Lévitique 3.8 – 4.4
Chapitre 3
Versets 8-10
Aujourd’hui quand on a des invités, on prépare un repas somptueux et on sort une bonne bouteille de sa cave. Dans l’antiquité par contre, l’hôte tuait le veau gras et l’apprêtait et c’était lui le point de mire du festin. Eh bien c’est aussi ce que faisait l’Israélite qui désirait communier avec son Dieu. Je continue à lire dans le chapitre 3 du livre du Lévitique.
Celui qui offre le sacrifice de communion, posera sa main sur la tête de la victime avant de l’égorger devant la tente de la Rencontre, et les descendants d’Aaron en aspergeront de sang tous les côtés de l’autel. On prélèvera de ce sacrifice de communion, pour l’offrir à l’Éternel en le consumant par le feu, les parties grasses : la queue entière coupée près de l’échine, la graisse qui recouvre les entrailles et toute celle qui y est attachée, les deux rognons et la graisse qui les enveloppe et qui couvre les flancs, ainsi que le lobe du foie qu’on ôtera avec les rognons (Lévitique 3.8-10).
Ça commence vraiment à être très répétitif. Cette insistance signifie que l’Eternel veut marteler les rites qui entourent les sacrifices dans la tête des membres de son peuple. Toutes les parties grasses qui sont à l’intérieur du corps de l’animal appartiennent à l’Éternel. Bien qu’il s’agisse d’un sacrifice de communion, il inclut cet aspect expiation, toujours pour la même raison, à cause des fautes que commet l’homme, donc bien sûr celui qui offre l’animal. Avant de pouvoir établir une relation amicale avec Dieu, il est nécessaire de régler le problème du péché de l’adorateur. Dans ces sacrifices d’actions de grâces, deux aspects de la relation avec Dieu sont en vue : la réconciliation et la communion. On les trouve aussi dans l’invitation que Jésus adressa à la foule quand il a dit :
Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école (Matthieu 11.28, 29).
En venant à Jésus je me réconcilie avec Dieu et en faisant route avec lui, je suis en communion intime avec lui. Quand deux personnes sont ennemies, elle doivent d’abord vider l’abcès qui les sépare, ensuite seulement, elles peuvent se fréquenter.
Verset 11
Je continue le texte.
Le prêtre les (la graisse, les rognons, le lobe du foie) fera brûler sur l’autel : c’est un aliment consumé par le feu pour l’Éternel (Lévitique 3.11).
Dans le paganisme et comme le décrit la fameuse inscription assyrienne d’Esarhaddon, ceux qui offraient des sacrifices invitaient leurs dieux à participer à leur festin. Mais entre le peuple d’Israël et l’Éternel, c’est l’inverse car c’est Dieu qui prend l’initiative. Ailleurs, Moïse écrit :
L’Éternel votre Dieu choisira un lieu au milieu des territoires de toutes vos tribus pour y établir sa présence et pour en faire sa demeure ; c’est là seulement que vous irez l’invoquer. Là, vous apporterez vos holocaustes et vos sacrifices, vos dons spontanés et les premiers-nés de votre gros et de votre petit bétail. Là aussi, vous prendrez vos repas cultuels en présence de l’Éternel votre Dieu, et vous vous réjouirez, vous et vos familles, de tous les produits de votre travail par lesquels l’Éternel votre Dieu vous aura bénis (Deutéronome 12.5-7).
C’est l’Éternel l’hôte qui offre le repas de fête, tandis que l’Israélite est invité. Dieu n’est jamais le débiteur de quiconque, c’est Lui qui pourvoit au repas d’actions de grâces. C’est encore Lui qui est à la fois la source du salut et de la communion avec Lui-même. L’homme est demandeur vis à vis de Dieu; il n’a rien à lui offrir sinon ce qu’il a déjà reçu de lui. Le paganisme est défini par l’homme qui demande la participation des dieux. Dans les Textes Sacrés, c’est l’Éternel qui invite et comble sa créature de bienfaits. Dans la religion, l’homme essaie de monter vers Dieu, mais selon l’enseignement des Écritures, c’est Dieu qui descend.
Versets 12-13
Je continue le texte.
Si c’est une chèvre qu’on offre, on l’apportera devant l’Éternel. On posera la main sur la tête de l’animal avant de l’égorger devant la tente de la Rencontre et les descendants d’Aaron en aspergeront de sang tous les côtés de l’autel (Lévitique 3.12-13).
