans le royaume des X tribus du Nord écrit :

Avec leurs moutons et leurs bœufs, ils viennent chercher l’Éternel, mais ils ne le trouveront pas : il est parti loin d’eux (Osée 5.6).

Littéralement, le texte est plus corsé car il dit : « Il s’est dépouillé d’eux », donc un peu comme quand on se débarrasse d’un vêtement pouilleux.

Quand les Assyriens envahissent le royaume du Nord, les Israélites se rendent vite compte qu’ils sont faits comme des rats et que leurs idoles ne leur sont d’aucun secours. Alors ils se souviennent du Dieu de leurs ancêtres et invoquent l’Éternel, mais leur hypocrisie leur vaut une fin de non-recevoir parce que Dieu s’est détourné d’eux depuis longtemps.

Le nom de Jérémie a donné « jérémiade » en français parce que ce prophète a pleuré et pleuré sur le malheur de son peuple, les Israélites du royaume de Juda. Pendant 40 ans, au nom de l’Éternel il les exhorte, les met en garde, les menace mais en vain. Déjà, au tout début de son ministère, il leur adresse les reproches suivants :

Ils disent à du bois : “ Tu es mon père ! ” et à la pierre : “ Toi, tu m’as mis au monde ! ” Ils m’ont tourné le dos, ne m’ont pas regardé en face. Mais au jour du malheur, ils disent : “ Lève-toi, sauve-nous ! ” (Jérémie 2.27). Pourquoi m’intenter un procès ? Vous vous êtes tous révoltés contre moi, l’Éternel le déclare. J’ai frappé vos enfants, mais c’est peine perdue ! Car ils n’ont pas voulu accepter la leçon. Vous avez mis à mort par l’épée vos prophètes comme un lion destructeur. Gens d’aujourd’hui, voyez ce que dit l’Éternel : Suis-je pour Israël une terre déserte, un pays de ténèbres ? Pourquoi mon peuple dit-il donc : “ Nous errerons où nous voulons, et nous ne voulons plus avoir affaire à toi ” ? (Jérémie 2.29-31).

Jérémie répète inlassablement des paroles semblables et il supplie son peuple de revenir à l’Éternel pendant 40 ans, jusqu’à ce que le jugement dont il a menacé les habitants de Juda soit exécuté. Dieu a été patient pendant 40 ans et les habitants de Juda ont eu 40 ans pour se repentir, mais en vain.

Que ce soient les Israélites du nord ou ceux du sud, ils ne valent pas mieux les uns que les autres. À cause de leur rébellion, diverses catastrophes s’abattent sur le peuple de Dieu. Dans leur détresse, ils crient à l’Éternel pour être délivrés mais c’est trop tard, car les uns et les autres ont dépassé le point critique de non-retour. C’est comme si Dieu devenu dur d’oreille disait : « Quoi ? Je ne vous entends pas ». Finalement, le couperet divin tombe et les menaces se changent en de terribles réalités. Le royaume des X tribus du Nord est détruit le premier, puis ce fut le tour du royaume de Juda.

Israël a été puni selon la loi du talion : il s’est détourné de son Dieu et Dieu lui a rendu la pareille. Un proverbe dit :

J’ai appelé et vous m’avez résisté, j’ai tendu la main et personne n’y a prêté attention (Proverbes 1.24).

Ésaïe qui prophétise dans le royaume de Juda écrit :

Je vous destine au glaive, et vous vous courberez pour passer tous à l’abattoir, puisque j’ai appelé et que vous ne m’avez pas répondu, et puisque j’ai parlé et que vous ne m’avez pas écouté, puisque vous avez fait ce que je trouve mal, et que vous vous êtes complus dans ce qui me déplaît (Ésaïe 65.12). Je choisirai aussi de les abandonner à leurs caprices, et je les frapperai des malheurs qu’ils redoutent, puisque j’ai appelé et que personne n’a répondu, oui, puisque j’ai parlé et que personne n’a écouté, puisqu’ils ont fait ce que je trouve mal, et qu’ils se sont complus à ce qui me déplaît (Ésaïe 66.4).

Le châtiment qui a frappé le peuple d’Israël atteindra également tous ceux qui d’une manière ou d’une autre choisissent de se détourner de Jésus-Christ. Quand ils sont dans la détresse, beaucoup de gens se découvrent soudainement une âme religieuse et implorent Dieu, au cas où il existerait. Certes, le Créateur est miséricordieux ; si un homme ou une femme s’humilie devant lui et est prêt à s’amender, il l’écoutera car il ne dédaigne pas « un cœur brisé et contrit » comme l’écrit l’auteur du psaume 51 (v 19). Mais si quelqu’un cherche seulement un répit passager, à sortir de la fournaise du moment, Dieu ne l’écoute pas car il ne se laisse pas manipuler par le sentimentalisme religieux des hypocrites.

