Osée 2.20 – 3.5
Chapitre 2
Verset 20
Au 21e siècle, il n’y a pas encore eu un seul jour de paix complète en ce bas monde, c’est-à-dire sans aucune guerre entre nations, peuples ou groupes ethniques. Et je suis quasi certain qu’un conflit existait quelque part chaque jour du 20e siècle. En plus des pertes et des souffrances humaines qu’on ne peut mesurer, des ressources phénoménales sont gaspillées pour fabriquer des armes, pour se battre et entretenir les hostilités. Il n’est donc pas étonnant que sur notre planète, un très grand nombre d’êtres humains vive dans la misère. Pourtant, et même si ce n’est pas pour demain, le jour vient où cette situation dramatique changera parce que Dieu va enfin intervenir. Je continue de lire dans le second chapitre de la prophétie d’Osée.
Je conclurai, en ce temps-là, une alliance pour eux (les Israélites) avec les animaux sauvages et les oiseaux du ciel, et les animaux qui se meuvent au ras du sol. Je briserai l’arc et l’épée, et je mettrai fin à la guerre : ils disparaîtront du pays. Et je les ferai reposer dans la sécurité (Osée 2.20).
L’Éternel va mettre fin à tous les conflits entre les hommes et instaurer une paix totale et durable sur toute la terre (comparez Ésaïe 2.4 ; Michée 4.3-4). Même les animaux dangereux ou sauvages qui précédemment sont décrits comme venant dévorer vignes et figuiers (Osée 2.14) ne seront plus ni destructeurs, ni à craindre (comparez Ésaïe 11.6-9 ; 65.25). Cet état paradisiaque correspond au Millénium que Jésus-Christ instaurera.
Les auteurs des Textes sacrés sont des écologistes dans l’âme parce que Dieu se soucie de sa création, des animaux et de la nature. À cause du péché qui l’habite, l’homme contamine tout ce qu’il touche ; c’est le grand pollueur moral et physique de cet univers. Même dans les endroits les plus reculés de la planète, du sommet de l’Himalaya au plus profond des océans, on trouve des immondices ; partout où l’homme passe, c’est sale et il est même prêt à tout détruire pour satisfaire son appât du gain. De ces immenses troupeaux de bisons qui parcouraient les grandes plaines centrales d’Amérique du Nord, il ne reste plus que quelques spécimens, des curiosités pour touristes. Certaines variétés de baleines comme la grise et celle du Groenland ont été chassées jusqu’à leur quasi-extinction. Elles sont aujourd’hui protégées, mais qui sait le nombre d’espèces animal qui ont entièrement disparu ? En ce moment, et par cupidité, on est en train de tondre à ras les vastes forêts tropicales. Mais un jour, Dieu mettra fin à la tyrannie de l’homme sur Sa création et il n’y aura plus ni prédateur ni proie d’aucune sorte.
Versets 21-22
Je continue de lire le texte du second chapitre du livre d’Osée.
Puis, pour toujours, je te fiancerai à moi. Je te fiancerai à moi en donnant comme dot et la justice et la droiture, l’amour et la tendresse. Je te fiancerai à moi en donnant pour toi la fidélité, et tu connaîtras l’Éternel (Osée 2.21-22).
L’auteur revient au peuple élu qui se réconcilie avec l’Éternel. Cette nouvelle relation est décrite en termes de fiançailles, façon orientale. Au lieu d’un raccommodage, c’est un nouveau commencement avec toute la fraîcheur d’un premier amour.
Dans l’Israël ancien, les fiançailles constituent le mariage juridique. A cette occasion, le mari paie une dot aux parents de sa belle et cette transaction scelle le mariage. Les fiancés sont alors considérés légalement mariés (Deutéronome 20.7 ; 22.23-24). Cependant, la consommation de cette union n’a lieu qu’après la célébration des noces qui peuvent être célébrées jusqu’à un an plus tard.
