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05 mai 2023

Josué 20.4 – 22.11

Chapitre 20

Introduction

La religion hindoue est très à cheval sur la protection de la vie, surtout celle des animaux et des insectes. Pour cette raison, les Hindous sont végétariens. Par contre, la vie des êtres humains ne semble pas avoir tellement d’importance. Dans le christianisme, c’est exactement l’inverse; on peut manger de la viande ce qui ne veut pas dire faire des massacres pour se distraire, par contre, la vie de l’homme est d’un très grand prix. Sous le régime de l’Ancienne Alliance, même celui qui est coupable d’homicide involontaire a commis une faute grave, cependant, s’il s’enfuit dans une ville désignée « cité refuge », sa vie est protégée du vengeur de sang, c’est-à-dire de celui qui est chargé de faire justice. Cette façon de traiter l’homicide involontaire est entièrement différente sous nos tropiques. En fait, dans les pays qu’on dit civilisés, on prend grand soin de protéger les violeurs, les criminels et les meurtriers. Bon, passons. Je finis la lecture du chapitre 20 du livre de Josué.

Versets 4-9

L’homicide s’enfuira donc dans l’une de ces villes et s’arrêtera à l’entrée de la porte pour exposer son cas aux responsables de la ville. Ceux-ci l’admettront auprès d’eux dans la ville et lui attribueront un lieu, et il habitera là chez eux. Si l’homme chargé de punir le crime le poursuit, ils ne lui livreront pas le meurtrier, puisque c’est par inadvertance qu’il a tué la personne, sans avoir jamais éprouvé de haine pour elle. Il restera dans cette ville jusqu’à ce qu’il comparaisse devant l’assemblée pour être jugé, et jusqu’à la mort du grand-prêtre en fonction à cette époque-là. Après cela, il pourra retourner dans sa maison, dans sa ville d’origine, celle dont il s’était enfui. Des villes furent désignées pour servir de refuge à tout Israélite et aux étrangers séjournant parmi eux ; quiconque aurait tué quelqu’un involontairement pourrait s’y enfuir pour ne pas être tué par le vengeur de sang chargé de punir le crime, avant qu’il ne comparaisse devant l’assemblée (Josué 20.4-6, 9).

Les Israélites choisirent 6 villes de refuge, 3 de chaque côté du Jourdain. Elles étaient situées stratégiquement au nord, au centre et au sud du pays. La fuite dans l’une d’entre elles ne met pas le meurtrier à l’abri de la justice, mais elle le protège contre l’homme chargé de punir le crime pendant toute la période que dure l’enquête et après s’il est reconnu innocent d’homicide volontaire. Le coupable arrive donc aux portes de la cité refuge et explique son cas, ce qui s’est passé, aux anciens de la ville qui siègent là en permanence et qui font office de juges. On accorde alors l’asile au fuyard jusqu’à ce qu’un jugement en bonne et due forme soit prononcé. S’il est reconnu coupable d’homicide involontaire, la ville de refuge devient sa résidence permanente dont il ne peut jamais sortir jusqu’à la mort du grand-prêtre comme je l’ai déjà dit. Après, cependant, il est libre de retourner dans ses possessions ancestrales. Mais il peut se trouver ainsi exilé pendant des années voire des décennies ou même décéder avant de pouvoir retourner chez lui. L’homicide involontaire est donc considéré comme une faute très grave et sanctionnée par une sorte de bannissement. Cette pratique me concerne aussi, car que je sois d’origine juive ou païenne, je fais partie de l’humanité qui a crucifié Jésus-Christ. Certes, les bourreaux romains et les religieux juifs qui l’ont condamné, ont agi par ignorance, comme le dit d’ailleurs l’apôtre Pierre qui écrit :

À présent, mes frères, je sais bien que vous avez agi sans savoir ce que vous faisiez, aussi bien vous que vos chefs (Actes 3.17).

