Josué 1.1-8
Chapitre 1
Introduction
On a dit que l’histoire du monde est celle de ses grands hommes. Si ce n’est pas toujours vrai, il est quand même certains personnages qui ont très fortement marqué leur temps. C’est le cas de Josué, le successeur de Moïse désigné par l’Éternel, et qui a dirigé la conquête du pays de Canaan par le peuple d’Israël. Il nous donne un compte-rendu succinct de ces opérations militaires dans le livre qui porte son nom et qui fait immédiatement suite aux livres de la Loi que rédigea Moïse.
Le livre de Josué fait partie des documents historiques de l’Ancien Testament. Cependant, la chronologie des faits n’est pas rigoureuse, car c’est plutôt les sujets traités qui dictent l’ordre dans lequel les événements sont mentionnés. Ce que Josué choisit de nous rapporter, il le fait de manière très sélective et en fonction de l’objectif qu’il s’est fixé, mais sous la conduite de l’Esprit de Dieu qui le dirige. En effet, ce livre comme les 65 autres qui constituent les Textes Sacrés est considéré comme inspiré, c’est-à-dire rédigé sous l’autorité de Dieu.
Cet ouvrage historique couvre une période d’au moins 25 ans. La première phase de la conquête proprement dite a duré environ 7 ans, mais son déroulement ne nous est raconté que de manière très partielle par Josué. Il relate quelques épisodes significatifs qui sont porteurs d’une leçon importante pour la vie de foi du peuple de Dieu, mais il laisse subsister beaucoup de zones d’ombre.
Selon le Talmud, le livre des traditions juives, c’est bien Josué, l’aide de camp fidèle et loyal de Moïse, qui a lui-même écrit le livre qui porte son nom, à l’exception de deux passages : les derniers versets de la conclusion qui fut rédigée par le grand-prêtre Éléazar ; et en second lieu, une référence vers le milieu du livre qui est une addition postérieure datant de la monarchie israélienne. Ces postscriptums ne sont pas rares dans les Écritures; on les trouve disséminés ici et là, à commencer déjà dans les 5 livres de Moïse.
Cela dit, les Écritures ne donnent nulle part l’identité du livre attribué à Josué. On sait cependant que ce livre date bien de l’époque de la conquête. Ainsi, d’après plusieurs passages, il est clair que l’auteur est un témoin oculaire des événements décrits (Josué 5:1,6; 15.4); l’usage fréquent de l’expression « jusqu’à ce jour » et son contexte suggèrent une composition ancienne; d’après le commentaire de l’auteur sur la prostituée Rahab, elle habite toujours avec les Israélites (Josué 6.25); les échecs militaires des tribus (Josué 15.63; 16.10) suggèrent une date antérieure à David et Salomon qui triomphèrent militairement de tous leurs ennemis; les références à « Sidon la grande » (Josué 11:8; 19:28) et aux Phéniciens comme étant des « Sidoniens » (Josué 13:4-6), indiquent une date de composition antérieure au XIIe siècle avant Jésus-Christ, moment où Tyr devint la première cité phénicienne, dépassant Sidon. L’usage de pierres dressées pour commémorer la traversée du Jourdain et d’un « monceau de pierres » sur le corps d’Akân et sur les tombes des rois d’Aï et d’autres villes, est une pratique qui remonte à une époque très ancienne de l’histoire d’Israël. Il est évident, d’autre part, que les Philistins ne sont pas encore une menace pour les Israélites, or, et selon des documents égyptiens, ils le devinrent après 1200 avant Jésus-Christ. D’après un passage de Josué (11:22), ce sont les Anakim qui habitent Gaza, Gath et Asdod, des villes qui appartiendront plus tard aux Philistins. De plus, ces derniers ne sont pas mentionnés sur la liste des habitants du pays (Josué 12:8). Tout ça est barbant, je le conçois, mais c’est pour dire que l’auteur du livre de Josué était au moins son contemporain. Il n’y a donc aucune raison de douter la tradition juive. C’est Josué et personne d’autre qui est l’auteur de ce livre.
