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24 oct. 2024

Proverbes 5.15 – 6.15

Chapitre 5

Introduction

Une citerne, une fontaine, un ruisseau ont en commun qu’ils contrôlent et canalisent l’eau afin qu’elle ne se répande pas partout et n’importe comment. Or, l’une des caractéristiques de la création est que Dieu a placé des limites et mis des balises aussi bien dans le monde physique que moral. Si l’homme rebelle veut ruer dans les brancards, mal lui en prendra.

Verset 15

Je continue à lire dans le chapitre 5 du livre des Proverbes.

Bois les eaux de ta propre citerne et celles qui jaillissent de ta fontaine (Proverbes 5.15).

Le maître de sagesse s’adresse au jeune homme et fait allusion à son épouse légitime. Par ces paroles, il recommande implicitement et très positivement le mariage et bien sûr la fidélité. L’homme doit prendre femme, faire alliance avec elle et l’aimer. Qu’elle, et elle seule, assouvisse sa « soif », c’est à dire les désirs sexuels. Ceux-ci doivent être contrôlés et canalisés dans le mariage, et pas ailleurs.

Versets 16-17

Je continue.

Tes sources doivent-elles se disperser au-dehors et tes ruisseaux dans les rues ? Qu’ils soient pour toi seul ! Ne les partage pas avec des étrangers (Proverbes 5.16-17).

Si le mari est infidèle, sa femme va peut-être le devenir à son tour. Donc, s’il veut qu’elle n’aille pas chercher ailleurs ce qu’il ne lui accorde pas, il faut qu’il accomplisse à son égard les devoirs que mentionne l’apôtre Paul dans sa première épître aux Corinthiens (7.3). S’il ne boit pas lui-même les eaux de sa source, elles risquent de se répandre au dehors et étancher la « soif » d’autres hommes. Ça semble cru de parler ainsi, mais les Écritures appellent toujours un chat, un chat; elles regardent la réalité en face, disent toujours la vérité telle qu’elle est et les auteurs sacrés ne prennent pas de détours.

Versets 18-19

Je continue.

Que ta source soit bénie ! Fais ta joie de la femme que tu as aimée dans ta jeunesse, biche charmante, gracieuse gazelle, que ses seins t’enivrent toujours et que tu sois sans cesse épris de son amour ! (Proverbes 5.18-19).

Dans les écrits des poètes orientaux, de telles images qui célèbrent les grâces de la femme, sont courantes. Si vous trouvez que le texte devient un peu trop, disons, osé, sachez que vous n’avez encore rien entendu. Le Cantique des cantiques écrit par Salomon est encore bien plus explicite.

Le maître de sagesse exhorte son disciple à faire des seins de son épouse légitime une source constante de plaisirs. Dans un texte parallèle, Salomon exprime son admiration en ces termes :

Comme deux faons, sont tes deux seins, comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles et qui vont paître parmi les lis (Cantique des cantiques 4.5).

Les Écritures affirment sans équivoque possible que l’amour sexuel dans le mariage est sanctifié par Dieu. Dans les milieux chrétiens et pendant des siècles, la sexualité est un tabou, ce qui veut dire que la conduite à tenir vis à vis des relations physiques intimes dans le mariage est qu’elles n’existent pas ou sont grossières, une chose vilaine dont les gens spirituels et de bonne famille se gardent bien de parler.

Certains Puritains en particulier par leur attitude prude et leur hypocrisie ont fait du tort aux Écritures et au christianisme, tout autant que les pseudoscientifiques moyenâgeux qui au nom de Dieu prétendaient que la terre est plate et que le soleil tourne autour d’elle. Aujourd’hui encore, les croyants essaient de recoller les morceaux des uns et des autres.

Il faut bien savoir que selon l’enseignement des Textes Sacrés, la sexualité est bonne au même titre que le reste de la création. Ce moyen de procréation ne s’est pas fait tout seul, par hasard, mais a été conçu par le Créateur lui-même. Dans sa sagesse, il a décidé que c’est le meilleur moyen de sceller l’intimité entre un homme et une femme afin qu’ils soient un. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :

Le mariage est sacré ; que tous le respectent et l’honorent comme tel et que les époux restent fidèles l’un à l’autre, car le jugement de Dieu frappera les débauchés et les adultères (Hébreux 13.4).

La famille chrétienne doit être une image du lien intime entre Jésus-Christ et l’Église universelle. Or, il n’y a pas de relation qui soit d’un niveau plus saint et plus élevé que celle-là. Dans sa première épître, l’apôtre Pierre écrit :

Maris, comprenez vos femmes, ayez beaucoup d’égards pour elles dans votre vie commune ; souvenez-vous qu’elles ont une nature plus fragile et plus délicate. Traitez-les avec respect et honneur, parce qu’elles hériteront avec vous, la vie que Dieu vous accorde dans sa grâce (1Pierre 3.7).

