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06 mai 2025

1 Thessaloniciens 4.3 – 10

Chapitre 4

Introduction

Dans le domaine moral, la caractéristique principale des années soixante a été la révolution sexuelle avec le fameux slogan : « Faites l’amour et pas la guerre ». Depuis cette époque, la société occidentale a ôté, un à un, la plupart des garde-fous qui balisaient les attitudes et les comportements sexuels. La liberté de tout faire est devenue le dieu qui domine tous les autres. Les bonnes gens veulent avoir le droit d’agir comme bon leur semble, quand ils veulent et à n’importe quel prix, même si cela entraîne l’avortement d’un enfant non désiré ou une maladie sexuellement transmissible. Comment en sommes-nous venus là ?

Un certain nombre de croyances humanistes considérées comme fondamentalement vraies sous-tendent cette façon de vivre et donc une certaine vision du monde. Premièrement, on prend pour axiome que l’homme est foncièrement bon. Cela veut dire que toutes les activités auxquelles des personnes consentantes désirent se livrer, sont acceptables, à quelques exceptions près quand même, comme le viol ou les exactions contre des enfants. Et même ceux qui commettent de tels délits écopent tout au plus un peu de prison, car faut-il le rappeler, même les êtres malfaisants sont naturellement bons. Et tant pis pour les innocents qui font les frais de ce mensonge sorti tout droit des antres de l’enfer.

À ce sujet et contrairement aux philosophies humanistes, l’enseignement des Écritures est cohérent avec la réalité car Dieu sait comment protéger les êtres humains des criminels. Il a décrété que ceux qui commettent des infractions graves doivent être exécutés publiquement dès qu’ils sont reconnus coupables. Quand on y réfléchit, les circonstances atténuantes ou les vices de forme ne sont jamais que des artifices, des astuces procédurières qui permettent aux malfaiteurs d’échapper au châtiment et souvent, de frapper à nouveau.

La deuxième fausse vérité qui sous-tend les croyances populaires en matière de sexe est que faire l’amour n’est qu’une fonction biologique comme les autres, qu’il faut satisfaire sans s’embarrasser de préjugés moraux dépassés. Troisièmement, le sexe est une forme de divertissement comme une autre et donc on peut en profiter à tout moment. Quatrièmement, satisfaire les besoins sexuels est l’un des principaux buts de la vie ; pour certains, il est même plus important que d’établir des relations durables. Cinquièmement, il est bon de satisfaire ses besoins dès qu’on le souhaite, et donc, les expériences sexuelles avant le mariage sont normales et désirables. Sixièmement, le sexe est l’aspect le plus important du mariage et doit donc être inclus dans toute relation sentimentale ; par conséquent, un couple devrait cohabiter avant de se marier.

À l’époque de l’apôtre Paul, la perversité sexuelle de la culture gréco-romaine est pire qu’elle ne l’est aujourd’hui et les relations homosexuelles aussi répandues que les mariages hétérosexuels. A ce sombre tableau du premier siècle, il faut ajouter l’influence des religions à mystères qui avaient développé la prostitution rituelle dans les temples païens. Ces religions enseignent que les relations sexuelles avec une prostituée sacrée permettent d’entrer en communion transcendantale avec la divinité du lieu. Par exemple, au premier siècle, le Temple d’Aphrodite, situé sur l’acropole de Corinthe, emploie un millier de prêtresses. On comprend donc que les habitants de l’Empire romain banalisent n’importe quelle conduite sexuelle. Les Thessaloniciens à qui Paul écrit sortent de ce milieu. Et contrairement à nous, leur arrière-plan de débauches et de brutalités ne bénéficie évidemment pas de l’influence d’une tradition morale chrétienne, justement celle qui réussît à faire cesser ces pratiques dépravées ;

C’est dans un tel contexte que l’apôtre Paul, Sylvain et Timothée arrivent à Thessalonique et annoncent la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ. Tous les païens qui l’acceptent doivent rompre avec leur ancien style de vie, apprendre les voies de Dieu et vivre à un haut niveau de pureté morale. Ces croyants sont confrontés à un défi de taille, car les vieilles habitudes et la pression de l’environnement les tirent constamment vers le bas. L’apôtre en est tout à fait conscient et c’est la raison pour laquelle, il commence l’application pratique de cette épître avec des exhortations d’ordre sexuel.

Verset 3

Je continue de lire dans le 4e chapitre de la première épître de Paul aux Thessaloniciens.

Ce que Dieu veut, c’est que vous meniez une vie sainte : que vous vous absteniez de toute immoralité (1 Thessaloniciens 4.3).

Dans d’autres versions, le mot pour « sainte » est traduit par « sanctification ». Mener une vie sainte ou être sanctifié est l’œuvre du Saint-Esprit, qui sépare le croyant du péché, et le met à part pour Dieu. Cependant, dans les Écritures, le mot « sanctification » peut décrire trois situations : la position initiale du croyant, sa marche avec le Seigneur ou en troisième lieu, son état final et éternel dans la gloire.

