Proverbes 3.19 – 4.9
Chapitre 3
Introduction
Nous vivons dans un univers où règne un ordre indiscutable, et il est époustouflant par sa complexité et sa beauté. Certains savants jouissent du privilège d’étudier les principes qui régissent notre monde, ou bien le fonctionnement des êtres vivants, du virus microscopique à l’homme, tandis que d’autres scrutent les particules infiniment petites ou les galaxies qui habitent le cosmos. Les lois physiques sont tellement stables et prévisibles qu’on peut calculer et envoyer un cosmonaute dans l’espace au bon moment et à l’endroit voulu, et surtout, le ramener sur terre.
L’homme pense qu’il est intelligent et c’est vrai, mais il ne fait que découvrir les lois qui existent et il essaie de les utiliser à son profit. Bien que je n’ai pas fait d’études scientifiques poussées, je trouve que c’est une insulte à mon intelligence d’essayer de me faire croire que tout s’est fait tout seul comme ça par enchantement au fil des milliards d’années. Pourquoi ne pas dire que l’apprenti sorcier Harry Potter a tout créé avec sa baguette magique ? La seule explication plausible et raisonnable, c’est d’accepter le récit de la Genèse qui dit que le Créateur a mis en place chaque élément de l’univers.
Versets 19-22
Je continue à lire dans le chapitre 3 du livre des Proverbes.
C’est avec la sagesse que l’Éternel a fondé la terre, et avec l’intelligence qu’il a disposé le ciel. Par sa science, les abîmes se sont fendus et il a ordonné aux nuages de répandre la rosée. Mon fils, garde les yeux fixés sur la sagesse, l’intelligence et la science, retiens-les, car elles t’apporteront la vie, elles seront une parure pour ton cou (Proverbes 3.19-22).
« Les abîmes qui se sont fendus » fait référence à la séparation des eaux d’en bas, c’est à dire les mers, des eaux d’en haut qui constituent les nuages, ainsi que la formation de la terre sèche. La sagesse est une force qui a toujours été agissante même avant que l’univers n’existe, et que Dieu a manifestée lors de la création. Ce thème est développé plus en détail au chapitre 8 (v.22-31). A ceux qui cherchent la vraie sagesse, Dieu donne la science et l’intelligence qui permettent de saisir les réalités spirituelles.
En rappelant l’œuvre merveilleuse que l’Éternel a accomplie par sa sagesse, le maître de sagesse veut susciter en son disciple le désir de la posséder. La sagesse est le principe directeur que, d’une part, Dieu a utilisé pour la création du monde, et d’autre part, il emploie aujourd’hui dans sa manière de gouverner l’univers. A combien plus forte raison, l’homme, cette créature fragile et faible, en a-t-il besoin pour vivre.
Versets 23-26
Je continue le texte.
Alors tu iras ton chemin en toute sécurité, sans trébucher. Quand tu te coucheras, tu n’éprouveras aucune crainte, et ton sommeil sera paisible, tu n’auras pas à redouter un désastre imprévu, ni la ruine qui ne manquera pas de fondre sur les méchants, car l’Éternel sera ton assurance, il gardera ton pied de tout piège (Proverbes 3.23-26).
Dans ce passage, le bienheureux est décrit serein dans le présent et confiant dans l’avenir. Il a une qualité de vie tout à fait remarquable et qui lui vaudra certainement de devenir centenaire. Ça fait envie et me rend désireux de posséder la sagesse. Le maître montre qu’elle est précieuse parce qu’elle pallie à nos faiblesses. Il est bien vrai que c’est surtout la nuit, une fois que les agitations du jour ont cessé, que l’âme inquiète, seule avec elle-même, devient facilement victime de ses propres soucis. Qui n’a pas fait cette expérience ? Parfois, je suis couché et je pense à ceci et à cela et je m’agite cherchant en vain le sommeil. Et même une fois endormi, on peut encore faire la proie de terreurs nocturnes qui viennent hanter notre imagination. Ces désagréments n’arrivent pas aussi facilement ni fréquemment à celui qui, ayant acquis la sagesse selon Dieu, sait lui faire confiance. Pour parvenir à cet état de bien-être, il faut d’abord apprendre à se soumettre à l’Éternel et à lui vouer une crainte respectueuse, c’est-à-dire à le révérer en se gardant de tout ce qui est mal à ses yeux. Cette façon d’être et de vivre s’apprend en étudiant et en méditant les Écritures. C’est en effet uniquement dans les Textes Sacrés qu’on trouve le secret du bonheur, les bons conseils et le réconfort dont nous avons tous besoin. Mais ça demande un effort et de la discipline. Moi, je suis comme tout le monde ou pire, car plutôt soucieux et mélancolique de nature. Alors, quand je me couche et que quelque chose me turlupine, je me remémore des passages que j’ai appris et j’invoque Dieu. Par exemple, j’aime bien le verset qui dit :
Non, jamais il ne dort, jamais il ne sommeille, celui qui garde Israël (Psaumes 121.4).
