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28 oct. 2026

Zacharie 13.7-14.3

Chapitre 13

Verset 7

Quand j’écoute un orateur et qu’il passe du coq à l’âne trop souvent, j’ai du mal à suivre le cours de sa pensée et il finit par me perdre en route. On peut donc s’étonner que les prophètes de l’Éternel agissent ainsi. Mais ils ne font jamais que suivre l’esprit prophétique quand celui-ci leur donne une intuition nouvelle. C’est apparemment ce que fait Zacharie qui après avoir décrit les faux prophètes à venir, vire soudainement de bord et parle d’un tout autre personnage.

Le changement est certes dramatique, mais à y regarder de près, Zacharie ne fait que poursuivre sa pensée initiale qui est de montrer comment, à la fin des sept années de tribulation, le peuple élu sera purifié de ses péchés. La mention des faux prophètes et les incisions idolâtres qu’ils s’infligent donnent à Zacharie l’occasion d’établir un contraste entre ceux qui proclament des mensonges, et Le prophète de l’Éternel qui a été transpercé par son peuple. Je continue de lire dans le chapitre 13 du livre de Zacharie.

Épée, réveille-toi contre mon berger, le chef de mon peuple, contre l’homme puissant qui est mon compagnon, demande l’Éternel, le Seigneur des armées célestes. Va, frappe le berger : que les brebis soient dispersées ! Je porterai la main sur les petits (Zacharie 13.7 ; auteur).

« L’épée » est ici le symbole de n’importe quel moyen de donner la mort (Exode 5.21 ; 2Samuel 12.9 ; Ésaïe 27.1). Cet objet inanimé est apostrophé par le prophète qui s’adresse à lui comme s’il s’agissait d’une personne capable d’entendre et d’obéir après être sorti du sommeil dans lequel il était plongée. Le prophète Jérémie personnifie lui aussi le glaive quand il écrit :

Malheur ! Épée de l’Éternel, quand t’arrêteras-tu ? Rentre dans ton fourreau ! Calme-toi, et reste au repos ! (Jérémie 47.6).

Dans la prophétie de Zacharie, l’épée représente les Romains que Dieu va utiliser pour frapper « Le Berger ».

Le mot hébreu traduit par « compagnon » est souvent rendu par « voisin », mais il a le sens de « vis-à-vis » et sous-entend « uni ensemble par la même nature, les mêmes droits et privilèges ». La désignation : « mon compagnon », est à rapprocher des textes précédents qui font du « Berger » le représentant et l’image de l’Éternel (Zacharie 11.13 ; 12.10). Il n’y a qu’un seul personnage qui lui soit associé de cette façon, c’est celui qui a dit : « moi et le Père, nous ne sommes qu’un », ce que Jean rapporte dans son évangile (10.30).

Les commandements de l’Éternel : « Épée, réveille-toi contre mon berger […] et Va, frappe le berger : que les brebis soient dispersées ! » prouvent bien que c’est Dieu qui ordonne la mise à mort du « bon Berger », le Messie (Actes 2.23), et que cet événement dramatique est conforme à sa volonté, à la prescience de Dieu, à ce qu’il a déterminé d’avance. C’est l’Éternel et personne d’autre qui fait venir sur son compagnon le châtiment qui scelle la paix entre les hommes et Dieu. Le prophète Ésaïe écrit :

C’est pour nos péchés qu’il a été percé, c’est pour nos fautes qu’il a été brisé. Le châtiment qui nous donne la paix est retombé sur lui et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants, pareils à des brebis, chacun de nous allait par son propre chemin : l’Éternel a fait retomber sur lui les fautes de nous tous. Il a plu à Dieu de le briser par la souffrance (Ésaïe 53.5-6, 10).