En premier lieu donc, quand quelqu’un met véritablement sa confiance en Jésus-Christ et en lui seul, il est déclaré « saint » dans sa position par rapport à Dieu parce qu’il est placé en Jésus qui devient pour lui sa sainteté. Je suis saint parce que je suis en Christ. Comme ce phénomène ne dépend que de Dieu, du sacrifice du Christ et de l’action du Saint-Esprit, cette position de sainteté dans laquelle le croyant est placé ne peut plus jamais changer ; elle est scellée pour l’éternité.

Sous le régime de l’Ancienne Alliance, l’Éternel enseigne des grandes vérités théologiques à son peuple au moyen de leçons pratiques toutes simples. Ainsi, dans la Tente de la Rencontre, aussi nommée Tabernacle, il y a tous les accessoires qui sont utilisés pour les sacrifices d’animaux et à adorer l’Éternel. Ils sont en métal et on peut être sûr qu’au bout de 40 ans de bons et loyaux services, les plats, les casseroles, les couverts, et je ne sais quoi encore, ont perdu l’aspect du neuf depuis fort longtemps, car ils ont subi toutes les rigueurs de la marche dans le désert. Pourtant, même bosselée et tordue, cette vaisselle est appelée « sainte » ou « sanctifiée » parce qu’elle est utilisée uniquement pour rendre un culte à Dieu.

Ce concept de sainteté dans le sens, non pas moral mais de mis à part pour le service de Dieu, s’applique aussi bien aux objets inanimés qu’aux personnes. Quand quelqu’un accepte la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, il est réservé pour Dieu et il lui appartient, ce qui le rend séparé, saint ou sanctifié. Ce concept s’applique à tout croyant et pas seulement à ceux qui sont engagés dans un ministère cultuel. Tous ceux qui appartiennent à Jésus-Christ sont saints parce qu’ils sont en Christ et mis à part pour Dieu afin de le servir. Voilà pourquoi ils doivent se garder du péché. Dans sa première épître aux Corinthiens, Paul écrit : « (mais) vous avez été lavés, (mais) vous avez été sanctifiés, (mais) vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ et par l’Esprit de notre Dieu » (1 Corinthiens 6.11 ; SER).

Le croyant est saint par sa position en Jésus-Christ, mais il expérimente aussi une sanctification pratique qui est progressive dans le temps et qui dépend à la fois de l’action du Saint-Esprit dans sa vie et de son obéissance aux directives des Écritures. Le but de cette sanctification est d’éloigner toujours davantage le croyant du péché et de produire en lui une sainteté qui se traduit dans sa vie. Ce processus continuera aussi longtemps que je serai dans cette chair, mais je n’atteindrai jamais la perfection parce que le péché habite toujours en moi.

Finalement et en troisième lieu, « la sanctification absolue » sera réalisée quand j’aurais atteint l’état éternel. À ce moment là, chaque croyant sera rendu conforme à la sainteté et perfection du Christ (Romains 8.29).

Précédemment, l’apôtre a prié Dieu pour que les Thessaloniciens soient « sans reproche dans la sainteté devant Dieu notre Père » (1 Thessaloniciens 3.13). Au vu de l’immoralité ambiante qui règne dans l’empire, l’apôtre considère que s’abstenir des péchés sexuels est la première des priorités pour les croyants.

Quand Paul dit : « Ce que Dieu veut, c’est que vous vous absteniez de toute immoralité », le mot pour « s’abstenir » est très fort et signifie « ne rien avoir en commun avec toute forme d’immoralité qui est contraire aux principes de la Parole de Dieu ». Le mot grec pour « immoralité » est « porneias » qui a donné pornographie en français. Il décrit toute forme de relation sexuelle qui est déviante et qui diverge des normes de Dieu, et donc qui sort du cadre d’un mariage légal entre un homme et une femme. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :

Que chacun respecte le mariage et que les époux restent fidèles l’un à l’autre, car Dieu jugera les débauchés et les adultères (Hébreux 13.4 ; comparez 1 Corinthiens 6.15-20).

Soit dit en passant que Jésus est allé encore plus loin dans ses exigences quand il a dit :

Vous avez appris qu’il a été dit : “ Tu ne commettras pas d’adultère. ” Eh bien, moi je vous dis : Si quelqu’un jette sur une femme un regard chargé de désir, il a déjà commis adultère avec elle dans son cœur (Matthieu 5.27-28).

Versets 4-5

Je continue le texte aux Thessaloniciens.

Que chacun de vous sache gagner une parfaite maîtrise de son corps pour vivre dans la sainteté et l’honneur, sans se laisser dominer par des passions déréglées, comme le font les païens qui ne connaissent pas Dieu (1 Thessaloniciens 4.4-5).