La chèvre qui fait partie du menu bétail convenait très bien. Quelque soit l’animal, le rituel est le même. Dans le livre de l’Exode on lit que la tenture qui recouvrait le tabernacle était faite de peaux de chèvres (Exode 26.7). La chèvre étant un animal très ordinaire et utilitaire, elle représente Jésus dans son humanité. D’ailleurs le Seigneur fut rejeté par son peuple parce qu’Il ne correspondait pas au souverain glorieux qu’ils espéraient. Pourtant, le prophète Esaïe avait annoncé que le Messie serait insignifiant et qu’on le maltraiterait. Je lis le passage :
Car devant l’Éternel, il a grandi comme une jeune pousse ou comme une racine sortant d’un sol aride. Il n’avait ni prestance ni beauté pour retenir notre attention ni rien dans son aspect qui pût nous attirer. Il était méprisé, abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable à ceux devant lesquels on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait aucun cas de sa valeur (Ésaïe 53.2-3).
Versets 14-16
Je continue le texte du Lévitique.
On offrira à l’Éternel en les consumant par le feu, la graisse qui recouvre les entrailles et toute celle qui y est attachée, les deux rognons et la graisse qui les enveloppe et qui couvre les flancs, ainsi que le lobe du foie qu’on ôtera avec les rognons. Le prêtre fera brûler ces morceaux sur l’autel ; c’est un aliment consumé par le feu, dont l’odeur apaise l’Éternel. Toute graisse revient à l’Éternel (Lévitique 3.14-16).
Rien de bien nouveau, sinon que le texte insiste lourdement une fois encore sur le fait que : Toute graisse revient à l’Éternel. Pour Dieu, la graisse est le meilleur parce qu’elle provient de l’intérieur de l’animal, comme si c’était son âme. Cette exclusivité divine est un appel à la consécration. La volonté de Dieu est que chaque membre de son peuple et tout homme se soumette à lui. Peut-être est-ce difficile à entendre, mais l’Éternel n’est pas un papa gâteau qui se promène sur un nuage rose. C’est un Dieu qui se dit lui-même jaloux; il ne tolère aucun rival et il a horreur de toute forme d’idolâtrie, que ce soient des fausses divinités, l’argent, les plaisirs, le statut social, le sport, ou que sais-je encore.
Verset 17
Je finis le chapitre 3 du Lévitique.
C’est une ordonnance immuable que vous respecterez de génération en génération partout où vous habiterez : vous ne consommerez aucune graisse, ni aucun sang (Lévitique 3.17).
Un peu plus loin dans le livre, Dieu donne davantage de précisions, mais qui sont en fait des menaces. Je les lis :
Dis aux Israélites : Vous ne mangerez pas de graisse de bœuf, de mouton, ni de chèvre. En effet, celui qui mange de la graisse des animaux qu’on offre à l’Éternel en la consumant par le feu sera retranché de son peuple. Nulle part où vous habiterez, vous ne consommerez aucun sang, que ce soit celui d’un oiseau ou d’un quadrupède. Si une personne consomme du sang, quel qu’il soit, elle sera retranchée de son peuple (Lévitique 7.23, 25-27).
« Être retranché de son peuple » équivaut à la peine capitale. Le sang versé d’un animal égorgé a une valeur expiatoire; il doit servir uniquement à couvrir des fautes. Quant à la graisse, elle appartient à l’Éternel comme si c’était sa nourriture de choix. Consumée par le feu, elle a une valeur expiatoire, mais c’est d’abord un acte qui symbolise la consécration de l’adorateur à son Dieu. En cela, la graisse brûlée représente aussi la personne du Christ dans sa soumission à Dieu son Père tout au long de sa vie terrestre, et jusqu’à la mort sur la croix.
Voici terminée une brève description de deux sacrifices importants. L’holocauste est en tête de liste parce qu’il a autant valeur d’expiation du péché de l’adorateur que sa consécration. Le sacrifice d’actions de grâces exprime surtout la communion avec Dieu. Mais là encore, un animal est égorgé car il faut toujours couvrir les péchés. Jésus s’est offert lui-même comme le sacrifice qui permet à tout être humain de faire la paix avec son Créateur. Une fois cette paix établie, Dieu désire poursuivre une relation amicale avec tous ceux qui reconnaissent en Jésus leur sauveur. Tout comme l’Israélite devait respecter des conditions de pureté rituelle pour offrir un sacrifice d’actions de grâces, aujourd’hui, les croyants doivent se plier à la volonté de Dieu s’ils veulent être en communion avec Lui.
Chapitre 4
Introduction
Nous arrivons au chapitre 4 du Lévitique qui traite d’un nouveau type de sacrifice, celui de l’expiation, et dont le but est de couvrir une faute spécifique contre l’Éternel. C’est à cause de la nature fondamentalement rebelle de l’homme que le Christ a dû souffrir aux mains des Juifs et des Romains et être exécuté par ces derniers. Plus que tout autre, le sacrifice d’expiation préfigure le Christ en croix. C’est aussi celui qui est le plus longuement décrit parce qu’il est impératif pour l’Israélite, comme pour le commun des mortels, de bien comprendre combien ce sacrifice est nécessaire aux yeux de Dieu.
