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05 mars 2026

Amos 4.1-5

Chapitre 4

Introduction

Sous nos tropiques, si un jeune homme fait la cour à sa belle et lui dit : « tu ressembles à une vache normande », on a de bonnes raisons de mettre en doute ses talents de Don Juan. Ah oui, mais s’il est récemment arrivé du Proche-Orient il est tout à fait excusable, car les poètes arabes comparent les plus belles femmes à des vaches. Absolument ! Et dans le livre « Le Cantique des cantiques », Salomon fait les plus beaux compliments à sa bien-aimée en utilisant des images qui ne nous sont pas habituelles ; c’est le moins qu’on puisse dire. Mais son élan romantique confirme bien mes dires et montre combien la culture influe le comportement et la perception des gens. Je lis un passage du Cantique des cantiques :

Que tu es belle, ô mon amie, que tu es belle ! Tes yeux ressemblent à des colombes dessous ton voile, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres aux flancs du mont Galaad. Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis passé aux mains des tondeurs qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire. Voici tes lèvres comme un ruban écarlate, combien ta bouche est charmante ! Et tes tempes ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile. Ton cou ressemble à la tour du roi David, bâtie comme un arsenal : mille rondaches y sont pendues, tous les pavois des héros. Comme deux faons, sont tes deux seins, comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles et qui vont paître parmi les lis (Cantique des cantiques 4.1-5).

Verset 1

Je commence maintenant à lire le chapitre quatre du livre d’Amos.

Écoutez bien ceci, ô vaches du Basan qui demeurez sur les montagnes de Samarie, qui opprimez les pauvres, qui maltraitez les indigents, vous qui dites à vos maris : Apportez-nous à boire ! (Amos 4.1).

Le Basan est un plateau situé à l’est du Jourdain, au nord de Galaad et au sud du mont Hermon. Cette région est alors réputée pour ses forêts, ses pâturages et ses troupeaux qui sont les plus beaux de la Palestine (comparez Jérémie 50.19 ; Ézéchiel 39.18 ; Michée 7.14).

Le prophète apostrophe ici les « vaches du Basan », c’est à dire les femmes riches de Samarie, mais comme je l’ai dit, ce n’est pas une insulte, bien au contraire. Ce qu’il dénonce est l’attitude désinvolte de ces grandes dames qui mènent une vie de grande aise dans un confort obscène, et le pire est que cela ne leur suffit pas. Pour satisfaire leur avidité à posséder toujours davantage, elles poussent leur riche mari à exploiter les plus démunis. Maintenant, on peut quand même se demander comment ils s’y prennent puisqu’il est évidemment impossible d’extorquer ceux qui ne possèdent rien. Eh bien en Israël, depuis le partage du pays par Josué, chacun possède un patrimoine qui provient de ses ancêtres, et les pauvres sont ceux qui n’ont rien d’autre. Alors les riches s’arrangent pour que ces démunis s’endettent afin de les forcer à vendre leur héritage.

La loi ne manque pas de garde-fous, de règles protectrices pour prévenir ces abus, et elle prévoit que même celui qui est endetté jusqu’au cou, peut un jour récupérer son héritage : sa terre et sa maison.

Il faut savoir que la loi de Moïse comporte des éléments qui sont d’une avancée sociale inégalée. Tous les 49 ans, le 10e jour du septième mois commence la cinquantième année appelée « Jubilé ». Ce mot dérive de l’hébreu (yobhel) qui signifie « corne de bélier, trompette ». Le mot « jubilé » vient de la coutume de proclamer le début de la cinquantième année par le son de la trompette. L’institution de cette fête se trouve dans le livre du Lévitique. Je le lis :

