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04 juil. 2024

Psaumes 16.1 – 17.15

Psaume 16

Introduction

Écrivain et moraliste du 18e siècle, Sébastien Chamfort est l’auteur de « Pensées, maximes et anecdotes ». C’est lui qui a dit :

Il y a deux choses auxquelles il faut se faire sous peine de trouver la vie insupportable : ce sont les injures du temps et les injustices des hommes.

Qu’est-ce que c’est bien dit ! Concernant les injustices, je veux rappeler une fois encore la béatitude de Jésus qui est :

Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés (Matthieu 5.6).

Le jour vient où le Créateur lui-même, en la personne du Christ, exercera la justice sur cette terre. Pour ce qui est des injures du temps, là aussi, Dieu apportera la solution. C’est la résurrection des justes grâce à Jésus qui est le premier-né d’entre les morts.

Dans le Psaume 16, David annonce prophétiquement que le Christ ne demeurera pas dans le séjour des morts.

Verset 1

Je commence à le lire.

Un cantique de David à mi-voix. Ô Dieu, protège-moi, car je me réfugie en toi (Psaumes 16.1).

Ce psaume de confiance en Dieu de David, est appelé Miktâm. Ce terme a un sens incertain. C’est aussi le titre des Psaumes 56 à 60 et du cantique d’Ézéchias (Ésaïe 38.9). Martin Luther traduit Miktâm par un bijou d’or. Selon lui, le Psaume 16 est le bijou d’or de David. Il célèbre la joie du croyant qui est en communion avec Dieu par la foi. Mais c’est aussi et surtout un psaume messianique.

Comme souvent, les circonstances de sa rédaction ne nous sont pas données. Cependant, les paroles : « je me réfugie en toi », montrent que David a dû faire face à un grand danger qui pèse sur lui, ce qui correspond à une bonne partie de sa vie. Cependant, il est convaincu que parce qu’il a foi en l’Éternel, il peut aussi lui faire confiance devant la mort, ce qui fait que bien vite, sa supplication se transforme en action de grâces.

La première exclamation de David “ Ô Dieu, protège-moi, car je me réfugie en toi ” résume en quelque sorte tout le psaume. Ces paroles me font aussi penser à la sérénité qu’on voit Jésus posséder dans l’Évangile. Il a choisi de son propre chef de venir habiter parmi nous qui sommes des créatures tout à fait insignifiantes et il se sait sous la protection de Dieu, son Père, et rien, n’y personne ne peut l’ébranler. Jésus a pleine confiance en Dieu. Il dort du sommeil du juste alors qu’il traverse le lac de Galilée en furie et que le bateau commence à prendre l’eau. Chaque fois qu’on veut l’arrêter avant son heure, un événement a lieu qui empêche le sinistre projet de se réaliser.

La plupart de ceux qui occupent des positions d’autorité le font sentir autour d’eux. Ils se prennent pour des dieux alors que nous avons été créés inférieurs aux anges. Jésus en tant que Fils de Dieu est le Tout-Puissant ; il n’avait pas à s’abaisser jusqu’à nous, mais il l’a fait délibérément afin de nous racheter de la perdition éternelle. Il a dit :

Si je suis descendu du ciel, ce n’est pas pour faire ce qui me plaît, mais pour accomplir la volonté de celui qui m’a envoyé (Jean 6.38).

Verset 2

Je continue le Psaume 16.

Je dis à l’Éternel : “ Tu es mon Dieu, et tout mon bonheur est en toi ” (Psaumes 16.2).

Voilà une magnifique confession de foi. Quand nos enfants étaient petits, il est arrivé que l’un vienne spontanément vers moi ou monte sur mes genoux et me dise : « Tu es mon papa ». Je dois dire que ça fait chaud au cœur. Je pense que beaucoup de parents ont la joie de faire une telle expérience. Or nous avons un Dieu qui est aussi le Père céleste des croyants.