Je ne suis pas Israël, mais ce texte s’adresse à tous ceux qui sont enfants de Dieu.
Verset 27
Je continue de lire dans le chapitre 3 des Proverbes.
Si tu en as le moyen, ne refuse pas le bien à celui qui y a droit (Proverbes 3.27).
A partir d’ici et jusqu’au verset 35, nous avons des proverbes courts et isolés, comme ceux de la partie centrale du livre. Dans son épître, Jacques écrit :
La sagesse qui vient d’en haut est en premier lieu pure ; de plus, elle aime la paix, elle est modérée et conciliante, pleine de bonté ; elle produit beaucoup de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie (Jacques 3.17).
Par contre, la sagesse du monde est une parodie diabolique de celle d’en haut, et elle se caractérise par l’envie et l’esprit de dispute, ce que le maître va illustrer. Il va énoncer 9 préceptes sous forme de prohibition. Les cinq premiers sont relatifs aux relations avec son prochain et les 4 suivants exhortent celui qui veut être sage de ne pas fréquenter les impies car ils seront jugés par Dieu.
Faire ce qui est bien est un acte très concret qui consiste à remplir toutes ses obligations comme payer ses dettes. Si je dois de l’argent que je peux rembourser mais que je l’utilise à d’autres fins, je me rends coupable de vol. Si j’emprunte un livre et que je néglige de le rendre, c’est pareil. Dans son épître aux Romains, l’apôtre Paul écrit un très bon conseil; je le cite :
Ne restez redevables de rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres (Romains 13.8).
Verset 28
Je continue le texte.
Ne dis pas à ton prochain : “ Va-t’en et reviens plus tard, demain je te donnerai ”, alors que tu peux le faire tout de suite (Proverbes 3.28).
Le maître nous exhorte à accomplir gratuitement des actes de gentillesse. Le rejet déguisé en promesse est encore plus dur qu’un refus sec et net parce que c’est une parole hypocrite destinée à tromper. Je peux aussi refuser d’aider mon prochain sans le rencontrer. Supposons que je me balade dans la nature et que j’aperçoive un enclos qu’on a oublié de fermer alors qu’il héberge des vaches ou des chevaux. Si je le ferme puis continue mon chemin, je rendrai une fière chandelle au paysan même s’il ignore mon geste charitable et je n’en dormirai que mieux la nuit. Par contre, l’insensé se dit : « Je m’en fous, ce n’est pas mes affaires, ou encore : quelqu’un d’autre s’en occupera et le pire : c’est bien fait pour lui il avait qu’à ne pas oublier de le fermer sa barrière ! »
Verset 29
Je continue de lire dans le chapitre 3 du livre des Proverbes.
Ne manigance rien de mal contre ton prochain, alors qu’il vit sans défiance près de toi (Proverbes 3.29).
Faire du mal à son prochain alors qu’il mène une existence paisible comme voisin est un acte mesquin qui trahit sa confiance. Je n’ai pas le droit de m’en prendre à quelqu’un simplement parce que je l’ai dans le nez. L’apôtre Paul exhorte les croyants en disant :
Autant que possible, et dans la mesure où cela dépend de vous, vivez en paix avec tous les hommes (Romains 12.18).
En d’autres mots, je dois cultiver de bonnes relations et entretenir un climat de confiance avec tous ceux que je côtoie. L’avantage est que je peux donner une clé à un voisin le jour où je pars en vacances.
Verset 30
Je continue le texte.
N’accuse pas faussement quelqu’un alors qu’il ne t’a fait aucun mal (Proverbes 3.30).
Le neuvième commandement de la loi dit :
Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain (Exode 20.16).
Il existe des enquiquineurs publics qui sont procéduriers, ils attentent constamment des actions en justice contre ceux qui leur font des torts imaginaires. D’autres sont tout aussi insensés parce qu’ils vous cherchent des noises pour un oui ou pour un non. Moi, on m’a enseigné que : « si chacun s’occupe de ses propres affaires les vaches seront bien gardées ». Mais ce n’est pas une façon de vivre universelle. Un jour quelqu’un m’a publiquement accusé d’être indifférent à son égard, un reproche des plus bizarre. Mais plus tard j’ai compris que cette accusation n’était qu’un écran de fumée qui cachait de la jalousie.
Cela dit, si on m’a réellement fait du tort, quelle attitude dois-je adopter ? Aux Romains, Paul écrit :
Mes amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C’est à moi qu’il appartient de faire justice ; c’est moi qui rendrai à chacun son dû (Romains 12.19).