Dès le moment que la Loi de Moïse est donnée au peuple d’Israël, le sacrifice d’expiation devient le plus important, parce que le premier objectif du code mosaïque est de révéler à l’homme sa culpabilité intrinsèque, celle-ci étant due à la multitude de péchés spécifiques qu’il commet. Ce sacrifice était offert pendant les fêtes, c’est à dire la Pâque, la Pentecôte, la célébration des trompettes et des Cabanes, et pour le Jour des expiations ou Yom Kippour. Tous les sacrifices du système mosaïque annoncent d’une manière ou d’une autre le sacrifice de Jésus. L’holocauste représente sa consécration absolue à Dieu son Père tout au long de son existence terrestre ainsi que son obéissance totale jusqu’à l’offrande de sa vie sur la croix.
Le sacrifice d’expiation préfigure celui du Christ qui par sa mort obtient la remise de toutes les dettes de l’homme, le pardon de chaque péché dont il s’est rendu coupable devant Dieu. Grâce au sacrifice expiatoire du Christ, celui qui croit voit son ardoise complètement effacée. Alors que l’holocauste était une offrande volontaire de la part de l’Israélite, il doit obligatoirement offrir un sacrifice d’expiation pour couvrir certaines fautes spécifiques.
Versets 1-2
Je commence à lire le chapitre 4.
L’Éternel s’adressa à Moïse en ces termes : Parle aux Israélites et dis-leur : Lorsque quelqu’un aura péché involontairement en commettant l’une quelconque des choses qui sont interdites par les commandements de l’Éternel, voici comment on procédera (Lévitique 4.1-2).
Le texte commence par indiquer les circonstances générales et les types de transgressions qui obligent le coupable à offrir un sacrifice d’expiation. Sous l’Ancienne Alliance, les fautes pouvaient être d’ordre rituel ou moral. Ce sacrifice d’expiation ne couvre que celles qui sont involontaires, c’est à dire commises par inadvertance, par négligence, par distraction, contre l’un des commandements, mais sans préméditation ni mauvais vouloir. Ces péchés sont des actes manqués ou qui vous échappent; ils sont dus à la faiblesse de la nature humaine, à l’oubli, la surprise ou l’ignorance. Le grand apôtre Paul a commencé sa carrière comme persécuteur des chrétiens et blasphémateur contre le Christ, mais il a obtenu miséricorde parce qu’il agissait par stupidité, sans savoir ce qu’il faisait. Il écrit :
Je suis reconnaissant envers… Jésus-Christ, notre Seigneur. En effet, il m’a accordé sa confiance en me choisissant pour ce service, moi qui, autrefois, l’ai offensé, persécuté et insulté. Mais il a eu pitié de moi, car j’agissais par ignorance, puisque je n’avais pas la foi (1Timothée 1.12-13).
Ces actions ou omissions coupables montrent bien que le mal habite le coeur de l’homme; il y est attaché et incrusté depuis sa plus tendre enfance. Dans un Psaume qu’il a composé, le roi David écrit :
Je suis, depuis ma naissance, marqué du péché ; depuis qu’en ma mère j’ai été conçu, le péché est attaché à moi (Psaumes 51.6).
Faire ce qui est contraire au caractère de Dieu est le penchant naturel de tout être humain. Je commets des actions qui déplaisent au Dieu saint, parce que je suis tordu et qu’en moi-même je n’ai pas la capacité de satisfaire ses exigences. En résumé donc, le sacrifice d’expiation adresse les fautes commises sans préméditation. Celles-ci n’ont rien à voir avec les actes de rébellion commis « à main levée » (Nombre 15.30), c’est-à-dire de façon délibérée avec un esprit de révolte contre l’Éternel. Celui qui agirait ainsi est passible de la peine capitale. Dans le Nouveau Testament, l’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :
Celui qui désobéit à la Loi de Moïse est mis à mort sans pitié, si deux ou trois témoins déposent contre lui (Hébreux 10.28).
Soit dit en passant que le même principe s’applique aujourd’hui à ceux qui rejettent Jésus-Christ en toute connaissance de cause, après avoir compris la signification de sa mort sur la croix. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :
Si, après avoir reçu la connaissance de la vérité, nous vivons délibérément dans le péché, il ne reste plus pour nous de sacrifice pour les péchés. La seule perspective est alors l’attente terrifiante du jugement et le feu ardent qui consumera tous ceux qui se révoltent contre Dieu (Hébreux 19.26-27).