On ne peut pas non plus douter que la conquête a vraiment eu lieu car les découvertes archéologiques ont confirmé cette réalité. Des fouilles ont prouvé de façon concluante que plusieurs villes importantes de Canaan furent détruites dans la seconde moitié du XIIIème siècle avant Jésus-Christ, époque probable de la conquête. Les fouilles de Béthel (Beitîn), de Lakis (Tell ed-Duweir), Églon (Tell el-Hesi), Debir (Tell Beit Mirsim), Hatsor (Tell el-Qedah), ont révélé d’épaisses couches de cendres qui permettent d’imaginer une dévastation totale. L’archéologie confirme aussi les listes de villes et les frontières données par Josué (Josué 13-21).
Josué signifie l’Éternel sauve et est l’équivalent du nom Jésus, en français; il est de la tribu d’Éphraïm que son grand-père dirigeait pendant la marche dans le désert et qui était sans doute responsable de transporter le corps embaumé de son illustre ancêtre, Joseph, pour l’enterrer en Terre promise. Josué naquit en Egypte et participa à l’Exode. Compagnon et aide de camp de Moïse, très proche de lui, Josué est donc naturellement et humainement parlant, tout désigné comme son successeur. Dieu a fait en sorte qu’il en soit ainsi.
Josué a largement prouvé son courage et sa foi en se prononçant avec Caleb en faveur d’une invasion de Canaan. Tous deux déclarèrent alors :
« Si l’Eternel nous est favorable, il nous y mènera et il nous donnera ce pays ruisselant de lait et de miel » (Nombres 14:8).
Au moment d’entrer en Terre Promise, ces deux hommes sont les seuls qui subsistent de la première génération d’Israélites parce qu’ils ont eu foi en Dieu. Tous deux s’étaient élevés contre le rapport déprimant des dix autres espions qui ont découragé le peuple, qui fut alors sévèrement châtié par l’Éternel puisqu’il périt dans le désert.
Mais avant cet événement décisif et depuis la sortie d’Égypte, Josué avait déjà acquis quelque importance. C’est lui, en effet qui dirigea les opérations contre Amalek quand ce groupe armé attaqua lâchement les arrières du peuple d’Israël. Plus tard, Josué fut le seul autorisé par l’Éternel à accompagner Moïse sur le mont Sinaï pour y recevoir les tables des X commandements de la Loi.
Comme Moïse au moment de la sortie d’Égypte, Josué est âgé de 80 ans lorsqu’il prend la tête de la nation d’Israël. De nombreux autres points communs apparaissent entre ces deux hommes tout au long du livre. La conquête du Pays est certes l’œuvre de Josué, mais en réalité c’est l’achèvement d’une seule et même entreprise qui commença avec Moïse. Le fait que Josué n’aura pas de successeur confirme encore que ces deux hommes avaient bien le même dessein, la même vision et avaient été choisis par Dieu pour accomplir la même tâche. Ce qui a commencé avec Moïse par une libération des Hébreux de l’esclavage en Égypte se termine avec Josué par l’installation des 12 tribus dans le pays que l’Éternel leur a donné. Le livre de Josué se compose de 3 parties principales ; tout d’abord, les récits de la conquête proprement dite et qui, comme je l’ai déjà dit, couvrent une période d’au moins 7 ans. Ce premier volet reprend et continue l’histoire où le Deutéronome, le 5e livre de Moïse, l’a arrêtée. La deuxième partie de l’ouvrage raconte le partage du pays, ce qui s’apparente plutôt à un document administratif que militaire. Enfin et en troisième lieu, le livre rapporte les derniers actes de Josué, dont le renouvellement de l’alliance.
