Psaumes 123.1 – 130.8
Psaume 123
Introduction
Je me souviens étant enfant, combien j’anticipais et me réjouissais d’avance quand approchait le moment de la vogue dans notre village ou la Kilbe chez mes grands-parents en Alsace. Mais après coup, j’étais toujours un peu déçu, parce que j’avais eu l’imagination trop fertile. Eh bien une expérience similaire nous est rapportée dans le Psaume 123. Une fois arrivés à Jérusalem pour la fête, les pèlerins juifs doivent déchanter, car ils sont forcés de constater que la situation d’Israël n’est pas folichonne vu qu’ils sont toujours et encore entourés d’ennemis qui veulent leur destruction. Alors, ils se tournent vers Dieu dans un humble appel au secours.
Verset 1
Je commence à lire le Psaume 123 :
Cantique des montées (pour la route vers la demeure de l’Éternel). J’ai levé les yeux vers toi, toi qui règnes dans les cieux (Psaumes 123.1).
Après avoir constaté que Jérusalem est en mauvaise posture, l’humeur du pèlerin tombe de haut. Alors, il lève les yeux vers le ciel pour supplier Dieu d’avoir pitié de son peuple. Les Israélites sont tout à fait conscients que l’éternel n’est pas seulement présent dans le Temple ; il n’est pas emprisonné dans un bâtiment ou un coffre sacré. Les Israélites n’ont jamais eu la perspective païenne qui attribue à chaque divinité un rayon d’action géographique limité. Pour eux, l’Éternel est le Tout-Puissant, le Seigneur et le Créateur du ciel et de la terre. Le Temple et tout ce qu’il implique ne sont que des moyens, grâce auxquels on peut s’approcher de Dieu.
Verset 2
Je continue.
Oui, comme les serviteurs fixent leurs regards sur la main du maître, comme la servante fixe ses regards sur la main de sa maîtresse, ainsi nos regards se tournent vers l’Éternel, notre Dieu, dans l’attente de sa grâce (Psaumes 123.2).
À cette époque, c’est souvent par un simple geste que le maître donne un ordre à son serviteur. Les Juifs pieux sont dans cette même expectative envers l’Éternel, attendant sa délivrance.
Je me souviens qu’au lycée, pendant les heures d’atelier ou de dessin industriel, je regardais souvent l’horloge et vers le bureau du prof. Et dès qu’il en sortait, je faisais mine d’être très occupé. En ce temps-là, je ne me souciais pas de Dieu ni de ce qu’il nous voit sans cesse. Mais maintenant que j’en suis conscient, est-ce que j’en tiens toujours compte ? Je me le demande.
Versets 3-4
Je finis le psaume 123.
Fais-nous grâce, ô Éternel ! Aie pitié de nous ! Car nous sommes saturés du mépris qu’on nous témoigne. Oui, nous sommes saturés des insultes des repus et du mépris des hautains (Psaumes 123.3-4).
Aucun psalmiste ne s’assoit en compagnie des moqueurs (Psaume 1:1), mais dans leurs prières on voit qu’ils sont très conscients que leurs voisins le sont.
Méprisés parce qu’ils sont juifs, les pèlerins sont venus à Jérusalem pour se réjouir et célébrer l’Éternel en faisant la fête mais aussi pour demander son intervention en leur faveur. Dans cette optique, ils s’humilient devant lui parce qu’ils savent très bien que tous les malheurs qui sont arrivés à Israël sont dus aux péchés de leurs ancêtres.
Psaume 124
Introduction
Le soupir du psaume123 n’aboutit pas au découragement, loin de là. Arrivés sur la terrasse du temple et contemplant Jérusalem rebâtie, les pèlerins expriment, dans les psaumes 124 à 125, des sentiments de reconnaissance, de confiance et d’espoir. Le psaume 124 est une prière d’actions de grâces par laquelle les pèlerins juifs remercient l’Éternel de les avoir délivrés de la captivité babylonienne. Les expressions utilisées rappellent aussi la sortie d’Égypte.
