Philippiens 3.15-21
Chapitre 3
Introduction
Tous les 4 ans ont lieu les Jeux olympiques qui sont l’occasion d’une grande célébration. Ceux qui ont la chance d’avoir été sélectionnés pour y participer en tant qu’athlètes espèrent bien sûr remporter une médaille, de préférence en or. Mais que reste-t-il aujourd’hui de leurs exploits d’hier ? Quelques souvenirs ! Le temps est comme la marée montante qui efface les beaux dessins et les châteaux forts que les vacanciers ont réalisés sur la plage ; le temps est cruel. L’apôtre Paul en est très conscient et c’est pourquoi il encourage les Philippiens à courir pour remporter non une récompense terrestre, mais le prix attaché à l’appel que Dieu leur a adressé. Dans sa première épître aux Corinthiens, il écrit :
Tous les athlètes s’imposent une discipline sévère dans tous les domaines pour recevoir une couronne, qui pourtant sera bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais (1Corinthiens 9.25).
Verset 15
Je continue de lire dans le chapitre 3 de l’épître de Paul aux Philippiens.
Nous tous qui sommes parfaits, soyons dirigés par cette pensée. Et si, sur un point quelconque, vous pensez différemment, Dieu vous éclairera aussi là-dessus (Philippiens 3.15).
l’apôtre lâche une petite bombe ; il crée la surprise en déclarant subitement que lui et ses lecteurs sont parfaits alors que précédemment il a dit qu’il n’avait pas atteint la perfection. Qu’est-ce qu’il veut dire ?
En août, mon pêcher croule sous les fruits, mais ils sont encore verts et durs, et pourtant ils sont parfaits, c’est-à-dire exactement au stade où les pêches doivent être. J’attends quelques semaines puis je les ramasse fin septembre quand elles ont une jolie teinte jaune et qu’elles sont légèrement molles. Mais si au moment de la récolte les pêches sont toujours vertes et dures ou tachetées, ce ne sont pas des fruits parfaits et cela veut aussi dire que l’arbre a un problème.
On peut aussi illustrer la perfection avec un bébé. À 18 mois, il est adorable et mignon tout plein surtout quand il essaie de parler. Il est alors parfait pour son âge. Mais si vous le revoyez à 5 ans et tout ce qu’il sait dire est « arre », l’enfant ne s’est pas développé comme il aurait dû, ce qui signifie qu’il y a un problème quelque part. « Parfait » veut donc dire avoir atteint le niveau normal de maturité escompté.
Bien que l’apôtre Paul soit un géant de la foi, il est aussi très conscient de ses manquements. Il reconnaît qu’il n’a pas atteint la perfection et si on lui avait posé la question, je suis sûr qu’il aurait répondu qu’il en était bien loin. Chrysostome, un « Père de l’Église » a dit : « La marque de l’homme parfait est de ne pas se reconnaître comme parfait ».
Chez un croyant, la perfection n’est pas une valeur absolue de moralité, mais un stade spirituel de maturité qui se distingue surtout par la sagesse et le discernement (1Corinthiens 2.6 ; Hébreux 5.14).
Précédemment, l’apôtre a dit :
Je fais une seule chose : oubliant ce qui est derrière moi, je tends toute mon énergie vers ce qui est devant moi (Philippiens 3.13).
Selon ce passage, l’état parfait de maturité chrétienne consiste à ne pas se laisser distraire par tout ce qui est arrivé dans le passé et à aller toujours plus de l’avant en gardant les yeux fixés sur la ligne d’arrivée, le but à atteindre et le prix à gagner. Paul exhorte les Philippiens à partager son point de vue parce qu’il parle animé par l’esprit du Christ. Mais au lieu d’essayer de les convaincre à tout prix du bien-fondé de sa pensée, l’apôtre préfère s’en remettre à Dieu, qui, il le sait, œuvre dans la vie de ses lecteurs, dirige tous les croyants qui se soumettent à lui et les amène à bon port en temps voulu.
Paul est un pasteur expérimenté ; il sait que tous les Philippiens ne courent pas vers le but à la même vitesse, et qu’ils n’ont pas tous « en vue le prix de la vocation céleste »; et il sait aussi que certains d’entre eux ruent dans les brancards.
Les croyants qui refusent d’écouter Dieu entendront le même message de sa part jusqu’à ce qu’ils lui obéissent, par ailleurs, ils s’exposent à se voir corriger en cours de route. Le psalmiste met les Israélites en garde contre leur attitude rebelle ; il écrit :
Ne soyez donc pas stupides comme un cheval, un mulet dépourvus d’intelligence dont il faut dompter la fougue par la bride et par le mors pour qu’ils t’obéissent ! (Psaumes 32.9).