L’image saisie par Osée évoque le nouveau type de relation établi entre Dieu et son peuple. Il s’agit bien sûr de la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ, même si Osée n’utilise pas cette terminologie.
La relation entre Dieu et son peuple, constitué par les Israélites et les non-Juifs croyants, sera caractérisée par la justice, la droiture, l’amour, la tendresse, et la fidélité de part et d’autre comme dans un bon mariage.
Versets 23-24
Je continue.
En ce temps-là, je répondrai, l’Éternel le déclare, je répondrai à l’attente du ciel, et le ciel répondra à ce qu’attend la terre. La terre répondra au blé, au vin nouveau ainsi qu’à l’huile fraîche, et ceux-ci répondront à l’attente de Jizréel (Osée 2.23-24).
Pour Osée, « Jizréel » a plusieurs significations. Ici, cette plaine représente Israël vaincu par les Assyriens mais qui espère en Dieu. Cette prophétie s’applique au Millénium et sous forme symbolique, car elle annonce une chaîne d’exaucements successifs qui unissent l’Éternel, le ciel, la terre et le peuple de Dieu. Les Israélites crient au blé, au vin et à l’huile qui crient à la terre qui est chargée de les produire, qui crie au ciel qui implore l’Éternel qui dispense des pluies abondantes et la chaleur du soleil pour féconder la terre qui devient alors extrêmement fertile. La plaine guerrière de Jizréel est alors transformée en grenier d’abondance et la nature donne ses produits selon l’ordre établi par le Créateur, et à sa gloire.
Verset 25
Je finis maintenant de lire le chapitre deux.
Et je les répandrai comme de la semence pour moi dans le pays, je prodiguerai mon amour à celle qu’on nommait Lo-Rouhama, et je dirai à Lo-Ammi : “Tu es mon peuple”, et il dira : “Tu es mon Dieu” (Osée 2.25).
La malédiction de la Loi qui a frappé les Israélites est entièrement levée. Après la prospérité agricole, c’est au tour du peuple d’Israël d’être béni. Mais comme il s’agit d’une vision du Millénium, le prophète parle du nouvel Israël qui inclut les non-Juifs qui font partie de la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ. Les détails de l’union de ces deux groupes sont donnés par d’autres prophètes et dans le Nouveau Testament, surtout par l’apôtre Paul.
Les Israélites qui ont été rejetés, qui sont « non-aimés et pas-mon-peuple », seront alors aimés et à nouveau le peuple de Dieu, et ils jouiront de la paix dans leur pays. Ce verset a son parallèle au début du chapitre deux, et il est cité par les apôtres Paul aux Romains, et Pierre dans sa première épître (Romains 9.25-26 ; 1Pierre 2.10) afin de montrer que les Juifs et les païens jouissent de la même possibilité d’être sauvés en Jésus-Christ. Dans sa grâce, Dieu rétablira Israël, et dans sa miséricorde il accorde aussi le salut aux non-Juifs. Et c’est ensemble qu’ils constituent le nouveau peuple de Dieu (Romains 9.24).
Chapitre 3
Verset 1
Nous arrivons maintenant au chapitre trois qui continue l’analogie entre d’une part, l’épouse du prophète qui se rend coupable d’adultère, et d’autre part, Israël Nord qui rejette l’Éternel pour se prostituer aux idoles. Après avoir répudié sa femme infidèle, Osée va la chercher et la rachète ; il doit lui faire la cour comme autrefois, imitant ainsi l’amour intarissable de l’Éternel pour Israël. Je commence de lire le chapitre 3.
Et l’Éternel me dit : Va encore aimer une femme adultère aimant le mal, aime-la comme l’Éternel aime les Israélites, alors que ceux-ci se tournent vers d’autres dieux et se délectent de gâteaux de raisins consacrés (Osée 3.1).