Verset 31
Je continue le texte.
N’envie pas les violents et n’adopte aucun de leurs procédés (Proverbes 3.31).
Deux variantes de cette admonition sont répétées plus loin dans les chapitres 23 et 24; je les lis :
Que ton cœur ne porte point envie aux pécheurs ; mais adonne-toi à la crainte de l’Éternel continuellement (Proverbes 23.17). Ne porte pas envie à ceux qui font le mal et ne recherche pas leur compagnie car leur cœur médite la ruine et leurs lèvres parlent de nuire (Proverbes 24.1-2).
On envie les hommes violents à cause des richesses qu’ils ont acquis et la vie facile qu’ils mènent, du moins en apparence. Pour de l’argent, ils ne reculent devant rien et tous les moyens sont bons. Le hors-la-loi est celui qui n’a aucune crainte respectueuse de Dieu. Malheur à lui et à ceux qui s’associent à ses projets iniques.
Verset 32
Je continue le texte.
Car l’Éternel a en abomination les gens mauvais, mais il réserve son intimité aux hommes droits (Proverbes 3.32).
En hébreu, « abomination » a un sens très fort qui exprime un profond dégoût, l’envie de vomir. Ce mot est fréquent dans les Proverbes (6.16 ; 8.7 ; 11.1, 20, etc.) ; et dans le livre du Deutéronome (7.25-26 ; 18.9-12), l’Éternel dit avoir en abomination l’idolâtrie et toutes les pratiques qui lui sont liées.
Verset 33
Je continue le texte.
La malédiction de l’Éternel pèse sur la maison du méchant, mais il bénit la demeure des justes (Proverbes 3.33).
Après Salomon, Israël s’est scindé en deux royaumes. Celui du nord n’a eu que des mauvais rois et celui du sud quelques bons rois. Tous les mauvais rois avaient pour but de créer une dynastie qui transcende les siècles, mais tous et leurs descendants ont été maudits par l’Éternel et ont finis balayés comme des ordures. Les livres historiques montrent bien que le jugement de Dieu tombe sur les hommes impies, qu’ils soient rois ou de simples individus. C’est aussi ce qui est arrivé aux despotes qui ont bâti des empires sur des idéologies et des cadavres comme : Staline, Mao, Pol Pot, ou Hitler, pour ne citer que les plus connus. Le président roumain Ceausescu était un clown, mais un clown cruel. Réélu secrétaire général du parti communiste en novembre 1989, un mois plus tard, il est renversé et exécuté avec sa femme devant les caméras de télé. Avis aux amateurs ! Certains tyrans de grande envergure sont encore sur leur trône, mais c’est parce qu’ils contribuent, bien malgré eux, au plan de Dieu. De toute façon, ce n’est qu’une question de temps avant qu’eux aussi soient balayés comme des détritus.
Verset 34
Je continue le texte.
L’Éternel s’oppose aux orgueilleux, mais il accorde sa faveur aux humbles (Proverbes 3.34).
Dans l’économie divine, ce principe est tellement important qu’il est cité par les deux apôtres Pierre et Jacques (Jacques 4.6 ; 1Pierre 5.5). L’orgueil est une faute plus grave que les autres parce qu’elle s’attaque à la gloire de Dieu, un crime de lèse-majesté. C’est par orgueil que Lucifer suivi de myriades d’anges s’est révolté contre le Créateur.
Verset 35
Je finis de lire le chapitre 3.
L’honneur sera la part des sages, mais les insensés porteront la honte (Proverbes 3.35).
Dans les Proverbes, les mots : « droit, humble, juste, sage » sont pratiquement des synonymes. Il est intéressant de remarquer que la fin des trois premiers chapitres des Proverbes copie le psaume premier en contrastant les bons et les méchants.
Chapitre 4
Introduction
Nous arrivons maintenant au chapitre 4 qui est une suite de conseils adressés à des jeunes hommes par un vieillard qui a le bonheur de pouvoir leur dire, non pas : « Faites ce que je vous dis », mais : « Agissez comme je l’ai fait moi-même ». Je commence à le lire.
Versets 1-2
Écoutez, mes fils, l’instruction d’un père, soyez attentifs pour acquérir du discernement. Car c’est un bon savoir-faire que je vous donne. N’abandonnez pas mes enseignements (Proverbes 4.1-2).
Celui qui est à l’écoute de la Sagesse augmente son capital de savoir-faire qui lui permet de bien mener la barque de sa vie et surtout d’arriver à bon port, dans le royaume de Dieu.
Verset 3
Je continue.
Car j’ai été, moi aussi, un fils pour mon père, et ma mère me chérissait comme un enfant unique (Proverbes 4.3).