À l’époque de l’apôtre Paul, tout comme aujourd’hui d’ailleurs, les gens fonctionnent en obéissant aveuglement à leurs émotions et pulsions. « Fais ce qui te plaît » était et est toujours l’ordre du jour. Mais le croyant est responsable devant Dieu de contrôler ses passions, et pour cela il doit bien se connaître et surtout connaître ses faiblesses, les tendances au mal qui l’habitent.

Tout le monde n’est pas tenté avec la même intensité. Certains sont gloutons et ne peuvent se contrôler jusqu’à presque éclater tandis que d’autres doivent éviter d’être en présence d’une jolie fille aguichante. D’autres encore sont pris par la passion du jeu ou voient rouge tout de suite. Si je connais les tentations auxquelles je sais qu’il m’est difficile de résister, je peux alors essayer de les éviter au maximum.

Le croyant doit vivre dans « la sainteté et l’honneur ». « L’honneur » est généralement lié à des exploits guerriers ; c’est en tout cas comme ça que l’armée américaine recrute. Mais pour l’apôtre, celui qui sait maîtriser son corps a un style de vie honorable non seulement vis-à-vis de Dieu mais aussi de lui-même ; en d’autres mots, il peut marcher la tête haute.

Paul ajoute qu’un croyant ne doit pas « se laisser dominer par des passions déréglées comme le font les païens qui ne connaissent pas Dieu ». L’essence du paganisme est justement de se laisser aller à ses pulsions primaires, à ses passions naturelles dont la tendance est d’enfreindre les lois de Dieu. Mais les croyants n’agissent pas ainsi. Aux Galates, l’apôtre écrit :

Ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ont crucifié l’homme livré à lui-même avec ses passions et ses désirs (Galates 5.24).

Et aux Colossiens, il dit :

Faites donc mourir tout ce qui, dans votre vie, appartient à la terre, c’est-à-dire : l’inconduite, l’impureté, les passions incontrôlées, les désirs mauvais et la soif de posséder qui est une idolâtrie (Colossiens 3.5, comparez 6-10).

Parce que les croyants appartiennent au Dieu trois fois saint, ils ne doivent pas succomber aux multiples tentations immorales que la société humaniste païenne leur propose. C’était vrai pour les Thessaloniciens et ça l’est également pour nous.

Verset 6

Je continue le texte.

Qu’ainsi personne ne cause du tort à son frère dans ce domaine en portant atteinte à ses droits. Dieu, en effet, fait justice de toute faute de ce genre : nous vous l’avons déjà dit et nous vous en avons avertis (1 Thessaloniciens 4.6).

Les mots traduits par « causer du tort et porter atteinte à » signifient tous deux « abuser, utiliser à ses propres fins ». Dans le verset précédent, l’apôtre parle de l’adultère, dont les conséquences sociales et spirituelles sont particulièrement destructives, car ce péché porte atteinte non seulement à chaque personne concernée, mais aussi à l’intégrité du ou des couples et donc des familles concernées. Cependant, comme Paul passe facilement du coq à l’âne, ici, d’après plusieurs commentateurs, cette nouvelle exhortation s’applique probablement à ceux qui sont dans les milieux des affaires et qui se disent croyants. Avec son commerce étendu, Thessalonique offre mainte tentation de profit malhonnête, mais les chrétiens doivent donner l’exemple de la plus scrupuleuse honnêteté.

Le climat capitaliste sauvage dans lequel nous vivons est un vaste coupe-gorge qui favorise la prolifération des coupe-jarrets prêts à tout pour conquérir quelques parts supplémentaires de marché. Paul avertit les Thessaloniciens, et nous aussi par la même occasion que Dieu fait justice de toute faute de ce genre, c’est-à-dire qu’il se venge de ceux qui agissent en loups-garous que ce soit dans le domaine sexuel ou celui des affaires (comparez Proverbes 6.29 ; 28.20).

Verset 7

Je continue.

Car Dieu ne nous a pas appelés à nous adonner à des pratiques dégradantes mais à vivre d’une manière sainte (1 Thessaloniciens 4.7).

C’est la troisième fois dans ce passage que Paul utilise un mot ayant « saint » pour racine. Les Thessaloniciens n’ont pas été appelés par Dieu seulement pour être saints, mis à part pour Lui, mais aussi pour vivre d’une manière sainte dans tous les domaines de leur vie et surtout dans le domaine sexuel et celui des affaires. Jésus-Christ a un objectif pour les croyants ; il veut se présenter son Église à lui-même, « rayonnante de beauté, sans tache, ni ride, ni aucun défaut, mais digne de Dieu et irréprochable » (Éphésiens 5.27).

Verset 8

Je continue.

