Lévitique 13.47 – 14.45
Chapitre 13
Introduction
Tout le monde connaît l’adage : « Il vaut mieux prévenir que guérir. » Dans le même ordre d’Idée, on est jamais trop prudent quand on veut éviter les maladies contagieuses. On sait par exemple que certaines d’entre elles se transmettent par le biais d’un article de vêtement ayant été en contact avec un porteur de la maladie sans que ce dernier ait lui-même été malade. Le pus qui coule des ulcères des lépreux est non seulement infecte et contagieux, mais il s’attaque aux fibres végétales de certaines étoffes, et il existe des lichens qui adhèrent à la roche, la rongent et la rendent friables. Le chapitre 13 du Lévitique parle longuement des affections de la peau et surtout de la maladie de Hansen, mais il y est également question de certaines moisissures dangereuses et particulièrement difficiles à diagnostiquer et à combattre.
Versets 47-50
Je continue à lire dans le chapitre 13 du Lévitique.
Si une tache de moisissure, du genre lèpre, apparaît sur des vêtements en laine ou en lin, ou sur un tissu ou un tricot de lin ou de laine, ou encore sur une peau ou sur un objet en cuir, si elle devient verdâtre ou rougeâtre, sur le vêtement ou sur la peau, sur le tissu ou le tricot ou sur tout objet en cuir, c’est une sorte de « lèpre des tissus » : on la montrera au prêtre. Celui-ci l’examinera et enfermera l’objet atteint pendant sept jours (Lévitique 13.47-50).
Quand un objet est attaqué par un micro-organisme, on suit la même procédure que pour les personnes. En général, les vêtements de cette époque étaient tissés et le cuir tanné avant qu’il ne soit façonné en un quelconque objet d’utilité courante.
Versets 51-55
Je continue.
Le septième jour, il examinera la tache. Si elle s’est étendue sur le vêtement, le tissu ou le tricot, sur la peau ou l’objet en cuir, il s’agit d’une moisissure maligne ; l’objet est impur. Il le brûlera, quel qu’il soit, car il s’agit d’une moisissure maligne ; l’objet doit être brûlé au feu. Mais si le prêtre constate que la tache ne s’est pas étendue sur l’objet, il ordonnera de le laver, puis il le tiendra enfermé une deuxième semaine. Après ce lavage, il examinera à nouveau la tache ; si elle n’a pas changé d’aspect de façon visible, même si elle ne s’est pas étendue, l’objet est impur et devra être brûlé, que la moisissure l’ait corrodé à l’endroit ou à l’envers (Lévitique 13.51-55).
Même si la tache ne s’est pas étendue, comme elle n’a pas perdu sa couleur verdâtre ou rougeâtre, c’est que la moisissure agit en profondeur et a gagné les fibres internes du vêtement. À cette époque, les habits avaient beaucoup plus de valeur qu’aujourd’hui, où presque tout est fabriqué à la machine à grande vitesse en utilisant des fibres artificielles; les gens essayaient donc de faire durer leurs vêtements le plus longtemps possible.
Versets 56-58
Je continue le texte jusqu’à la fin du chapitre 13.
Mais si le prêtre voit que la tache s’est estompée après le lavage, il arrachera cette partie du vêtement, de la peau, du tissu ou du tricot. Si la tache réapparaît plus tard sur l’objet, c’est une moisissure qui se développe, tu brûleras l’objet où est la tache. Quant au vêtement, au tissu, au tricot, ou à l’objet en cuir que tu auras lavé et d’où la tache aura disparu, tu le laveras une seconde fois, et il sera pur. Telle est la loi relative à une tache de moisissure sur un vêtement de laine ou de lin, sur un tissu ou un tricot ou sur tout objet de cuir selon laquelle on déterminera s’il est pur ou impur (Lévitique 13.56-58).