Ce livre s’attache à souligner les interventions divines dans le but de montrer que c’est le Dieu d’Israël qui combat pour son peuple, lui donne la victoire et son pays, en accomplissement de sa promesse. Mais pour que l’Éternel agisse ainsi, Israël doit demeurer fidèle et obéissant à son Dieu. Cette condition est rappelée ouvertement ou en filigrane tout au long du livre. Par exemple, une expression du type « comme l’Éternel l’avait ordonné » revient assez souvent.
La conquête s’est opérée en deux phases. La première a eu pour objectif l’installation des 12 tribus dans leur territoire respectif et pour y parvenir, les Israélites ont combattu ensemble. Cette phase militaire est la pièce maîtresse de Josué car c’est lui qui a conduit ses troupes à la victoire ce qui a permis à Israël d’occuper à peu près, mais pas entièrement, le pays promis. Le renvoi des forces armées des deux tribus et demi résidant à l’est du Jourdain marque la fin de la première phase. Ensuite, chaque tribu a dû se débrouiller toute seule et achever la conquête du territoire qui lui était échu. Ce processus devait être beaucoup plus lent et progressif comme l’Éternel l’avait déjà laissé entendre à Moïse. C’est aussi ce qui explique que dans le livre de Josué, on trouve un certain nombre de « déjà et de pas encore »; une partie du pays est déjà sous contrôle israélite et une autre ne l’est pas encore.
Les notes triomphantes qui apparaissent ici et là soulignent le succès de la première phase de la conquête. Ces victoires servent ensuite de modèles et d’encouragements à mener à bien la seconde phase qui est l’installation de chaque tribu dans la totalité de son héritage. Les Israélites sont exhortés à considérer le chemin parcouru jusqu’ici afin d’aller de l’avant surtout que l’Éternel continuera à leur donner la victoire sur leurs ennemis tant qu’ils lui demeureront fidèles et obéissants. Tel est aussi le message du dernier discours de Josué.
Au terme de la première phase et de l’installation initiale des 12 tribus dans leur territoire respectif, les populations cananéennes qui subsistent encore ont été décimées et sont bien trop affaiblies pour inquiéter les Israélites. Un certain calme s’installe sur les champs de bataille et chaque camp se satisfait de ce statu quo, ce qui permet un temps d’existence paisible pour les Hébreux jusqu’à la mort de Josué. Mais cette paix relative va rapidement disparaître car peu de temps après la mort de leur chef, les Israélites sombrent dans l’idolâtrie et offensent l’Éternel. Cette apostasie religieuse leur vaudra d’être sévèrement punis et opprimés par leurs ennemis, ce qui est décrit dans le livre des Juges qui suit celui de Josué.
Tout ceci m’amène à dire quelques mots sur l’extermination des populations cananéennes, un récit qui froisse la sensibilité de l’homme moderne. Vue selon la perspective divine et dans son contexte, la conquête avait plusieurs raisons d’être. Tout d’abord, l’état de décadence morale avancée et irréversible dans lequel se trouvent les Cananéens appelle sur eux le jugement divin. Lors de l’étude du livre du Deutéronome, j’ai mentionné le culte qu’ils rendaient au faux dieu Baal et surtout Moloch. Cette idole était fabriquée en métal avec les bras en avant et le corps creux. Pour certaines fêtes religieuses, on y faisait à l’intérieur un feu d’enfer, littéralement. Une fois que l’idole était chauffée à blanc, on déposait sur ses bras métalliques, des petits enfants qui étaient alors brûlés vifs. En sachant cela, on comprend mieux pourquoi l’Éternel a ordonné à Israël l’extermination de ces peuplades.
