Les émissions

03 sept. 2026

Aggée 1.1-4

Chapitre 1

Introduction

Mon expérience personnelle a au moins le mérite d’être une source d’informations, qui si j’en tiens compte m’éviter de répéter les mêmes erreurs que par le passé. La connaissance de l’histoire est utile pour la même raison. Quand j’étais en secondaire, je trouvais passionnant d’écouter un bon prof raconter comment s’étaient déroulés les événements des siècles précédents. Par contre, quand il fallait apprendre par cœur des dates, c’était la galère parce que je ne pouvais pas imaginer une activité qui soit plus barbante. Et pourtant les dates sont utiles car elles nous permettent de nous situer dans le temps, et les grands personnages qui nous ont précédés et ont fait l’histoire nous donnent des points de repère.

La plupart des prophètes de l’Éternel qui situent leur ministère dans le temps utilisent les règnes des rois israélites, mais suite à l’invasion de la Palestine par les Babyloniens et la fin politique du royaume de Juda, les circonstances importantes liées au peuple de Dieu ont été rattachées à des souverains païens.

Verset 1

Je commence maintenant de lire le livre d’Aggée.

La deuxième année du règne du roi Darius, le premier jour du sixième mois, l’Éternel adressa la parole à Zorobabel, fils de Shealtiel, gouverneur de Juda, et à Josué, fils de Yehotsadaq, le grand-prêtre, par l’intermédiaire du prophète Aggée. Voici les termes de ce message (Aggée 1.1).

Dans les écrits postérieurs à l’exil babylonien il est fréquent de donner une date précise à une prophétie (comparez Zacharie 1:1,7 ; Daniel 7:1; 8:1; 9:1 ; Ézéchiel 8:1), et comme je viens de le dire, Aggée situe les événements par rapport à un roi non israélite. S’il introduit cette nouvelle manière de compter c’est parce qu’il n’y a pas moyen de faire autrement. C’est aussi une façon de mettre en évidence ce que Jésus a défini comme « le temps des nations ». En effet, le ministère d’Aggée fait partie de cette période historique qui a commencé avec la déportation des Juifs à Babylone, période dans laquelle nous sommes aujourd’hui. Dans son évangile, Luc rapporte que Jésus l’a mentionnée quand il a dit :

Jérusalem sera occupée par les païens jusqu’à ce que le temps de leur domination soit révolu (Luc 21.24).

C’est donc un « Darius » qui règne sur le Moyen-Orient, oui mais lequel ? Des Darius rois de Perse, il y en a eu des voici et des voilà. Bon j’exagère un peu mais on en connaît plusieurs. Il y a eu Darius II surnommé Nothus (423-404) et Darius III Codoman (380-330), qui ont régné respectivement à la fin du 5e siècle, et au 4e siècle avant Jésus-Christ. Cependant, ni l’un ni l’autre ne peut convenir parce que selon un passage du livre d’Aggée, il y a encore parmi les colons juifs, des vieillards qui ont vu le Temple de Salomon détruit en 586 avant Jésus-Christ. En effet, Aggée dit :

Reste-t-il, parmi vous, quelqu’un qui ait connu ce Temple dans son ancienne gloire ? Et à présent, comment le voyez-vous ? N’est-il pas comme rien aujourd’hui à vos yeux ? (Aggée 2.3).

Nous sommes donc vers la fin du 6e siècle avant Jésus-Christ, ce qui fait que le Darius mentionné par Aggée ne peut être que le fils d’Hystape, de race royale persane. Ce souverain a effectivement régné à cheval sur le sixième et cinquième siècle avant Jésus-Christ (522-486). Ce Darius est célèbre dans l’histoire pour ses campagnes militaires contre les Grecs, des expéditions qui ont d’ailleurs mal tournées pour lui.

Le premier oracle de la prophétie d’Aggée est prononcé « la deuxième année du roi Darius et le premier jour du sixième mois ». Il s’agit bien de la seconde année de règne de Darius, mais du sixième mois du calendrier juif (Elul). Ce premier jour du mois on célèbre la nouvelle lune, ce qui veut dire que c’est un jour de fête cultuelle (Nombres 10.10 ; 28.11). Dans nos années, cette date correspond au 29 août 520 avant Jésus-Christ.

La prophétie d’Aggée est adressée à Zorobabel, un nom qui signifie « dispersé à Babylone », c’est-à-dire « né dans la diaspora à Babylone ». Dans le livre d’Esdras, Zorobabel s’appelle aussi « Sheshbatsar » (Esdras 1.8, 11 ; 5.14, 16), probablement un nom ou titre persan qu’il porte à la cour du roi Cyrus.