L’idée que le fruit défendu dans le jardin d’Éden est la relation sexuelle est une aberration et une absurdité. Le péché d’Adam et Ève est qu’ils ont délibérément désobéi à un ordre bien précis de Dieu.

Au travers des siècles, l’hypocrisie et le comportement irrationnel de l’Église officielle à l’égard du sexe ont fini par déclencher une forte opposition de la part des jeunes en particulier, contre toute la tradition judéo-chrétienne, le bon et le mauvais. Ils n’ont pas fait de quartier et ils ont tout balancé par-dessus bord, le bébé et l’eau du bain.

Le balancier culturel a oscillé d’une extrémité à l’autre, et dans les années soixante est apparue une « nouvelle moralité » qui prône une sexualité débridée, l’amour libre, avec des slogans bien connus, comme : « faites l’amour et pas la guerre ». Le résultat est qu’aujourd’hui, la famille traditionnelle est au pilori et même montrée du doigt comme un modèle dépassé. Les masses médias et l’industrie cinématographique ont une grosse part de responsabilité dans la désacralisation du mariage. On en est maintenant arrivé à la situation paradoxale où, d’une part, les couples homme-femme vivent ensemble sans se marier, et d’autre part, les homosexuels font des pieds et des mains pour avoir ce droit et l’obtiennent parce que comme chacun sait, il est interdit d’interdire. Mais alors, puisque toute base de moralité a été rejetée, je me demande bien au nom de quoi ou de qui la justice poursuit encore les prédateurs de tous ordres, les pédophiles et autres tortionnaires sadiques. Bon, je vais m’arrêter là parce que l’hypocrisie de nos dirigeants politiques me prend la tête.

Verset 20

Je continue de lire dans le chapitre 5 du livre des Proverbes.

Pourquoi, mon fils, t’amouracherais-tu de la femme d’autrui ? Pourquoi donnerais-tu tes caresses à une inconnue ? (Proverbes 5.20).

Par deux questions de rhétorique, le maître de sagesse souligne la folie de se laisser séduire par une femme adultère. Le roi Salomon, qui s’est constitué un immense harem de 1 000 femmes, sait de quoi il parle, quand il écrit :

J’ai découvert quelque chose de plus amer que la mort : c’est une femme dont le cœur est un guet-apens et un piège, et dont les bras sont des chaînes. Celui qui jouit de la faveur de Dieu échappera à ses griffes, mais le pécheur s’y laissera prendre (Ecclésiaste 7.26).

Versets 21-23

Je finis de lire le chapitre 5 du livre des Proverbes.

L’Éternel surveille toute la conduite d’un homme, il observe tout ce qu’il fait. Celui qui fait le mal sera pris à ses propres méfaits, il s’embarrasse dans le filet tissé par son propre péché. Il périra parce qu’il n’a pas su se discipliner, il s’égarera enivré par l’excès de sa folie (Proverbes 5.21-23).

Le mot « folie » est utilisé 21 fois dans le livre des Proverbes. L’adultère est une folie. Maintenant que le maître de sagesse a énuméré ses conséquences tragiques, cela devrait suffire pour que tout homme l’évite comme la peste. Pourtant, il donne encore d’autres raisons de s’abstenir d’un tel acte stupide.

D’abord, Dieu sait tout. Ceux qui jurent comme un charretier en prenant son nom en vain, tentent de restreindre leur ardeur linguistique quand ils sont en présence d’une personnalité, un prêtre ou un pasteur en particulier. Mais il faut bien garder à l’esprit que où que je sois et quoi que je fasse, Dieu m’entend et me voit. Il examine à la loupe, pourrait-on dire, la conduite de chacun et mes fautes cachées sont étalées devant lui. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :

Nulle créature n’échappe au regard de Dieu, tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte (Hébreux 4.13).

Celui qui méprise ses commandements, loin d’être libre, devient captif de ses vices. Ceux qui sont accrochés à la drogue ou à l’alcool sont bel et bien asservis et esclaves de leurs travers ; et l’amour libre rend esclave du sexe. Outre la possibilité toujours omniprésente de contracter une maladie vénérienne, le libertinage a souvent un effet dévastateur sur l’équilibre mental d’une personne. Les adultères doivent faire face à leur conscience, les sentiments de remords, de culpabilité, d’infidélité et de trahison. Or, le corps humain n’est pas équipé pour porter de tels fardeaux qui empêchent de dormir et affaiblissent le système immunitaire, ce qui peut engendrer des maladies graves et même la mort. C’est sûr que les films édulcorés hollywoodiens ne montrent pas trop cet aspect des choses.

Et pour finir, sachez aussi que nous avons tous un rendez-vous avec le juge de toute la terre et ce jour, vous et moi aurons des comptes à rendre ; nous serons évalués selon Sa justice. Les hommes croient que leurs fautes n’ont pas d’importance, qu’elles passent inaperçues ou que Dieu n’en tient pas compte.

