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29 oct. 2026

Zacharie 14.4-8

Chapitre 14

Versets 3-4 a

Y a pas photo ! Il est sage d’éviter les gens qui ont un tempérament violent. Un proverbe dit :

Commencer une querelle, c’est ouvrir une brèche dans une digue, c’est pourquoi : abandonne tes griefs avant qu’éclate la dispute (Proverbes 17.14).

Oui, mais attention, cela ne veut pas dire qu’éviter les conflits à tout prix est toujours une bonne idée. En ce bas monde corrompu il est parfois nécessaire de se battre. C’est aussi l’avis de Dieu, qui dans les Écritures, se présente souvent comme « le Seigneur des armées célestes » ou utilise un vocabulaire guerrier.

Je continue de lire dans le chapitre quatorze du livre de Zacharie.

(Puis l’Éternel viendra combattre ces nations comme il le fait quand il combat au jour de la bataille). En ce jour-là, il posera ses pieds sur le mont des Oliviers, près de Jérusalem, du côté du levant (Zacharie 14.3-4 a).

Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, le prophète fait d’abord une déclaration d’ordre général qui correspond à l’attitude du Seigneur à travers l’histoire vis à vis de son peuple. Ensuite, il est spécifique et pointe son doigt sur le jour où Jésus reviendra pour porter secours à Jérusalem encerclée par ses ennemis, et c’est sur le mont des Oliviers qu’il descendra.

L’Ancien Testament fait quelquefois allusion à cette colline (comparez 2Samuel 15.30 ; 1Rois 11.7 ; 2Rois 23.13 où il est appelé « montagne de la destruction »), mais ce passage de Zacharie est le seul où cette colline est expressément nommée. Situé en face et à l’est de Jérusalem, le mont des Oliviers qui fait environ 1000 mètres d’altitude, est séparé de la ville sainte par une gorge profonde appelée « vallée du Cédron ».

L’Éternel reviendra à l’endroit même qu’il a quitté au moment de l’invasion babylonienne (en 587 avant Jésus-Christ). Le prophète Ézéchiel écrit :

La gloire de Dieu s’éleva du milieu de la ville et se tint sur le mont qui se trouve à l’est de Jérusalem (Ézéchiel 11.23).

Au moment de l’ascension de Jésus et alors qu’il s’élève dans les airs, dans le livre des Actes des Apôtres, on lit que les apôtres

Gardaient encore les yeux fixés au ciel pendant qu’il s’éloignait, quand deux hommes vêtus de blanc se présentèrent devant eux et leur dirent : – Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, en redescendra un jour de la même manière que vous l’avez vu y monter. Alors les apôtres quittèrent la colline qu’on appelle mont des Oliviers, située à environ un kilomètre de Jérusalem, et rentrèrent en ville (Actes 1.10-12).

Nous arrivons maintenant à la conclusion de la bataille d’Armageddon qui a déjà été décrite dans le chapitre 12 (Zacharie 12.2-9). À partir d’ici, Zacharie nous donne d’autres détails concernant l’intervention spectaculaire de l’Éternel en la personne de Jésus le Messie, qui vient combattre pour son peuple.

Versets 4 b-5 a

Je continue le texte du chapitre 14.

Le mont des Oliviers se fendra d’est en ouest en deux parties ; une immense vallée se creusera entre les deux. Une moitié du mont reculera au nord, l’autre moitié au sud (SEM). Vous fuirez alors dans la vallée de mes montagnes (Zacharie 14.4 b-5 a ; LSG).

Dans les Écritures, il est fréquent que Dieu fasse sentir sa présence par un tremblement de terre et par les montagnes qui s’effondrent (comparez Juges 5.5 ; Psaumes 68.9 ; Nahum 1.5 ; 1Rois 19.11). Il en est de même ici où l’événement décrit rappelle la manifestation de l’Éternel sur le mont Sinaï. En effet, au moment où Dieu, c’est-à-dire Jésus le Messie, posera ses pieds sur le mont des Oliviers, celui-ci se fendra et les deux moitiés ainsi formées se déplaceront vers le nord et le sud, tout comme autrefois les eaux de la mer Rouge se sont retirées d’un côté et de l’autre.

La vallée ainsi miraculeusement formée va de Jérusalem à la plaine du fleuve Jourdain. Cette voie permettra aux habitants de Jérusalem de fuir la ville suite à un tremblement de terre, ce qui est précisé dans le verset suivant. Ils ne fuiront donc pas devant leurs ennemis, ce qui n’aurait guère de sens puisque l’Éternel s’est spécialement déplacé pour venir détruire les armées en guerre contre Israël.

