Lévitique 6.17-23 + 5.1-13
Chapitre 6
Introduction
Faut pardonner ! C’est facile à dire mais le faire est très difficile. Pourtant, si je ne pardonne pas à celui qui m’a fait du mal, non seulement je me détruis à petit feu mais Dieu ne me pardonnera pas non plus mes offenses contre lui (Matthieu 6.15; 11.26). L’Eternel est un Dieu miséricordieux, voilà pourquoi, dans le chapitre 4 du Lévitique, on a plusieurs fois l’expression : « Il lui sera pardonné ». Dans le Nouveau Testament, bien des passages affirment d’une manière ou d’une autre, mais toujours catégoriquement, que c’est par Jésus seulement que je peux obtenir le pardon de mes péchés et la vie éternelle. J’en cite deux :
C’est en Jésus-Christ seul que se trouve le salut. Dans le monde entier, Dieu n’a jamais donné le nom d’aucun autre homme par lequel nous devions être sauvés. En Christ, parce qu’il s’est offert en sacrifice, nous avons été délivrés et nous avons reçu le pardon de nos fautes. Dieu a ainsi manifesté sa grâce dans toute sa richesse (Actes 4.12 ; Éphésiens 1.7).
La raison pour laquelle le Dieu infiniment juste peut effacer notre ardoise en Jésus-Christ est que d’une part, lui seul est parfaitement saint et sans aucune tache, et d’autre part, lui seul a porté et expié tous les péchés de l’humanité depuis la rébellion initiale de nos premiers parents. L’apôtre Paul écrit : Dieu était en Christ, réconciliant le genre humain avec lui-même, en ne leur attribuant pas leurs offenses (2 Corinthiens 5.19). Certes, cela est quelque peu mystérieux mais c’est l’enseignement du Nouveau Testament. Non seulement la vie éternelle ne se trouve qu’en la personne du Christ, mais c’est aussi par lui que se fera le jugement de toute la terre et de tout homme. Dans le livre des Actes écrit par Luc, on lit :
Aujourd’hui, Dieu annonce à tous, et partout, que les hommes doivent se repentir, car Il a fixé un jour où Il jugera le monde entier en toute justice, par un homme qu’Il a désigné pour cela, ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant d’entre les morts (Actes 17.30-31).
Quand l’apôtre Paul a prêché cette vérité, annoncé cette nouvelle en plein centre d’Athènes, les citoyens philosophes se sont moqués de lui. Bien sûr, chacun est libre de lui rire au nez, mais : « Rira bien qui rira le dernier » !
Versets 17-20
Je disais donc que dans le chapitre 4 du Lévitique, il est dit à plusieurs reprises que Dieu pardonne ceux qui offrent pour leurs fautes le sacrifice d’expiation requis. Or, comme une partie du chapitre 6 nous donne des détails supplémentaires, je vais parcourir rapidement ce passage. Je commence à le lire :
L’Éternel parla à Moïse en ces termes : Dis à Aaron et à ses fils : Voici la loi concernant le sacrifice pour le péché : la victime pour ce sacrifice sera égorgée devant l’Éternel au même endroit que l’holocauste. C’est une chose très sainte. Le prêtre qui officie pour ce sacrifice la mangera ; il le fera dans un lieu saint, dans le parvis de la tente de la Rencontre. Quiconque entrera en contact avec la viande de ce sacrifice sera sacré. Si du sang gicle sur un vêtement, tu le laveras à l’endroit taché dans un lieu saint (Lévitique 6.17-20).
Il est probable que la lecture de ce passage soulève plusieurs questions et j’y répondrai au fur et à mesure que nous avançons dans le livre. Mais ici est l’occasion d’expliquer la différence entre ce qui est dit « saint » ou sacré par opposition à « très saint ». À première vue, on pourrait penser que Dieu est très tatillon et coupe les cheveux en quatre. Dans un sens, c’est vrai, mais il faut garder à l’esprit que l’un de ses objectifs est pédagogique. L’Israélite — et par extension tout homme — doit apprendre ce que ça veut dire quand Dieu dit : « Je suis saint ». Je peux comprendre des notions comme la justice, l’amour, la bonté, le pardon, etc. Mais la sainteté est un concept qui m’est totalement étranger. C’est pour cette raison que le texte donne tant de détails barbants et répétitifs concernant la sainteté.