Cependant, et comme je le dis de temps en temps, l’ignorance n’est pas une excuse qui permet de me déculpabiliser devant Dieu. Tout comme le peuple juif du premier siècle, je suis moi aussi d’une certaine manière, coupable d’homicide involontaire envers le Christ. En plus, je suis aussi sous la condamnation de Dieu pour avoir enfreint ses commandements moraux. Cependant, et malgré cette double accusation qui pèse sur moi, si je place ma confiance en la personne de Jésus, il devient ma ville de refuge pour ainsi dire, je me trouve alors en sécurité et j’échappe au jugement de Dieu. C’est ce que le Nouveau Testament enseigne ; je lis deux passages :

Nous dont le seul refuge a été de saisir l’espérance qui nous était proposée. Cette espérance, nous l’avons comme une ancre solide et ferme, pour notre âme ; elle pénètre au-delà du voile, là où Jésus est entré pour nous comme un précurseur, devenu Grand-Prêtre pour l’éternité. Maintenant donc, il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ (Hébreux 6.18-20 ; Romains 8.1).

Chapitre 21

Versets 1-3

Nous arrivons maintenant au chapitre 21 de Josué qui concerne les descendants de la tribu de Lévi. Je commence à lire.

Les chefs de groupe familial des lévites vinrent trouver le prêtre Éléazar, Josué, fils de Noun, et les chefs de groupe familial des autres tribus d’Israël à Silo, dans le pays de Canaan. Ils leur dirent : L’Éternel a ordonné par l’intermédiaire de Moïse de nous donner des villes pour que nous y habitions, avec leurs terres attenantes pour que nous y fassions paître notre bétail. Les Israélites prélevèrent donc sur leur patrimoine un certain nombre de villes avec leurs terres attenantes pour les donner aux lévites, conformément à l’ordre de l’Éternel (Josué 21.1-3).

Les trois fils de Lévi ont donné leur nom aux trois grandes branches de Lévites, les fils de Kehath, de Guerschôn et de Merari. Parmi les fils de Kehath, il y a, d’une part, les prêtres descendants d’Aaron et, d’autre part, ceux qui ne remplissent pas de fonction sacerdotale. Les villes des Lévites sont donc partagées entre ces quatre groupes.

Les Lévites ne reçoivent pas de territoire en propre parce qu’ils doivent être disséminés dans toutes les autres tribus du fait qu’ils sont les représentants de la foi juive, les gardiens de la vie spirituelle de la nation, et qu’ils exercent un ministère cultuel qui est pour le bénéfice commun. Lévites et prêtres sont le liant religieux, la colle pour ainsi dire, qui unit les 13 tribus. On leur donne donc 48 villes à partager, dont les 6 cités refuges. Elles sont réparties dans tout le pays avec des terres et des champs attenants. Les Lévites partagent ces villes avec les Israélites des autres tribus. Les premiers détails de cet arrangement ont été donnés à Moïse par l’Éternel dans le livre des Nombres (35.1-8; comparez Deutéronome 4.41-43; 19.1-10).

La suite du texte explique que les villes furent d’abord choisies et ensuite, chacune des trois branches familiales de la tribu de Lévi, dont la lignée des prêtres, fut assignée à son lieu de résidence par tirage au sort.

Verset 41

Je passe sur toutes les énumérations des noms et des lieux et je continue plus loin.

Au total les lévites reçurent quarante-huit villes avec les terres attenantes dans les territoires des autres Israélites (Josué 21.41).