Le châtiment de Sodome et Gomorrhe ainsi que des autres villes de la vallée de Siddim (Adma, Tseboïm, Tsoar; Genèse 19.24,25), avait été exécuté par l’Éternel lui-même sans recourir à des agents humains. Ici, au moment de la conquête, il utilise son peuple qu’il a mandaté pour cette opération. Le thème du jugement est fondamental et présent tout au long des Écritures, et surtout dans le Nouveau Testament. En effet, le châtiment de ceux qui ne se repentent pas et n’acceptent pas Jésus-Christ comme Sauveur y est décrit en termes bien plus terribles que sous l’Ancienne Alliance. L’extermination des populations cananéennes est une anticipation du jugement dernier, et par conséquent un avertissement à tous ceux qui sont hostiles à Dieu, car sa justice est implacable envers ceux qui ne cherchent pas un refuge en la personne et l’œuvre de Jésus.
Josué apparaît comme un précurseur du Christ qui reviendra un jour pour exercer la sentence divine sur un monde qui lui est hostile, et pour conduire son peuple dans une nouvelle Terre Promise. Parallèlement au jugement divin sur des peuplades décadentes, la conquête israélite a une autre raison d’être; elle révèle aux hommes qui est le véritable Dieu créateur et tout-puissant. En effet, la conquête est aussi un combat contre le paganisme et les idoles, ce qui est une manière pour l’Éternel de se manifester comme le seul vrai Dieu.
La conquête dirigée par Josué a donc été à la fois le châtiment d’une population dégénérée et la révélation de l’Éternel, le seul vrai Dieu. Il faut aussi garder à l’esprit que Dieu n’agit jamais par caprice et que ses châtiments sont bien circonscrits. En effet, le jugement ne tomba sur les Cananéens que lorsque leurs abominations eurent atteint leur comble d’après ce que dit l’Éternel à Abraham selon un passage de la Genèse (15.16). Ensuite, le territoire à conquérir par Israël est bien délimité et le pillage autorisé restreint : Dieu n’encourage nullement une volonté de domination sans bornes et marquée par la violence ou le profit. Ainsi, la plupart des biens capturés par les Israélites étaient, selon l’expression, « voués à l’interdit », c’est-à-dire qu’ils ne devaient pas les conserver mais les détruire.
Cette conquête d’un territoire habité par des peuples paganisés vivants dans une cruauté et une immoralité sans frein, fait partie de la lutte du royaume de Dieu contre le royaume des ténèbres. L’idée de Dieu n’est pas d’y installer un nouveau régime politique dominateur et oppresseur, mais une théocratie dans laquelle le peuple de Dieu est appelé à vivre dans l’obéissance aux lois justes de l’Éternel afin de jouir de la vie et de l’abondance. Mais si après avoir conquis le Pays, les Israélites se mettent à imiter la façon de vivre des peuples qu’ils ont chassés ou exterminés, ils subiront à leur tour le sort qu’ils leur ont infligé. Et c’est exactement ce qui est arrivé comme en témoigne l’histoire d’Israël. Cela dit, le grand thème du livre de Josué est la possession du Pays promis.
Chapitre 1
Versets 1-3
Je commence maintenant à lire le premier chapitre du livre de Josué.
Après la mort de Moïse, serviteur de l’Éternel, l’Éternel dit à Josué, fils de Noun, l’assistant de Moïse : Mon serviteur Moïse est mort. Maintenant donc, dispose-toi à traverser le Jourdain avec tout ce peuple, pour entrer dans le pays que je donne aux Israélites. Comme je l’ai promis à Moïse, je vous donne tout endroit où vous poserez vos pieds (Josué 1.1-3).
Dès les premiers mots, il apparaît tout de suite que ce livre est la continuation du précédent qui s’est terminé par la mort de Moïse et la confirmation de Josué comme nouveau chef. La promesse divine de donner le Pays de Canaan aux descendants d’Abraham fut faite à tous les patriarches, puis renouvelée à Moïse et maintenant elle est enfin sur le point de se réaliser. L’accomplissement de cette promesse est l’un des thèmes principaux du livre. Ce don de ce bon pays par l’Éternel à Israël est juste puisque par définition tout lui appartient. Je cite deux passages qui attestent ce droit divin.