Grave erreur ! Tout est répertorié dans les cieux, même les plus petites entorses et chacun devra payer l’addition dans sa totalité. Pour cette raison, dans sa miséricorde, Dieu a envoyé son fils Jésus pour mourir sur la croix, afin d’effacer mon ardoise et la vôtre, si vous l’acceptez comme votre Sauveur.

Chapitre 6

Introduction

Nous arrivons au chapitre 6 où le maître donne des exemples de comportements sages. Ces conseils relatifs à plusieurs situations de vie sont une parenthèse au milieu d’une série d’avertissements face au danger que représente la femme adultère séductrice. Lorsqu’il reprendra le fil de son discours, le maître répétera au jeune homme les avertissements qu’il lui a déjà donnés, mais avec des images très parlantes.

Versets 1-3

Je commence à lire ce chapitre.

Mon fils, si tu t’es porté garant des dettes de ton prochain, si tu t’es engagé pour autrui en topant dans la main, si tu t’es lié par les paroles de ta bouche, si tu es pris aux paroles de ta bouche, alors, vite, mon fils, fais ce que je te dis pour te désengager, car tu t’es livré toi-même au pouvoir d’autrui (Proverbes 6.1-3).

À cette époque, on ne signe pas une reconnaissance de dettes comme aujourd’hui, mais on fait « tope là », un geste qui correspond à une poignée de main et qui est souvent accompagné d’une promesse orale. Dès lors, la transaction ou l’accord est conclu.

Aujourd’hui, on emprunte de l’argent qu’on rembourse avec intérêts et dont le taux est plus ou moins élevé selon le marché et les risques encourus par le prêteur. Plus la banque est sûre de recouvrer ses fonds et meilleures sont les conditions qu’elle consent à son client.

En Israël, on prête aussi de l’argent, mais c’est pour aider quelqu’un dans le besoin et non pour faire fructifier son avoir comme aujourd’hui. Mais avec le développement du commerce extérieur, il semble que la pratique de la caution se soit développée en Israël et qu’on peut se porter responsable de la dette d’autrui. Le créancier protège donc son capital en demandant à quelqu’un de se porte garant de la dette encourue. Mais selon le maître de sagesse, celui qui consent à un tel arrangement met pratiquement sa tête sur le billot, car il se livre corps et biens entre les mains du créancier au cas où la dette n’est pas remboursée. Preuve en est l’expression : « si tu t’es engagé pour autrui », qui signifie littéralement : « si tu as donné tes mains pour un autre ».

Dans l’histoire rocambolesque et tragique de la famille de Jacob-Israël, Juda, l’un de ses 12 fils s’est porté garant pour Benjamin, le plus jeune de la couvée. Mais quand l’affaire a mal tourné et que le vizir d’Égypte veut emprisonner Benjamin, Juda est obligé de lui dire :

Je suis la caution du jeune homme devant mon père. Maintenant donc, je te prie, permets à ton serviteur de rester comme esclave de mon seigneur à la place du jeune homme (Genèse 44.33).

Prêter ou donner c’est bien, car on engage ce qu’on possède déjà, mais cautionner quelqu’un est dangereux parce qu’on parie sur l’avenir qui n’appartient pas à l’homme, mais à Dieu seul. Se porter garant pour un ami n’est déjà pas sage et demande beaucoup de prudence. Mais celui qui se porte caution pour une simple connaissance, un étranger, histoire de faire le beau, est carrément stupide.

Versets 4-5

Je continue de lire dans le chapitre 6 du livre des Proverbes.

Va, humilie-toi devant ton prochain, insiste auprès de lui, n’accorde ni sommeil à tes yeux, ni assoupissement à tes paupières ; dégage-toi comme la gazelle du piège tendu, comme l’oiseau du filet de l’oiseleur (Proverbes 6.4-5).

Celui qui s’est porté garant pour autrui a commis une erreur monumentale. Il doit donc tout faire en son pouvoir pour sortir de ce piège qui risque de se refermer sur lui. Le vocabulaire utilisé est très fort. Le fidéjusseur, quel drôle de nom, c’est-à-dire celui qui dans cette affaire est caution, doit s’humilier en se mettant à plat ventre et plaider bruyamment sa cause en confessant sa stupidité. Rien ne doit l’arrêter car sa situation financière est gravement menacée. Il doit se débattre comme un oiseau pris au filet même s’il perd quelques plumes. Le texte ne précise pas devant qui le fidéjusseur doit faire tout ce cinéma, car ça dépend de la situation.

Versets 6-8

Je continue le texte avec un deuxième conseil concernant les biens matériels.