Quand Dieu doit forcer l’un de ses enfants récalcitrants à marcher dans le droit chemin de cette façon, ça doit faire mal.
Verset 16
Je continue le texte.
Une dernière chose, au point où nous sommes parvenus, continuons à marcher ensemble dans la même direction (Philippiens 3.16).
Paul invite les Philippiens à persévérer dans la course de la vie chrétienne en vue du prix à remporter. Il les exhorte à mettre en pratique ce qu’ils ont déjà compris sans permettre à des différences d’opinions d’entraver leur marche (Philippiens 3.15).
Au pied d’un sommet alpin suisse se trouve un petit monument en l’honneur d’un alpiniste qui s’est tué en essayant de le gravir. Sur la pierre tombale est écrit son nom et le commentaire : « Il est mort en faisant l’ascension. » Pareillement, l’homélie de tout croyant devrait être : « Il mourut alors qu’il grimpait vers un plus haut sommet de maturité en devenant davantage comme Jésus-Christ et afin de remporter le prix de l’appel de Dieu ».
Verset 17
Je continue le texte.
Suivez tous mon exemple, frères, et observez comment se conduisent ceux qui vivent selon le modèle que vous trouvez en nous (Philippiens 3.17).
C’est la troisième fois que Paul appelle les Philippiens : « frères », et littéralement, il écrit :
Soyez des imitateurs avec moi.
L’objectif de Paul est d’être semblable à Jésus-Christ mais il exhorte les Philippiens à le suivre. Le modèle type à imiter est évidemment le Christ, mais sa perfection peut nous intimider. Alors Paul avance le premier et se cite en exemple ainsi que Épaphrodite et Timothée, des hommes ordinaires qui sont devenus extraordinaires par leur consécration à Dieu. Les paroles de l’apôtre ne sont pas présomptueuses car il faut savoir qu’il n’y a pas de Nouveau Testament à cette époque pour dicter le comportement du croyant. Il est donc autant du devoir de Paul de mener une vie chrétienne droite que d’autres puissent imiter, que de prêcher le pur Évangile pour les amener à la foi.
Les personnes qui ont un impact dans le monde sont invariablement celles qui se sont engagées corps et âme dans l’accomplissement d’un projet particulier, que ce soit dans le monde des affaires, celui de la politique, de la science ou du sport, par exemple. Ces gens sont prêts à tous les sacrifices pour atteindre leur but. Par contre, ceux qui cherchent avant tout leur petit confort, et qui ne pensent qu’à satisfaire leurs besoins, ceux-là végètent dans la médiocrité. C’est pareil dans la vie chrétienne. Luc rapporte que Jésus a dit à la foule :
Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge chaque jour de sa croix, et qu’il me suive (Luc 9.23).
Le salut est gratuit, mais le prix de la consécration à Jésus-Christ est exorbitant.
Verset 18
Je continue le texte.
Car il en est beaucoup qui vivent en ennemis de la croix du Christ. Je vous en ai souvent parlé, je vous le dis une fois de plus, en pleurant (Philippiens 3.18).
Ces ennemis de la croix sont les mêmes que ceux que Paul a déjà qualifiés de « mauvais ouvriers et d’hommes ignobles (Philippiens 3.2). Ces faux frères posent un réel danger parce qu’ils enseignent que la grâce de Dieu ne suffit pas à sauver le pécheur ; il faut y ajouter des œuvres et des rites humains. Ces hommes ignobles font peser une si grave menace sur les Philippiens que Paul, qui se soucie vivement de leur santé spirituelle, en a mal au cœur à pleurer (comparez Actes 20.28-31).
Pour tromper les croyants, ces loups se déguisent en agneau, en messagers de Jésus-Christ, en serviteurs de la justice (Romains 16.18 ; 2Corinthiens 11.13-15). Ils emploient le même langage que l’apôtre et tiennent des discours persuasifs. Les croyants devraient pouvoir discerner l’erreur propagée par ces ennemis de la croix, mais comme Paul a des doutes, il renouvelle ses mises en garde.
Verset 19
Je continue le texte.
Ces ennemis de la croix du Christ ont pour but la destruction. Ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur fierté dans ce qui fait leur honte, leurs pensées sont toutes dirigées vers les choses de ce monde (Philippiens 3.19).
Alors que Paul a en vue le prix attaché à l’appel de Dieu, la fin des faux frères est la perdition éternelle.
« Avoir Dieu pour ventre » signifie chercher la satisfaction de la chair par les plaisirs sensuels, ainsi que par l’orgueil. Ainsi, les judaïsants observent des règles alimentaires très strictes pour être admirés. Mais par ailleurs et sous le couvert de la religion, ils cherchent avant tout à profiter de la vie en assouvissant leurs convoitises, et alors qu’ils devraient avoir honte de leur conduite, ils en sont fiers, ce qui est la forme la plus dégénérée du vice.