Lorsqu’on regarde un ciel étoilé bercé par la douceur de l’été, ou qu’on se promène sur la plage le long d’une mer bleu azur, ou qu’on traverse en montagne des champs de fleurs multicolores, je suis persuadé que le Créateur désire qu’on reconnaisse sa main créatrice et qu’on aille à lui pour lui dire comme David : « tu es mon Dieu, mon Seigneur et mon Père céleste ». Le psalmiste, surtout le doux chantre d’Israël, a le cœur tendre à l’égard de l’Éternel.

Versets 3-4

Je continue le texte.

Je suis plein d’affection pour ceux qui t’appartiennent dans le pays : ce sont eux qui sont vraiment nobles. Mais tous ceux qui s’affairent à chercher les faveurs des autres dieux rendent leur vie très pénible. Je ne prendrai pas part à leurs sanglantes libations. Le nom de ces idoles ne passera pas sur mes lèvres (Psaumes 16.3-4).

David se plaît en compagnie des hommes pieux, de ceux qui vénèrent l’Éternel. Il ne désire pas la compagnie de ceux qui adorent les fausses divinités, les plus répandues étant Dagôn et Baal. Même à l’époque de David, les idolâtres comptent non seulement les habitants de Palestine, mais aussi une partie des Israélites. Ils pratiquent des sacrifices d’animaux et humains. La libation est une offrande de liquide, souvent du vin qui est répandue sur l’autel.

L’expression « sanglantes libations » a une connotation très négative, un acte abominable aux yeux de Dieu sans qu’on sache précisément de quoi il s’agit.

Tout le monde pratique une religion même si c’est l’athéisme qui n’est rien d’autre qu’une forme d’idolâtrie, et chacun a son credo même s’il consiste à ne pas en avoir un. Soit j’adore l’Éternel, soit je me courbe devant autre chose. Être religieux fait partie de la condition humaine et je ne peux pas davantage y échapper que je peux sortir de ma peau.

Versets 5-6

Je continue le Psaume 16.

L’Éternel est ma part et la coupe où je bois. Tu garantis la part que j’ai reçue. Tu en as fixé les limites, c’est un jardin plein de délices, mon héritage est merveilleux (Psaumes 16.5-6).

Dans le psaume 84, le psalmiste déclare :

Un jour dans tes parvis vaut bien mieux que mille ailleurs (Psaumes 84.11).

David se compare ici aux prêtres et aux Lévites qui reçoivent une part de l’animal sacrifié en guise de nourriture. Mais lui a découvert que les aspirations de son cœur sont comblées en Dieu qui est aussi le meilleur de tous les héritages. En d’autres mots, David dit : « Yaweh est tout ce dont j’ai besoin pour satisfaire ma faim et ma soif ».

Ces paroles s’appliquent surtout à Jésus-Christ, qui bien plus que David a manifesté qu’il est pleinement satisfait dans la communion avec son Père. Par exemple, l’évangile selon Jean rapporte qu’il a dit à ses disciples :

J’ai, pour me nourrir, un aliment que vous ne connaissez pas. — Ce qui me nourrit, c’est d’accomplir la volonté de celui qui m’a envoyé et de mener à bien l’œuvre qu’il m’a confiée (Jean 4.32, 34).

Verset 7

Je continue le texte.

Oui, je loue l’Éternel qui me conseille, qui, la nuit même, éclaire ma pensée (Psaumes 16.7).

Le mot traduit par louer est en fait bénir, et signifie dire du bien de quelqu’un. Cette expression apparaît ici pour la première fois, mais sera répétée plus de 20 fois dans le psautier.

Versets 8-11

Je finis le Psaume 16.

Je garde constamment les yeux fixés sur l’Éternel. Puisqu’il est près de moi, rien ne peut m’ébranler. Mon cœur est dans la joie, mon âme exulte d’allégresse, mon corps repose dans la paix : tu ne m’abandonneras pas dans le séjour des morts, tu ne laisseras pas ton serviteur fidèle se décomposer dans la tombe. Tu me feras connaître le chemin de la vie : plénitude de joie en ta présence, et bonheur éternel auprès de toi (Psaumes 16.8-11).