Celui donc qui rejette cet enseignement rejette, non pas un homme, mais Dieu qui vous donne son Esprit Saint (1 Thessaloniciens 4.8).

L’exhortation de l’apôtre de s’abstenir de toute injustice, que ce soit dans les affaires ou l’immoralité sexuelle est un commandement qui vient de Dieu qui donne l’Esprit Saint aux croyants. Comme son nom l’indique, la caractéristique mise en avant de la troisième personne de la Trinité est la sainteté. Tôt ou tard, tous ceux qui ont véritablement accepté Jésus-Christ dans leur vie auront le désir de vivre d’une manière sainte. Une des raisons pour lesquelles Dieu leur a donné le Saint-Esprit est pour les aider à surmonter le péché et manifester les fruits de l’Esprit. Dans son épître aux Galates, Paul en dresse une liste partielle ; il écrit :

Le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, l’amabilité, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi (Galates 5.22-23).

Ce n’est que par l’action du Saint-Esprit dans sa vie que le croyant est rendu capable de s’élever au-dessus de sa condition de pécheur et de mettre en pratique les enseignements des Écritures.

Versets 9-10

Je continue le texte.

Concernant l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin d’instructions écrites de ma part, car Dieu vous a lui-même appris à vous aimer mutuellement. C’est ce que vous faites envers tous les frères de la Macédoine entière. Mais nous vous invitons, frères, à faire toujours plus de progrès (1 Thessaloniciens 4.9-10).

Après avoir exhorté les Thessaloniciens à s’abstenir de l’immoralité, Paul parle maintenant du véritable amour chrétien que les croyants sont appelés à manifester les uns envers les autres. Il ne s’agit pas d’une émotion éphémère mais d’une démonstration pratique d’affection par des actes, qui est d’origine divine (comparez Romains 5.5). Le mot pour « amour fraternel » est « philadelphia », Philadelphie en français, et qui est le nom d’une grande ville des États-Unis. À l’origine, ce mot désigne l’affection des membres d’une famille, mais dans le Nouveau Testament, il exprime l’amour de Dieu ou des croyants les uns pour les autres. L’amour est un thème très fréquent dans le Nouveau Testament.

Selon les Écritures, le véritable amour consiste à servir les autres et à satisfaire leurs besoins légitimes. Plusieurs passages, surtout sous la plume de Jean qu’on a surnommé l’apôtre de l’amour, déclarent même qu’il est impossible pour un croyant de ne pas aimer ses frères. Dans son évangile, on lit que Jésus a dit :

Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres. Oui, comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : à l’amour que vous aurez les uns pour les autres (Jean 13.34-35).

Et dans sa première épître, Jean écrit :

Voici comment nous savons ce que c’est que d’aimer : Jésus-Christ a donné sa vie pour nous. Nous devons, nous aussi, donner notre vie pour nos frères. Si un homme riche voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui ? Mes enfants, que notre amour ne se limite pas à des discours et à de belles paroles, mais qu’il se traduise par des actes accomplis dans la vérité (1 Jean 3.16-18 ; comparez 4.20-21 ; 5.1).

L’apôtre Pierre dit de même quand il écrit :

Par votre obéissance à la vérité, vous avez purifié votre être afin d’aimer sincèrement vos frères. Aimez-vous donc ardemment les uns les autres de tout votre cœur (1 Pierre 1.22).

Les Thessaloniciens sont un exemple par l’amour qu’ils manifestent les uns pour les autres mais aussi envers tous les croyants qu’ils rencontrent. Cependant, dans tous les domaines de la vie et de la marche avec Dieu, il est toujours possible de faire des progrès. Tout comme Paul désire que la foi en Dieu des Thessaloniciens augmente toujours davantage, pareillement, il veut que leur amour s’intensifie, littéralement : « qu’il abonde davantage ». Plus loin, l’apôtre précise sa pensée en disant que cet amour doit être dirigé vers leurs pasteurs, les autres croyants et tous les hommes. Je lis le passage :

Nous vous demandons, frères, d’apprécier ceux qui travaillent parmi vous, qui vous dirigent au nom du Seigneur et qui vous avertissent. Témoignez-leur une grande estime et de l’affection à cause de leur travail. Vivez en paix entre vous. Nous vous le recommandons, frères : avertissez ceux qui mènent une vie déréglée, réconfortez ceux qui sont découragés, soutenez les faibles, soyez patients envers tous. Veillez à ce que personne ne rende le mal pour le mal mais, en toute occasion, recherchez le bien, dans vos rapports mutuels comme envers tous les hommes (1 Thessaloniciens 5.12-15).

C’est aussi Jean qui, dans sa première épître, résume le mieux l’importance de l’amour avec deux petites phrases coup-de-poing quand il écrit :

Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. – Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour (1 Jean 3.14 ; 4.8).

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

oct. 04 2024

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Les relations entre maris et femmes

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