Même si c’est Dieu qui décrète que son compagnon mourra transpercé, crucifié, la responsabilité d’Israël est totalement engagée car c’est le mépris coupable du peuple juif pour son Messie qui a causé sa mort. Dieu livre Israël à son aveuglement pour qu’il accomplisse le forfait suprême. Le bon Berger, le Messie, a été vendu pour trente sicles d’argent (Zacharie 11.12) avant d’être mis à mort, transpercé (Zacharie 12.10). Ce meurtre orchestré par les chefs religieux a eu pour conséquence la purification du peuple élu, c’est à dire massacré.

La dispersion du troupeau est la conséquence du coup qui frappe « le Berger ». Il faut que le Messie ait quitté la scène terrestre pour que le peuple soit livré à la catastrophe finale d’où une partie (un tiers ; Zacharie 13.8, 9) doit sortir renouvelée. Jésus cite cette parole de Zacharie quand il dit à ses disciples :

Cette nuit, ce qui m’arrivera vous ébranlera tous dans votre foi. En effet, il est écrit : Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau s’enfuiront de tous côtés (Matthieu 26.31 ; comparez Marc 14.27).

C’est effectivement ce qui est arrivé. Après l’arrestation de Jésus, Matthieu écrit que « tous les disciples l’abandonnèrent et prirent la fuite » (Matthieu 26.56 ; comparez Marc 14.49-50). Les disciples ont eu le même comportement que des rats qui fuient un navire en train de sombrer. Cette déroute est le premier accomplissement de la prophétie de Zacharie. Le second a eu lieu quelques années plus tard en l’an 70 quand les Romains détruisent Jérusalem. Le troisième accomplissement aura lieu pendant la deuxième moitié des sept années de tribulation quand l’Antichrist persécutera les Juifs (Apocalypse 12.6, 13-17).

Tout comme Zacharie, Jésus prophétise la double dispersion de la nation juive dans son discours sur le mont des Oliviers (Matthieu 24-25 ; Marc 13 ; Luc 21).

L’Éternel dit aussi : « Je porterai la main sur les petits ». En hébreu, cette expression est utilisée aussi bien dans un sens positif que négatif. Ici, elle a ces deux significations. Dans un premier temps, l’Éternel retire sa main protectrice pour laisser le jugement frapper et disperser le troupeau. Dans un deuxième temps, il porte sa main protectrice sur les humbles qui sont attachés au « Berger » afin de les délivrer de leurs ennemis. Il a déjà été question de ces « petits » quand Zacharie écrit :

Alors les brebis les plus misérables du troupeau qui m’observaient comprirent que c’était la volonté de l’Éternel (Zacharie 11.11).

Et Jésus dit à ses disciples :

N’aie pas peur, petit troupeau ! Car il a plu à votre Père de vous donner le royaume (Luc 12.32).

Versets 8-9 a

Je continue le texte du chapitre 13 de Zacharie.

Alors dans le pays entier, l’Éternel le déclare, les deux tiers des humains seront exterminés, seul un tiers survivra. Et je ferai passer ce tiers-là par le feu, oui, je l’épurerai ainsi qu’on épure l’argent. Et je l’éprouverai comme on éprouve l’or (Zacharie 13.8-9 a).

Littéralement : « la part de deux sera exterminée » ou encore « la double portion », ce qui veut dire que deux parts appartiendront à la mort (comparez 2Samuel 8.2), une déclaration plutôt lugubre, cependant, la troisième part survivra à la catastrophe. Cette idée n’est pas nouvelle car il faut qu’un petit reste passe par plusieurs jugements qui ont valeur d’épreuves de purification jusqu’à ce que les rescapés parviennent à l’état de vrai peuple de Dieu. Quand Ésaïe prophétise l’invasion de Juda et le siège de Jérusalem par les Babyloniens, il dit :

L’Éternel enverra ses habitants au loin, et le pays sera à l’état d’abandon. S’il y subsiste encore un dixième du peuple, à son tour, il sera embrasé par le feu. Mais, comme un térébinthe ou comme un chêne qui conserve sa souche, quand il est abattu, la souche de ce peuple sera une semence sainte (Ésaïe 6.12-13).