Vous compterez sept années de repos, soit sept fois sept ans, c’est-à-dire une période de quarante-neuf ans. Le dixième jour du septième mois, le Jour des expiations, vous ferez retentir le son du cor à travers tout le pays. Vous déclarerez année sainte cette cinquantième année et, dans tout le pays, vous proclamerez la libération de tous ses habitants. Ce sera pour vous l’année du jubilé ; chacun retrouvera la possession de sa terre, et chacun retournera dans sa famille. [..]. Si donc vous vendez une propriété à votre compatriote, ou si vous en achetez une de lui, qu’aucun de vous ne lèse son compatriote. Vous fixerez le prix d’achat ou de vente d’une terre en tenant compte du nombre d’années écoulées depuis le dernier jubilé, et donc du nombre d’années de récolte jusqu’au prochain jubilé. Selon qu’il reste plus ou moins d’années, le prix d’achat sera élevé ou faible, car, en fait, ce qui est vendu, c’est un certain nombre de récoltes (Lévitique 25.8-16).

Il faut savoir que sous le régime de l’Ancienne Alliance, chaque 7e année est une année de repos sabbatique et l’année du Jubilé également, ce qui fait deux années sabbatiques qui se suivent. En cette 50e année, le 10e jour du 7e mois qui est aussi le Yom Kippour, c’est à dire le grand Jour des expiations, on proclame au son de la trompette l’affranchissement de tous les Israélites asservis à des compatriotes, ainsi que le recouvrement de la propriété familiale à ceux qui, pressés par l’indigence, ont dû la vendre. C’est un peu comme si tous les 49 ans on remettait toutes les pendules à l’heure de Dieu en supprimant toute les dettes.

Il s’en suit que la valeur des terres en vente dépend de la date du prochain Jubilé puisque dans la réalité, l’acquéreur ne paie qu’un usufruit proportionnel à la durée de l’occupation temporaire du bien acquis. Cependant, cette règle ne s’applique pas aux biens immobiliers et agricoles, situés à l’intérieur d’une ville entourée de murailles, parce que ceux-ci ne font pas partie des parts de la Terre promise, c’est à dire des héritages qui à l’origine furent alloués à chaque famille israélite par Moïse et surtout par Josué.

Par contre, les maisons de villages qui ne sont pas entourés de murs sont assimilées à des fonds de terre et reviennent à leur réel propriétaire l’année du Jubilé. Quant aux maisons des Lévites, chargés du service du culte, ces propriétés sont soumises aux prescriptions du Jubilé, même si elles se trouvent à l’intérieur d’une ville entourée de murailles (Lévitique 25.8-55 ; 27.17, 18 ; Nombres 36.4). Compliqué tout ça.

Comme tous les sept ans, les terrains cultivables doivent être mis en jachère, Dieu promet que la récolte de la 6e année sera suffisante pour couvrir les besoins jusqu’à la prochaine récolte (Lévitique 25.20-22).

Le Jubilé et ces lois ont évidemment pour but d’empêcher la formation d’un paupérisme permanent et l’asservissement d’une classe de la population à une autre. Comme l’année sabbatique, Je Jubilé repose sur le grand principe formulé par Moïse où l’Éternel dit :

Une terre ne devra jamais être vendue à titre définitif car le pays m’appartient et vous êtes chez moi des étrangers et des immigrés (Lévitique 25.23).

Les Israélites sont donc de simples locataires ; bien plus, leur personne appartient à l’Éternel qui a dit :

Les Israélites sont mes serviteurs, parce que je les ai fait sortir d’Égypte. Je suis l’Éternel votre Dieu (Lévitique 25.55).

Voilà donc pourquoi les Israélites ne doivent jamais s’emparer durablement ni de la liberté ni de l’héritage de leurs compatriotes. Même si le Jubilé a rarement été appliqué à la lettre, cette institution a une grande valeur sociale car elle enseigne le respect de la liberté individuelle, la restitution des propriétés aliénées et la pratique d’une vie simple.

