Psaumes 46.1 – 48.15
Psaume 46
Introduction
Lorsqu’une tuile nous tombe sur la tête, je crois qu’on a tous nos rituels qui permettent d’absorber une partie du choc initial. Un tel cherchera un soutien chez telle personne, un autre dans un livre ou en occupant son esprit. Le Psaume 46 fait partie de ces poèmes qui ont réconforté bon nombre de croyants de toutes les époques quand ils étaient en proie à de vives persécutions. Il a inspiré Martin Luther lorsqu’il a écrit le fameux hymne : Ein feste Burg ist unser Gott, qui est connu en anglais sous le titre : A mighty fortress is our God et en français : C’est un rempart que notre Dieu.
Le Psaume 46 célèbre Dieu en tant que refuge, et Jérusalem comme un lieu de sécurité, car l’Éternel y a établi sa demeure. Ce cantique a probablement été rédigé après la défaite d’une coalition de 3 peuples : les Moabites, les Ammonites et les Édomites qui ont attaqué Josaphat, roi de Juda, car dans le psaume 46 comme dans le second livre des Chroniques (20.19), il est dit que les fils de Qoré se sont levés pour louer l’Éternel.
Le psaume 46 oppose l’assurance du secours de Dieu aux attaques les plus furieuses des ennemis d’Israël, un thème qu’on retrouve d’ailleurs dans le psaume 48, tandis que le 47 célèbre le règne victorieux de Dieu sur toute la terre. Si on considère ces 3 psaumes comme un groupe cohérent, on peut mieux comprendre leur message prophétique.
Le Psaume 46 a trois strophes :
- la première décrit la confiance du fidèle au milieu des plus grands bouleversements,
- la deuxième, ce que Dieu représente pour les siens,
- et la troisième, la destruction des armées ennemies.
Verset 1
Je commence à le lire.
Au chef de chœur. Un cantique des Qoréites sur Alamoth (Psaumes 46.1).
Dans une prophétie d’Ésaïe qui concerne la vierge Marie, on lit :
Voici, Almah sera enceinte et elle enfantera un fils, elle lui donnera pour nom : Emmanuel (Ésaïe 7.14).
Alamoth est le pluriel de Almah, qui ne se trouve que 7 fois dans l’Ancien Testament et qui désigne toujours une jeune fille vierge en âge de se marier. Les jeunes filles du psaume participent au culte soit en jouant du tambourin, soit en chantant avec leurs voix de soprano hautes et fraîches. Elles expriment la joie que provoqua la grande victoire grâce à l’Éternel.
Chaque fois que les Israélites étaient délivrés de leurs ennemis, ils chantaient. Après avoir traversé la mer Rouge à pied, il est écrit que les enfants d’Israël entonnèrent le Cantique de Moïse et que c’est sa sœur qui dirigeait le chant. Je lis le passage du livre de l’Exode :
Miryam, la prophétesse, sœur d’Aaron, prit le tambourin, et toutes les femmes la suivirent en dansant et en jouant des tambourins. Miryam entonna, en réponse aux Israélites : Chantez pour l’Éternel : il a fait éclater sa gloire, il a culbuté dans la mer le cheval et son cavalier (Exode 15.20-21).
Versets 2-4
Je continue le Psaume 46.
Dieu est pour nous un rempart, il est un refuge, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Aussi, nous ne craignons rien quand la terre est secouée, quand les montagnes s’effondrent, basculant au fond des mers (SEM). Que les flots mugissent et jettent leur écume, Que les montagnes soient ébranlées par le soulèvement des vagues … (BBA).— Pause (Psaumes 46.2-4).
La dernière phrase reste inachevée. A l’origine, elle devait certainement se terminer par le refrain du psaume qu’on trouve plus loin dans deux versets et qui est : « Avec nous est l’Eternel des armées célestes ; nous avons pour citadelle le Dieu de Jacob ». Il est probable qu’une négligence de copiste a fait disparaître ce refrain qui est toujours suivi d’une pause.
Les versets 2-4 rappellent ce qui s’est passé lors du déluge. Même si la terre est secouée par de grands soubresauts, le croyant trouve refuge en Dieu, son rempart contre tout cataclysme. Ce fut le cas de Noé qui fut sauvé par l’arche que l’Éternel lui avait ordonné de construire. Quand survient la détresse, celui qui a foi en Jésus peut l’invoquer et attendre son secours. Dans le psaume 34, le psalmiste écrit :
Goûtez et constatez que l’Éternel est bon ! Oui, heureux l’homme qui trouve son refuge en lui (Psaumes 34.9).
Verset 5
Je continue le Psaume 46.
Il est un cours d’eau dont les bras réjouissent la cité de Dieu qui est la plus sainte des demeures du Très-Haut (Psaumes 46.5).