Quand c’est au tour d’Ézéchiel de prophétiser, l’Éternel lui dit :

Rase-toi la tête et la barbe. Prends ensuite une balance et fais plusieurs parts des poils et des cheveux que tu auras coupés. Quand le temps du siège sera révolu, tu en brûleras un tiers dans le feu au milieu de la ville. Tu prendras un second tiers et tu le frapperas de ton épée tout autour de la ville. Enfin, tu disperseras le dernier tiers au vent, et moi je les poursuivrai de mon épée. Cependant, tu prélèveras une petite quantité de ces cheveux et tu les serreras dans les poches de ton manteau. De ce reste, tu prendras encore une partie que tu jetteras dans le feu pour les brûler (Ézéchiel 5.1-4).

Et l’apôtre Paul écrit aux Romains : « dans le temps présent, il subsiste un reste que Dieu a librement choisi dans sa grâce » (Romains 11.5).

Quand Zacharie dit : « les deux tiers des humains seront exterminés, seul un tiers survivra », sa déclaration est spécifique, ce qui veut dire que le jugement décrit est la conséquence directe du meurtre de Jésus le Messie par les Juifs, qui portent donc la responsabilité de l’avoir fait transpercer, crucifier. Ce jugement frappera Jérusalem et les Israélites pour les punir du crime qu’ils ont commis. Le tiers restant désigne donc les Juifs qui en l’an 70 de notre ère ont survécu à la destruction de la Judée par les Romains.

Cependant, cette prophétie de Zacharie s’accomplira une seconde fois dans la deuxième moitié des sept années de tribulation, ce qui est expliqué en partie dans le chapitre suivant. Ce sera une période de grandes souffrances parce que les deux tiers du peuple juif de Palestine seront exterminés par les persécutions de l’Antichrist, mais ceux qui après cette épuration sévère sont encore debout, constitueront la partie juive du peuple de Dieu qui entrera dans le règne du Christ.

Verset 9

Je finis maintenant de lire le chapitre 13 de Zacharie.

Et je ferai passer ce tiers-là par le feu, oui, je l’épurerai ainsi qu’on épure l’argent. Et je l’éprouverai comme on éprouve l’or. Ce tiers m’invoquera et je l’exaucerai. Je dirai : “ C’est mon peuple. ” Lui, il confessera : “ L’Éternel est mon Dieu ” (Zacharie 13.9).

Comme je l’ai dit, le tiers survivant désigne, d’une part, les Juifs qui ont échappé au carnage suite à la destruction de Jérusalem par les Romains, et d’autre part, les Juifs qui échapperont aux griffes de l’Antichrist (Ézéchiel 20.33-38 : Psaumes 66.10 ; Ésaïe 48.10 ; Daniel 12.10).

Zacharie a déjà rapporté que l’Éternel a dit :

Ils tourneront leurs regards vers moi, celui qu’ils auront transpercé. Ils porteront le deuil pour lui comme on porte le deuil pour un enfant unique (Zacharie 12.10).

Il s’agit des Juifs qui sont encore debout après les persécutions de l’Antichrist. Ce sont eux dont parle l’apôtre Paul quand il écrit :

Tout Israël sera sauvé (Romains 11.26).

Avec ce tiers, l’Éternel conclura une nouvelle alliance. Ésaïe écrit :

Alors, avant qu’ils ne m’invoquent, je les exaucerai ; ils parleront encore, que j’aurai déjà entendu (Ésaïe 65.24).

Voilà pourquoi le chapitre 13 se termine par :

Je dirai : “ C’est mon peuple. ” Lui, il confessera : “ L’Éternel est mon Dieu ” (Zacharie 13.9).