Qui m’a fait des avances pour que je le lui rende ? Sous tous les cieux tout est à moi. Cette sentence est un décret de ceux qui veillent ; cette résolution est un ordre des saints, afin que tous les vivants sachent que le Très-Haut domine sur toute royauté humaine, qu’il l’accorde à qui il veut, et qu’il établit roi le plus insignifiant des hommes (Job 41.3 ; Daniel 4.14).
Évidemment, ces paroles ne font pas forcément plaisir à entendre. Peut-être que certains n’apprécieront pas tellement que quelqu’un s’impose à lui, fût-il Dieu. Mais c’est son droit le plus absolu ; alors soit je courbe l’échine et ça fait mal, soit je me rebelle et ça fera encore plus mal quand le jugement tombera sur moi.
Verset 4
Je continue le texte.
Votre territoire s’étendra du désert jusqu’aux montagnes du Liban et du grand fleuve, l’Euphrate, à travers tout le pays des Hittites jusqu’à la mer Méditerranée, à l’ouest (Josué 1.4).
Les Hittites furent les premiers habitants de Canaan, mais beaucoup avaient immigré au nord de la Syrie et dans l’actuelle Turquie. Le désert constituait la frontière sud du pays. Ces limites représentent un grand pays, presque 500 000 km², tandis qu’aujourd’hui, non seulement les Israélites n’en occupent pas le dixième, mais comme chacun sait, ils sont menacés de droite et de gauche ; tout cela à cause de leur rébellion contre l’Éternel.
Versets 5-7
Je continue.
Tant que tu vivras, personne ne pourra te résister, car je serai avec toi comme j’ai été avec Moïse, je ne te délaisserai pas et je ne t’abandonnerai pas. Prends courage et tiens bon, car c’est toi qui feras entrer ce peuple en possession du pays que j’ai promis par serment à leurs ancêtres de leur donner. Simplement, prends courage et tiens bon pour veiller à obéir à toute la Loi que mon serviteur Moïse t’a prescrite, sans t’en écarter ni d’un côté ni de l’autre. Alors tu réussiras dans tout ce que tu entreprendras (Josué 1.5-7).
Malgré sa vaillance, Josué a besoin d’encouragement tout comme le commun des mortels. Il a vu comment l’Éternel était avec Moïse et il reçoit la garantie de Dieu qu’il en sera de même pour lui. La promesse du succès est liée à la fidélité d’Israël et à l’obéissance à la Loi.
Verset 8
Je continue.
Aie soin de répéter sans cesse les paroles de ce livre de la Loi, dis-les à voix basse jour et nuit afin d’y obéir et d’appliquer tout ce qui y est écrit, car alors tu auras du succès dans tes entreprises, alors tu réussiras (Josué 1.8).
À cette époque, quand on lisait, on articulait les mots à voix basse. Josué et tout le peuple disposent des 5 livres de Moïse qui constituent la Loi. Ils ont donc tout ce qu’il faut pour se rendre agréables à l’Éternel et ainsi bénéficier de sa bénédiction ; en l’occurrence la victoire militaire et la possession du Pays promis.
Il y a bien des années, un Anglais émigra aux États-Unis puis disparut de la circulation. Quelque temps plus tard, son oncle richissime mourut et lui laissa 5 millions de dollars d’héritage. Scotland Yard essaya en vain de le retrouver. On savait qu’il avait habité la ville de Chicago et la police était persuadée qu’il était clochard quelque part. Finalement, un matin d’hiver il fut retrouvé mort gelé dans l’entrée d’un hôtel nauséabond. Il ne s’était jamais soucié de son oncle richissime. Israël s’est comporté de la même façon. La Terre Promise était un pays de lait et de miel; tout ce que les Hébreux devaient faire était de le prendre et d’y vivre en obéissant à la Loi de leur Dieu. Mais ils ont négligé et l’un et l’autre.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.