Versets 1-3
Je commence à lire le psaume 124.
Cantique des montées. Si l’Éternel n’avait pas été avec nous, Israël peut le dire, si l’Éternel n’avait pas été avec nous lorsque l’homme est venu nous attaquer, alors il nous aurait engloutis tout vivants dans l’ardeur de sa rage déchaînée contre nous (Psaumes 124.1-3).
Des chantres invitent solennellement le peuple à entonner avec eux ce cantique. L’ennemi, ce sont ceux qui, s’attaquant à Israël, s’opposent en même temps à Dieu ; une très mauvaise idée.
Le peuple considère son passé et se rend compte que l’Éternel est intervenu en sa faveur en lui permettant de survivre, de prospérer et de venir assister à la fête.
Versets 4-5
Je continue.
Le flot nous aurait entraînés et le torrent nous aurait submergés. Alors des eaux tumultueuses auraient passé sur nous (Psaumes 124.4-5).
Cette allusion aux eaux de la Mer Rouge et du Jourdain désigne également les peuples d’alentour qui menacent Israël.
Versets 6-7
Je continue.
Loué soit l’Éternel, lui qui n’a pas permis que leurs dents nous déchirent. Nous avons pu nous en sortir comme un passereau qui s’échappe du filet des chasseurs : le filet s’est rompu et nous nous sommes échappés (Psaumes 124.6-7).
Cette image d’une délivrance miraculeuse inattendue, justifie la louange adressée à l’Éternel.
Verset 8
Je finis le psaume 124.
Notre secours nous vient de l’Éternel lui-même qui a fait le ciel et la terre (Psaumes 124.8).
Ce cantique déclare que l’Éternel est le Créateur et celui qui tire de la détresse ceux qui l’invoquent. C’est la raison qui est invoquée pour le louer et l’adorer.
Psaume 125
Introduction
Nous arrivons au psaume 125 qui parle d’une domination étrangère oppressive, mais il a aussi été appelé « le chant de l’assurance » parce qu’il affirme qu’étant sous la protection de Dieu, Israël est inébranlable. Persécutés, les Israélites choisissent leur camp. D’un côté sont les fidèles qui demeurent fermes dans la foi, et de l’autre ceux qui veulent s’accommoder aux circonstances. On sait que lorsque Juda était sous la botte de la Grèce, il existait en Israël des collaborateurs qui prônaient les mœurs de l’occupant et l’abandon du culte de l’Éternel.
Versets 1-2
Je commence à lire le Psaume 125.
Cantique des montées. Ceux qui ont placé leur confiance en l’Éternel sont comme le mont de Sion : il n’est pas ébranlé et demeure à jamais. Comme Jérusalem se trouve entourée de montagnes, de même l’Éternel entoure aussi son peuple, dès maintenant et à jamais (Psaumes 125.1-2).
Les pèlerins qui sont venus de la diaspora ont d’abord vu les montagnes de la Judée, puis les collines qui encadrent la ville sainte. Ce spectacle grandiose évoque pour eux la protection dont jouit le peuple de Dieu. Dans le lointain, et alors qu’ils contemplent Jérusalem bâtie sur le mont Sion, ils entrevoient déjà le jour où Israël sera rétabli selon les promesses de Dieu.
Versets 3-4
Je continue.
Un bâton méchant ne pourra subsister dans le pays des justes, de peur que les justes ne tendent la main à l’iniquité. Sois bon, ô Éternel, pour celui qui est bon, pour celui qui a le cœur droit ! (Psaumes 125.3-4).
Parce que Dieu est juste, le règne permanent du mal est impossible et un jour il sera éliminé, et dans sa bonté, Dieu ne permettra pas que les fidèles soient éprouvés au-delà de leurs forces.
Verset 5
Je finis le Psaume 125.