Chapitre 14

Introduction

Nous arrivons maintenant au chapitre 14, le dernier du livre de Zacharie. En quelques traits de plume et par des images dramatiques, le prophète décrit plusieurs événements marquants qui concernent le milieu, la seconde moitié et la fin des sept années de tribulation. Le plus important de ces événements est sans conteste la venue triomphante du Roi divin qui vient établir son règne de mille ans sur terre. Ce retour glorieux est l’accomplissement des prophéties qui annoncent que le Messie viendra s’asseoir sur le trône de David, et de plusieurs psaumes dits « messianiques » qui sont les psaumes 93, 96-97, et 99 qui décrivent l’universalité du règne terrestre du Seigneur.

Le chapitre quatorze commence par la mise à sac et à sang de Jérusalem ; il continue avec le retour du Messie qui anéantit les ennemis de son peuple et instaure son royaume. Puis, Zacharie décrit l’adoration de Dieu à Jérusalem pendant le millénium.

Verset 1

Je commence de lire le chapitre 14.

Voici venir le jour de l’Éternel, où l’on partagera dans tes murs mêmes le butin pris chez toi (Zacharie 14.1).

Cette prise de Jérusalem aura lieu « le jour de l’Éternel » qui commence par sept années de tribulation, qui sont suivies par les mille ans de règne de Jésus le Messie. Il est évident que cette mise à sac de la ville sainte a lieu pendant la Tribulation, mais à quel moment ? Précédemment, Zacharie a dit que quand on assiégera Jérusalem, l’Éternel fera d’elle « une coupe enivrante pour tous les peuples ». Zacharie ajoute :

Voici : en ce jour-là, je ferai de Jérusalem une très lourde pierre pour toutes les nations et quiconque essaiera de la lever de terre en sera tout meurtri. Tous les peuples du monde uniront leurs efforts pour la combattre. En ce jour-là – l’Éternel le déclare – je frapperai les chevaux d’épouvante et leurs cavaliers de folie. Mais sur le peuple de Juda, je veillerai, alors que je rendrai aveugles tous les chevaux des autres peuples (Zacharie 12.3-4 ; comparez Joël 4.2).

Ce jugement sera exécuté au moment où les armées coalisées des nations encerclent Jérusalem dans un étau. Cependant, la suite du texte montre que cette scène de guerre a lieu juste avant le retour du Messie. Dieu intervient, les ennemis se détruisent entre eux et les survivants tombent devant les Israélites qui les exterminent.

Ici, par contre, dans la prophétie de Zacharie de ce début du chapitre 14, la situation sur le terrain est entièrement différente, pratiquement l’inverse de ce que je viens de lire et d’expliquer. La question est donc de savoir quand Jérusalem sera conquise et entièrement soumise au point où ses ennemis occuperont les lieux en toute tranquillité sans redouter une quelconque offensive, et quand, sans la moindre crainte, ils se partageront le butin à l’intérieur de ses murs.

Verset 2

Je continue le chapitre 14.

J’assemblerai alors l’ensemble des nations devant Jérusalem pour la combattre. La ville sera prise, les maisons saccagées et les femmes violées, la moitié de la ville partira en exil, mais le reste du peuple ne sera pas éliminé de la ville (Zacharie 14.2).

Cette scène avec ses horreurs habituelles est malheureusement banale. Elle correspond à ce que les prophètes Ésaïe et Jérémie avaient annoncé et qui s’est produit quand les Babyloniens ont investi Jérusalem au 6e siècle avant Jésus-Christ (en 587-586 ; Ésaïe 13.16 ; Lamentations 5.11). Cette scène de violence et de pillage se répétera vers le milieu de cette période appelée Tribulation, juste avant que l’Antichrist ne se proclame Dieu dans le Temple de Jérusalem, un événement que le prophète Daniel et Jésus ont appelé « l’abominable profanation » (Daniel 9.27 ; 11.31 ; Matthieu 24.15).