Tout porte à croire que cette vallée nouvellement créée est hospitalière et bien nivelée, avec tapis rouge pour ainsi dire, parce qu’elle sert de voie royale pour fêter l’arrivée du Seigneur, et c’est aussi là que Jésus rencontrera son peuple qui s’y sera réfugié, tandis que l’Éternel règle ses comptes avec ses ennemis.

Alors que cette vallée est une oasis de paix, partout ailleurs c’est la guerre. Les armées ennemies tiennent toujours Jérusalem dans un étau mais elles sont en très mauvaise posture car non seulement elles ont affaire avec Dieu qui s’est jeté dans la mêlée pour ainsi dire, mais elles doivent avancer dans un terrain très difficile car les abords de Jérusalem sont très accidentés.

Si on va à l’est en direction de Jéricho, il faut passer des montagnes ; les chemins sont rocailleux et se font donc à dos d’ânes. En direction du sud, c’est à dire vers Bethlehem, on monte et on descend sans arrêt, un peu comme sur le manège appelé « chenilles ». Même chose en direction du nord ou de l’ouest où le paysage est tellement valloné qu’il ressemble à des montagnes russe.

Tout ça pour dire que dans leurs chars de combat, les ennemis du peuple de Dieu n’ont guère de contact visuel les uns avec les autres. Alors, et comme je l’ai déjà dit, étant donné que tous leurs moyens de communication sophistiqués sont devenus mystérieusement inutilisables, ils se trouvent dans un brouillard complet, ce qui crée le plus grand chaos et la plus grande panique de toutes les guerres que le monde a connues.

Verset 5 a, b

Je continue le texte de Zacharie.

Vous fuirez alors dans la vallée de mes montagnes, car la vallée des montagnes s’étendra jusqu’à Atzel ; vous fuirez comme vous avez fui devant le tremblement de terre, au temps d’Ozias, roi de Juda (Zacharie 14.5 a, b ; LSG).

« La vallée des montagnes » est celle que Dieu vient de créer. Le mot « Atzel » signifie « côté, voisinage ». Il s’agit probablement de Beth-Haëtsel, un village qui n’apparaît pas dans les livres historiques mais que mentionne le prophète Michée (Michée 1.1). Il devait se trouver quelque part au pied du versant est du mont des Oliviers, donc très proche de Jérusalem.

Le peuple de Dieu quitte précipitamment Jérusalem tout comme les Israélites se sont enfuis à toutes jambes  « devant le tremblement de terre, au temps d’Ozias, roi de Juda » qui a eu lieu vers 750 avant Jésus-Christ. Certains exégètes juifs considèrent que cette catastrophe fut un jugement de Dieu contre Ozias parce qu’une fois devenu puissant, le texte dit que : « son cœur se gonfla d’orgueil, ce qui entraîna sa perte. Il fut rebelle à l’Éternel son Dieu car il pénétra dans son Temple pour offrir des parfums sur l’autel des parfums » (2Chroniques 26.16) alors que seuls les prêtres descendants de Lévi ont le droit d’assumer cette fonction.

Ce tremblement de terre est mentionné dans le livre d’Amos (Amos 1.1) et paraît avoir laissé une trace profonde dans l’imagination et le souvenir du peuple élu, comme c’est le cas encore aujourd’hui pour ceux qui subissent des tragédies semblables. Par exemple, on se souvient que trop bien du tremblement de terre qui a décimé Port-au-Prince, la capitale d’Haïti en 2010, une catastrophe qui en plus fut suivie d’une épidémie de choléra. On n’a pas oublié non plus le tsunami de 2004 dans l’océan Indien.

Ces tragédies sont récentes, cependant, parfois on entend encore des allusions au séisme de la St-Luc qui au 14e siècle (13 octobre 1356) détruisit la ville de Bâle et une partie de l’Alsace. Parfois les malheurs s’enchaînent parce que quand ce tremblement de terre eut lieu, cela faisait huit ans que la peste noire sévissait et elle avait déjà emporté le quart des habitants, et pour faire bon poids bonne mesure, on était en pleine guerre de « Cent ans » qui ravageait l’Europe.

Il y a un autre séisme dont on entend parfois parler, celui de Lisbonne qui en 1755 (le 1er novembre) fut suivi par un tsunami et des incendies, qui détruisirent cette capitale dans sa quasi-totalité. Ce tremblement de terre est important parce que c’est le premier qui fit l’objet d’études scientifiques poussées, entraînant la naissance de la sismologie moderne.

Un dernier exemple : encore aujourd’hui, quand on fait du tourisme aux Pays-Bas, on se rend compte que les Hollandais ont été très marqués et parlent encore des inondations monstres causées par la mer du Nord, qui ravagèrent le sud-ouest du pays en 1953 (31/1-1/2/1953) et qui firent plus de 1 800 morts. Moi aussi je m’en souviens pour avoir vu des images de cette catastrophe à la télé en noir et blanc. Tout ça pour dire et montrer qu’il n’est guère surprenant que Zacharie fasse allusion à un séisme destructeur même s’il est vieux de plus de deux siècles.