Mais ceux qui se détournent vers des voies tortueuses, que l’Éternel les chasse avec tous ceux qui font le mal ! Que la paix soit sur Israël ! (Psaumes 125.5).
Les impies qui ne se soumettent pas à l’Éternel ne valent pas mieux que les malfaisants et donc subiront le même sort qu’eux. Par contre, la bénédiction de Dieu repose sur ses fidèles.
Psaume 126
Introduction
Nous arrivons au psaume 126 qui évoque la délivrance étonnante des Israélites des griffes de Babylone, leur joie à leur retour d’exil, et une supplication par laquelle ils demandent à l’Éternel d’agir à nouveau en faveur de son peuple. Je commence à lire le psaume 126.
Versets 1-3
Cantique des montées. Quand l’Éternel a ramené les captifs de Sion, nous avons cru rêver. Alors nous ne cessions de rire et de pousser des cris de joie. Alors on se disait chez les autres nations : “ Oui, l’Éternel a fait pour eux de grandes choses ! ” Oui, l’Éternel a fait pour nous de grandes choses : nous sommes dans la joie (Psaumes 126.1-3).
L’édit du roi perse Cyrus qui autorise les Juifs à retourner en Terre d’Israël est tellement inespéré qu’ils croient rêver. C’est tellement prodigieux que même les païens reconnaissent la bonté de Dieu à l’égard d’Israël.
Verset 4
Je continue.
Ramène nos captifs, ô Éternel, comme tu fais couler des cours d’eau au désert (Psaumes 126.4).
Dans le Néguev, la partie sud de Juda proche du désert, les cours d’eau ne se remplissent qu’à la suite de fortes pluies et c’est très rare. Mais quand ça arrive, la terre se couvre d’une abondante végétation. Pour le psalmiste, si tous ceux qui sont restés à Babylone revenaient en Israël, ce serait une sorte de résurrection.
Versets 5-6
Je finis de lire le psaume 126.
Qui sème dans les larmes moissonne avec des cris de joie ! Qui s’en va en pleurant pour porter sa semence revient rempli de joie, sous le poids de ses gerbes (Psaumes 126.5-6).
Même si jeter du bon grain en terre semble une perte, ce geste est nécessaire si on veut faire une récolte. Pareillement, le règne de Dieu ne progresse qu’avec de coûteuses semailles.
D’après le prophète Ésaïe (53.3), Jésus était habitué à souffrir. Qui sait combien de larmes il a versées ? Comme lui, « faisons le bien sans nous décourager. Car si nous ne relâchons pas nos efforts, nous récolterons au bon moment » écrit l’apôtre Paul aux Galates (6.9).
Psaume 127
Introduction
Les deux psaumes 127 et 128 suivants forment une parenthèse parce qu’ils diffèrent beaucoup des autres « cantiques des montées ». Ce sont des chants qui célèbrent la vie familiale bénie par l’Éternel. Le Psaume 127 rappelle au fidèle qu’il doit dépendre entièrement de Dieu. Il fut lu dans la bible de George Washington lors de l’inauguration du président Eisenhower.
Versets 1-2
Je commence à le lire.
Cantique des montées. De Salomon. Si l’Éternel ne bâtit la maison, en vain les bâtisseurs travaillent. Si l’Éternel ne garde pas la ville, en vain la sentinelle veille. Oui, il est vain de vous lever très tôt et de vous coucher tard, et de vous donner tant de peine pour gagner votre pain. Car Dieu en donne tout autant à ceux qui lui sont chers pendant qu’ils dorment (Psaumes 127.1-2).
L’auteur a rédigé ce psaume dans l’esprit et selon les sentences de Salomon. D’ailleurs ce roi a dit : « C’est la bénédiction de l’Éternel qui enrichit, et toute la peine qu’on se donne n’y ajoute rien (Proverbes 10.22) ».
