Zacharie 8.8-13
Chapitre 8
Verset 8
Aujourd’hui, en ouvrant mon journal, j’ai constaté que comme hier et tous les jours depuis que je sais lire, tout va mal sur notre planète. Demain je ne sais pas, mais sans être devin, je crois savoir. Pourtant, un jour tout va radicalement changer dans tous les domaines de la vie partout sur cette terre ; plus rien ne sera comme avant. Cette métamorphose du monde tel que nous le connaissons aura lieu après de très sévères jugements de Dieu qui seront suivis par la migration extraordinaire des Juifs de la diaspora. De tous azimuts, ils convergeront vers la Palestine pour s’installer dans le pays que l’Éternel a donné à Abraham.
Je continue de lire dans le chapitre 8 du livre de Zacharie.
(Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Oui, je vais sauver mon peuple du pays du levant et du pays du soleil couchant.) Je les ramènerai, et ils habiteront dans Jérusalem, ils seront mon peuple, et moi je serai leur Dieu, la fidélité et la justice régneront (Zacharie 8.8 ; comparez Osée 2.21-22).
Quand Zacharie prophétise, Jérusalem est un monceau de ruines inhabitables et sa reconstruction n’a pas encore commencé.
Quant à la Jérusalem d’aujourd’hui, comme toutes les autres grandes métropoles, c’est une ville sécularisée et ses habitants rejettent toujours Jésus comme leur Messie. Spirituellement, les Juifs n’ont pas bougé d’un iota depuis que leurs ancêtres ont fait crucifier le Christ, et religieusement ils sont devenus laïques. Les Arabes disent : « Si Allah le veut » à tout bout de champ, mais il n’en est pas ainsi des Juifs, mis à part les ultra-conservateurs qui vivent en marge de la société israélienne. La grande majorité des Israéliens ne mentionne pas Dieu parce que ça ne fait pas sérieux.
Zacharie décrit la Jérusalem de la fin des temps pendant le règne de mille ans de Jésus-Christ. Le prophète y a déjà fait référence quand il dit :
Il y aura un jour tant d’habitants et de bêtes dans Jérusalem que la ville restera ouverte. Moi, l’Éternel, je serai pour elle comme une muraille de feu tout autour d’elle – l’Éternel le déclare – et je serai sa gloire au milieu d’elle (Zacharie 2.8-9).
Au début du millénium, seul un petit reste de rescapés juifs et non-juifs habitera le monde et Jérusalem, tous les autres êtres humains auront été éliminés, d’une part, pendant les purges de l’Antichrist genre à la Staline, et d’autre part, suite aux jugements de Dieu décrits dans le livre de l’Apocalypse. Ce nouveau peuple de Dieu sera donc la nouvelle humanité car il sera uniquement composé de ceux devenus croyants pendant les persécutions de la grande Tribulation et qui auront survécu. Plus loin, Zacharie écrit :
Alors dans le pays entier, l’Éternel le déclare, les deux tiers des humains seront exterminés, seul un tiers survivra. Je ferai passer ce tiers-là par le feu, oui, je l’épurerai ainsi qu’on épure l’argent. Et je l’éprouverai comme on éprouve l’or. Ce tiers m’invoquera et je l’exaucerai. Je dirai : “ C’est mon peuple. ” Lui, il confessera : “ L’Éternel est mon Dieu ” (Zacharie 13.8-9 ; comparez Osée 2.25).
La déclaration de Zacharie, « ils seront mon peuple, et moi je serai leur Dieu » est la formule habituelle qui décrit l’essence du contrat d’alliance entre l’Éternel et son peuple. C’est en toute vérité que cette nouvelle humanité portera le titre de peuple de Dieu, car elle répondra parfaitement aux termes de l’alliance que l’Éternel a conclue au tout début de l’histoire d’Israël. Le prophète Jérémie explique comment Dieu réalisera enfin ce qu’il a toujours voulu depuis le commencement, depuis la création de l’homme. Il écrit :
Des jours vont venir, déclare l’Éternel, où moi, je conclurai avec le peuple d’Israël et celui de Juda une alliance nouvelle. Elle ne sera pas comme celle que j’ai conclue avec leurs pères quand je les ai pris par la main pour les faire sortir d’Égypte, car cette alliance-là, ils l’ont rompue, alors que moi j’étais leur suzerain, l’Éternel le déclare. Mais voici quelle alliance je vais conclure avec le peuple d’Israël : Après ces jours, déclare l’Éternel, je placerai ma Loi au plus profond d’eux-mêmes, je la graverai dans leur cœur ; moi, je serai leur Dieu, eux, ils seront mon peuple. Ils n’auront plus besoin de s’enseigner l’un l’autre, en répétant chacun à son compagnon ou son frère : “ Il faut que tu connaisses l’Éternel ! ” Car tous me connaîtront, des plus petits jusqu’aux plus grands, l’Éternel le déclare, car je pardonnerai leurs fautes, je ne tiendrai plus compte de leur péché (Jérémie 31.31-34).