Toi qui es paresseux, va donc voir la fourmi, observe son comportement et tu apprendras la sagesse. Elle n’a ni surveillant, ni contremaître, ni chef. Durant l’été, elle prépare sa nourriture, au temps de la moisson, elle amasse ses provisions (Proverbes 6.6-8).

Le mot traduit par « paresseux » apparaît 14 fois dans les Proverbes et nulle part ailleurs. Tout au long du livre, le fainéant est souvent dans le collimateur du maître de sagesse.

Alors que celui qui se porte garant pour autrui risque de perdre ses biens, le paresseux néglige de générer des richesses pour subvenir aux besoins du lendemain.

Les fourmis n’ont pas de reine comme les abeilles, ni de patron d’aucune sorte à qui rendre des comptes et donc pas de chef pour leur dire ce qu’elles doivent faire. Qu’à cela ne tienne, d’instinct, la fourmi a un excellent esprit d’initiative. Pendant les beaux jours, alors que la nourriture abonde, elle est constamment et diligemment à l’ouvrage engrangeant des provisions pour la saison morte. La moisson terminée, elle est prête à passer l’hiver tranquille. La sagesse de la fourmi ne vient pas de ce qu’elle est constamment occupée, mais de ce qu’elle anticipe les besoins futurs et s’y prépare d’arrache-pied, ce qui est à nouveau mentionné à la fin du livre au chapitre 30 (30.25). C’est à se demander si ce n’est pas dans les Proverbes que La Fontaine a trouvé son inspiration. Je me souviens que dans une fable il dit : « La cigale ayant chanté tout l’été se trouva fort dépourvue quand l’hiver fut venu. » La fourmi m’interpelle : « Qu’est-ce que je fais des 24 heures qui sont à ma disposition jour après jour ? »

Versets 9-11

Je continue le texte.

Et toi, paresseux, combien de temps vas-tu rester couché ? Quand donc sortiras-tu de ton sommeil pour te lever ? “ Je vais faire juste un petit somme, dis-tu, juste un peu m’assoupir, rien qu’un peu croiser les mains et rester couché un instant. ” Mais pendant ce temps, ta pauvreté te surprend comme un rôdeur, et ta misère comme un homme en armes (Proverbes 6.9-11).

Dans les Proverbes, la pauvreté est mentionnée 12 fois. Ici, le maître de sagesse apostrophe vivement le fainéant, cherchant à le secouer alors qu’il traîne au lit au lieu de travailler. S’il ne se bouge pas pendant qu’il est encore temps, un jour il va se réveiller pour constater que ses placards sont vides, qu’il n’a plus rien à manger, et pas d’argent en banque. Il sera alors dans la même situation que si ses biens avaient été pillés.

Verset 12

Je continue le texte du chapitre 6 qui change de sujet.

C’est un vaurien, un personnage ignoble, celui qui va, colportant des mensonges (Proverbes 6.12).

« Vaurien » est une traduction assez littérale de l’hébreu. Dans sa seconde épître aux Corinthiens (6.15), l’apôtre Paul appelle le diable « vaurien ». C’est un personnage malfaisant dont le maître va dresser le portrait en sept coups de crayon. Dans le chapitre 16, un proverbe dit :

Le vaurien mijote le mal, et ses paroles sont comme un feu dévorant (Proverbes 16.27).

Depuis toujours, les despotes se servent de ces punaises foncièrement méchantes comme faux témoins pour donner une apparence de légalité à un meurtre (1Rois 21.10). Des vauriens furent utilisés pour accuser le Christ quand il a comparu devant le Grand Conseil juif.

Versets 13-14

Je continue le texte.

Il appuie ses dires de clignements d’yeux, de tapements des pieds, et de signes des doigts : gestuelle destinée à tromper. Il n’y a que des pensées perverses dans son cœur, il manigance du mal et passe son temps à susciter des querelles (Proverbes 6.13-14).

Tout dans ce sinistre personnage respire la fausseté. C’est un peu comme ça que je m’imagine Judas qui était tellement dissimulé et rusé que les autres disciples n’ont jamais soupçonné sa vraie nature. Il les a complètement floués.

Le vaurien a un cœur pervers et possède une langue fourchée. Fourbe, il feint la sincérité, mais communique avec ses acolytes par des signes convenus d’avance qui ne sont pas compris des autres. Par ses paroles sournoises, il cause la discorde parmi les honnêtes gens.

Verset 15

Je continue.

Aussi la ruine fondra-t-elle sur lui sans crier gare, il sera brisé subitement et sans remède (Proverbes 6.15).

Conformément au principe de la rétribution, un châtiment inexorable attend le vaurien. Le texte ne précise pas si sa fin viendra de causes naturelles ou d’un jugement direct de Dieu. Quoi qu’il en soit, si on pouvait assister au sort final du méchant, on aurait les cheveux qui se dresseraient sur la tête.

 

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

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