Le psalmiste répète 3 fois le mot « vain » pour bien souligner qu’en dehors de Dieu, toute activité est vaine. Jésus aussi a dit que les soucis mondains sont vains (Matthieu 6.31-34). Dieu pourvoit aux besoins des siens par le travail, mais il peut aussi les bénir gratuitement.
Verset 3
Je continue.
Des fils : voilà bien l’héritage que donne l’Éternel, oui, des enfants sont une récompense (Psaumes 127.3).
Un héritage ou une récompense n’est pas un salaire qui est un dû et qui s’obtient par un travail ; c’est un bienfait que Dieu accorde par grâce.
Versets 4-5
Je finis le psaume 127.
Ils sont pareils aux flèches dans la main d’un archer, les fils de la jeunesse. Heureux est l’homme dont le carquois en est rempli ! Il ne connaîtra pas la honte quand il plaidera contre l’ennemi aux portes de la ville (Psaumes 127.4-5).
Cette image guerrière correspond bien à la situation des Israélites après l’exil quand il leur a fallu reconquérir leur indépendance. En Orient, les affaires, la justice et la vie sociale se traitent sur la place à l’entrée de la ville, et pas toujours en douceur. Mais les mauvais bougres renonceront à porter un faux témoignage contre un homme entouré de ses nombreux fils.
Psaume 128
Verset 1
Nous arrivons au Psaume 128 que Luther appelle : « le chant du mariage. » Il décrit une famille heureuse parce que le père révère l’Éternel. Je commence à le lire.
Cantique des montées. Heureux es-tu, toi qui honores l’Éternel et qui suis les chemins qu’il a tracés ! (Psaumes 128.1).
Il existe toutes sortes de formations et de conférences pour aider le couple et la famille. Les différentes méthodologies enseignées ont leurs mérites, mais la véritable fondation de la famille heureuse pour le long terme est de vénérer Dieu, car alors, les difficultés inhérentes à la vie seront plus facile à démêler. Une approche purement psychologique est insuffisante à cause de l’égoïsme invétéré ancré au cœur de l’être humain. Un jour, on a demandé à un homme très âgé comment il avait fait pour vivre aussi vieux. Il a répondu :
La plupart du temps, je vis dehors. Voyez-vous, quand on s’est marié, ma femme et moi avons décidé que chaque fois qu’il y aurait une dispute, je sortirais, alors je vis dehors.
Versets 2-4
Je continue le psaume 128.
Car tu mangeras du travail de tes mains, tu seras bienheureux et tu prospéreras. Dans ton foyer, ta femme sera comme une vigne chargée de nombreux fruits et, autour de ta table, tes fils ressembleront à des plants d’olivier. Ainsi sera béni tout homme qui révère l’Éternel (Psaumes 128.2-4).
Dans la vie des Israélites, la vigne et l’olivier sont précieux. Avec le figuier, ils font la richesse et la gloire de la Palestine. Comme l’huile et le vin accompagnent la plupart des offrandes faites à l’Éternel, les arbres qui les produisent sont presque considérés sacrés. Cette maisonnée unie autour de la table familiale est très différente de la famille cow-boy d’aujourd’hui où tout le monde a ses propres préoccupations et part dans des directions différentes.
Versets 5-6
Je finis le Psaume 128.
Oui, l’Éternel te bénira depuis le mont Sion, et tu contempleras Jérusalem heureuse, et tous les jours de ta vie, tu verras les enfants de tes enfants ! Que la paix soit sur Israël ! (Psaumes 128.5-6).
Au début de sa création, le foyer de l’homme était le paradis. Après en avoir été chassé, son foyer devint son paradis. Mais il peut facilement se transformer en enfer si Dieu en est absent.
Psaume 129
Versets 1-4
Nous arrivons au psaume 129 dans lequel, le pèlerin personnifiant Israël, passe en revue sa jeunesse, l’oppression subie en Égypte, et comment l’Éternel l’a préservé. Je commence à lire le psaume 129.