Au vu des Israéliens qui aujourd’hui ont constamment le couteau entre les dents et sont prêts à se battre, on peut se demander comment ils accepteront une telle situation. La seule explication est qu’à cette époque encore lointaine, ils seront désarmés, probablement en échange de la paix avec leurs voisins. C’est l’Antichrist qui garantira alors leur sécurité. Comment ce monstre arrivera à les convaincre, nul ne le sait. En tout cas, se croyant sous la protection de l’Antichrist, les Israéliens seront sans méfiance. Alors et comme je l’ai dit, vers le milieu des sept années de tribulation, l’Antichrist retourne sa veste et attaque l’État juif. Lâchement trahie et n’ayant pas le temps de réagir, Jérusalem tombe comme un fruit mûr dans le giron de ses ennemis. La moitié des habitants sont alors déportés, probablement dans des camps d’extermination, façon nazie, mais l’autre moitié est emprisonnée sur place façon « ghetto de Varsovie ». L’histoire a une tendance à se répéter parce que la race humaine est trop stupide pour tirer la leçon de ses malheurs afin qu’ils ne se reproduisent pas.

Verset 3

Je continue le texte.

Puis l’Éternel viendra combattre ces nations comme il le fait quand il combat au jour de la bataille (Zacharie 14.3).

En hébreu, cette phrase est une déclaration d’ordre général. Comme beaucoup d’auteurs sacrés, Zacharie a très certainement à l’esprit la traversée de la mer Rouge et la destruction de l’armée du pharaon, un événement souvent mentionné dans les Écritures parce qu’il est l’archétype, l’exemple type de la délivrance d’origine divine (Jérémie 16.14-15 ; 23.8 ; Habaquq 3.15 ; Zacharie 10.11).

Le prophète fait d’abord allusion aux nombreuses victoires miraculeuses accordées par l’Éternel à son peuple tout au long de son histoire. Cependant, la suite du texte montre que ses paroles s’appliquent au retour du Messie. Et comme c’est souvent le cas dans les visions des prophètes, les événements se télescopent mais ne s’enchaînent pas dans le temps. Il peut y avoir de longs intermèdes entre des événements que le prophète voit pourtant bout à bout.

En d’autres mots, la déclaration de Zacharie comme quoi l’Éternel viendra combattre n’est pas directement rattachée à la mise à sac de Jérusalem décrite précédemment. Par contre, c’est exactement ce qui arrivera pendant la campagne d’Armageddon à la fin des sept années de tribulation.

Voici un scénario possible : au moment de la prise de Jérusalem, les habitants épargnés réalisent que leur vie ne tient qu’à un fil. Alors, et comme pour les guerres d’indépendance (1948-1949) la guerre du Sinaï (1956) la guerre des six jours (1967) et la guerre du Yom Kippour (1973), les Juifs de Palestine bénéficient de l’aide et du soutien de leurs frères de la diaspora. Ils se réarment en secret et vers la fin des sept ans de tribulation, ils harcellent l’occupant en menant contre lui une guérilla efficace, un peu comme la famille de prêtres « les Maccabées » contre les Grecs installés en Syrie. Alors, l’Antichrist devenu fou de rage par cette rébellion contre son autorité, agira comme Titus avec ses légions ; il lancera ses armées qui envahiront la Palestine. Les blindés fonceront directement sur Jérusalem sans se préoccuper des autres villes et villages d’Israël. Mais juste au moment où Jérusalem est sur le point de tomber, « l’Éternel viendra combattre ces nations comme il le fait quand il combat au jour de la bataille » (Zacharie 14.3). Le prophète Ésaïe écrit :

L’Éternel sortira comme un héros, comme un homme de guerre, il réveillera son ardeur, il poussera des cris de guerre, des cris terribles, et il triomphera contre ses ennemis (Ésaïe 42.13 ; comparez Josué 23.3 ; Juges 4.15 ; 1Samuel 7.10 ; 2Chroniques 20.15 ; Apocalypse 19.11-21).

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

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