Dans le cas de moisissures graves qui ne disparaissent pas au lavage, il faut enlever le morceau attaqué. Mais si la pourriture réapparaît, alors, l’objet est irrémédiablement infesté et il n’y a pas d’autres solutions que de le brûler. Cela dit, dans le cas le plus favorable, un simple lavage suffit ce qui n’a rien d’une révélation, et pourtant, ce moyen de désinfection tout ce qu’il y a de plus simple, par l’eau courante, appelée « eau vive » dans les Textes Sacrés, était inconnu des chirurgiens jusqu’après la guerre de 1870. Incroyable mais vrai.
Sous le régime de l’Ancien Testament, le lavage des mains avant les repas était obligatoire, ce qui était une excellence règle, parce qu’à cette époque on mangeait avec les doigts. Le lavage à l’eau courante, séparé par des intervalles permettant de sécher le cuir ou le tissu au soleil, est efficace pour éliminer de nombreux micro-organismes et assurer une bonne aération de la peau ou du textile. Il ne faut surtout pas hésiter à laver une deuxième fois un objet infecté même si la tache a disparu. Ces règles sont encore mentionnées plus loin dans le livre (chapitre 15).
Chapitre 14
Introduction
Nous arrivons maintenant au chapitre 14 du Lévitique qui suit assez logiquement le précédent. Après les prescriptions qui permettent de reconnaître un état d’impureté, viennent les règles concernant la purification de personnes qui sont déclarées impures selon la Loi à cause d’une maladie, mais qui en guérissent. Une fois que le prêtre a prononcé la guérison, on procède à diverses cérémonies dont l’objectif est de purifier rituellement la personne guérie et de réparer la transgression involontaire due à son impureté. En effet, pendant tout le temps de sa maladie, la personne affectée s’est rendue coupable à l’égard de l’Eternel parce qu’elle était dans l’impossibilité de lui rendre un culte.
Le lépreux ne pouvait s’approcher ni du sanctuaire ni des gens bien-portants. Comme il avait été exclu du cultuel et du social, les deux grandes sphères relationnelles de la culture juive, la cérémonie de purification et de réhabilitation du lépreux comprend deux parties. La première avait lieu hors du camp et lui donne le droit d’y rentrer et de se mêler à ses frères; la seconde est célébrée dans le parvis aux abords du tabernacle sept jours plus tard, ce qui lui rend tous les droits et privilèges de l’alliance entre l’Éternel et Israël.
Versets 1-3
Je commence à lire le chapitre 14.
L’Éternel parla à Moïse en ces termes : — Voici la loi concernant la purification de l’homme atteint d’une maladie de peau évolutive, du genre lèpre : on l’amènera au prêtre, qui sortira du camp pour l’examiner (Lévitique 14.1-3).
Quand un malade pense être guéri, il n’est pas libre pour autant de rentrer dans le camp de sa propre initiative. Il doit faire prévenir le prêtre qui vient l’examiner hors du camp. Cette mise à l’écart des lépreux est aussi mentionnée dans l’Évangile; je lis le passage :
À l’entrée d’un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre ; ils s’arrêtèrent à distance et se mirent à le supplier à haute voix : — Jésus, Maître, aie pitié de nous ! (Luc 17.12-13).
Dans les Ecritures, la lèpre est un symbole du mal incurable qui affecte l’homme. Selon cette perspective, il existe un parallèle entre le prêtre de l’Ancien Testament et Jésus, car tous deux sortent pour aller au-devant du malade. Cependant, Jésus, qui a quitté le ciel pour venir à notre aide, a accompli une oeuvre immensément plus grande que le prêtre israélite qui va au-devant d’un lépreux. Jésus a non seulement fait le diagnostic de ma maladie, mais Il m’a aussi apporté la guérison en me purifiant du péché, ma lèpre spirituelle. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :
Ce Fils est le rayonnement de la gloire de Dieu et l’expression parfaite de son être. [..] après avoir accompli la purification des péchés, il siège dans les cieux à la droite du Dieu suprême (Hébreux 1.3).