Dix des 48 villes sont à l’est du Jourdain. Cette dispersion de la tribu de Lévi a un motif religieux comme je viens de le dire, mais comme je l’ai déjà dit, c’est aussi l’accomplissement de la malédiction prononcée sur eux par leur père Jacob (Genèse 49.5-7). En effet, Lévi et Siméon, avaient une sœur appelée Dina qui était de la même mère qu’eux. Cependant, Sichem le fils du roi de la ville du coin aussi appelée Sichem l’a trouvée belle, l’a prise et l’a violée. Ensuite, il l’a demandée en mariage. Quand les deux frères ont appris tout ça, ils n’ont pas apprécié. Alors, ils ont monté un traquenard bien conçu qui leur a permis, avec l’aide des autres frères, d’exterminer tous les habitants hommes de la ville de Sichem. D’après leur père Jacob, Siméon et Lévi ont tapé trop fort et c’est ce qui leur a attiré ses foudres.

J’ai déjà noté que les descendants de Siméon émigreront dans le nord et disparaîtront dans d’autres tribus Israélites. Quant à leur territoire, il sera absorbé par la tribu de Juda. Cependant pour Lévi, s’il est vrai que la malédiction de son père Jacob s’est littéralement accomplie, les choses se sont passées différemment. En effet, lors de l’affaire du veau d’or, une crise particulièrement grave, toute la tribu de Lévi s’est jointe à Moïse pour exécuter les milliers d’Israélites coupables d’idolâtrie. En récompense, Dieu fit d’eux une source de bénédiction pour leurs frères puisqu’ils sont devenus la tribu cultuelle et sacerdotale, les intermédiaires entre l’Éternel et le peuple.

Versets 43-45

Je continue et finis le chapitre 21.

L’Éternel donna aux Israélites tout le pays qu’il avait promis par serment à leurs ancêtres. Ils en prirent possession et s’y établirent. L’Éternel leur accorda de vivre sans être inquiétés par aucun ennemi autour d’eux, comme il l’avait promis par serment à leurs ancêtres ; il leur donna la victoire sur tous leurs ennemis, aucun d’eux ne put leur résister. Ainsi toutes les promesses de bienfaits que l’Éternel avait données au peuple d’Israël s’accomplirent : aucune d’elles ne resta sans effet (Josué 21.43-45).

C’est ainsi que se termine la deuxième et très longue partie du livre de Josué consacrée à l’allocation des territoires aux différentes tribus d’Israël. Cette brève conclusion concerne la conquête de la Terre promise par les 12 tribus combattantes. Elle s’attache à souligner que l’Éternel a tenu la promesse qu’il avait faite aux patriarches Abraham, Isaac et Jacob de donner le pays de Canaan à leurs descendants. Dieu a donc satisfait à toutes ses obligations. Cela ne veut pas dire que tous les coins du Pays promis sont sous la juridiction israélite, puisque Dieu a lui-même décidé qu’ils ne pourraient le conquérir dans sa totalité que progressivement. Je rappelle ce passage :

C’est seulement petit à petit que l’Éternel ton Dieu chassera ces nations devant toi, tu ne pourras pas les éliminer d’un seul coup, sinon les bêtes sauvages se multiplieraient dangereusement chez toi (Deutéronome 7.22).

Il s’en suit que beaucoup reste encore à faire et il appartient désormais à chaque tribu de mener à son terme sa suprématie territoriale. Mais déjà, plusieurs propos laissent entendre qu’elles n’y arriveront pas. En effet, Israël en tant que peuple désobéira à son Dieu et sombrera très rapidement dans l’idolâtrie la plus vile ce qui le conduira à la servilité, des guerres désastreuses et pour finir des exils à répétition, et aujourd’hui encore, et comme son nom l’indique, les Juifs de la diaspora sont dispersés de par le monde.

La première partie du livre a été entièrement consacrée aux trois campagnes menées par tout Israël sous le commandement de Josué, et qui grâce à des victoires décisives et importantes ont permis au peuple d’Israël de s’établir dans le Pays Promis.

La deuxième partie du livre a expliqué en détail le partage qui a pris place tout de suite après la fin des conquêtes parce qu’il fallait qu’il ait lieu avant la disparition de Josué. En effet, l’établissement des frontières de chaque tribu exigeait la présence d’un homme à poigne et à l’autorité incontestée. Cette répartition est décrite comme l’exécution des ordres précédemment donnés par l’Éternel à Moïse.