J’ai souvent essayé de parler du Sauveur à plusieurs membres de ma famille, mais sans grand succès. On me prend pour une sorte d’illuminé et on ne me laisse pas parler. Oui, mais en attendant ils meurent les uns après les autres, et aujourd’hui ceux qui sont dans l’au-delà ne doutent plus ni de l’existence ni du châtiment de Dieu (Jacques 2.19). Ils savent qu’ils ont commis la plus grande faute qu’un être humain puisse faire en refusant d’entendre comment être sauvé. Maintenant c’est trop tard et ils devront continuer à exister pour l’éternité avec leurs regrets.

Je suis à la fois très attristé, bien sûr, mais aussi furieux de ce qu’ils ont refusé de m’écouter. Il reste encore beaucoup de personnes de ma famille pour qui le glas n’a pas sonné. « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir », et ils peuvent donc encore accepter le Sauveur. Mais pour l’instant, ils ne sont pas mieux disposés à l’égard de Jésus-Christ que ceux qui les ont précédés dans l’au-delà.

Versets 13-14

Je finis de lire le chapitre sept du livre de Zacharie.

Puisque je les ai appelés, et qu’ils ne m’ont pas écouté, à leur tour ils appelleront, et je ne les écouterai pas. Je les disperserai comme le ferait un ouragan parmi toutes sortes de nations qu’ils ne connaissaient pas. Ainsi, le pays est resté dévasté derrière eux ; personne n’y passait plus, personne n’y revenait. Du pays tant désiré (d’une terre de délices), ils auront fait une terre désolée (Zacharie 7.13-14 ; auteur).

L’annonce de la dispersion du peuple juif, c’est-à-dire son exil en terre étrangère, est la continuation de la menace que l’Éternel adressait aux Israélites par les anciens prophètes. Il le rappelle ici lui-même pour bien faire sentir aux colons nouvellement implantés en Terre promise, que si eux, les fils, se comportent comme leurs pères et le rejettent, lui leur Dieu, ils auront droit au même traitement qu’ont subi leurs ancêtres.

Le verbe hébreu traduit par « disperserai comme le ferait un ouragan » est dérivé du mot « tempête ». L’exil des Israélites au milieu d’une nation lointaine aux mœurs étranges et dont ils ne comprennent pas la langue est l’une des malédictions prévues en cas de rupture de l’alliance de la Loi. Dans le Deutéronome, on lit :

Un peuple que vous ne connaissez pas mangera les produits de votre terre et tout le produit de votre travail ; vous serez continuellement exploités et maltraités (Deutéronome 28.33). L’Éternel vous exilera – avec le roi que vous aurez établi sur vous – chez une nation que ni vous, ni vos ancêtres n’auront connue ; et là, vous serez asservis à d’autres dieux qui ne sont que du bois et de la pierre. Tous les peuples chez lesquels l’Éternel vous aura menés seront abasourdis de votre sort, vous serez le sujet de leurs moqueries et ils vous tourneront en dérision (Deutéronome 28.36-37). Et l’Éternel vous dispersera parmi tous les peuples d’un bout de la terre à l’autre. […] Au milieu de ces nations même, vous ne trouverez ni tranquillité ni lieu où vous installer pour mener une existence paisible. L’Éternel vous donnera là un cœur inquiet et des yeux éteints, le découragement vous rongera (Deutéronome 28.64-65).

Suite aux menaces de Dieu et à leur exécution, Zacharie écrit : « le pays est resté dévasté derrière eux ; personne n’y passait plus, personne n’y revenait », ce qui est la description d’une grande désolation (comparez Ézéchiel 35.7). Le prophète Ésaïe écrit :

Les routes sont désertes. Plus personne ne passe sur les chemins ; le dévastateur a rompu l’alliance, il méprise les villes, il n’a de respect pour personne (Ésaïe 33.8).

Ce chapitre sept de Zacharie est indigeste. Il fait penser à un gâteau infect car il se termine par : « Du pays tant désiré, ils auront fait une terre désolée » (comparez Psaumes 106.24 ; Jérémie 3.19).

Cette dernière phrase est comme une cerise véreuse sur un gâteau infect. Dieu fait retomber la faute de la destruction de la Terre promise, terre de délices, sur les Israélites eux-mêmes, car ils ont été les artisans de leur propre ruine. De toute évidence, la stupidité humaine ne connaît pas de bornes depuis que Adam et Ève ont choisi de désobéir au Créateur et ont été chassés du jardin d’Éden.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

mars 14 2025

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