D’après le premier livre des Chroniques (1Chroniques 3.17-19), Zorobabel est prince de sang et l’héritier légitime du trône de David parce qu’il est le petit-fils du roi de Juda Yekonia aussi appelé Yehoyakîn. Malgré les chamboulements dus à la fin politique de Juda et à l’exil du peuple choisi, c’est un descendant de la dynastie de David et donc le chef légitime des Israélites, ce qui est conforme à la prophétie de Jacob qui a dit :

Le sceptre ne s’écartera pas de Juda, et l’insigne de chef ne sera pas ôté d’entre ses pieds jusqu’à la venue de celui auquel ils appartiennent et à qui tous les peuples rendront obéissance (Genèse 49.10).

Le roi Yehoyakîn a eu plusieurs fils. L’aîné s’appelle Shealtiel et l’un de ses frères Pedaya. Pourquoi mentionner ces deux hommes ? Eh bien, parce que les histoires de famille ne sont jamais simples. En effet, l’auteur du livre des Chroniques fait de Zorobabel le fils à la fois de Shealtiel et de son frère Pedaya. Comment est-ce possible ? Soit de naissance, Zorobabel est le fils de Pedaya mais ses parents étant morts, il est adopté par son oncle Shealtiel, soit il est le fils né de Shealtiel mais à l’origine, sa mère était l’épouse de Pedaya qui lui est mort. Alors, Shealtiel a respecté la loi du lévirat. Dans le livre du Deutéronome, on lit :

Si deux frères demeurent ensemble et que l’un d’eux vienne à mourir sans laisser d’enfant, […] son beau-frère l’épousera pour accomplir son devoir de beau-frère envers elle. Le premier fils qu’elle mettra au monde perpétuera le nom du frère défunt pour que ce nom ne s’éteigne pas en Israël (Deutéronome 25.5-6).

Après la mort de Pedaya, son frère Shealtiel prend sa veuve pour épouse et de cette union est né Zorobabel qui est donc légalement le fils du défunt Pedaya mais aussi le fils de son père géniteur Shealtiel.

Zorobabel est également mentionné dans les évangiles selon Matthieu et Luc (Matthieu 1.12 ; Luc 3.27) qui font de lui un ancêtre de Jésus-Christ. En s’adressant à Zorobabel, Aggée parle à la fois au descendant de David et au représentant le plus attitré de la nation, parce qu’il a été nommé gouverneur de Juda par le roi de Perse Cyrus (Esdras 5.14).

Aggée parle à Zorobabel mais aussi à Josué petit-fils du grand-prêtre (Séraya) que Nabuchodonosor a fait mettre à mort en même temps que des princes de Juda (2Rois 25.18 ; Jérémie 52.24-27). Par contre, le fils de ce grand-prêtre a été déporté (1Chroniques 5.40-41 ; 6.14 ; LSG) avec la population, et apparemment il exerce son ministère parmi le peuple en Babylonie. Josué, son fils et successeur décide ,lui, d’accompagner Zorobabel en Terre promise.

L’un est donc le chef politique, et l’autre, Josué, le chef religieux de la petite colonie juive. Aggée mentionne la parenté de ces deux hommes pour souligner que, d’une part, ils remontent, l’un à David et l’autre au premier grand-prêtre Aaron, et d’autre part, malgré la situation politique catastrophique dans laquelle se trouve le peuple juif, Israël peut encore fonctionner selon le contrat d’alliance avec l’Éternel.

À première vue, on pourrait penser que l’Éternel utilise l’arrivée au pouvoir d’un nouveau monarque, Darius fils d’Hystape, pour exhorter son peuple à reprendre les travaux de reconstruction du Temple, mais en réalité c’est tout le contraire. l’Éternel décide d’abord le moment où il exhortera son peuple avec Aggée, un homme qu’il choisit comme son porte-parole. Ensuite, Dieu se mêle de la politique de l’Empire perse et fait en sorte que le mauvais roi Cambyse (529-522) qui s’oppose à son plan disparaisse de la circulation, puis il fait monter Darius sur le trône. Un peu plus tard, Dieu s’arrange pour qu’on retrouve le décret de Cyrus afin que l’interdiction de reconstruire le Temple soit officiellement levée. Il faut bien garder à l’esprit que c’est l’Éternel qui dirige les affaires des hommes. Dans le livre de Daniel, on lit que dans l’un de ses rêves, Nabuchodonosor, roi de Babylone entend un être céleste dire :

Cette résolution est un ordre des saints, afin que tous les vivants sachent que le Très-Haut domine sur toute royauté humaine, qu’il accorde la royauté à qui il veut, et qu’il établit roi le plus insignifiant des hommes ” (Daniel 4.14).

Ce qui est vrai pour un roi l’est aussi pour vous et pour moi. Un proverbe dit :

Le cœur de l’homme médite sa voie, mais c’est l’Éternel qui affermit ses pas (Proverbes 16.9 ; SER).