La description détaillée et fastidieuse de l’héritage alloué à chaque tribu a pour but de fonder le droit foncier inaliénable d’Israël, de chacune de ses tribus, et de chacun de ses groupes familiaux. Ce droit aura force de loi pour les générations suivantes. Le partage du pays qui est expliqué en détail dans la deuxième partie du livre, a trois grandes sections. La première décrit l’attribution de la partie est du Jourdain à deux tribus et demie ; la seconde section concerne l’héritage des 9 tribus et demie restantes à l’ouest du Jourdain. Celles-ci sont réparties en deux groupes : d’une part les grandes tribus, c’est-à-dire Juda, puis Éphraïm et Manassé, les deux issues de Joseph ; et d’autre part, les autres plus petites. La troisième section décrit les 48 villes, dont les cités refuges, qui furent allouées aux Lévites.

Chapitre 22

Versets 1-4

Nous arrivons au chapitre 22, où commence la troisième et dernière partie du livre consacré aux actions de Josué. Il va renvoyer chacun chez soi et régler une première dispute. Je commence à lire.

Alors Josué réunit les hommes de Ruben, de Gad et de la demi-tribu de Manassé et leur dit : Vous avez fait tout ce que Moïse, serviteur de l’Éternel, vous a ordonné et vous avez obéi à tout ce que je vous ai commandé. Durant toutes ces années jusqu’à ce jour, vous n’avez pas abandonné vos compatriotes et vous avez obéi fidèlement à l’ordre que l’Éternel vous avait donné. Maintenant, l’Éternel votre Dieu a accordé à vos compatriotes une existence paisible dans le pays, comme il le leur avait promis. Vous pouvez donc maintenant partir et rentrer dans le pays qui vous appartient et que Moïse, serviteur de l’Éternel, vous a donné en propriété de l’autre côté du Jourdain (Josué 22.1-4).

Moïse avait effectivement demandé aux deux tribus et demi installées à l’est du Jourdain de se joindre aux autres Israélites pour la conquête de Canaan. Elles ont rempli leur devoir avec fidélité, et Josué, leur général, les félicite. Ces hommes ont guerroyé pendant au moins 7 ans, et même s’ils ont eu des occasions de retourner chez eux en permission, ils ont quand même passé le plus clair de ces longues années sur les champs de bataille. Ils sont dorénavant démobilisés et renvoyés dans leurs familles avec tous les honneurs militaires.

Versets 5-8

Je continue.

Seulement, veillez bien à appliquer le commandement et la Loi que Moïse, serviteur de l’Éternel, vous a transmis : aimez l’Éternel, votre Dieu ! Suivez tous les chemins qu’il a prescrits pour vous, obéissez à ses commandements, attachez-vous à lui et servez-le de tout votre cœur et de tout votre être ! Puis Josué les bénit et les renvoya, et ils rentrèrent chez eux. Moïse avait donné un territoire dans le Basan à la moitié de la tribu de Manassé. L’autre moitié fut installée par Josué à l’ouest du Jourdain avec leurs compatriotes israélites. Lorsque Josué les renvoya chez eux, il leur donna sa bénédiction et ajouta : Vous vous en retournez chez vous avec de grandes richesses, avec des troupeaux très nombreux, avec une quantité considérable d’argent, d’or, de bronze et de fer, ainsi que des vêtements en abondance. Vous partagerez ce butin pris sur vos ennemis avec vos compatriotes (Josué 22.5-8).

Comme les Égyptiens presque 50 ans plus tôt, les Cananéens avaient été dépouillés de leurs richesses par Israël. Les guerriers des deux tribus et demie de l’est qui sont restés sur place auraient peut-être préféré partir à la guerre, mais ils n’ont pas pu le faire car il était nécessaire d’assurer la défense des familles ainsi que le travail des champs et les récoltes. Ici, Josué établit fermement le principe selon lequel honneurs et richesses ne sont pas que pour ceux qui reviennent du front, mais aussi pour ceux qui assurent les arrières.