L’Éternel demande à son prophète de donner une nouvelle démonstration de son amour à sa femme, mais au lieu d’utiliser son nom, Dieu l’appelle « une femme adultère » pour bien souligner sa conduite abjecte. Osée établit un parallélisme entre Gomer qui aime le mal et les Israélites qui aiment les gâteaux de raisins.
Par son attitude envers sa femme, Osée exprime l’amour de l’Éternel envers Israël malgré son infidélité répugnante. En effet, au lieu de répondre à l’affection de son Dieu, Israël s’est détourné de lui et s’est tourné vers les idoles et se délecte de gâteaux de raisins, des friandises qui sont au menu des orgies, pendant tout le temps que durent les fêtes voluptueuses qui accompagnent le culte idolâtre de Baal. Ces gâteaux sont semblables à ceux qui sont offerts et mangés en l’honneur de la déesse Astarté, reine du ciel (Jérémie 7.18 ; 44.19).
Verset 2
Je continue.
Je rachetai donc une femme au prix de quinze pièces d’argent, et quatre cent cinquante kilogrammes d’orge (Osée 3.2).
Osée ne se laisse pas démonter par les ordres de l’Éternel et obéit et pourtant il doit avoir le cœur bien lourd.
Comme j’ai grandi dans un petit village, tôt ou tard, tout se sait. Bien entendu, les potins les plus croustillants sont des histoires qui concernent souvent quelqu’un qui est trompé par sa femme. Le pauvre homme fait alors les frais des sourires en coin et des messes basses. Mais cette attitude est cruelle, car l’adultère n’a vraiment rien de drôle, bien au contraire, car il est souvent vécu comme une trahison très douloureuse.
Osée doit donc payer 15 pièces d’argent plus 450 kg d’orge qui valent encore 15 pièces. Pour racheter sa femme qui l’a trompé, le prophète doit payer 30 pièces d’argent, ce qui est le prix moyen d’un esclave (Exode 21.32). Le texte ne dit pas ce qui est arrivé à Gomer, mais ce qu’on sait est qu’elle appartient à un autre homme, soit un maître dont elle est la concubine, soit un souteneur qui loue ses services, soit le gardien du temple de Baal où elle exerce comme prostituée sacrée. À cette époque, les temples païens où on adore les idoles ressemblent beaucoup à des maisons closes.
L’action du prophète qui rachète sa femme devenue esclave est une image de la rédemption, c’est-à-dire le rachat du pécheur, payé par Jésus avec sa mort sur la croix. Dans sa première épître, l’apôtre Pierre écrit :
Vous savez en effet (que ce n’est point par des choses périssables — argent ou or) que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre, héritée de vos pères, (mais) par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache (1Pierre 1.18-19 ; SER).
Verset 3
Je continue le texte.
Et je lui dis : – Pendant de longs jours tu me resteras là, sans te prostituer et sans appartenir à un homme, et j’agirai de même à ton égard (Osée 3.3).
Pendant un certain temps dont la longueur n’est pas précisée, la femme d’Osée est mise à l’écart ; c’est sa punition. Osée partage l’épreuve de la séparation dans l’esprit de loyauté qu’il attend de sa femme. Cette réclusion temporaire correspond à l’exil du peuple de Dieu à cause de son idolâtrie, car alors qu’ils sont en terre étrangère, les Israélites n’ont plus de relation avec l’Éternel, ni avec les divinités païennes auprès desquelles ils se sont prostitués. En fait, c’est également la situation d’Israël aujourd’hui. On n’y pratique pas l’idolâtrie grossière d’antan, mais c’est une nation totalement sécularisée où on ne vénère pas l’Éternel.
Verset 4
Je continue le texte.
En effet, les Israélites resteront pendant longtemps sans roi et sans chef, sans sacrifice et sans stèle, sans statue et sans divinités domestiques (Osée 3.4).
Cette prophétie décrit les conditions de l’exil d’Israël Nord sous trois aspects, mais elle est également applicable au royaume de Juda déporté par les Babyloniens environ 150 ans plus tard.