Lorsque David a rédigé ce psaume, il est convaincu que l’Éternel ne le laissera pas mourir, mais le délivrera du danger qui menace sa vie.

Le jour de la Pentecôte, ce passage tiré de l’ancienne version grecque fut au centre du message de l’apôtre Pierre. Une partie est également citée par l’apôtre Paul. Tous deux l’ont attribué à la résurrection du Christ, attestant par là que David prophétisait. Je lis les paroles de Pierre :

En effet, David dit de lui : Je voyais le Seigneur constamment devant moi, car il est à ma droite pour que je ne vacille pas. Voilà pourquoi mon cœur est plein de joie et pourquoi mes paroles débordent d’allégresse. Même mon corps reposera dans l’espérance ; tu ne m’abandonneras pas dans le séjour des morts : tu ne laisseras pas ton serviteur fidèle se décomposer dans la tombe. Car tu m’as fait connaître le chemin de la vie, et tu me combleras de joie en ta présence. Mes frères, permettez-moi de vous parler franchement : le patriarche David est bel et bien mort et enterré. Son tombeau existe encore près d’ici aujourd’hui. Mais il était prophète et il savait que Dieu lui avait promis, sous la foi du serment, de faire asseoir sur son trône un de ses descendants. Ainsi il a entrevu par avance la résurrection du Christ, et c’est d’elle qu’il parle en disant que Dieu ne l’abandonnera pas dans le séjour des morts et qu’il ne laissera pas son corps se décomposer (Actes 2.25-31).

Quand Pierre a prononcé ces paroles, il se trouve dans la partie du Temple d’où on peut voir le mausolée de David. Peut-être a-t-il même pointé son doigt dans sa direction. Je continue le message de Pierre :

Dieu a ressuscité des morts ce Jésus dont je parle : nous en sommes tous témoins. Ensuite, il a été élevé pour siéger à la droite de Dieu. Et maintenant, comme Dieu l’a promis, il a reçu du Père l’Esprit Saint et il l’a répandu sur nous. C’est là ce que vous voyez et entendez. En effet, David, lui, n’est pas monté au ciel, mais il a dit : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Viens siéger à ma droite jusqu’à ce que j’aie mis tes ennemis comme un escabeau sous tes pieds. Voici donc ce que tout le peuple d’Israël doit savoir avec une entière certitude : Dieu a fait Seigneur et Messie ce Jésus que vous avez crucifié (Actes 2.32-36).

Je lis maintenant le texte que l’apôtre Paul a emprunté à David :

Tu ne laisseras pas ton serviteur fidèle se décomposer dans la tombe. Pourtant, David, après avoir en son temps contribué à l’accomplissement du plan de Dieu, est mort et a été enterré aux côtés de ses ancêtres. Il a donc connu la décomposition. Mais celui que Dieu a ressuscité ne l’a pas connue (Actes 13.35-37).

Le psaume 16 est tout à fait extraordinaire parce qu’il prophétise l’attitude de Jésus à l’égard de son Père pendant son séjour sur terre, sa mort, sa résurrection, son ascension, son retour dans la gloire et sa place à la droite de l’Éternel dans les cieux.

Psaume 17

Introduction

Nous arrivons au Psaume 17 qui est l’un de trois psaumes intitulés : « Prière de David » (17 ; 86 et 142) mais celle-ci est la plus spontanée. Alors que dans le psaume précédent David se sait menacé, sa situation n’est pas sans issue et il demeure serein grâce à sa foi. Ici par contre, le danger est beaucoup plus pressant et il demande à Dieu d’intervenir sans tarder. Sa prière est donc un appel au secours. David et sa troupe sont encerclés par l’armée de Saül (1 Samuel 23.26) et sur le point d’être capturés quand un incident inattendu leur permet de s’échapper. N’importe quel croyant qui est dans l’angoisse à cause d’une épreuve, peut s’identifier à ce psaume et prier Dieu comme David l’a fait.