Le prophète Ésaïe (61) utilise le Jubilé comme une image des temps messianiques parce que c’est une figure prophétique de la situation sociale idéale qui prévaudra pendant le règne de mille ans de Jésus sur cette terre. Alors, la dette de l’humanité ayant été acquittée à la croix, toute personne humaine sera affranchie et n’aura pas d’autre maître que Dieu lui-même, et la sainteté, l’amour, le bien-être et le repos régneront en ce bas monde.

Dans son imposant discours du jour de la Pentecôte, l’apôtre Pierre fait allusion à l’époque bénie du millénium quand il dit :

Jésus doit demeurer au ciel jusqu’au jour où l’univers entier sera restauré, comme Dieu l’a annoncé depuis des siècles par la bouche de ses saints prophètes (Actes 3.21).

Malheureusement, en Israël Nord, la justice est corrompue jusqu’à la moelle ; ceux qui sont chargés de faire respecter la loi se conduisent comme des requins et la société est devenue une jungle où les plus forts dévorent les plus faibles. Et pour faire bon poids bonne mesure, aux maux sociaux s’ajoutent une immoralité débridée et l’idolâtrie, ce qui n’est guère étonnant puisque les deux vont souvent de pair. Voilà pourquoi l’Éternel envoie Amos avertir son peuple qu’à moins d’un revirement spectaculaire de sa part, la nation sera sévèrement jugée, et comme les Israélites ont refusé de se repentir, le royaume du Nord fut rayé de la carte.

Amos dénonce donc l’exploitation odieuse des pauvres par les riches. Non seulement ça, mais « les vaches du Basan », c’est à dire les grandes dames de Samarie, disent aussi à leurs maris : « Apportez-nous à boire ! » Or, il y a tout à parier que ce vin provient d’une extorsion supplémentaire d’un pauvre métayer.

Le mot pour « maris » est intéressant parce qu’il est peu fréquent dans les Écritures, désigne très rarement un mari, mais veut plutôt dire « maître ou seigneur » (Genèse 18.12 ; Psaumes 22.12). Si Amos choisit ce mot, c’est pour se moquer de ces maris qui sont censés être les maîtres chez eux mais qui en réalité se comportent en serviles serviteurs qui obéissent au doigt et à l’œil à leurs mégères. Et la seule façon pour eux de satisfaire leur goût du luxe est d’exploiter honteusement et sans scrupule les pauvres gens. Ce sont les « vaches du Basan » qui par l’intermédiaire de leurs maris, oppressent les démunis.

Verset 2

Je continue le texte.

Le Seigneur, l’Éternel, a juré : Aussi vrai que je suis saint, voici venir des jours où l’on vous traînera vous-mêmes avec des crocs, et votre résidu avec des hameçons (Amos 4.2 ; Autre).

Ce « résidu » désigne les enfants qui n’ont pas été massacrés par les Assyriens. Il faut aussi savoir que la dernière partie de ce verset comporte des mots dont la signification est ambiguë, ce qui fait qu’ils ont induit en erreur les traducteurs de l’ancienne version grecque qui ont compris : « Des exterminateurs pleins de fougue jetteront ceux qui sont avec vous dans des chaudrons plein d’eau bouillante ». De toute façon et ce qui est sûr et certain est que Dieu n’est pas d’humeur à plaisanter. Le crime est un crime et le péché est un péché, parce que Dieu est Dieu. Sa nature sainte est furieuse contre tout ce qui l’offense. Et pour bien souligner combien il est scandalisé par la conduite de son peuple ainsi que la certitude de son jugement, il jure au nom de sa sainteté. Or, elle a été profanée par les péchés sans nombre des Israélites.