Maintenant, les obligations militaires de ces hommes de guerre sont remplies. Toutefois, leur général leur rappelle leurs devoirs spirituels qui sont la condition de la bénédiction divine. Il les exhorte à obéir et aimer Dieu, à lui demeurer fidèles et à le servir. Josué s’est comporté comme un parent qui met en garde ses enfants sur le point de quitter le bercail pour aller voler de leurs propres ailes. Il sent bien que le Jourdain est une frontière naturelle qui sépare ces deux tribus et demie du reste d’Israël et que cette coupure les incitera aussi à s’éloigner de l’Éternel et donc à tomber dans l’idolâtrie.

Versets 9-11

Je continue.

Les descendants de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé partirent donc et quittèrent les autres Israélites à Silo dans le pays de Canaan pour retourner au pays de Galaad, le territoire que Moïse leur avait donné en propriété sur l’ordre de l’Éternel. Lorsqu’ils arrivèrent à Gueliloth aux environs du Jourdain qui se trouve dans le pays de Canaan, ils érigèrent là un autel monumental au bord du fleuve. La nouvelle en parvint aux autres Israélites car on racontait : Voilà que les hommes de Ruben, de Gad et de la demi-tribu de Manassé ont construit un autel face au pays de Canaan près de Gueliloth sur les bords du Jourdain, du côté des Israélites (Josué 22.9-11).

Une fois que les guerriers de l’est ont atteint les rives du Jourdain, ils se souviennent de la première traversée miraculeuse que les 13 tribus ont vécue tous ensemble, de la victoire éclatante sur Jéricho ainsi que des autres conquêtes. Tout cela leur revient en mémoire et ils se sentent soudainement très seuls, isolés des autres tribus restées loin derrière eux. En effet, ce n’est pas un simple cours d’eau qui les sépare de leurs frères de sang, mais toute la vallée du Jourdain qui a entre 10 et 20 km de large, à laquelle il faut ajouter des montagnes de chaque côté qui s’élèvent jusqu’à 700 m d’altitude. Tout cela fait que la zone frontalière entre les tribus d’un côté du fleuve et celles situées de l’autre, est très importante. Profondément conscientes de cette barrière, et désireuses de marquer leur unité avec la partie principale d’Israël, les deux tribus et demi de l’Est du Jourdain construisirent un énorme monument commémoratif sur la rive occidentale du fleuve qui peut se voir de très loin et qui représente l’autel des holocaustes situé dans le parvis du tabernacle. Il est significatif que les deux tribus et demie aient choisi un autel comme symbole de leur unité avec les autres Israélites. En effet, elles reconnaissaient ainsi que leur unité se fonde sur le culte et la foi au Dieu unique qui leur est communs. Une étude récente de la constitution d’Israël l’a encore plus démontré : jusqu’à la monarchie qui a commencé avec Saül, les tribus d’Israël formaient des unités essentiellement indépendantes mais reliées entre elles par un loyalisme commun envers l’Éternel, le Dieu de l’alliance. Cette unité spirituelle s’exprimait par le culte rendu dans un sanctuaire commun. Sur ce point on est arrivé à reconnaître la constitution tribale d’Israël comme une amphictyonie, nom donné par les Grecs à des unités groupées autour d’un même centre religieux. L’autel du Jourdain symbolise le lien qui unit les 13 tribus, car Israël était une véritable théocratie, la seule que le monde ait connue, mais pas la dernière. En effet, quand Jésus-Christ établira son royaume sur terre, qu’on appelle le millénium, alors tous les peuples seront gouvernés par le Fils de Dieu et connaîtront enfin une longue période de paix véritable.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

avril 26 2024

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