Versets 1-2

Je commence à le lire.

Prière de David. Ô Éternel, écoute ma requête, car elle est juste ! Entends mon cri ! Prête l’oreille à ma prière, car ce sont des lèvres sincères qui te l’adressent. Viens prononcer le jugement qui me rendra justice. Que tes yeux voient où est le droit (Psaumes 17.1-2).

C’est avec droiture de cœur que David crie à l’Éternel afin d’obtenir justice. Mais à y réfléchir, ce dont nous avons surtout besoin de la part de Dieu, c’est sa miséricorde. Et il est prêt à me l’accorder sans compter dans la mesure où je suis sincère avec lui.

Verset 3

Je continue.

Examine mon cœur, éprouve-moi la nuit, tu ne trouveras rien à reprocher en moi. Ma bouche ne va pas au-delà de mes pensées (Psaumes 17.3).

David se dit intègre dans le sens qu’il est honnête avec lui-même et avec Dieu ; il ne trompe personne. Il est entendu que dans l’absolu, il se sait pécheur et coupable devant Dieu, mais là n’est pas la question. La seule personne qui fut absolument pure et sans faute est Jésus-Christ. Dans sa première épître, l’apôtre Pierre écrit :

Il n’a commis aucun péché, ses lèvres n’ont jamais prononcé de mensonge. Injurié, il ne ripostait pas par l’injure. Maltraité, il ne formulait aucune menace… mais remettait sa cause entre les mains du juste Juge (1Pierre 2.22-23).

Versets 4-5

Je continue le texte.

Et quoi que fassent les autres hommes, tes paroles m’ont retenu loin de la route des violents. Je me suis tenu fermement à la voie que tu as tracée, et mes pieds n’ont pas chancelé (Psaumes 17.4-5).

David obéit à la Loi de Dieu. Il n’est pas méchant sans raison comme ceux qui le poursuivent. La violence tire son origine de Satan qui est le Destructeur. Nous savons qu’il est dans le monde qui est son territoire de chasse. Dans sa première épître, Pierre compare le diable à un lion rugissant qui cherche sa prochaine proie à dévorer (1Pierre 5.8). En conséquence, la plus grande vigilance s’impose afin de ne pas tomber dans l’un de ses pièges.

Versets 6-7

Je continue.

Dieu, je t’appelle car tu réponds. Prête l’oreille, écoute-moi ! Fais resplendir l’immensité de ton amour, toi qui délivres des agresseurs ceux qui se réfugient auprès de toi ! (Psaumes 17.6-7).

La prière de David s’appuie sur le fait qu’il sait que Dieu l’aime et qu’il vient au secours de ceux qui se réfugient en lui. Ce qui est vrai pour le psalmiste l’est tout autant pour nous.

Verset 8

Je continue.

Garde-moi comme la prunelle de tes yeux ! Cache-moi bien à l’abri sous tes ailes (Psaumes 17.8).

La prunelle est la partie la plus délicate de l’œil et c’est instinctivement que l’homme la protège. Ces deux images sont utilisées plusieurs fois dans les Écritures, surtout celle qui compare la protection de Dieu aux soins de l’oiseau qui étend ses ailes sur sa couvée. On la trouve surtout dans les psaumes mais aussi dans les paroles de Moïse qui écrit :

Vous avez vu vous-mêmes comment j’ai traité les Égyptiens et comment je vous ai portés comme sur des ailes d’aigles pour vous faire venir jusqu’à moi. L’Éternel a trouvé son peuple dans une steppe aride, dans un désert inhabité, rempli de hurlements. Il a pris soin de lui et il l’a éduqué. Il a veillé sur lui comme sur la prunelle de ses yeux ! Il fut comme un grand aigle qui pousse sa couvée à prendre son envol, planant sur ses aiglons, puis, étendant ses ailes, il les a pris et portés sur ses ailes (Exode 19.4 ; Deutéronome 32.10-11).