Le sacrifice d’expiation est offert par l’Israélite qui prend conscience qu’il a mal agi en transgressant l’un des articles de la loi de Moïse. Il a le sentiment de sa culpabilité et reconnaît devant Dieu sa faute. Les Ecritures nous donnent l’exemple du roi David qui a commis un adultère suivi d’un meurtre carrément prémédité. Dans un Psaume de repentance, il écrit :
Lave-moi de mon péché ! Purifie-moi de ma faute ! Car je reconnais mes torts : la pensée de mon péché me poursuit sans cesse. Contre toi, contre toi seul, j’ai péché, j’ai commis ce qui est mal à tes yeux. Voilà pourquoi tu es juste quand tu émets ta sentence, et tu es irréprochable quand tu rends ton jugement (Psaumes 51.3-5).
En confessant sa faute et en offrant le sacrifice d’expiation, l’Israélite transformait le malaise d’avoir mal agi en un acte concret et quantifiable qui pouvait se régler par le sang versé d’un animal. Comme tous les sacrifices, celui qui fait l’expiation a un objectif pédagogique; il enseigne qu’offenser l’Eternel est une faute très grave qui mérite la mort, ce que l’animal égorgé subit. Les divers rites qui sont propres au sacrifice d’expiation concourent au même but : rendre l’homme conscient de sa culpabilité vis-à-vis du Dieu trois fois saint. Il y a tout à parier qu’il devait fortement ressentir sa culpabilité quand il confessait sa faute en imposant les mains sur la tête de l’animal, qui allait être exécuté à sa place.
Une fois la faute reconnue et le sacrifice accompli, le coupable obtient le pardon de Dieu. Après avoir confessé son péché et s’être profondément humilié, David fut pardonné. Il écrivit alors son expérience dans un Psaume. Je lis un passage :
Heureux l’homme dont la faute est effacée, et le péché pardonné ! Heureux l’homme au compte de qui l’Éternel ne porte pas le péché et qui est exempt de mauvaise foi ! Tant que je taisais ma faute, je m’épuisais à gémir sans cesse, à longueur de jour. Sur moi, le jour et la nuit, ta main s’appesantissait, ma vigueur m’abandonnait comme l’herbe se dessèche lors des ardeurs de l’été. Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit : “ Je reconnaîtrai devant l’Éternel les péchés que j’ai commis. ” Alors tu m’as déchargé du poids de ma faute (Psaumes 32.1-5).
C’est ce qu’on pourrait appeler se mettre sur le divan de l’Éternel, au lieu d’aller voir un psychanalyste. Le problème du petit criminel comme de l’homme d’affaires véreux ou de celui qui se croit au-dessus des autres n’est pas que sa mère ne lui a pas donné tout l’amour et l’attention dont il avait besoin quand il était petit, mais bien plutôt qu’il est méchant et que de nature, son cœur est mauvais. D’ailleurs, c’est exactement le verdict de Dieu couché sur le parchemin par Jérémie, l’un des grands prophètes de l’Ancien Testament. Il écrit :
Le cœur est tortueux plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? (Jérémie 17.9).
Versets 3-4
Je continue à lire dans le chapitre 4 du Lévitique.
Si c’est le prêtre qui a reçu l’onction qui a péché et qui par là même a chargé le peuple de culpabilité, il offrira à l’Éternel pour le péché qu’il aura commis, un jeune taureau sans défaut, en sacrifice pour le péché. Il amènera le taureau à l’entrée de la tente de la Rencontre devant l’Éternel, il posera sa main sur la tête du taureau et l’égorgera devant l’Éternel (Lévitique 4.3-4).
La faute du grand-prêtre est considérée en premier lieu à cause de sa position de chef du culte. Il est le seul qui ait reçu l’onction ce qui fait de lui le souverain sacrificateur. La gravité de la transgression est proportionnelle à la position et aux responsabilités de celui qui se rend coupable. Le grand-prêtre est un être humain comme vous et moi et donc sujet aux mêmes faiblesses que le commun des mortels. Mais comme il est aussi le guide de la nation pour le culte à rendre à l’Éternel, s’il tombe, la faute est grave car le peuple suit. Sa culpabilité est donc bien plus grande que celle de l’Israélite moyen. Si le lampiste se casse un jambe, ça n’affecte que lui mais si c’est le président de la nation, c’est étalé dans tous les journaux.
Plus l’Israélite qui a péché occupe une position hiérarchique élevée, plus la valeur de la victime qu’il doit offrir en sacrifice est importante. Dans le cas du grand-prêtre, c’est un taureau qui doit être immolé. Cet animal est le plus coûteux et aussi celui qui doit être offert quand c’est le peuple dans son ensemble qui s’est rendu coupable d’une faute collective. Avec Dieu, les fautes ne sont jamais passées sous silence mais doivent être expiées. Celui qui place sa foi en Jésus-Christ a toutes ses fautes pardonnées, mais ceux qui ne l’acceptent pas pour Sauveur devront expier eux-mêmes leurs péchés pour l’éternité.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.