L’absence de roi et de princes signifie la perte de l’indépendance politique.
« Le sacrifice » est le seul mot de la liste qui fait référence au culte légitime de l’Éternel qui doit être célébré à Jérusalem et pas ailleurs. Une minorité d’Israélites du Nord se rend encore dans la ville sainte pour adorer leur Dieu selon les ordonnances de la Loi de Moïse. Mais une fois en exil, ce n’est évidemment plus possible. Cependant, quand les Assyriens ont envahi le royaume du Nord, beaucoup d’Israélites sont allés se réfugier en Juda chez leurs frères du Sud auxquels ils se sont assimilés.
En exil, ils sont également « sans stèle ». La stèle est une pierre sacrée que les patriarches, et Jacob en particulier, utilisent pour invoquer et adorer l’Éternel (Genèse 28.18, 22 ; 31.13). Cependant, comme les païens s’en servent aussi pour rendre un culte aux idoles, son utilisation fut interdite par la Loi (Lévitique 26.1 ; Deutéronome 16.22), mais ça n’empêche pas les Israélites de s’en servir pour adorer Baal (2Rois 10.26-27 ; Osée 10.1 ; Michée 5.12-14).
La troisième catégorie mentionnée par le prophète est « sans statue et sans divinités domestiques ». Littéralement : « sans éphod et sans théraphim ». D’habitude, l’éphod est le nom de l’habit sacré que revêt le grand-prêtre, mais il désigne aussi une statue qui représente un faux dieu. « Les divinités domestiques » sont des objets occultes ayant la forme de petites statuettes, qui sont utilisées pour la divination façon marc de café. A cette époque, on croit qu’elles portent bonheur et exercent une influence bénéfique dans la maison où elles se trouvent, comme les pattes de lapin ou une amulette. Beaucoup de gens en possèdent : le roi de Babylone (Ézéchiel 21.26) mais aussi ceux qui par ailleurs disent vénérer l’Éternel (Genèse 31.19 ; 1Samuel 19.13, 16) mais Dieu dit avoir la divination et ces statuettes en horreur (1Samuel 15.23 ; 2Rois 23.24). L’éphod et les divinités domestiques sont mentionnés plusieurs fois ensemble dans le livre des Juges (Juges 17.5 ; 18.14, 17, 18-20), une époque où « chacun faisait ce qu’il jugeait bon » (Juges 21.25).
En exil, Israël Nord perd sa souveraineté nationale, ne peut plus adorer l’Éternel et est privé de toutes ses idoles. Dans cette prophétie, Osée dit aussi que les Israélites « resteront pendant longtemps » (en exil) mais n’indique pas combien de temps alors que le prophète Jérémie qui parle au royaume de Juda précise que ses habitants ou leurs descendants reviendront dans leur pays après soixante-dix ans de captivité (Jérémie 25.12 ; 29.10). L’exil des Israélites du Nord est indéfini parce qu’ils se sont dilués dans la masse assyrienne et ont disparu sauf ceux qui, comme je l’ai dit, ont cherché refuge chez leurs frères du Sud.
En l’an 70 de notre ère, les Romains ont détruit Jérusalem et massacré ou vendu les Israélites de Palestine. Or, Luc rapporte que Jésus a prophétisé cette catastrophe quand il a dit :
Ce pays connaîtra une terrible épreuve et le jugement s’abattra sur ce peuple. Ses habitants seront passés au fil de l’épée ou déportés dans tous les pays étrangers, et Jérusalem sera occupée par les païens jusqu’à ce que le temps de leur domination soit révolu (Luc 21.23-24).