L’image : « voici venir des jours où l’on vous traînera vous-mêmes avec des crocs », que nous dessine le prophète fait penser à des animaux encordés que l’on traîne à la boucherie, et c’est exactement ce qui s’est passé. Des bas-reliefs assyriens montrent des prisonniers de guerre emmenés avec une corde fixée à des crochets perçant le nez ou la lèvre inférieure des captifs. C’est une représentation de l’exil à venir des Israélites et aussi ce qui est arrivé à certains de leur rois. Dans le second livre des Chroniques, on lit :

Alors l’Éternel fit venir contre eux (les Israélites du sud) les généraux du roi d’Assyrie, qui capturèrent Manassé. Ils lui mirent des crochets au nez, l’attachèrent avec des chaînes de bronze et l’emmenèrent à Babylone (2Chroniques 33.11).

Parfois, on dit de certains qu’ils sont accrochés à la drogue ou à un vice quelconque. Ici on peut dire que les Israélites du Nord sont accrochés au péché ce qui les destine au jugement : la mort ou l’exil.

Verset 3

Je continue le texte.

Vous devrez sortir par les brèches, chacune devant soi, vous serez chassées vers l’Hermon, l’Éternel le déclare (Amos 4.3).

Le mot « Hermon » est une traduction « au petit bonheur la chance » d’un mot hébreu totalement inconnu.

Comme les murailles de Samarie sont détruites par les Assyriens, point besoin de passer par les portes pour sortir, il n’y a qu’à aller droit devant soi. Les femmes à qui Amos s’adresse sont simplement bousculées à l’extérieur puis enchaînées en file indienne, et puis en avant toute, direction l’Assyrie. En route, elles sont forcées de passer au pied du mont Hermon, situé dans les premiers contreforts du Liban au nord d’Israël, puis elles traversent le Basan. L’ironie du passage est que les « vaches du Basan » ligotées et maltraitées sont devenues « la charogne du Basan ».

Après avoir apostrophé les grandes dames de Samarie, nous arrivons à un nouveau paragraphe dans lequel Amos critique vertement et sur un ton ironique, le culte formaliste que les Israélites pratiquent et par lequel ils croient pouvoir se décharger de leurs péchés et plaire à Dieu.

Verset 4

Je continue le texte.

Allez donc à Béthel et transgressez la loi, et, à Guilgal, transgressez-la encore plus ! Offrez tous les matins vos sacrifices, et le troisième jour vos dîmes (Amos 4.4).

Ce verset est une sorte de parodie de l’exhortation du prêtre à des pèlerins venus à Jérusalem pour adorer l’Éternel (comparez Psaumes 95.6 ; 96.8-9 ; 100.2-4). Comme Béthel, Guilgal est un sanctuaire du royaume du Nord (Osée 4.15) situé à environ 25 km à l’est de Béthel et à 2 km au nord-est de Jéricho. Il existe très certainement un veau d’or à Guilgal bien que cela ne soit pas mentionné explicitement. En toute probabilité, Béthel et Guilgal sont les deux centres idolâtres les plus importants du royaume des X tribus du Nord (Osée 4.15 ; 9.15 ; 12.11), car les Écritures ne disent pas grand-chose du veau d’or que Jéroboam I avait installé à Dan à l’extrémité nord du pays (1Rois 12.29 ; 2Rois 10.29 ; Amos 8.14).

Un monument composé de douze pierres ramassées dans le Jourdain avait été érigé à Guilgal pour commémorer la traversée du fleuve par les tribus d’Israël au moment de la conquête du pays de Canaan (Josué 4.20). C’est aussi à Guilgal que les Israélites ont été circoncis, fêté la première Pâque dans le Pays promis (Josué 5.2-9) et ont dressé leur premier campement (Josué 14.19).

Les Israélites accomplissent des devoirs religieux mais ils sont totalement dépourvus de vie, de conviction. Pour l’apparence, ils maintiennent une adoration de façade qui ressemble aux prescriptions du système lévitique ordonné par la Loi, mais ce sont des cérémonies vides, des rites sans valeur qu’il faut faire pour, pensent-ils, s’attirer les grâces du ciel, un peu comme les formules magiques ou de sorcellerie ou encore les gestes que font les gens superstitieux les vendredi 13. Il va sans dire que l’Éternel n’apprécie pas du tout ce genre de croyance et de pratique des Israélites du Nord et il va les juger sévèrement.