Le projet de l’Éternel avec cette nouvelle humanité réussira parce que la volonté de Dieu ne sera plus écrite par des lettres de feu sur des tables de pierre comme ce fut le cas pour la loi de Moïse, mais par le Saint-Esprit dans les cœurs des croyants.
L’une des caractéristiques essentielles du millénium est que « la fidélité et la justice régneront » parce que le nouveau peuple de Dieu ne le sera pas de nom seulement mais en esprit et en vérité (Jean 4.24). Parlant des Juifs convertis au Seigneur mais qui englobe aussi tous les croyants du millénium, le prophète Osée écrit :
Puis, pour toujours, je te fiancerai à moi. Je te fiancerai à moi en donnant comme dot et la justice et la droiture, l’amour et la tendresse. Je te fiancerai à moi en donnant pour toi la fidélité, et tu connaîtras l’Éternel (Osée 2.21-22).
Verset 9
Je continue le texte de Zacharie.
Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Prenez courage ! Vous entendez en ces jours-ci les mêmes propos que ceux des prophètes qui ont parlé à l’époque où l’on a posé les fondations du Temple de l’Éternel, pour rebâtir cet édifice (Zacharie 8.9).
« Les fondations du Temple de l’Éternel » dont il est question ici ne sont pas les tous premiers travaux de restauration (Esdras 3.8) parce que ceux-ci furent rapidement arrêtés pendant une longue période d’inaction d’une quinzaine d’années (535 ? jusqu’au 21 sept. 520), ce qui fait que l’idée de rebâtir le Temple tomba dans les oubliettes de la pensée collective des colons juifs. Le prêtre Esdras écrit :
Les travaux de restauration du Temple de Dieu à Jérusalem furent interrompus ; cette interruption se prolongea jusqu’à la seconde année du règne de Darius, roi de Perse (Esdras 4.24 ; 522-486).
Suite à ces difficultés imprévues, l’ardeur et l’enthousiasme des colons se refroidit considérablement et leur désir de reconstruire le temple s’évapore. Cette situation s’éternise jusqu’à ce qu’Aggée puis Zacharie secoue les colons de leur torpeur. Ces deux prophètes président alors au redémarrage des travaux qui peuvent être considérés comme une seconde fondation du Temple. Le prêtre Esdras écrit :
Le prophète Aggée et le prophète Zacharie […] s’adressèrent aux Juifs établis en Juda et à Jérusalem de la part du Dieu d’Israël qui était en eux. Alors Zorobabel […] et Josué […] se mirent au travail et reprirent la reconstruction du Temple de Dieu à Jérusalem avec l’assistance des prophètes de Dieu (Esdras 5.1-2).
Zacharie exhorte les colons juifs à persévérer ; littéralement il dit : « Que vos mains soient fortes ». En vue des bénédictions que dans la suite des temps Israël recevra de la part de l’Éternel, le peuple de Dieu doit prendre courage et poursuivre la reconstruction du Temple sans se relâcher jusqu’à ce qu’il soit terminé.
Les promesses de Dieu que nous reconnaissons comme certaines ont pour but d’encourager les croyants à renouveler leurs efforts afin de mener à bien la tâche que Dieu leur a confiée. Tous sont appelés, d’une manière ou d’une autre, à contribuer à l’établissement de l’Église sur terre et cela jusqu’à ce que Dieu la prenne et l’emmène dans les cieux. Sur un chantier, on a besoin de tous les bras, du plus petit manœuvre qui pousse une brouette de gravier à l’architecte qui s’assure que tout est fait selon les plans en passant par le conducteur de travaux qui organise et coordonne les corps de métier.
Verset 10
Je continue le texte.
Avant ce temps-là, les hommes ne tiraient rien de leur travail et les bêtes ne rapportaient rien, il n’y avait aucune sécurité devant l’ennemi pour ceux qui allaient et venaient, et je mettais tout homme aux prises avec son prochain car j’avais dressé les hommes les uns contre les autres (Zacharie 8.10 ; auteur).