Je vais maintenant donner une vue d’ensemble rapide de la portion du chapitre 6 qui nous intéresse. Sont qualifiées de « Choses très saintes », les offrandes qui entrent en contact immédiat avec Dieu et qui acquièrent ainsi une sainteté supérieure. C’est là un point essentiel et ça semble évident. Le sang des victimes qui servent à l’expiation des fautes est tellement saint que pas une goutte ne doit entrer en contact avec quelque chose ou quelqu’un de profane. Seuls les prêtres ont le droit de laver leur vêtement taché; cela n’est pas permis à leur femme ou à un autre Israélite. Sont qualifiés de « très saint » dans les Textes Sacrés : les 12 pains sur la table à l’intérieur du sanctuaire ; le parfum, qui est offert sur l’autel du même nom ; les victimes des sacrifices d’expiation et les autres offrandes, lorsqu’ils avaient été offerts sur l’autel de bronze qui se trouve à l’entrée du sanctuaire, enfin, certainement aussi les holocaustes, bien que cela ne soit pas indiqué.
Les choses très saintes ne peuvent être mangées que par des prêtres sacrificateurs en état de pureté rituelle, et cela, en un lieu consacré, c’est à dire dans le parvis autour du tabernacle, aussi appelé tente de la rencontre. Est dit simplement « saint », ce qui n’entre pas en contact direct avec Dieu comme certaines offrandes, les premiers-nés du bétail, les prémices de tous les produits, ce qui est offert à Dieu mais n’est pas monnayable, ainsi que les dîmes, et enfin ce qui est rituellement consacré à Dieu. Tous les descendants d’Aaron, le premier grand-prêtre et frère de Moïse, hommes et femmes, peuvent manger ce qui est désigné comme saint, à condition d’être en état de pureté rituelle, et que ce soit en un lieu mis à part pour Dieu ou pour le culte. Voilà pour l’instant.
Versets 21-23
Je continue plus loin et finis le texte du chapitre 6 qui concerne les sacrifices d’expiations.
Si on fait cuire la viande du sacrifice dans un récipient de terre, on le brisera, si c’est dans une marmite en bronze qu’on la fait cuire, on la nettoiera, puis on la rincera à grande eau. Tous les hommes de la famille du prêtre pourront manger de cette viande ; c’est une chose très sainte. Toutefois, on ne mangera aucune viande d’un sacrifice pour le péché dont on doit porter du sang dans la tente de la Rencontre pour accomplir le rite d’expiation dans le sanctuaire. Elle sera brûlée au feu (Lévitique 6.28-30).
Toutes ces prescriptions ont déjà été données et commentées. Je les ai rappelées pour mémoire.
Chapitre 5
Introduction
Nous arrivons maintenant au chapitre 5 du Lévitique qui d’abord parle encore du sacrifice d’expiation, puis il y sera aussi question du sacrifice de réparation. Il n’est pas toujours évident de les distinguer l’un de l’autre; on peut y perdre son latin car c’est plutôt complexe et ces deux sacrifices ont bien des points communs. Que ce soit le sacrifice d’expiation ou de réparation, tous deux sont un sacrifice d’animaux qui couvre une faute spécifique. Pour l’Israélite qui vivait à cette époque et qui était habitué à toute cette liturgie, tout le cérémonial qui fait partie du système lévitique, ne posait pas de difficulté; il comprenait parfaitement toutes les nuances subtiles entre les diverses offrandes car elles faisaient partie intégrante de sa culture à la fois sociale et religieuse. Mais pour nous autres « gentils », un terme technique qui veut dire « non-Juifs », nous sommes non seulement détachés de cette culture, mais situés à une distance de 3.000 ans. C’est donc un vrai défi que de comprendre les explications du texte. A mes yeux, l’intérêt d’étudier les rites de l’Ancienne Alliance est qu’ils permettent de découvrir qui est l’Éternel, car même si les formes extérieures de ses exigences ont changé puisque nous sommes sous la Nouvelle Alliance, les principes restent les mêmes car Dieu, Lui, ne change pas. D’ailleurs, c’est aussi ce qu’affirme un verset du Nouveau Testament que je cite :
Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation (Jacques 1.17).
Verset 1
Je commence maintenant à lire le texte qui nous donne une liste d’infractions, qui ne sont pas exhaustives, mais qui servent d’exemples. .
Si, dans une procédure de justice, quelqu’un entend la formule d’adjuration et ne dit pas ce qu’il sait alors qu’il est témoin ou qu’il a vu ou appris quelque chose, il portera la responsabilité de sa faute (Lévitique 5.1).
Le début du chapitre va aborder trois cas particuliers où un Israélite a fauté par négligence, timidité, faiblesse ou légèreté, et qui peuvent être réparés par des sacrifices. Dans le premier exemple, le témoin entend des menaces qui sont proférées contre quelqu’un mais ne dit rien; au lieu de témoigner, il garde le silence, ou ne dit pas tout ce qu’il sait. Cet homme transgresse la loi. Il ne ment pas par action mais par omission en ne racontant qu’une partie de ce qui est arrivé. De ce fait, il trompe les membres du tribunal, car ces derniers ne possèdent pas les éléments nécessaires qui leur permettraient de faire une évaluation juste de l’événement en question. Dans le Nouveau Testament, l’apôtre Jacques écrit :
Celui qui sait faire le bien et ne le fait pas, se rend coupable d’un péché (Jacques 4.17).