Jésus aussi a utilisé cette image. Je le cite :

Ah, Jérusalem ! Jérusalem ! toi qui fais mourir les prophètes et qui tues à coups de pierres ceux que Dieu t’envoie ! Combien de fois j’ai voulu rassembler tes habitants auprès de moi comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes ! Mais vous ne l’avez pas voulu ! (Matthieu 23.37).

Versets 9-12

Je continue le Psaume 17.

Cache-moi bien à l’abri sous tes ailes, loin des ennemis qui s’acharnent contre moi et loin des méchants qui me cernent ! Ils s’enferment dans leur graisse, l’arrogance est dans leur bouche. Ils sont sur mes pas. Déjà, ils m’encerclent, ils sont aux aguets pour me terrasser, comme un lion prêt à déchirer, comme un fauve en embuscade (Psaumes 17.9-12).

David énumère les fautes de ses ennemis afin de motiver Dieu à intervenir. Ceux qui le poursuivent sans relâche s’enferment dans leur graisse ; ils sont insensibles à la pitié. Ils sont hautains et ont des projets meurtriers à son égard.

Verset 13

Je continue.

Lève-toi, ô Éternel, et affronte-les ! Fais-les s’incliner et délivre-moi de tous ces méchants par ton glaive ! (Psaumes 17.13).

David prie instamment, car il est en très mauvaise posture. Dans l’Ancien Testament, l’Éternel utilise souvent des armées étrangères pour punir un peuple, y compris les deux royaumes d’Israël. Celui du Nord fut conquis par les Assyriens et celui du Sud par les Babyloniens. Le roi Saül qui encercle David est fréquemment en guerre contre les nations avoisinantes et quand il était attaqué, il devait abandonner ses poursuites pour défendre sa couronne, et c’est exactement ce qui s’est passé ici.

Verset 14

Je continue.

Délivre-moi de ces hommes par ta puissance, Éternel ! Que des hommes de ce monde je sois délivré ! Voilà leur part pendant cette vie ! Gave-les de ce que tu tiens en réserve ! Que leurs fils en soient rassasiés et qu’ils en laissent pour leurs nourrissons (Psaumes 17.14).

Comme il est fréquent dans les passages d’imprécation, David prononce un jugement contre ceux qui essaient de le tuer ainsi que sur leurs descendants. C’est ce qui arriva au roi Saül dont les descendants au fil du temps furent tous détruits.

Verset 15

Je finis le Psaume 17

Quant à moi, déclaré juste, je contemplerai ta face et, à mon réveil, je pourrai me rassasier de la vue de ton image (Psaumes 17.15).

David ne parle pas d’un réveil ordinaire. Il sait qu’il descendra dans les ténèbres tant redoutées du Séjour des morts, mais il ne doute pas qu’il en sortira pour voir Dieu.

Le mot traduit par image est utilisé pour exprimer la façon dont Moïse voyait Dieu. Je cite le passage :

Moïse est fidèle dans toute ma maison. C’est de vive voix que je lui parle, et il voit l’Éternel de façon visible (Nombres 12.7-8).

David évoque ici une relation particulièrement intime avec Dieu. Ses paroles concernent sa vie terrestre où il pratique la communion avec l’Éternel, mais elles s’appliquent aussi à n’importe quel croyant de l’Ancienne ou de la Nouvelle Alliance, qui déclaré juste, a le privilège d’être introduit dans la présence de Dieu. Le chrétien qui est dans l’épreuve peut calquer sa situation sur celle de David. Une parole d’encouragement de l’épître aux Hébreux résume assez bien le Psaume 17. Je la cite :

Approchons-nous donc du trône du Dieu de grâce avec une pleine assurance. Là, Dieu nous accordera sa bonté et nous donnera sa grâce pour que nous soyons secourus au bon moment (Hébreux 4.16).

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

déc. 11 2023

Émission du jour | 1 Chroniques 17.16 – 19.19

Promesses à la maison de David

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