Verset 20
Je continue le texte.
Quant à nous, nous sommes citoyens du royaume des cieux : de là, nous attendons ardemment la venue du Seigneur Jésus-Christ pour nous sauver (Philippiens 3.20).
Paul établit un contraste entre les Philippiens et les ennemis de la croix qui au lieu de marcher sur les traces du Seigneur, ne s’intéressent qu’aux plaisirs de la chair. Dans son épître, Jacques écrit :
Adultères que vous êtes ! Ne savez-vous pas qu’aimer le monde, c’est haïr Dieu ? Si donc quelqu’un veut être l’ami du monde, il se fait l’ennemi de Dieu (Jacques 4.4).
Ceux qui avaient coloniser la ville de Philippes, provenaient des 4 coins de l’empire. Cette migration, volontaire pour certains et forcée pour d’autres, leur vaut de jouir de tous les droits des citoyens romains. Ils ont les mêmes lois et privilèges et ils parlent et s’habillent exactement comme eux.
Pareillement, les croyants qui vivent sur terre sont des pèlerins dont la véritable citoyenneté est dans les cieux où leur nom est inscrit sur le registre céleste (Luc 10.20 ; Philippiens 4.3 ; Hébreux 12.23 ; Apocalypse 13.8 ; 21.27), où siège Jésus qui viendra les chercher (Actes 1.11 ; 1Thessaloniciens 4.16), où sont déjà les croyants décédés (Hébreux 12.23), où se trouvent leur héritage (1Pierre 1.4), leur récompense (Matthieu 5.12), et leurs trésors (Matthieu 6.20). Il s’en suit que les croyants doivent déjà adopter le style de vie, les valeurs et les vertus du royaume des cieux (Éphésiens 2.6). S’il en était ainsi, l’Église universelle de Jésus-Christ serait vraiment une sorte de colonie du paradis. En tout cas, c’est un idéal vers lequel tous les croyants doivent tendre.
Ceux qui réalisent que leur véritable citoyenneté est dans les cieux « attendent ardemment la venue du Seigneur », écrit Paul aux Romains (8.23). C’est leur espérance vivante, et aussi le prochain événement majestueux sur le calendrier divin. Unique dans l’histoire de l’humanité, Paul le décrit dans sa première épître aux Thessaloniciens. Je lis le passage :
Au signal donné, sitôt que la voix de l’archange et le son de la trompette divine retentiront, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts unis au Christ ressusciteront les premiers. Ensuite, nous qui serons restés en vie à ce moment-là, nous serons enlevés ensemble avec eux, dans les nuées, pour rencontrer le Seigneur dans les airs. Ainsi nous serons pour toujours avec le Seigneur (1Thessaloniciens 4.16-17).
Un événement aussi grandiose est-il envisageable ? Bien sûr, puisque rien n’est impossible à Dieu. De plus, les textes de l’Ancien Testament nous donnent l’exemple de deux personnes qui ont soudainement disparu parce que Dieu les a soustraites de ce monde. Le premier est Hénoc, qui est de la 6e génération après Adam. Je résume le passage :
Quand Hénoc fut âgé de 65 ans, il eut pour fils Mathusalem. Après cela, Hénoc conduisit sa vie sous le regard de Dieu durant 300 ans et il eut d’autres enfants. La durée totale de sa vie fut de 365 ans. Hénoc vécut en communion avec Dieu puis il disparut, car Dieu le prit auprès de lui (Genèse 5.21-24).
Le deuxième personnage à disparaître subitement est le prophète Élie. Je lis le passage :
Pendant qu’Élie et Élisée continuaient à marcher tout en parlant, un char de feu tiré par des chevaux de feu vint entre eux et les sépara l’un de l’autre. Élie fut entraîné au ciel dans un tourbillon de vent (2Rois 2.11).
Je sais bien que de tels passages font sourire les incrédules qui les relèguent au rang de folklore antique au même titre que la mythologie grecque. Il est vrai que ces histoires sont surprenantes, mais elles font partie intégrante des Textes Sacrés et Jésus affirme que toutes les Écritures sont dignes de foi (Matthieu 5.18). Chacun d’entre nous doit donc décider en son âme et conscience si oui ou non les Textes Sacrés sont la Parole de Dieu. Pour ma part, je crois que comme Hénoc et Élie, l’Église universelle de Jésus-Christ sera enlevée, et c’est l’espérance de tous les vrais croyants. Cet événement extraordinaire sera suivi par une succession de jugements qu’on appelle « la fin des temps ou fin du monde », une période terrible qui est décrite en détail dans le livre de l’Apocalypse et dont l’apôtre Pierre dit :
En ce jour-là, le ciel disparaîtra dans un fracas terrifiant, les astres embrasés se désagrégeront et la terre se trouvera jugée avec tout ce qui a été fait sur elle (2Pierre 3.10).