Cet homme se rend donc coupable devant Dieu et se charge d’une faute qui doit être lavée. Il ne s’agit pas ici d’un faux témoignage proprement dit, car ce dernier ne pouvait pas être réparé par un sacrifice et il était puni de mort. En sa personne, Jésus nous donne un excellent exemple des situations où on doit parler ou bien ne rien dire. Quand il a comparu devant la cour suprême juive, les chefs religieux cherchaient à le faire condamner par n’importe quel moyen. Devant les inepties des faux témoins qui l’accusaient, Jésus n’a rien dit; il ne s’est pas défendu. Mais quand le grand-prêtre, le chef spirituel de la nation d’Israël lui a posé une question sous serment, alors Jésus a dit toute la vérité présente et future. Je lis le passage.
Alors le grand-prêtre se leva et demanda à Jésus : — Tu n’as rien à répondre aux témoignages qu’on vient de porter contre toi ? Jésus garda le silence. Alors le grand-prêtre reprit en disant : — Je t’adjure, par le Dieu vivant, de nous déclarer si tu es le Messie, le Fils de Dieu. Jésus lui répondit : — Tu l’as dit toi-même. De plus, je vous le déclare : À partir de maintenant, vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant et venir en gloire sur les nuées du ciel (Matthieu 26.62-64).
Je continue à lire dans le chapitre 5 du Lévitique.
Si quelqu’un touche par inadvertance une chose rituellement impure, que ce soit le cadavre d’une bête sauvage ou domestique impure, ou celui d’un reptile impur, il deviendra lui-même impur et sera coupable. Si quelqu’un touche par mégarde une impureté humaine dont le contact rend impur, dès qu’il s’en rendra compte, il sera coupable (Lévitique 5.2-3).
C’est ici le second exemple de ce début de chapitre. Si l’on s’aperçoit immédiatement de ces contacts impurs, il suffit de s’en purifier par des ablutions. Mais si l’on ne remarque la chose que plus tard, ou si on n’y prête pas garde par négligence, par inadvertance ou par oubli, alors on se charge d’une faute qu’il est nécessaire de réparer avec un sacrifice de culpabilité. L’homme qui ne se purifie pas dans les plus brefs délais peut quand même se décharger de l’impureté contractée et de la culpabilité encourue. Parmi les animaux domestiques, il y en avait qui étaient impurs selon la loi et dont on ne pouvait pas manger comme le cheval ou le chien par exemple. Mais les cadavres des animaux purs souillaient aussi, sauf bien sûr quand ils étaient morts sacrifiés sur l’autel des holocaustes, car ils sont alors considérés très saints.
Verset 4
Je continue le texte avec un troisième exemple.
Si quelqu’un s’est laissé aller de façon irréfléchie à prononcer un serment, qu’il lui fasse tort ou qu’il soit à son avantage, quel que puisse être ce serment, dès qu’il s’en rendra compte, il sera coupable (Lévitique 5.4).
Il s’agit de fautes dues à la légèreté des lèvres, à l’incapacité de tenir sa langue en bride comme dans le cas d’un serment inconsidéré ou d’une promesse frivole. Ce n’est pas tant la nature de l’acte dans lequel on s’est engagé qui rend coupable, mais la désinvolture avec laquelle on l’a fait, parce qu’elle témoigne d’un manque de respect envers Dieu. Qu’on me fasse remarquer cette légèreté des lèvres ou que je m’en aperçoive moi-même, je suis coupable. Parfois, on promet de faire ceci ou cela, de rendre un livre ou un outil empruntés et puis le temps passe et l’oubli s’installe. Ça paraît peu de chose mais c’est quand même un manquement à sa parole, car on dit et on ne fait pas. Si vous vous sentez concernés, moi aussi.
Versets 5-6
Je continue.
Si donc quelqu’un se trouve en faute dans l’un de ces cas, il avouera son péché, et, comme réparation envers l’Éternel pour la faute qu’il a commise, il apportera une femelle de petit bétail, brebis ou chèvre, en sacrifice pour le péché. Le prêtre accomplira pour lui le rite d’expiation pour son péché (Lévitique 5.5-6).
