Apocalypse 6.3-8
Chapitre 6
Verset 3-4
Il est difficile de comprendre comment le peuple et surtout les grands de ce monde peuvent être si facilement bernés. C’est pourtant exactement ce qui est arrivé dans les années 30. Adolf Hitler avait décrit en détail sa haine des Juifs et ses projets de conquête dans son livre intitulé : « Mein Kampf » publié en 1924, soit 15 ans avant le début de la seconde guerre mondiale. Cependant, et aussi incroyable que cela puisse paraître, la France et l’Angleterre persistent à croire Hitler quand il se proclame un homme de paix.
Ils ne bougent pas le petit doigt quand Hitler abolit le Traité de Versailles en reprenant possession de la Rhénanie démilitarisée après la première guerre mondiale. Ensuite ce monstre annexe l’Autriche, la région montagneuse des Sudètes qui va de l’est de l’Allemagne à la Pologne, ainsi que la Tchécoslovaquie.
Dans une tentative désespérée pour éviter la guerre, Neville Chamberlain, premier ministre de la Grande-Bretagne de l’époque, rencontre le dictateur nazi à Munich en 1938. À son retour, un Chamberlain triomphant brandit un bout de papier sur lequel figure une promesse de paix de la main d’Hitler, qui selon Chamberlain « garantit la paix avec l’honneur (la paix pour notre époque) ». Quand, dans la Chambre des Communes, Winston Churchill se lève et déclare que l’Angleterre vient de subir une défaite totale et non mitigée, il se fait huer par les membres du Parlement.
La tromperie d’Hitler fut quasi universelle car très rares sont ceux qui discernent les véritables intentions du dictateur. Ce n’est qu’après l’invasion de la Pologne en septembre 1939 que les alliés comprennent enfin les manigances d’Hitler, mais il est désormais trop tard pour éviter la catastrophe.
Eh bien un scénario semblable se produira à la fin des temps mais le nouvel Hitler sera l’Antichrist.
Je continue de lire dans le chapitre six de l’Apocalypse.
Quand l’Agneau ouvrit le deuxième sceau, j’entendis le deuxième être vivant dire : – Viens ! Un autre cheval sortit : il était rouge feu. Son cavalier reçut le pouvoir de bannir la paix de la terre pour que les hommes s’entretuent, et une grande épée lui fut donnée (Apocalypse 6.3-4).
Apparemment, les êtres vivants qui sont chérubins de leur état sont tous les quatre des généraux et c’est maintenant au tour du deuxième chérubin d’envoyer ses troupes au combat. La couleur du second cheval évoque la guerre, ce que confirme son cavalier qui reçoit « le pouvoir de bannir la paix de la terre ». Au cours de la première moitié de la Tribulation, la paix illusoire que l’Antichrist avait établie, disparaît dans le brasier d’un conflit mondial. Jésus l’a prédit quand il a dit :
Vous entendrez parler de guerres et de menaces de guerre. Attention ! ne vous laissez pas troubler par ces nouvelles, car cela doit arriver, mais ce ne sera pas encore la fin (Matthieu 24.6).
Les hommes s’entre-tueront avec férocité, et les armes actuellement disponibles permettent d’imaginer combien les massacres seront terribles.
À ce deuxième cavalier : « une grande épée lui fut donnée ». En réalité, le mot pour « épée » (grec : machaira) désigne le poignard qui équipe les légionnaires et qui est également l’arme de prédilection des assassins. Le mot « grande » s’applique donc à l’intensité et à l’étendue des combats qui enflamment le monde.
La volonté de l’Antichrist d’être le maître du monde et de le rester par tous les moyens déclenche conflits qui durent pendant la majeure partie de la Tribulation. Dès que la guerre éclate, l’Antichrist qui prend la tête de la confédération occidentale se lance corps et âme dans la bataille afin de tenter de conserver son pouvoir autocratique. Il est aussi rusé à la guerre qu’il l’a été à instaurer une fausse paix. Le prophète Daniel écrit :
Sa puissance ira en croissant, mais non par sa propre force. Il causera d’incroyables ravages et réussira dans tout ce qu’il entreprendra ; il exterminera de puissants adversaires et décimera les membres du peuple saint (Daniel 8.24 ; comparez Apocalypse 6.9 ; Matthieu 24.9). Le roi agira à sa guise, il s’enorgueillira et se croira plus grand que tous les dieux, même plus grand que le Dieu des dieux, il proférera des blasphèmes inouïs contre lui et il parviendra à ses fins jusqu’à ce que la colère divine soit parvenue à son comble (Daniel 11.36). Il envahira aussi le Pays Magnifique et de nombreux peuples succomberont. […] Il étendra sa domination sur différents pays, et l’Égypte elle-même ne lui échappera pas (Daniel 11.41-42).