Avant que les colons juifs ne décident et déterminent de reprendre la reconstruction du Temple, tout va mal pour eux (Aggée 1.6, 9-11 ; 2.16-19) parce qu’ils sont punis pour s’être désintéressés de la maison de Dieu sur terre. L’économie de la colonie est alors déprimée ; il n’y a guère de travail et ceux qui ont une occupation reçoivent une paie de misère. Tout ça fait qu’il n’y a pas suffisamment de nourriture pour les hommes et les animaux. Le prophète Aggée écrit :
Vous semez largement mais vous récoltez peu, vous mangez, vous buvez, sans être rassasiés et sans étancher votre soif. Vous vous couvrez d’habits sans être réchauffés, et le salaire que gagne l’ouvrier va dans une bourse trouée. Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Réfléchissez donc bien à ce qui vous arrive. Allez à la montagne, rapportez-en du bois et bâtissez le Temple. J’y trouverai plaisir, j’en serai glorifié, déclare l’Éternel. Vous comptiez sur beaucoup, mais vous avez obtenu peu ; vous aviez engrangé ce que vous aviez récolté, et j’ai soufflé dessus. Pourquoi donc l’ai-je fait ? demande l’Éternel, le Seigneur des armées célestes. Parce que mon Temple est en ruine, tandis que vous courez chacun pour sa maison. Voilà pourquoi le ciel a retenu la pluie, voilà pourquoi la terre a refusé ses fruits : c’est à cause de vous. J’ai appelé la sécheresse sur les champs et les monts, sur le blé, sur le vin, sur l’huile, sur tout produit du sol, ainsi que sur les hommes, sur le bétail, sur tout le fruit de vos travaux (Aggée 1.6-11).
Ce n’est pas tout, car Zacharie ajoute que « il n’y avait aucune sécurité devant l’ennemi pour ceux qui allaient et venaient » En d’autres mots, il est dangereux de se déplacer à cause des bandits de grands chemins issus des peuples voisins et qui ont la haine au ventre à l’égard des colons juifs revenus d’exil.
Zacharie dit encore : « et je mettais tout homme aux prises avec son prochain ». Outre les ennemis venus de l’extérieur, il y a aussi des dissensions internes ; les Israélites sont malveillants et même méchants les uns envers les autres, ce qui crée un état d’hostilité mutuelle perpétuelle ambiante, qui, et il faut bien le remarquer, est attribué à l’Éternel en personne. Là encore, c’est un jugement de Dieu sur les colons à cause leur négligence et indifférence à l’égard du Temple en ruines.
Verset 11
Je continue.
Mais maintenant, je ne veux plus agir envers ce qui reste de ce peuple comme j’ai agi autrefois, le Seigneur des armées célestes le déclare (Zacharie 8.11).
Jusqu’à ce que les Israélites reprennent la construction du temple, la poisse leur colle à la peau et les suit à la trace, et aucun de leurs projets n’aboutit (Aggée 2.15-17). Mais leur changement d’attitude envers l’Éternel a transformé la malédiction qui pesait sur eux : dorénavant, les cultures et les animaux de ferme respirent la santé et les colons travaillent main dans la main et d’un même cœur en vue de l’œuvre commune. Le prophète Aggée écrit :
Moi, je suis avec vous, l’Éternel le déclare (Aggée 1.13). À partir de ce jour-ci, je répandrai ma bénédiction sur vous (Aggée 2.19).
Verset 12
Je continue le texte.
Il y aura la semence de paix, la vigne produira du fruit, la terre donnera ses produits, le ciel répandra la rosée et je mettrai le reste de ce peuple en possession de tous ces biens (Zacharie 8.12 ; auteur).
« La semence de paix » signifie que les semailles réussissent et que les récoltes ne sont pas dévorées par quelque oiseau de malheur ou volées par une bande de brigands. En effet, une telle tragédie est l’une des malédictions de la Loi. Dans le livre du Lévitique, on lit :
Vous répandrez en vain vos semences, car vos ennemis s’empareront de vos récoltes (Lévitique 26.16).
Sous l’alliance de la Loi, la fertilité et la paix font partie des promesses de bénédiction, à condition bien sûr que les Israélites restent soumis à Dieu. Dans le livre du Deutéronome, on lit :
L’Éternel vous comblera de biens dans le pays qu’il a promis par serment à vos ancêtres de vous donner, il vous accordera de nombreux enfants, multipliera vos troupeaux et vous donnera des récoltes abondantes. L’Éternel ouvrira pour vous son bon trésor céleste pour donner en temps voulu la pluie nécessaire aux terres et pour bénir tout travail que vous accomplirez. Vous prêterez à de nombreuses nations et vous n’aurez vous-mêmes pas besoin d’emprunter (Deutéronome 28.11-12 ; comparez Lévitique 26.3-10 ; Ézéchiel 34.25-27).
Cependant, au travers de leur histoire tumultueuse, les Israélites ont suivi l’exemple de leurs rois. Le royaume de Juda en a plusieurs qui sont fidèles à l’Éternel, mais le royaume du Nord, pas un seul. Il s’en suit que la plupart du temps, les Israélites sont infidèles à Dieu et se trouvent sous sa malédiction.