Souvent, les hôtesses de l’air préviennent les passagers qu’ils vont traverser une zone de turbulences, ce qui n’est jamais agréable à entendre. D’autres fois par contre, on nous dit que l’avion va faire un détour à cause des violents orages qui éclatent sur le trajet habituel. Pareillement, les croyants éviteront le jugement qui s’abattra sur cette terre puisqu’ils auront déjà été enlevés dans les cieux. L’apôtre Paul était dans l’expectative et anticipait l’enlèvement de l’Église qu’il espérait aurait lieu de son vivant.
Verset 21
Je finis de lire le chapitre 3 de l’épître aux Philippiens.
Car le Seigneur transformera notre corps misérable pour le rendre conforme à son corps glorieux par la puissance qui lui permet de tout soumettre à son autorité (Philippiens 3.21).
Ce squelette que nous traînons est misérable parce qu’il est sujet aux infirmités, à la maladie et il est accessible à tous les péchés possibles et imaginables. Mais Jésus le transformera en un corps de gloire semblable au sien. Dans sa première épître, Jean écrit :
Mes chers amis, dès à présent nous sommes enfants de Dieu et ce que nous serons un jour n’a pas encore été rendu manifeste. Nous savons que lorsque le Christ paraîtra, nous serons semblables à lui, car nous le verrons tel qu’il est (1Jean 3.2).
Déjà maintenant, j’aimerais bien échanger ma carcasse contre un corps de gloire, mais il me faut encore patienter. Cette métamorphose aura lieu au moment de l’enlèvement de l’Église et sera instantanée. Dans sa première épître aux Corinthiens, l’apôtre explique ce qui va arriver. Je lis le passage :
Voici, je vais vous révéler un mystère : nous ne passerons pas tous par la mort, mais nous serons tous transformés, en un instant, en un clin d’œil, au son de la trompette dernière. Car, lorsque cette trompette retentira, les morts ressusciteront pour être désormais incorruptibles, tandis que nous, nous serons changés. En effet, ce corps corruptible doit se revêtir d’incorruptibilité et ce corps mortel doit se revêtir d’immortalité (1Corinthiens 15.51-53).
Ce texte exprime une espérance et une anticipation qui sont particulièrement puissantes.
Dans l’Ancien Testament, la sonnerie de deux trompettes d’argent a plusieurs fonctions ; dans le désert, elle donne aux Hébreux l’ordre de lever le camp. Plus tard, elle sert à rassembler les hommes pour partir en guerre, ou bien à marquer certains moments solennels de la vie religieuse de la nation d’Israël (Nombres 10.2, 9-10).
La prochaine fois qu’une trompette céleste retentira, ce sera l’enlèvement de l’Église. Alors, tous les croyants vivants seront transfigurés et avec ceux déjà dans les cieux, ils recevront un corps glorifié qui a les mêmes propriétés que celui du Christ après sa résurrection. Ce nouveau corps n’a plus les limitations physiques que nous connaissons actuellement, mais il permet de manger, parler, marcher, se déplacer instantanément ou encore de passer à travers les murs. Par contre, la possibilité de pécher, la faiblesse, les déceptions, la douleur, les souffrances, le doute, la peur, la haine et les échecs auront disparu à tout jamais et seront remplacés par un épanouissement total : une joie parfaite (Matthieu 25.21), la plénitude (Psaumes 16.11), la connaissance complète (1Corinthiens 13.12), le confort (Luc 16.25), la consolation (Luc 16.11), et l’amour (1Corinthiens 13.13).
Vers la fin du livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean écrit :
Voyez : à présent Dieu a dressé sa tente parmi les hommes et il la partage avec eux. Désormais il habitera au milieu d’eux ; ils seront son peuple et lui, Dieu, sera personnellement avec eux. Les serviteurs de Dieu et de l’Agneau verront sa face et porteront son nom gravé sur leurs fronts (Apocalypse 21.3 ; 22.4).
Tout cela sera exécuté par la puissance du Christ qui modifiera également la topographie terrestre (Zacharie 14.4-8), et ôtera la cruauté qui caractérise le royaume animal (Ésaïe 11.6-9).
Si le Christ a la puissance de soumettre tout l’univers à son contrôle, il ne fait aucun doute qu’il peut aussi transformer les carcasses misérables des chrétiens pour les rendre conformes à son corps de gloire. En attendant ce jour, Jésus s’adresse à chacun de nous pour dire :
Voici : je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi (Apocalypse 3.20).
Cette invitation à recevoir Jésus dans son intimité est le dernier appel avant l’enlèvement de l’Église et le jugement.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.