À partir de l’ouverture du second sceau, c’est la guerre et elle ne cessera vraiment qu’au retour de Jésus-Christ, qui, lui, établira une paix durable.
Verset 5
Je continue le texte.
Quand l’Agneau ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant dire : – Viens ! Et voici que je vis venir un cheval noir. Son cavalier tenait une balance dans la main (Apocalypse 6.5 ; auteur).
Tandis que l’Agneau ouvre le troisième sceau, la voix puissante du troisième chérubin retentit. Par l’ordre de venir au « cheval noir » et à son cavalier, ce troisième général lance ses troupes à l’assaut du monde.
En disant : « Et voici », Jean exprime sa surprise ; il est choqué semble-t-il par la scène sinistre qui est devant lui. Ce « cheval noir » est en effet de très mauvais augure car dans les Écritures la couleur « noir » correspond à la famine et au deuil. Ce sont les conséquences logiques d’une guerre mondiale et des catastrophes naturelles, car les réserves de nourriture sont détruites ainsi que les champs et ceux qui les cultivent. Jésus aussi prédit cette famine à venir quand il dit :
On verra se dresser une nation contre une nation, un royaume contre un autre ; il y aura des famines et des tremblements de terre en divers lieux (Matthieu 24.7).
Ces catastrophes seront les plus graves que l’humanité ait jamais connues.
Le cavalier tient « une balance dans la main », ce qui est une façon d’indiquer qu’une pénurie de nourriture et donc un rationnement strict sera l’une des conséquences de la famine. Chaque fois qu’il y a une guerre c’est le même scénario, les civils souffrent de la faim ; il se crée des camps de réfugiés et il faut faire une queue interminable pour un tout petit peu de nourriture, et encore, s’il y en a de disponible.
Verset 6
Je continue le texte.
Et j’entendis comme une voix venant du milieu des quatre êtres vivants ; elle disait : – Un litre de blé au prix d’une journée de travail et trois litres d’orge pour le même prix. Quant à l’huile et au vin, épargne-les ! (Apocalypse 6.6).
Dès qu’apparaît le cheval noir monté de son cavalier, Jean entend « une voix venant du milieu des quatre êtres vivants ». Mais comme ils se tiennent autour du trône (Apocalypse 4.6), il s’agit probablement de la voix de « Celui qui est assis sur le trône » (Apocalypse 4.2-3). Dieu parlera à nouveau au moment de l’ouverture du cinquième sceau (Apocalypse 6.11).
La voix de Dieu nous rappelle que les jugements apocalyptiques émanent de lui et combien cette famine sera dévastatrice. Littéralement le texte dit : « Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ». Le denier est le salaire moyen d’un ouvrier pour une journée de travail, et selon l’historien grec Hérodote, « une mesure » est la ration journalière d’un soldat. Elle équivaut à peu près à un litre ce qui est insuffisant pour une famille. Quant à l’orge, il a une faible valeur nutritionnelle et sert surtout à nourrir le bétail. Tout ça pour dire que la guerre crée une inflation galopante et que les ouvriers perçoivent maintenant un salaire crève-la-faim qui ne leur permet guère de subsister.
« Quant à l’huile et au vin, épargne-les ! » semble indiquer une abondance de denrées de moindre nécessité. Quelques années auparavant (en 92), l’empire avait subi une grave pénurie de céréales tandis que le vin abondait, ce qui obligea Domitien à demander la réduction des vignobles au profit des cultures céréalières. Mais cela provoqua une telle levée de boucliers que le projet dut être abandonné.
La Tribulation commence donc par une fausse paix suivie de guerres et de famines. Nous sommes à peu près à la moitié des sept années de Tribulation mais le pire est encore à venir.
Versets 7-8 a, b
Je continue le texte.
Quand l’Agneau ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant dire : – Viens ! Et je vis venir un cheval verdâtre. Son cavalier s’appelle “ La Mort ” et il était suivi du séjour des morts (Apocalypse 6.7-8 a, b ; auteur).
Jésus ouvre « le quatrième sceau » et le quatrième chérubin général lance ses troupes à l’assaut du monde. Ici encore, Jean exprime son étonnement devant la scène qui est devant lui, et il y a effectivement de quoi avoir la chair de poule parce que ce cavalier est des plus macabres puisqu’il s’agit de « La Mort et il était suivi du séjour des morts ». Le texte ne pourrait pas être plus concis, et une lame effilée ne pourrait pas être plus tranchante. Avec le quatrième sceau, nous entrons dans « La Grande Tribulation ».
Le mot grec traduit par « verdâtre » (chlôros) a donné les mots « chlore et chlorophylle » en français, parce que c’est un vert pâle tirant sur le jaune. Ce mot peut aussi être rendu par « vert » pour décrire la végétation. Dans l’évangile selon Marc, on lit que « Jésus ordonna de faire asseoir la foule par groupes sur l’herbe verte » (Marc 6.39) ; et plus loin, le texte de l’Apocalypse mentionne des « plantes vertes » (8.7 ; 9.4).