La tradition juive raconte qu’au moment du tremblement de terre, « au temps d’Ozias », le peuple avait cherché un refuge du côté du mont des Oliviers. On a aussi supposé que cette tragédie est à l’origine de la division de la crête du mont des Oliviers en trois sommets.

Verset 5 c

Je continue le texte.

Puis l’Éternel mon Dieu viendra, et tous les saints avec toi (Zacharie 14.5 c ; auteur).

Dans l’Ancien Testament, le mot « saint » désigne souvent les anges qui constituent la cour royale du Seigneur du ciel et de la terre (Deutéronome 33.2).

Dans sa vision prophétique, Zacharie voit devant lui l’Éternel entouré de son cortège céleste. C’est aussi comme ça que Jésus envisage son retour. Il a dit :

Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous ses anges, il prendra place sur son trône glorieux (Matthieu 25.31).

L’apôtre Paul y fait également allusion dans sa première épître aux Thessaloniciens quand il écrit :

Qu’il (le Seigneur) affermisse ainsi vos cœurs pour que vous soyez saints et irréprochables devant Dieu notre Père au jour où notre Seigneur Jésus-Christ viendra avec tous ses anges (1Thessaloniciens 3.13).

La mention d’anges accompagnant le Seigneur montre qu’il ne s’agit pas d’une manifestation divine ordinaire comme il y en a eu dans l’histoire d’Israël, mais d’un événement exceptionnel et unique. Le prophète annonce ici l’apparition suprême de l’Éternel qui va clore la destinée du peuple de Dieu et des nations de la terre. Et c’est exactement ce qui va se produire quand le Seigneur reviendra pour exercer sa vengeance sur ses ennemis et instaurer son royaume de mille ans (Apocalypse 19.11-21).

Nous arrivons maintenant à la dernière ligne droite de la prophétie, et elle est consacrée à l’établissement du royaume de Dieu sur terre. Au cœur de cette section, Zacharie affirme :

En ce jour-là, l’Éternel sera roi de toute la terre. En ce jour-là, l’Éternel sera le seul Dieu et on le priera lui seul (Zacharie 14.9).

Cette déclaration est faite au milieu de profonds changements des lois naturelles qui nous gouvernent. Au début du millénium, Dieu va effectuer en Palestine et sans doute sur toute la terre des transformations radicales au niveau de la lumière, du climat et de la topographie.

Verset 6

Je continue le texte.

En ce jour-là, les luminaires se contracteront et ne donneront plus de lumière (Zacharie 14.6 ; auteur).

Même si nous sommes à un nouveau tournant de la prophétie, la description du prophète se rattache à la délivrance du peuple de Dieu du tableau précédent, auquel Zacharie ajoute de nouveaux détails. La fin du rayonnement solaire est une sorte de retour au premier jour de la création quand la lumière brillait avant que le soleil et les astres ne soient créés.

Seul le peuple de Dieu est éclairé par la présence du Messie (Ésaïe 60.19 ; Apocalypse 21.23) tandis que le reste de la Palestine et peut-être même du monde est dans les ténèbres (Joël 4.15 ; Ésaïe 13.10 ; Matthieu 24.29 ; Apocalypse 6.12, 13).

Verset 7

Je continue le texte.

Ce jour sera unique, il est connu de l’Éternel, il ne sera ni jour ni nuit, mais au moment du soir, la lumière brillera (Zacharie 14.7 ; auteur).

Ici, il me faut faire une remarque au sujet des amilléniaristes dont le gros de la troupe est presbytérien. Ces amis et frères n’arrivent pas à croire que le Seigneur va établir un règne physique de mille ans sur terre. Bien qu’au verset précédent ils prennent les mots « luminaires et lumière » dans leur sens littéral, dans ce verset-ci ce n’est plus le cas et « ce jour » devient l’espérance », « la nuit » devient « l’adversité, la calamité, la détresse et l’affliction », et « la lumière » devient « la délivrance et le salut ». Étonnant !

« Ce jour » dont parle Zacharie est à prendre littéralement ; c’est le jour tel que nous l’entendons mais il est sans pareil pour plusieurs raisons. Au niveau spirituel, le caractère particulier de ce jour, sa raison d’être, son importance, et le moment de son apparition ont été décidés par l’Éternel et sont connus de lui seul.

Au niveau naturel et physique, « ce jour » n’est pas composé d’une partie lumière et d’une partie nuit mais c’est une sorte de pénombre, un mélange d’obscurité et de clarté. Cette pénombre rappelle la création quand dans le livre de la Genèse, on lit :

Or, la terre était informe et vide. Les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux (Genèse 1.2).