Verset 4
Je continue le texte du Lévitique.
S’il est guéri de sa maladie de peau, le prêtre ordonnera que l’on apporte en vue de sa purification deux petits oiseaux vivants et purs, un morceau de bois de cèdre, un fil de laine teint en rouge éclatant et une branche d’hysope (Lévitique 14.4).
Le lépreux est accompagné de ses parents ou de ses amis qui s’occupent de la logistique du rituel de purification. Le cèdre est un bois d’excellente qualité. Dur, incorruptible et durable, il ne se pétrifie pas et de plus, il dégage une odeur agréable. Aujourd’hui, il est utilisé dans certains pays comme en Amérique du Nord pour faire des coffres, des armoires et des commodes pour vêtements. L’hysope est une petite plante qui pousse sur les murs et qui était utilisée dans les cérémonies de purification. On en prenait une touffe qu’on attachait avec un ruban écarlate à une branche de cèdre et elle formait un goupillon pour l’aspersion.
Versets 5-7
Je continue.
Il donnera ordre d’égorger l’un des oiseaux au-dessus d’un récipient de terre cuite rempli d’eau de source. Puis il prendra l’oiseau vivant, le bois de cèdre, le fil de laine rouge et l’hysope, et il les trempera avec l’oiseau vivant dans le sang de l’oiseau égorgé, sur l’eau de source. Il en fera sept fois aspersion sur celui qui doit être purifié de la lèpre, il le déclarera pur et lâchera l’oiseau vivant dans la nature (Lévitique 14.5-7).
Cette cérémonie est très inhabituelle. Le sang de l’oiseau doit être mêlé à l’eau d’un ruisseau ou d’un puits, mais pas à celle d’un étang ou d’une citerne. Comme le lépreux est exclu du sanctuaire, la victime est égorgée hors du camp et loin de l’autel où se pratiquent d’ordinaire les sacrifices. Selon la tradition, le corps de l’oiseau était ensuite enterré en présence du prêtre et du lépreux guéri. L’oiseau vivant, quand à lui, est plongé dans l’eau teintée de sang avec les trois objets. L’aspersion qui est répétée 7 fois, signifie qu’une vie pleine et entière a été rituellement impartie à un être qui était auparavant souillé et voué à la mort. L’eau ensanglantée représente la purification physique et spirituelle du lépreux. L’oiseau immolé est une figure du malade sur lequel la mort avait commencé à imprimer son sceau. L’oiseau immolé préfigure le sacrifice de Jésus-Christ. En trempant l’oiseau vivant dans l’eau ensanglantée, il est identifié à celui qui est mort. Lâché dans la campagne, il symbolise la résurrection qui sera inaugurée par Jésus-Christ, et dans le cas présent, l’oiseau vivant symbolise la nouvelle vie de cet homme, qui est maintenant rendu à la liberté. Après le temps d’isolement de sa maladie, il va enfin pouvoir rentrer joyeusement dans le camp et dans la société de ses frères.
La cérémonie de restauration du lépreux est un tableau dramatique qui représente le triomphe de la résurrection, la victoire éclatante de la vie sur la mort, et la purification opérée par le Christ de mon péché, la lèpre spirituelle qui me condamnait à la mort éternelle. L’oiseau qui s’envole librement est aussi une figure du chrétien qui a été affranchi de tous les rites imposés par Dieu au peuple d’Israël. Ils avaient une fonction pédagogique jusqu’à la venue de Jésus. L’apôtre Paul écrit :
Le Christ nous a rendus libres des rites de l’alliance établie au mont Sinaï pour que nous connaissions la vraie liberté. C’est pourquoi tenez bon et ne vous laissez pas réduire à nouveau en esclavage (Galates 5.1).
Toutes les exigences rituelles, fastidieuses et pesantes du système religieux juif, ont été rendues caduques par la venue du Christ; alors n’en créons pas d’autres.