Peut-être que le psalmiste pense aux eaux de la source de Guilhôn alimentant Jérusalem en eau potable même en cas de siège, grâce à un conduit souterrain creusé par le roi Ézéchias (2Rois 20.20). Cette rivière paisible et bienfaisante contraste avec les eaux turbulentes et dévastatrices précédemment décrites. Elle symbolise les bienfaits dont Dieu arrose son peuple. Ce sont ses bénédictions mais aussi sa Parole qui donnent la vie. Dans le premier Psaume, il est écrit que l’homme béni prospère comme un arbre planté près d’un courant d’eau ; il donne toujours son fruit lorsqu’en revient la saison. Son feuillage est toujours vert ; tout ce qu’il fait réussit (Psaumes 1.3).
Et dans le dernier chapitre de l’Apocalypse, on lit :
L’ange me montra le fleuve de la vie, limpide comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l’Agneau (Apocalypse 22.1).
Versets 6-8
Je continue le Psaume 46.
Dieu réside au milieu de la cité de Dieu, elle n’est pas ébranlée, car Dieu vient à son secours dès le point du jour. Des nations s’agitent et des royaumes s’effondrent : la voix de Dieu retentit, et la terre se dissout. Avec nous est l’Éternel des armées célestes ; nous avons pour citadelle le Dieu de Jacob. — Pause (Psaumes 46.6-8).
Cette pause donne aux adorateurs le temps de réaliser qu’ils n’ont rien à craindre, car l’Éternel des armées célestes, le Tout-Puissant et souverain Dieu de l’univers est à leur côté. Les nations qui s’agitent et s’effondrent annoncent les événements de la fin des temps quand le retour du Seigneur Jésus mettra fin au règne de l’Antichrist.
Versets 9-10
Je continue.
Venez, contemplez tout ce que l’Éternel fait, les ravages qu’il opère sur la terre. Il fait cesser les combats jusqu’aux confins de la terre, l’arc, il l’a brisé et il a rompu la lance, il a consumé au feu tous les chars de guerre (Psaumes 46.9-10).
La victoire remportée sur les ennemis de l’Éternel dans une circonstance particulière est le gage du triomphe ultime du Messie sur toutes les nations liguées contre lui. Le livre de Daniel décrit la dernière grande bataille de l’Histoire humaine appelée Armageddon en ces termes :
À l’époque de ces rois-là, le Dieu des cieux pulvérisera tous ces royaumes-là et mettra un terme à leur existence, mais lui-même subsistera éternellement. C’est ce que représente la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans l’intervention d’aucune main humaine pour venir pulvériser le fer, le bronze, l’argile, l’argent et l’or (Daniel 2.44-45).
Versets 11-12
Je finis le Psaume 46.
“ Arrêtez ! dit-il, reconnaissez-moi pour Dieu. Je domine sur les nations, je domine sur la terre. ” Avec nous est l’Éternel des armées célestes. Nous avons pour citadelle le Dieu de Jacob. — Pause (Psaumes 46.11-12).
La morale de ce psaume est évidente : puisque l’Éternel est Dieu, que tous les hommes cessent leurs tentatives d’usurper sa souveraineté. Nous vivons dans un monde où, tel un animal tentaculaire, le mal règne partout. Des tragédies ont constamment lieu aux 4 coins de la planète. Le psalmiste nous exhorte à tourner les regards vers l’Éternel, car c’est lui le maître universel souverain et incontestable de toute la terre. Son triomphe et sa domination ne font aucun doute et seront le but final de l’histoire de l’humanité.
Psaume 47
Introduction
Nous arrivons au Psaume 47, le second du groupe de trois qui anticipe et esquisse le millénium, le règne à venir de Jésus sur terre. Dans le psaume 46, Dieu est descendu du ciel avec puissance pour délivrer son peuple. Dans le 47, il règne. Ce psaume est une description admirable de l’attente d’Israël qui est aussi celle de l’Église, du règne universel du Seigneur. Dans ce cantique, le psalmiste élève la spiritualité des adorateurs au-dessus de tout intérêt personnel ou national pour percer un des mystères du conseil divin. Il leur fait entrevoir le règne de l’Éternel triomphant comme le Roi de toute la terre, et pas seulement du peuple élu.
Ce psaume est lu dans la liturgie des synagogues lors de la célébration du Nouvel An juif, et dans certaines églises pour la fête de l’Ascension.
Versets 1-2
Je commence à le lire.
Au chef de chœur. Un psaume des Qoréites. Vous, tous les peuples, battez des mains ! Poussez vers Dieu des cris de joie ! (Psaumes 47.1-2).
En Israël, on battait des mains lors de grandes réjouissances nationales comme au moment de l’intronisation d’un nouveau roi. Quand Jésus reviendra pour régner, ce sera la plus grande célébration que le monde a jamais connue.