La couleur du « cheval verdâtre » décrit la pâleur de la mort qui est la conséquence inévitable d’une guerre mondiale, d’une famine à grande échelle et de catastrophes naturelles. La scène est encore rendue plus sinistre par la présence « du séjour des morts » (comparez Apocalypse 1.18 ; 20.13-14) qui joue le rôle du fossoyeur qui débarrasse les cadavres derrière « La Mort ».
« La mort », mais d’où vient-elle ? Dans son épître aux Romains, l’apôtre Paul écrit que « la mort est le salaire que verse le péché » (Romains 6.23) ; c’est sa conséquence en quelque sorte. Paul rappelle aussi que :
Par un seul homme, le péché est entré dans le monde et par le péché, la mort, et ainsi la mort a atteint tous les hommes parce que tous ont péché (Romains 5.12).
Adam qui est le premier homme créé choisit de se rebeller contre son Créateur qui l’avait pourtant mis en garde de ne pas désobéir. L’Éternel lui avait dit :
Mange librement des fruits de tous les arbres du jardin, sauf du fruit de l’arbre du choix entre le bien et le mal. De celui-là, n’en mange pas, car le jour où tu en mangeras, tu mourras (Genèse 2.16-17).
Littéralement, Dieu dit : « tu mourras de mort » ce qui est très emphatique. Mais malheureusement, Adam et Ève font fi de cet avertissement solennel ; telle est l’origine du péché. Quant à « la mort », sa conséquence, ce n’est pas seulement la destruction du corps mais aussi et surtout la séparation d’avec Dieu.
La mort s’est étendue, propagée à tous les descendants d’Adam et Ève parce que nous sommes solidaires avec eux dans le péché qu’ils ont commis. C’est un peu difficile à concevoir et je vais donner un exemple. Jeune fille, ma mère grandit dans un village proche de Mulhouse où elle rencontre mon Père soldat pendant la guerre. Après guerre ils se marient et vont s’installer dans une autre région. Quand ils ont quitté l’Alsace, je les ai suivis alors que je n’étais pourtant pas né. Ce qu’ils ont fait, je l’ai fait.
De la même manière, les êtres humains étaient présents en puissance en Adam qui est le chef de file de la race. En tant que tête fédérale, Adam est le représentant de toute la race humaine. Malheureusement, à ce titre, sa désobéissance a été imputée à tous ses descendants. Toute l’humanité passée, présente et à venir, s’est rendue coupable comme un seul homme, de la désobéissance d’Adam. En d’autres mots, j’ai commis le même péché que Adam et Ève et en même temps qu’eux. Or, comme ils ont été condamnés à mort, celle-ci s’est étendue à toute la race humaine et donc un jour je vais mourir.
Ce principe est un peu dur à avaler et à digérer j’en conviens, parce que à priori ça ne semble pas juste. Mais c’est Dieu qui décide ce qui est juste et injuste et nous savons qu’il est parfaitement juste. S’il avait voulu, l’Éternel aurait pu nous placer tous dans le jardin d’Éden et nous faire subir le même test qu’à Adam. Aurais-je mieux fait que lui ? Je ne pense pas et Dieu sait que j’aurais agi comme Adam. Je suis donc juridiquement coupable devant Dieu et les problèmes ne s’arrêtent pas là car la désobéissance d’Adam a perverti son cœur et son âme, ce qui fait que depuis la faute d’Adam, cette nature pécheresse se transmet de parents à enfant.
Nos premiers parents ont contaminé leurs descendants en leur transmettant une nature déchue, rebelle à Dieu. Cette tare a continué d’une génération à l’autre jusqu’à ce que je naisse. Puis j’ai moi-même transmis ma nature déchue à mes enfants et eux ont fait de même et ainsi de suite jusqu’au jour où Dieu tirera un trait sur l’histoire humaine.
À côté de ma culpabilité juridique en Adam, j’ai donc aussi une nature déchue capable de faire ce qui est mal qui me vient tout droit de nos premiers parents. Ce n’est pas tout car troisièmement, je suis personnellement responsable et coupable des fautes que je commets quand je choisis de faire ce qui est mal aux yeux de Dieu.
En résumé donc, je suis coupable devant Dieu de trois manières différentes.
La Mort a trois composantes : physique, spirituelle et aussi éternelle. La première concerne le corps qui retourne à la terre et aux vers. La seconde mort est l’état de séparation entre Dieu et l’être humain car dès la naissance, il n’existe aucune relation entre la créature et son Créateur. L’homme vient au monde en révolte contre Dieu à cause de sa nature rebelle qu’il a héritée d’Adam. Voilà pourquoi l’apôtre Paul écrit aux Éphésiens : « Autrefois vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés » (Éphésiens 1.5).