Verset 8
Je continue à lire le texte.
Celui qui est soumis au rite de purification lavera ses vêtements, se rasera tous les poils et se baignera dans l’eau, ainsi il sera pur. Après cela, il pourra réintégrer le camp, mais il restera hors de sa tente pendant sept jours (Lévitique 14.8).
Ainsi s’achève la première phase de la purification du malade guéri. Après un grand nettoyage, il peut réintégrer la communauté, mais ça ne lui donne pas encore le droit de reprendre la vie de famille ou de participer au culte. Il doit encore attendre sept jours qui sont probablement une préparation psychologique pour lui et les siens. En effet, quand on a vécu seul ou rien qu’avec d’autres malades pendant longtemps, ça doit être un peu comme quand on sort de prison, on est déboussolé. Alors la reprise d’une vie commune, sociale et religieuse doit être plutôt stressante comme d’ailleurs tous les chamboulements de mode de vie. En effet, quand l’homme n’a pas d’autres choix, il s’habitue à un mode de fonctionnement donné et l’ajout ne serait-ce que d’une seule personne modifie beaucoup le petit traintrain quotidien. Plus le système social est restreint et plus le petit traintrain est stressé et engendre des conflits; c’est particulièrement vrai dans une famille lors d’une naissance ou d’un décès. Voilà pourquoi il faut du temps pour s’habituer à l’idée qu’il va falloir changer ses façons de fonctionner. Les sept jours de préparation sont une brillante idée, et pour cause, puisqu’elle vient de Dieu. Le malade guéri passe donc 7 jours dans le camp mais sans reprendre une vie normale avec sa famille; puis commence la deuxième phase de sa réintégration progressive.
Versets 9-11
Je continue le texte.
Le septième jour, il rasera tous les poils de sa peau, cheveux, barbe, sourcils et tout autre poil, il lavera ses vêtements, se baignera dans l’eau et alors il sera pur. Le huitième jour, il prendra deux agneaux sans défaut et une brebis dans sa première année, sans défaut, il y ajoutera neuf kilogrammes de fleur de farine en offrande pétrie à l’huile et un demi-litre d’huile. Le prêtre qui procède à sa purification le placera avec tout cela devant l’Éternel à l’entrée de la tente de la Rencontre (Lévitique 14.9-11).
Cette nouvelle purification inclut un rasage plutôt radical. Elle est suivie de trois types de sacrifices : une réparation, une expiation et un holocauste avec offrande végétale. Ils signifient que l’ancienne existence misérable est terminée et qu’une nouvelle vie avec Dieu commence; or, on ne s’approche pas de l’Éternel sans lui faire une offrande.
Versets 12-13
Je continue le texte en résumant.
Le prêtre prendra l’un des agneaux et l’offrira en sacrifice de réparation avec l’huile offerte ; il fera devant l’Éternel le geste de présentation. Il égorgera l’agneau au lieu où l’on immole le sacrifice pour le péché et l’holocauste (Lévitique 14.12-13).
Le sacrifice de réparation est le premier qui doit être offert car il sert à couvrir la faute que le malade maintenant guéri a commis, qu’il ignore, mais qui lui a valu le châtiment de Dieu sous forme de maladie. En effet, le sacrifice de réparation était prescrit pour des cas de culpabilité de nature imprécise, sur lesquels plane une certaine obscurité, car on ne sait pas trop quelle faute a été commise. En temps ordinaire, c’est l’Israélite coupable qui égorge l’agneau de réparation, mais comme il n’est pas entièrement réhabilité, c’est le prêtre qui le fait à sa place.