Une telle référence personnelle est courante dans la littérature de sagesse. L’expression : « un fils pour mon père » veut dire que l’auteur de ces paroles est devenu l’image de son père parce qu’il a assimilé et fait sien son enseignement. La tradition identifie cet auteur à Salomon. Effectivement, d’après les livres historiques, il était tendrement choyé par sa mère Bathshéba, mais on ne voit jamais son père David enseigner ses enfants. Sa famille fut une catastrophe. Un de ses fils viole sa demi-sœur avant d’être assassiné par un autre fils qui monte un coup d’État contre son père et qui finit tué comme un chien.
Verset 4
Je continue le texte.
Mon père m’a enseigné et m’a dit : Que ton cœur retienne mes paroles, obéis à mes commandements, et tu vivras (Proverbes 4.4).
Obéissant à un texte de la loi de Moïse (Deutéronome 6.1-2), le père communique à ses enfants l’enseignement qu’il a lui-même reçu de son propre père et qui s’étale donc sur plusieurs générations.
Versets 5-6
Je continue le texte.
Acquiers la sagesse et l’intelligence, n’oublie pas ce que je t’ai dit et ne t’écarte pas de mes recommandations. N’abandonne pas la sagesse, et elle te gardera, aime-la, et elle te protégera (Proverbes 4.5-6).
La sagesse a préalablement été personnifiée en une femme. Elle se comporte comme une maîtresse d’école qui capte l’attention de ses élèves afin de les conduire dans le droit chemin. Mais elle est en compétition avec Dame Folie, la femme adultère séductrice qui perd les hommes. Mais celui qui a une crainte respectueuse de l’Éternel est gardé et protégé du mal.
L’immense majorité de ceux qui sont dans le corps enseignant ne possède pas la sagesse décrite dans le livre des Proverbes parce qu’ils n’ont aucune connaissance de la Parole de Dieu. La plupart de ceux qui se considèrent des intellectuels traitent les Textes Sacrés comme les vieux parchemins du Moyen-Âge. Ils n’en comprennent pas le message parce qu’ils n’aiment ni Dieu ni sa Parole.
Blaise Pascal a dit : « La connaissance humaine doit être comprise pour être aimée ». Oui, mais pour la révélation qui vient de Dieu, c’est l’inverse. Elle doit être aimée pour être comprise. Celui qui désire se pencher sur les Écritures doit avoir l’esprit ouvert et être prêt à accepter que Dieu va lui parler.
Verset 7
Je continue de lire dans le chapitre 4.
Voici le début de la sagesse : acquiers la sagesse, procure-toi le discernement au prix de tout ce que tu possèdes (Proverbes 4.7).
Le discernement est l’une des caractéristiques de la sagesse. Celui qui comprend sa valeur sait que c’est le bien le plus précieux qui soit, et vaut donc tous les efforts et tous les sacrifices pour l’obtenir.
Dans l’une de ses paraboles, Jésus a comparé le royaume de Dieu a un immense trésor et à une perle de grand prix qui a plus de valeur que tout ce qu’on possède (Matthieu 13.44-46). Or, dans le Nouveau Testament, l’acquisition de la sagesse est confondue avec le royaume de Dieu parce que Jésus qui est le roi et le royaume est aussi la sagesse de Dieu. C’est en lui et uniquement par lui que l’homme peut connaître Dieu, recevoir la vie éternelle et entrer dans le royaume éternel. Il a dit :
Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14.6).
Versets 8-9
Je continue le texte des Proverbes.
Tiens la sagesse en haute estime, et elle t’élèvera. Si tu t’attaches à elle, elle te mettra en honneur. Elle posera une belle couronne sur ta tête, elle t’ornera d’un diadème magnifique (Proverbes 4.8-9).
Au tout début du livre, l’auteur a dit à son fils que l’instruction de son père et de sa mère était « comme une belle couronne sur sa tête », parce qu’elle repose sur la crainte respectueuse de l’Éternel (Proverbes 1.8-9). Plus loin, dans le livre, le maître écrit :
Les cheveux blancs sont un diadème magnifique ; il s’obtient par une vie droite (Proverbes 16.31).
Celui qui aime la sagesse sera récompensé par une vie satisfaisante qui vaut la peine d’être vécue. Si l’auteur compare à plusieurs reprises la sagesse à une grande Dame, c’est parce qu’elle veut être aimée passionnément comme un homme aime une femme. Dans le Nouveau Testament, la sagesse est personnifiée par Jésus qui désire aussi être aimé par tous ceux qui croient en lui. D’ailleurs, quand on lui a demandé quel était le plus grand de tous les commandements, il a répondu :
Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. C’est là le plus grand commandement (Marc 12.29-30).
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.