Dans sa courte prophétie, Aggée déclare pas moins de 25 fois qu’il parle avec l’autorité de l’Éternel, ce qui montre qu’il est parfaitement conscient d’être son messager. Pour son premier oracle, Aggée profite de la fête cultuelle de la nouvelle lune parce qu’elle donne lieu au rassemblement de la population sur l’emplacement du Temple, là où l’autel a été rétabli (en 537).

Verset 2

Je continue le texte d’Aggée.

Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : – Les gens de ce peuple prétendent : “ Le temps n’est pas venu encore, le temps où le Temple de l’Éternel doit être rebâti ” (Aggée 1.2).

« Les gens de ce peuple » est une expression péjorative car habituellement, Dieu appelle les Israélites : « mon peuple. »

La formule « le Seigneur des armées célestes » présente l’Éternel comme le chef des armées angéliques. Ce titre souligne la souveraineté de Dieu sur l’univers et sur l’histoire des hommes. Cette expression est utilisée la première fois par le juge Samuel dans le premier livre qui porte son nom (1.3) puis elle apparaît souvent sous la plume des psalmistes ainsi que de Ésaïe et Jérémie. On la trouve également plus de 90 fois chez les trois derniers prophètes de l’Ancien Testament : Aggée, Zacharie et Malachie. Aggée l’emploie 14 fois.

Par contre, « le Seigneur des armées célestes » ne se trouve pas dans les écrits de Moïse, Josué ou dans le livre des Juges. Or, si les premiers Textes sacrés dataient de la même période que les prophètes, comme le prétendent bien à tort les théologiens d’obédience libérale, on y trouverait aussi cette expression particulière.

Le Temple avait été pillé et incendié par les Babyloniens en 586 avant Jésus-Christ (Jérémie 52.12-13). La colonie juive, sous la conduite de Zorobabel et Josué, commence bien à le reconstruire, mais doivent interrompre les travaux face à l’opposition des peuples voisins et des autorités perses (Esdras 4.1-5.24). En outre, les Israélites connaissent des difficultés économiques qui pèsent lourdement sur eux. Les récoltes ayant été mauvaises, ils ne se sentent pas d’attaque pour se lancer dans un projet aussi vaste et ardu que la reconstruction du Temple. Cette situation défavorable leur fait alors dire : « Le temps n’est pas venu encore, le temps où le Temple de l’Éternel doit être rebâti ».

Il semble bien que les Israélites ont déjà été réprimandés plusieurs fois par leurs dirigeants, Zorobabel et Josué, mais ils ont cette réponse toute faite à la bouche. En réalité, le vrai problème est leur manque de foi et d’enthousiasme devant la tâche qui les attend ; au lieu de faire face aux pressions extérieures qu’ils rencontrent, ils s’en servent comme excuse pour s’affranchir de leur devoir le plus pressant.

Il est en effet facile, quand on rencontre des difficultés, de dire que ça ne peut pas être la volonté de Dieu. Comme j’ai la mémoire courte, je ne me souviens pas d’exemple précis ou j’ai utilisé cette excuse, mais je suis quasi certain d’avoir dit ou pensé quelque chose comme ça pour justifier un comportement détestable ou une décision qui serve mes intérêts.

Dans le livre de l’Exode, on lit que quand l’Éternel dit à Moïse : « Maintenant, va, je t’enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les enfants d’Israël » (Exode 3.10 ; NEG), dans sa tête, Moïse tire la sonnette d’alarme parce qu’il n’a pas du tout envie d’aller croiser le fer avec le pharaon, qui par ailleurs cherche à lui faire la peau. Et puis comme il mène une petite existence bien tranquille, pourquoi se compliquer la vie ? Il cherche donc toutes sortes d’excuses et commence par dire à Dieu :

Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d’Égypte les enfants d’Israël ? (Exode 3.11 ; NEG).

Comme cette stratégie ne marche pas, il change son fusil d’épaule et dit à Dieu :

Voici, ils (les Hébreux) ne me croiront point, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : L’Éternel ne t’est point apparu (Exode 4.1 ; NEG).

Comme l’Éternel ne le lâche pas, Moïse tente une troisième excuse et dit :

Ah ! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n’est ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur ; car j’ai la bouche et la langue embarrassées (Exode 4.10 ; NEG).

Dieu se montre très accommodant mais ne se laisse pas manipuler. Alors Moïse qui se sent coincé tente le tout pour le tout et finit par dire :

Ah ! Seigneur, envoie qui tu voudras envoyer (Exode 4.13 ; NEG).

En d’autres mots : « N’importe qui mais pas moi ». Il faut que Dieu se fâche pour que Moïse baisse la tête et se soumette.