Ça me fait dire que quelquefois nos églises sont trop austères. Qu’une certaine solennité règne dans les cimetières où nul ne bouge et personne ne dérange quiconque, ça se comprend. Mais les églises devraient être des lieux d’expressions d’une joie simple et spontanée comme celle qu’on rencontre chez les psalmistes.
Versets 3-5
Je continue le texte.
Car l’Éternel, lui, le Très-Haut, est redoutable, c’est le grand Roi du monde entier. Il nous soumet bien des nations, beaucoup de peuples nous obéissent. Il a choisi pour notre part un territoire qui fait la gloire de tout Jacob son bien-aimé. — Pause (Psaumes 47.3-5).
Toute rébellion a été matée ; les guerres fratricides sont terminées. Le Messie a pris place sur son trône à Jérusalem et règne sur la terre entière. Toutes les nations lui sont soumises et Israël occupe la place d’honneur au milieu des peuples. Le moment est venu de chanter cet hymne dont je lis des extraits :
Jésus, ton règne sans pareil,
S’étendra sur la terre,
Dans tous les lieux où le soleil
Fait briller sa lumière.
Tous les peuples vont accourir
À ton appel suprême,
Et tous les rois voudront t’offrir
Leur propre diadème !
Tous nos maux seront oubliés !
Plus de crimes, de haines !
Tous nos pleurs seront essuyés.
Plus de deuils, ni de peines. (Ailes de la Foi, 561:1, 2, 4)
Versets 6-9
Je continue le Psaume 47.
Dieu est monté jusqu’à son temple au milieu des acclamations. Il est monté au son du cor, lui, l’Éternel. Chantez à Dieu ! Chantez ! Chantez pour notre roi ! Oui, chantez-le ! Car Dieu est Roi du monde entier. Chantez pour lui de tout votre art ! C’est Dieu qui règne sur les nations. Il a pris place sur son saint trône (Psaumes 47.6-9).
Ce psaume semble faire allusion à une cérémonie célébrant la venue de Dieu au Temple de Jérusalem. Sous l’Ancienne Alliance, l’Éternel est symboliquement présent dans le coffre sacré qui représente son trône à partir duquel il gouverne le monde.
L’exhortation « Chantez » est répétée 5 fois. Les peuples des 4 coins de la terre et l’humanité tout entière sont appelés à louer l’Éternel. Peut-être que 4 chœurs de Lévites se répondent les uns aux autres alors que le 5e « Chantez » est une invitation globale adressée au monde entier.
Verset 10
Je finis ce Psaume 47
Les chefs des peuples se réunissent : ils sont ton peuple, Dieu d’Abraham ! Ils sont à Dieu, tous les boucliers de cette terre, car il domine tout l’univers (Psaumes 47.10).
Les boucliers ont à la fois un sens propre et figuré. Dans le Proche-Orient ancien, les rois aimaient décorer leur palais de boucliers luxueux ou avec ceux qu’ils avaient pris à l’ennemi et rapportés dans leur capitale. Les boucliers conquis sont le symbole de la victoire remportée. Plus tard, les puissances européennes, Napoléon en tête, feront la même chose avec les drapeaux des vaincus. Mais par ailleurs, les boucliers sont aussi une métaphore qui désigne les rois parce qu’ils sont censés protéger leur peuple.
Le psalmiste imagine toutes les nations représentées par leur roi, réunies au pied du trône de l’Éternel et lui rendant hommage. Ce sont elles qui dorénavant forment le peuple du Dieu d’Abraham. La mention du patriarche est comme le tampon « payé » au milieu de la page. Dieu a tenu la promesse qu’il avait faite à Abraham, selon laquelle tous les peuples de la terre seraient bénis à travers lui. La déclaration : « Dieu d’Abraham ! » donne à ce cantique un accent majestueux. Un chant de triomphe est souvent exclusif et même méprisant à l’égard des vaincus, mais pas ici. Le privilège d’Israël s’est effacé devant la présence du roi céleste. Le psalmiste exprime sa joie à la pensée que Dieu est glorifié et que l’humanité tout entière prend part aux bénédictions promises à Abraham.
Psaume 48
Introduction
Nous arrivons au Psaume 48 qui est très proche du 46e et le 3e de la trilogie qui célèbre le règne de Dieu. C’est un hymne à Jérusalem, la ville du Grand Roi, délivrée soudainement par la seule puissance de l’Éternel, de la coalition de trois peuples qui s’exterminent mutuellement.
Versets 1-2
Je commence à le lire.
Cantique. Un psaume des Qoréites. Oui, l’Éternel est grand ! Il est bien digne qu’on le célèbre dans la cité de notre Dieu, sur sa montagne sainte (Psaumes 48.1-2).
Le psalmiste crie sa joie et son admiration à l’Éternel. L’union intime de Dieu avec Israël est soulignée par l’expression « notre Dieu » ici, au milieu et à la fin du psaume.