La troisième mort concerne tous ceux qui n’acceptent pas Jésus comme Sauveur. Ils sont voués à la mort éternelle qui est un état de séparation définitive et irrévocable d’avec Dieu. Cet état est appelé « la seconde mort » vers la fin du livre de l’Apocalypse (Apocalypse 20.14).
Verset 8 c
Je continue le texte.
Il leur fut donné (à la Mort et au séjour des morts) le pouvoir sur le quart de la terre de faire périr les hommes par l’épée, la famine, les épidémies et les bêtes féroces (Apocalypse 6.8 c).
La mort tue et « le séjour des morts qui ne dit jamais assez » comme dit un Proverbe (27.20 ; 30.16) engrange les cadavres. La mission de ce quatrième cavalier résume celles des trois premiers car les calamités des versets précédents conduisent à cette hécatombe. Ce « quatrième sceau » fait le point sur le nombre de victimes comptabilisées jusqu’à présent à cause des guerres, des famines, des épidémies et des bêtes féroces (comparez Ézéchiel 14.21). Si le quatrième sceau était ouvert aujourd’hui, la disparition du quart de l’humanité équivaudrait à un peu plus de 1,8 milliard de victimes. Étant donné le nombre d’armes nucléaires, chimiques et biologiques stockées dans le monde, ce chiffre effroyable est tout à fait plausible.
Les gens périront « par l’épée, la famine, les épidémies et les bêtes féroces ». Le mot traduit par « épidémies » (thanatos) signifie « mort », mais il englobe aussi les victimes des armes biologiques et chimiques, ainsi que des catastrophes naturelles, ce que Jésus a prédit dans son discours sur la fin des temps (Matthieu 24.7). Les épidémies font toujours plus de victimes que les catastrophes naturelles et même que les guerres.
Entre 1918 et 1919, par exemple, la grippe espagnole a fait 30 millions de victimes, soit trois fois plus que le nombre de soldats qui ont trouvé la mort au cours de la première guerre mondiale. Par ailleurs, à la même époque, plusieurs millions de personnes périssent du typhus en Russie, en Pologne et en Roumanie. La guerre entraîne des famines ou une sous-alimentation qui crée un terrain favorable aux épidémies.
La mention de « bêtes féroces » peut paraître curieuse étant donné que la plupart des animaux susceptibles d’être dangereux pour l’homme, comme le loup ou l’ours par exemple, se trouvent isolés dans des régions plus ou moins inhabitées. Mais cela n’est vrai que dans les pays fortement industrialisés. Il existe encore bien des endroits dans le monde où les animaux sauvages font des ravages dans la population locale.
De plus, chez nous, il ne faut pas oublier le rat qui se multiplie à une vitesse vertigineuse dans les villes, quand les conditions s’y prêtent comme en temps de guerre. Les rats dévorent les stocks de nourriture et propagent des maladies comme la peste noire ou bubonique, qui au 14e siècle a décimé le quart de la population européenne.
Depuis cette vision de Jean, rien ne s’est produit dans l’histoire de l’humanité qui puisse être l’accomplissement de l’ouverture de ces quatre sceaux, et ces jugements ne sont que « les premières douleurs de l’enfantement » selon les paroles de Jésus (Matthieu 24.8), car le pire est encore à venir avec trois sceaux, les trompettes et les coupes. Le monde impie va apprendre à ses dépens ce que signifie « Il est terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant ! », paroles qu’on trouve dans l’épître aux Hébreux (10.31). Pendant la Grande Tribulation, « la mort et le séjour des morts » vont chevaucher côte à côte et parcourir le monde sans la moindre retenue au point où Jésus a prédit :
Vraiment, si le Seigneur n’avait pas décidé de réduire le nombre de ces jours, personne n’en réchapperait ; mais, à cause de ceux qu’il a choisis, il abrégera ce temps de calamité (Matthieu 24.22).
Aujourd’hui, beaucoup de journaux quotidiens ont une rubrique nécrologique avec une liste partielle de ceux qui ont reçu la visite de la dame à la faux, parce que depuis Adam la mort règne. Cependant, dans sa première épître aux Corinthiens, l’apôtre Paul écrit :
Le dernier ennemi qui sera anéanti, c’est la mort (1Corinthiens 15.26). Alors se trouvera réalisée cette parole de l’Écriture : La victoire totale sur la mort a été remportée. Ô mort, qu’est devenue ta victoire ? Ô mort, où est ton dard ? (1Corinthiens 15.54-55).
Effectivement, vers la fin de l’Apocalypse, après le jugement du grand trône blanc, on lit :
La mort et le séjour des morts furent précipités dans l’étang de feu (Apocalypse 20.14).
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.