Aujourd’hui, Israël est un pays aride qui vivote parce qu’il est constamment menacé par des voisins qui ont le couteau entre les dents. Il faudra attendre l’instauration du royaume de Jésus-Christ sur terre pour qu’un réel changement se produise, et que les bénédictions promises au peuple élu se réalisent pleinement (Lévitique 26.4 ; Deutéronome 33.28 ; Osée 2.23-25 ; Amos 9.13-15).
Verset 13
Je continue le texte du chapitre 8 de Zacharie.
Ô peuple de Juda et peuple d’Israël : par le passé, vous avez été maudits parmi les nations et par elles, mais je vous sauverai, et vous serez bénis et vous deviendrez une source de bénédiction. Soyez donc sans crainte et reprenez courage (Zacharie 8.13).
Dans l’ancienne version grecque (la Septante), ce verset est rendu d’une façon différente qui ne plaît pas aux exégètes mais qui dit bien ce qu’il veut dire et qui a le mérite d’être clair. Je le lis :
Et il arrivera que comme vous avez été une malédiction parmi les nations, Ô maison de Juda et maison d’Israël, ainsi je vous sauverai et vous serez une bénédiction.
La mention « de Juda et d’Israël » désigne les deux royaumes israélites et donc les 12 tribus (en réalité 13). Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, des membres de toutes les tribus sont revenus en Palestine lors du premier retour d’exil sous la conduite de Zorobabel, et de nouveaux colons arrivent sans cesse de Babylonie. Israël est une petite colonie mais désormais une nation unique et non pas deux royaumes.
« Par le passé, vous avez été maudits parmi les nations et par elles ». À cause de leurs péchés, les Israélites attirent sur eux le châtiment de l’exil, ce qui donne aux païens l’occasion de se moquer de l’Éternel parce qu’il donne l’impression d’être un dieu faible car incapable de défendre son peuple. Le comportement odieux du peuple d’Israël fait blasphémer les païens témoins de sa ruine, car ces païens maudissent à la fois le peuple élu et son Dieu. Dans les châtiments prévus par la Loi, dans le livre du Deutéronome, on lit :
Tous les peuples chez lesquels l’Éternel vous aura menés seront abasourdis de votre sort, vous serez le sujet de leurs moqueries et ils vous tourneront en dérision (Deutéronome 28.37).
Par ailleurs, Israël devint un exemple proverbial de malédiction pour les autres peuples. Le prophète Jérémie écrit :
Je ferai d’eux un objet d’horreur et de malheur dans tous les royaumes de la terre. Partout où je les disperserai, on les couvrira d’opprobre, ils seront la fable et la risée des gens, et un objet de malédiction (Jérémie 24.9). On se servira de leur nom dans des formules de malédiction parmi tous les déportés de Juda qui sont à Babylone (Jérémie 29.22).
Mais maintenant, dit l’Éternel, « je vous sauverai et vous serez bénis et vous deviendrez une source de bénédiction ». Dieu va délivrer son peuple et il va le bénir d’une manière tellement évidente que tous les païens croiront en une intervention surnaturelle. On aura un retournement complet de situation parce que d’objets de malédiction, les Israélites deviendront une source de bénédictions pour les peuples non-juifs. Le prophète Michée écrit :
Le reste de Jacob sera, parmi de nombreux peuples, semblable à la rosée qui vient de l’Éternel, ou aux averses tombant sur l’herbe (Michée 5.6)
Ces promesses confirment et sont dans la même lignée que celles que Dieu a faites au patriarche Abraham, l’ancêtre des Hébreux, quand il lui dit :
Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui t’outrageront. Tous les peuples de la terre seront bénis à travers toi (Genèse 12.3).
Plus tard, Jacob, le petit-fils d’Abraham fait des deux fils de Joseph une formule de bénédiction. Il dit :
Le peuple d’Israël vous nommera dans ses bénédictions en disant : “ Que Dieu te rende semblable à Éphraïm et à Manassé ! ” (Genèse 48.20).
Effectivement, ces tribus furent les deux principales du royaume israélite du Nord. Quant à Juda, qui avec les descendants de Siméon éparpillés sur son territoire et avec la tribu de Benjamin, ils forment le royaume du Sud. Juda ne donne pas son nom à une formule de bénédiction, cependant, sur lui, Jacob dit :
Le sceptre ne s’écartera pas de Juda, et l’insigne de chef ne sera pas ôté d’entre ses pieds jusqu’à la venue de celui auquel ils appartiennent et à qui tous les peuples rendront obéissance (Genèse 49.10).
La royauté appartient à Juda et à ses descendants jusqu’au Messie qui un jour régnera sur toute la terre.
Enfin, pour encourager davantage les colons juifs, par le prophète Zacharie, l’Éternel leur dit : « Soyez donc sans crainte et reprenez courage » (Zacharie 8.13), ou encore et comme l’écrit l’apôtre Paul dans son épître aux Romains :
Si Dieu est pour nous, qui se lèvera contre nous ? (Romains 8.31).
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.