Verset 3
Je continue.
Colline magnifique, joie de la terre entière, montagne de Sion. À l’extrême nord est la cité du grand roi ! (Psaumes 48.3).
La ville est glorifiée parce que Dieu en a fait sa résidence. Dans la mythologie païenne, les dieux s’assemblent sur une montagne située à l’extrême nord pour présider aux destinées du monde. Le nord est aussi mentionné dans une prophétie d’Ésaïe qui décrit en langage poétique le coup d’État monté par Satan contre l’Éternel quand il a voulu prendre le pouvoir. Je la lis :
Tu disais en ton cœur : “ Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône bien au-dessus des étoiles divines. Je siégerai en roi sur la montagne de l’assemblée des dieux, à l’extrême nord. Je monterai au sommet des nuages, je serai semblable au Très-Haut ” (Ésaïe 14.13-14).
Versets 4-7
Je continue le psaume.
Dieu, dans les palais de Sion, se fait connaître comme une forteresse. Car voici que les rois s’étaient tous réunis ; et ensemble, ils marchaient contre elle. Quand ils l’ont vue, pris de stupeur, épouvantés, ils se sont tous enfuis ! Un tremblement les a saisis sur place, pareil à la douleur de la femme en travail (Psaumes 48.4-7).
Au niveau historique, ce passage fait référence aux ennemis héréditaires d’Israël : les Moabites, les Ammonites et les Édomites, coalisés contre le royaume de Juda au temps du roi Josaphat (2Chroniques 20). Les 3 armées se rassemblèrent à une vingtaine de kilomètres au sud de Jérusalem. Débouchant des solitudes arides, ils aperçoivent au nord, fermant l’horizon, la citadelle de Sion. Frappés de stupeur surnaturelle, ils se sont d’abord enfuis puis Dieu a jeter la zizanie dans leurs rangs et ils se sont entre-tués. Le récit historique n’indique pas le moyen dont Dieu s’est servi pour jeter la zizanie dans leurs rangs.
Au niveau prophétique, ce passage fait peut-être référence à la fin du règne de 1 000 ans de Jésus-Christ sur terre lorsque Satan sera remis en liberté. Je cite le passage :
Lorsque les mille ans seront écoulés, Satan sera relâché de sa prison et il s’en ira tromper les nations des quatre coins de la terre, Gog et Magog. Il les rassemblera pour le combat, en troupes innombrables comme les grains de sable au bord des mers. Les nations s’ébranlèrent sur toute la surface de la terre et investirent le camp du peuple de Dieu et la ville bien-aimée de Dieu. Mais un feu tomba du ciel et les consuma (Apocalypse 20.7-9).
Verset 8
Je continue le psaume.
On aurait dit le vent de l’est quand il vient fracasser les navires de Tarsis (Psaumes 48.8).
Au temps de Josaphat, la flotte commerciale israélite fut détruite par une tempête (1Rois 22.49). Le psalmiste compare les armées en déroute aux navires brisés par la tempête.
Verset 9
Je continue.
Ce que l’on nous avait dit, nous l’avons vu nous-mêmes dans la cité de l’Éternel, le Seigneur des armées célestes, dans la cité de notre Dieu. Dieu la rend forte pour toujours. — Pause (Psaumes 48.9).
Un des articles de la foi d’Israël est que Jérusalem subsistera toujours. L’expérience personnelle du psalmiste confirme ce qui a été transmis par les anciens concernant les actions extraordinaires de Dieu en faveur de son peuple. Jérusalem a été délivrée et le sera encore.
Versets 10-15
Je finis le Psaume 48.
Nous méditons sur ton amour, ô Dieu, au milieu de ton temple ! Comme ta renommée, ta louange a atteint les confins de la terre. Dans ta main droite abondent de justes bienfaits. Que l’on jubile sur la montagne de Sion. Que, dans les villes de Juda, on soit dans l’allégresse, à cause de tes jugements ! Tournez tout autour de Sion et longez son enceinte, comptez ses tours ! Admirez ses remparts, et passez en revue chacun de ses palais pour pouvoir annoncer à la génération suivante que ce Dieu-là est notre Dieu à tout jamais, et éternellement, Il nous fera surmonter tous les dangers de mort qui pourront encore survenir (Psaumes 48.10-15).
Dieu vient d’opérer une délivrance merveilleuse digne d’être racontée aux générations à venir et jusqu’aux extrémités de la terre. Le peuple, auparavant transi de peur, est invité à sortir de ses retraites pour considérer que l’enceinte de la ville est sans brèche, ses tours sont intactes et ses palais n’ont souffert aucun dommage. La toute-puissance et l’amour de Dieu sont les biens les plus précieux qui soient. Que je me le tienne pour dit !
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.