Cantique des montées. Depuis ma jeunesse, on m’a souvent combattu. Qu’Israël le dise : “ Depuis ma jeunesse on m’a souvent combattu, mais on n’a pas pu l’emporter sur moi. ” On a labouré mon dos, on y a tracé de profonds sillons. L’Éternel est juste et il a brisé les liens préparés par les méchants (Psaumes 129.1-4).
Israël a toujours été persécuté, mais la nation a survécu tout comme le buisson ardent qui devant les yeux de Moïse brûlait sans se consumer.
Versets 5-8
La suite du psaume est une imprécation contre les ennemis d’Israël. Je finis le psaume 129.
“ Que l’Éternel vous bénisse ! Nous vous bénissons de la part de l’Éternel ” (Psaumes 129.8).
Cette salutation fait écho à la bénédiction de Aaron, le premier grand-prêtre. Je la lis :
Que l’Éternel te bénisse et te protège ! Que l’Éternel te regarde avec bonté ! Et qu’il te fasse grâce ! Que l’Éternel veille sur toi et t’accorde la paix ! (Nombres 6.24-26).
Cette vision du monde fait partie de la vie d’Israël. Dans le livre de Ruth, on lit :
Booz salua les moissonneurs en leur disant : — Que l’Éternel soit avec vous ! Ils lui répondirent : — Que l’Éternel te bénisse ! (Ruth 2.4).
Nos relations ne seraient pas aussi conflictuelles et beaucoup plus plaisantes si nous adoptions ce modèle de comportement avec nos semblables, non seulement à la maison, mais partout ailleurs.
Psaume 130
Introduction
Nous arrivons au psaume 130 qui expose la racine du mal ancrée au cœur de tout être humain : le péché dont on ne peut être délivré que par Dieu lui-même.
Un jour, quelqu’un demanda à Luther quels étaient ses psaumes préférés. Il a répondu les Psaumes 32, 51, 130 et 143, parce que comme l’apôtre Paul, ils expliquent que le pardon des péchés s’obtient par la foi sans mérite personnel. Le 130e est un psaume de repentance et d’humiliation qui dans la liturgie latine s’appelle « De profundis ». Je commence à le lire.
Versets 1-2
Cantique des montées. Du fond de la détresse je t’ai invoqué, Éternel. Seigneur, écoute-moi ! Sois attentif à mes supplications ! (Psaumes 130.1-2).
Tout au long de ce cantique, on peut observer l’évolution du psalmiste qui va de la détresse à la confiance et jusqu’à l’espérance.
Versets 3-4
Je continue.
Ô Éternel, si tu gardes nos fautes, Seigneur, qui donc subsistera ? Mais le pardon se trouve auprès de toi afin qu’on te révère (Psaumes 130.3-4).
Si Dieu nous jugeait en fonction de nos fautes, tous sans exception, nous finirions dans l’étang de feu et de souffre. Heureusement, il pardonne à tous ceux qui font confiance à Jésus-Christ.
Versets 5-8
Je finis le psaume 130.
Moi, je m’attends à l’Éternel, oui, je m’attends à lui, de tout mon être, j’ai foi en sa parole. J’ai compté sur le Seigneur bien plus que les guetteurs n’attendent le matin, oui, plus que les guetteurs n’attendent le matin. Ô Israël, place ta foi en l’Éternel, car la miséricorde et la rédemption se trouvent auprès de lui, et c’est lui qui délivrera Israël de tous ses péchés (Psaumes 130.5-8).
Le psalmiste a compris que les sacrifices prescrits par la Loi et que l’on doit sans cesse répéter sont insuffisants. Il entrevoit l’affranchissement complet et définitif du péché. L’apôtre Paul écrit :
Israël sera sauvé. De Sion viendra le Libérateur ; il éloignera de Jacob tout péché. Pour nous, notre cité est dans les cieux d’où nous attendons comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ (Romains 11.26-27 ; Philippiens 3.20).
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.