Ni Jésus, ni aucun écrivain sacré ne précise quand les Israélites reviendront dans leur pays. On sait que la nation moderne d’Israël est proclamée en 1948, mais leur situation est précaire et ce retour ne correspond pas à une promesse des Écritures. Aujourd’hui, Jérusalem leur appartient, mais en partie seulement, car tous les endroits plus ou moins sacrés sont aux mains des religions catholique, orthodoxe ou musulmane. Le seul vestige religieux qu’ils possèdent est le mur des lamentations qui mesure 50 mètres de long et 18 de haut. Entourés de territoires et de nations qui leur montrent les dents, les Israéliens sont en mauvaise posture et pourraient bien être encore une fois chassés de leur pays, et c’est ce qui arrivera au plus tard quand l’Antichrist les persécutera durant la seconde moitié de la Grande tribulation. Le vrai retour des Juifs dans le pays que l’Éternel leur a donné aura lieu après que l’Église de Jésus-Christ aura été enlevée dans les cieux.
Cette Église que Dieu établit sur terre est constituée d’un peuple céleste qui est en quelque sorte hors de l’espace-temps. D’ailleurs, le mot « église » veut simplement dire « appelé hors de ». Cette Église est en constante mouvance, elle existe un peu partout, mais n’a ni centre géographique ni appellation précise. Les différentes assemblées de croyants se donnent bien des noms de façade, mais ils sont provisoires, terrestres et sans importance. Jésus a dit qu’il établirait son Église mais sans préciser quand. Le matin même de la Pentecôte, si on avait demandé à l’apôtre Pierre : « Sais-tu quel événement va avoir lieu aujourd’hui ? » Il n’aurait pas su quoi répondre. Tout comme le début de l’Église n’a pas été annoncé, le Nouveau Testament ne suggère aucune date pour sa fin et le rapatriement de tous les croyants au ciel, leur véritable domicile. On sait qu’un jour aura lieu l’enlèvement de l’Église qui est l’épouse du Christ et alors seront célébrées les noces de l’Agneau de Dieu qui dureront pendant toute l’éternité. Ceux qui aiment bien festoyer devraient y penser, car s’ils placent leur foi en Jésus, ils seront ajoutés à l’Église et feront donc partie des invités.
Verset 5
Je finis de lire le chapitre trois de la prophétie d’Osée.
Après cela, ils reviendront à l’Éternel leur Dieu et se tourneront vers lui, ainsi que vers David leur roi. Dans la suite des temps, ils viendront tout tremblants à l’Éternel pour bénéficier de sa bonté (Osée 3.5).
Si on poursuit l’analogie entre la femme du prophète et Israël, cette prophétie signifie qu’au bout d’un temps, Gomer s’est repentie et a prié son mari de la reprendre comme son épouse et lui a promis qu’elle serait désormais fidèle. De la même manière, à la fin des temps, quand Jésus-Christ s’assiéra sur le trône, que tout genou fléchira et que toute langue confessera qu’il est le Seigneur, Israël abandonnera définitivement les idoles et retournera à son Dieu. En même temps, tous les Israélites, qu’ils soient à l’origine d’une tribu du Nord ou de Juda et Benjamin, se tourneront vers le Nouveau David, le roi unique, car, avec la conversion religieuse d’Israël, il n’y aura évidemment plus de schisme.
Ce clivage politique a eu lieu au 10e siècle av. J-C (en 931) quand les Israélites du Nord ont refusé de se soumettre à l’autorité de Roboam, fils et successeur de Salomon (1Rois 12), et proclamé Jéroboam I roi des X tribus du Nord.
Comme le premier David l’a fait au début de son règne (2Samuel 2-5), à la fin des temps, le nouveau David qui est le Messie, réalisera l’unité du peuple de Dieu qui comprendra non seulement des Israélites, mais aussi tous les non-Juifs qui ont placé leur foi et leur espérance en Jésus-Christ. Et c’est ensemble qu’ils loueront l’Éternel et jouiront de ses bienfaits. Osée entrevoit ici les bénédictions du Millénium.
La situation actuelle de ce bas monde est peut-être misérable et déprimante, mais ceux qui placent leur confiance en Jésus-Christ ont un avenir radieux assuré.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.