En Israël Nord, le formalisme religieux hypocrite constitue toute la religion du peuple. Soit dit en passant que c’est aussi une description du christianisme traditionnel. Quand j’étais enfant, les femmes qui allaient à la messe étaient considérées comme des « crapauds de bénitier » par les hommes qui, eux, allaient au bistrot.

Le déclin social et religieux que dénonce Amos présage déjà l’attitude qu’adopteront les chefs religieux juifs du premier siècle, et que Jésus a vivement critiquée. Matthieu rapporte que le Seigneur leur a dit :

Malheur à vous, spécialistes de la Loi et pharisiens hypocrites ! Vous vous acquittez scrupuleusement de la dîme sur la menthe, l’anis et le cumin, mais vous laissez de côté ce qu’il y a de plus important dans la Loi, c’est-à-dire la justice, la bonté et la fidélité. Voilà ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger le reste (Matthieu 23.23).

Quand Amos dit : « Allez […] et transgressez la loi », cet encouragement ironique à enfreindre la Loi se rapporte à l’idolâtrie et aux relations avec les prostituées sacrées qui accompagnent souvent les sacrifices offerts au veau d’or. C’est un peu comme si aujourd’hui on disait : Allons à l’église et organisons une partouze.

Toujours avec sarcasme et une bonne dose de soude caustique, Amos exhorte les Israélites d’aller offrir la deuxième dîme, celle qui est destinée aux pauvres (Deutéronome 14.28 ; 26.12), tous les trois jours au lieu de tous les trois ans comme la Loi l’ordonne.

Verset 5

Je continue le texte.

Faites brûler de la pâte levée pour les offrandes de reconnaissance, claironnez vos dons volontaires, proclamez-les à haute voix, puisque c’est là ce qui vous plaît, Israélites, c’est là ce que déclare le Seigneur, l’Éternel (Amos 4.5, Auteur).

Amos poursuit son discours sur un ton mordant. Il encourage les Israélites à continuer leurs pratiques religieuses selon les règles strictes de la loi de Moïse. Mais il sous-entend que de toute façon ce qu’ils font ne sert à rien ; c’est aussi utile qu’un coup d’épée dans l’eau parce que l’Éternel a en horreur le respect de la forme extérieure du culte quand l’adorateur n’y met pas son cœur. Le prophète Ésaïe écrit :

Cessez de m’apporter d’inutiles offrandes : j’ai l’encens en horreur ; quant aux nouvelles lunes aux sabbats et aux assemblées, je ne veux plus de ces rassemblements de culte de gens qui font le mal. Oui, vos nouvelles lunes, toutes vos fêtes, je les déteste, elles sont un fardeau pour moi ; je suis las de les supporter (Ésaïe 1.13-14).

Les Israélites traitent l’Éternel comme s’il était une vulgaire idole au service des hommes, qui se satisfait de quelques rites par-ci par-là. Ici, Amos fait référence au sacrifice de communion dont le but est d’exprimer sa gratitude à Dieu. Il est accompagné de gâteaux pétris sans levain parce qu’en général, dans les Écritures, le levain représente le péché.

Non seulement les Israélites doivent strictement accomplir tous leurs devoirs religieux, mais il ne faut surtout pas qu’ils oublient de publier leurs bonnes actions sur tous les toits afin qu’elles ne passent pas inaperçues et qu’on puisse les applaudir. Les critiques que le prophète Amos adresse aux Israélites du Nord sont cinglantes mais toujours d’actualité dans toutes les religions du monde, et malheureusement même chez bon nombre de ceux qui fréquentent une église d’obédience évangélique.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

sept. 27 2023

Émission du jour | 2 Rois 6.1 – 7.7

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