Dans les sacrifices qui apaisent l’Éternel comme l’holocauste ou le sacrifice d’actions de grâces, l’animal est immolé sans confession particulière, mais pour les sacrifices d’expiation, c’est-à-dire pour le péché, il est nécessaire d’avouer sa faute. Dans ce cas, le sacrifice n’a de valeur que lorsqu’il a été précédé de la reconnaissance de son péché. Plus loin dans ce chapitre, il est dit que quand cela est possible, il est nécessaire de s’amender. Dans le cas d’un vol par exemple (versets 23,24; comparer Exodus 21.37), il fallait restituer plusieurs fois à la personne lésée ce qu’on lui avait pris. Un autre exemple nous est donné par Jésus dans le célèbre Sermon sur la Montagne. Il a dit :
Si donc, au moment de présenter ton offrande devant l’autel, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère ; puis tu reviendras présenter ton offrande (Matthieu 5.23-24).
Versets 7-10
Je continue le texte du Lévitique.
Si l’homme n’a pas les moyens de se procurer une brebis ou une chèvre, il apportera à l’Éternel, comme réparation pour son péché, deux tourterelles ou deux pigeonneaux ; l’un sera offert comme sacrifice pour le péché, l’autre comme holocauste. Il les apportera au prêtre qui offrira en premier lieu l’oiseau destiné au sacrifice pour le péché ; il lui rompra la nuque sans détacher complètement la tête, puis il fera l’aspersion du sang du sacrifice pour le péché sur la paroi de l’autel ; le reste du sang sera répandu sur le socle de l’autel. C’est un sacrifice pour le péché. Il offrira le second oiseau en holocauste selon la règle. Le prêtre accomplira ainsi pour cet homme le rite d’expiation pour sa faute, et il lui sera pardonné (Lévitique 5.7-10).
L’Éternel accorde des facilités à l’Israélite qui est trop pauvre pour acheter une tête de menu bétail, littéralement : « dont la main n’atteint pas à ce qui est suffisant pour ». Au lieu d’un ovin, il peut offrir deux tourterelles ou deux pigeonneaux, l’une comme victime expiatoire, et l’autre comme holocauste. On peut se demander pourquoi les deux oiseaux ne sont pas traitées de la même façon ? C’est parce que dans le sacrifice d’expiation, on substitue une vie à une autre vie, et on ne le répète pas plusieurs fois. Mais, d’autre part, un seul oiseau ne suffit pas à remplir les deux conditions du sacrifice qui sont l’aspersion du sang et la combustion de la graisse. C’est pour cela qu’une seconde tourterelle doit fournir la graisse. Quant à celle qui a fourni le sang, elle est donnée au prêtre pour qu’il la mange (Lévitique 6.18,19). On voit bien ici le soin avec lequel la Loi tient compte de la situation des pauvres, et en même temps la rigueur avec laquelle elle procède dans ses moindres détails.
Versets 11-13
D’une manière générale, le pardon s’obtient en échange d’une vie, que ce soit celle d’un taureau ou d’un petit oiseau à une exception près que je lis maintenant.
S’il n’a pas les moyens de se procurer deux tourterelles ou deux pigeonneaux, il apportera en offrande pour sa faute trois kilogrammes de fleur de farine, en guise de sacrifice pour le péché. Il n’y versera pas d’huile, il n’y ajoutera pas d’encens, car c’est un sacrifice pour le péché. Il l’apportera au prêtre, qui en prendra une pleine poignée pour servir de mémorial et la brûlera sur l’autel, sur les sacrifices et offrandes consumés par le feu qui appartiennent à l’Éternel. C’est un sacrifice pour le péché. Le prêtre accomplira ainsi le rite d’expiation pour la faute que cet homme a commise, dans l’un ou l’autre des cas énumérés, et il lui sera pardonné. Le reste sera pour le prêtre, comme dans le cas de l’offrande (Lévitique 5.11-13).
Pour les plus pauvres des pauvres, l’Éternel accorde encore davantage de facilités. L’huile et l’encens servent à rendre hommage à Dieu, mais comme il s’agit d’un sacrifice destiné à expier une faute, ces deux éléments sont absents.
Pour conclure l’exposé sur le sacrifice d’expiation, on peut dire qu’il mérite bien son nom. C’est le premier sacrifice que la Loi de Moïse a ajouté à ceux qui étaient déjà en usage. Un tel rite convient bien au moment où est solennellement proclamée la double idée d’un Dieu saint et d’un peuple appelé à l’être.
Le rôle du sang est double. D’une part il sert à satisfaire la justice de l’Éternel dans le sens qu’une victime sans défaut a donné sa vie pour couvrir celle d’un Israélite qui a péché. D’autre part, le sang versé montre au coupable qu’enfreindre la volonté du Dieu trois fois saint, même par inadvertance, est un péché très grave puisqu’il coûte une vie. Voilà de sombres paroles qui expliquent un rite cruel. J’aurai préféré de loin que riches ou pauvres, puissent brûler de la farine au lieu d’immoler un animal. Malheureusement, c’est l’exception et non la règle.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.