Quand je veux vraiment obtenir quelque chose, je suis prêt à tous les sacrifices, rien ne m’arrête. Par contre, si c’est pour l’œuvre de Dieu, c’est une autre paire de manches ; les bonnes excuses ne manquent pas. Abraham n’a pas la même constitution que moi; il habite Our en Mésopotamie mais ce n’est pas un petit village de huttes ; c’est une vraie ville moderne pour l’époque. De plus, tout porte à croire que les affaires d’Abraham sont florissantes et qu’il est très aisé aux entournures car il a des serviteurs et les moyens de se constituer une caravane avec toute la logistique dont il va avoir besoin pour un long voyage dans l’inconnu.

Alors quand l’Éternel lui dit : « Tu quittes tout, fais ton baluchon et va-t’en ; je te dirai plus tard où aller » Abraham aurait facilement pu se dire : « attends une minute, ça tient pas debout cette histoire ; j’ai fait un mauvais rêve ; j’ai dû mal comprendre ; le Dieu du ciel et de la terre ne me demanderait pas d’abandonner une existence aussi paisible ». Pourtant, d’après le texte de la Genèse, il ne semble pas que Abraham hésite un instant ; il croit que l’Éternel lui a parlé et qu’il lui demande de tout quitter et il obéit sur le champ.

Versets 3-4

Je continue le texte d’Aggée.

Alors la parole de l’Éternel leur fut adressée par le prophète Aggée : – Est-il temps pour vous-mêmes d’habiter à votre aise des maisons lambrissées, alors que ce Temple est en ruine ? (Aggée 1.3-4).

Après avoir parlé à Zorobabel et à Josué, Aggée s’adresse maintenant à l’ensemble du peuple et fait appel à sa conscience religieuse. Même si les différentes versions ne le montrent pas, en hébreu, la formule traduite par : « Alors la parole de l’Éternel leur fut adressée par le prophète Aggée » est identique à celle du premier verset : « La parole de l’Éternel fut adressée par Aggée le prophète ». Ce genre de redondance est fréquent dans le livre d’Aggée. Ici, la répétition sert à souligner la volonté de Dieu qui désire que son peuple arrête de chercher des excuses, retrousse les manches et se mette au travail.

Aggée reproche à ses contemporains leur indifférence à l’égard du Temple en ruines et en même temps leurs priorités faussées. Ils se soucient avant tout de leur confort ; ils ont pris le temps et trouver les moyens de se construire de belles maisons mais négligent la maison de Dieu. Il se peut même qu’ils ont utilisé pour leurs maisons les cèdres destinés à rebâtir le Temple car selon le livre d’Esdras, ce bois a été livré. Je lis ce passage :

On remit […] des vivres, des boissons et de l’huile aux Sidoniens et aux Tyriens pour qu’ils acheminent par mer jusqu’à Jaffa du bois de cèdre depuis le Liban. Tout cela fut fait en vertu de l’autorisation accordée par Cyrus, roi de Perse (Esdras 3.7).

Le terme « maisons lambrissées » signifie « panneaux décoratifs ou poutres de plafond » Ici, il a une connotation plutôt négative car il fait référence à une construction de luxe. Dans le premier livre des Rois, il est dit de Salomon que : « il fit construire la salle du trône où il rendait la justice, appelée aussi la salle du Jugement. Elle était lambrissée de boiseries de cèdre du sol jusqu’au plafond » (1Rois 7.7). Et quand Dieu adresse de sévères reproches à Shalloum, roi de Juda, il dit :

Malheur à l’homme qui bâtit sa maison par l’injustice et qui ajoute des pièces à l’étage en violant l’équité, qui fait travailler son prochain pour rien, sans lui donner ce que vaut son travail. Et qui dit en lui-même : Je vais bâtir pour moi un palais imposant avec de larges pièces à l’étage. J’y ménagerai des fenêtres, je le lambrisserai avec du bois de cèdre, je l’enduirai de rouge ! (Jérémie 22.13-14).

L’attitude des colons israélites est diamétralement opposée à celle de David, car dans le second livre de Samuel, on lit :

Comme le roi s’était installé dans son palais […], il dit au prophète Nathan : – Regarde ! J’habite dans un palais de cèdre, alors que le coffre de Dieu est installé au milieu d’une tente de toile (2Samuel 7.2).

L’Éternel lui répond :

Tu veux me bâtir un temple où je puisse habiter ? […] j’établirai après toi l’un de tes propres descendants pour te succéder comme roi, et j’affermirai son autorité royale. C’est lui qui construira un temple en mon honneur et je maintiendrai à toujours son trône royal (2Samuel 7.5, 12-13).

David n’a pas construit le Temple, mais son désir lui vaut toute une série de promesses qui ont commencé à se réaliser en Jésus-Christ et qui s’accompliront pleinement lorsqu’il établira son royaume sur terre.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

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