De ce chaos surgiront une nature régénérée (Romains 8.91-22) et une nouvelle humanité (Romains 8.23-25). C’est le millénium et dans une certaine mesure, le ciel sur la terre.

Il n’y aura ni jour ni nuit ni soir non plus, puisque c’est à ce moment de la journée que la lumière faiblit graduellement tandis que les ombres prennent le relais et la nuit s’installe petit à petit. Au moment du soir, au lieu de ténèbres, « la lumière brillera », dit Zacharie, c’est-à-dire qu’un jour éclatant se lèvera. La déclaration : « au moment du soir, la lumière brillera », fait allusion au premier jour de la création où Dieu dit :

Que la lumière soit ! Et la lumière fut (Genèse 1.3).

Cette lumière brillante annonce le nouvel ordre établit sur terre sous le règne du Messie.

Un commentateur presbytérien (W. J. Deane) auquel je me réfère souvent à cause de l’étendue de ses connaissances, conclut ce verset sept du chapitre quatorze, en disant : « Ce passage est une description symbolique de la vie de l’Église militante ; c’est ce que Jésus a prédit à ses disciples quand il leur a dit : “Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront vous aussi. Ne soyez pas troublés et n’ayez aucune crainte en votre cœur” (Jean 16.33 ; 15.20 ; 14.27). Ces passages de l’évangile selon Jean sont merveilleux à entendre, mais ils n’ont strictement rien à voir avec le verset sept du chapitre 14 de Zacharie.

Verset 8

Je continue le texte.

En ce jour-là, des eaux vives jailliront de Jérusalem et couleront, moitié vers la mer Morte, et moitié vers la Méditerranée. Il en sera ainsi l’été comme l’hiver (Zacharie 14.8).

La plus grande partie de l’année, la Palestine souffre du manque de pluie, et habituellement, les cours d’eau disparaissent pendant l’été. En conséquence, les sources, et surtout celles qui ne tarissent jamais, sont d’une importance capitale, beaucoup plus que sous nos tropiques.

On sait que Jérusalem est alors bien alimentée par plusieurs conduites d’eau et des canaux souterrains. Cependant, comme la ville est entourée de collines, il est tout à fait impossible que de l’eau puisse s’écouler de Jérusalem, comme Zacharie l’indique, sauf si la topographie des lieux est radicalement transformée, et c’est ce qui arrivera comme je l’ai déjà dit (Zacharie 14.5).

Dans les Écritures, l’eau est souvent une image de la purification qu’opère le Saint-Esprit dans une personne (Zacharie 13.1 ; Joël 4.18 ; Ézéchiel 36.25-27 ; Jean 3.5). Quant à la définition des « eaux vives », elles jaillissent d’une source ou on la tire d’un puits et donc d’une nappe souterraine. C’est une eau fraîche, pure, bonne à boire et qui est abondante toute l’année (Genèse 26.19 ; Jérémie 2.13).

Ici, les « eaux vives » représentent peut-être aussi l’œuvre vivifiante du Saint-Esprit (Jérémie 2.13), mais en premier lieu ce sont des sources d’eaux qui existeront réellement. Cette abondance d’humidité profitera à la végétation et contribuera à la fertilité du pays qui produira en grande quantité fruits et légumes en accord avec les promesses de plusieurs prophètes. Amos et Ésaïe écrivent respectivement :

Voici venir des jours, l’Éternel le déclare, où celui qui laboure et celui qui moissonne se suivront de tout près, et où le vendangeur suivra celui qui sème, où le moût coulera de toutes les montagnes, où toutes les collines en seront inondées (Amos 9.13). La terre desséchée se changera en lac, et la terre altérée en sources jaillissantes. Des roseaux et des joncs croîtront dans le repaire où gîtaient les chacals (Ésaïe 35.7 ; comparez Ésaïe 27.6 ; 35.1-3).

Le prophète Ézéchiel mentionne lui aussi ces eaux vives quand il écrit :

L’individu me ramena vers l’entrée du Temple. Et je vis que de l’eau jaillissait de dessous le seuil du Temple, du côté oriental, la façade du Temple étant à l’est, et l’eau s’écoulait du côté sud de l’édifice en passant au sud de l’autel. L’individu me fit sortir du Temple par la porte nord et m’en fit contourner l’extérieur jusqu’à la porte extérieure orientale. Je vis l’eau sourdre du côté droit de cette porte (Ézéchiel 47.1-2).

Le ciel sur la terre n’est peut-être pas pour demain mais le jour vient où il sera bel et bien établi car Dieu l’a promis.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

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