Versets 14-32
Dans la suite du texte dont je vous ferai grâce, on trouve les mêmes rites que pour la purification et la consécration du prêtre, c’est-à-dire un peu de sang sur l’oreille, le pouce et le gros orteil droit. Ces gestes signifient qu’après son temps d’impureté rituelle, la personne guérie se consacre à nouveau à Dieu. Ensuite, un peu d’huile est répandue devant l’Éternel et une partie appliquée sur la personne, encore sur l’oreille, le pouce et l’orteil, mais aussi sur sa tête ce qui est une expression de joie. Une fois la réparation faite vient le sacrifice pour le péché afin d’expier toutes les fautes que la personne a pu commettre durant sa maladie. Troisièmement, la personne offre un holocauste qui sert à exprimer son sentiment d’adoration et son désir de consécration. Après ces trois sacrifices, elle est définitivement déclarée pure.
La suite du texte donne les directives pour le lépreux indigent. Il peut diminuer la valeur des sacrifices sauf pour celui de réparation parce qu’il est le plus important des trois. Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle tous les détails des prescriptions qui s’y rapportent sont à nouveau données.
Versets 33-45
Je continue maintenant avec la purification d’une maison attaquée par une sorte de moisissure ou de lichen. Je lis des extraits de cette nouvelle section.
L’Éternel parla à Moïse et à Aaron en ces termes : — Lorsque vous serez entrés au pays de Canaan que je vous donne en propriété, si je produis une tache de moisissure, du genre lèpre, à une maison du pays que vous posséderez. Alors le prêtre examinera la tache : s’il voit qu’elle se présente sous forme de plaques verdâtres ou rougeâtres, formant un creux visible dans le mur, il mettra pour sept jours la maison sous séquestre. Il y retournera le septième jour, et s’il constate que la tache s’est étendue sur les murs de la maison, il ordonnera d’arracher les pierres tachées puis il fera racler toutes les parois intérieures et tout jeter à l’extérieur de la ville dans un endroit impur. On remplacera les pierres enlevées par de nouvelles et l’on prendra un nouveau mortier pour recrépir la maison. Si la tache réapparaît dans la maison après qu’on a enlevé les pierres, raclé et recrépi les murs, le prêtre viendra l’examiner ; s’il constate que la tache s’est étendue dans la maison, c’est une moisissure maligne, une sorte de « lèpre » : cette maison est impure. On la démolira (Lévitique 14.33-45).
Ces ordonnances sont données pour l’époque encore à venir quand Israël habitera en Palestine dans des maisons et non plu sous des tentes. Pour cette raison, elles sont placées à la fin des ordonnances sur là lèpre. Il est difficile de se rendre compte de la nature du mal dont la maison est atteinte dans cette partie du texte; ce ne peut pas être des taches de salpêtre ou la carie des murailles, car elles sont blanches ou grises, et non pas verdâtres ou rougeâtres ; puis, elles apparaissent plutôt à l’extérieur qu’à l’intérieur des murailles. Tout ça pour dire qu’on ne connaît pas vraiment la nature de cette affection. Cependant, on croit savoir que jadis, les moisissures étaient plus répandues et plus violentes qu’aujourd’hui et avaient des conséquences qu’elles ne produisent plus de nos jours. Il est possible que ce mal était un jugement de Dieu spécifique dirigé seulement contre son peuple rebelle parce que le texte dit : « si je produis une tache de moisissure, du genre lèpre, à une maison du pays que vous posséderez. Le Talmud, le livre des traditions juives, considère la lèpre des murailles comme le premier avertissement envoyé à ceux qui ont construit leurs maisons avec des gains illicites. Cette lèpre spécifique est une souillure locale car il n’est pas fait état de possibilité de contagion. Les rites de purification d’une habitation débarrassée de cette gangrène suivent de très près la cérémonie pour le lépreux convalescent. Mais ici, l’oiseau libéré symbolise la maison rendue à sa destination première. Ces histoires de lèpres de personnes ou de maisons ne sont pas agréables à lire, mais elles nous rappellent combien l’humanité trempe dans le péché et le besoin des hommes d’un Sauveur.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.