Lévitique 2.13 – 3.7
Chapitre 2
Verset 13
J’aime bien faire mon pain. En fait c’est simple: on prend de la farine, un peu de beurre ou d’huile, de l’eau ou de la bière, un peu de sucre avec de la levure et une pincée de sel. Pareillement, dans la loi de Moïse, l’Eternel donne les recettes des galettes végétales qu’il désire qu’on lui offre. La majeure partie revient aux prêtres qui peuvent les manger, à condition que ce soit à l’intérieur de l’enceinte du temple; ils n’ont pas le droit de les emmener chez eux. Quant à la petite part qui revient à Dieu, si elle est brûlée sur l’autel, il ne veut ni levain ni miel mais il faut y ajouter un peu d’encens.
Le rituel qui régit toutes les facettes de la vie des Israélites, est très pesant, mais ces innombrables prescriptions sont des moyens pédagogiques par lesquels, l’Éternel enseigne à son peuple qu’un abîme les sépare. Il veut amener les Israélites à réaliser leur culpabilité devant Lui, à se repentir et à saisir la planche de salut qu’Il leur propose, d’abord en obéissant de cœur aux règles de la loi, et ensuite en recevant leur Messie quand il viendra. Aujourd’hui, aucun rite n’est nécessaire pour venir à Dieu parce qu’ils ont tous été accomplis par le Seigneur Jésus. La seule exigence est de lui faire confiance, de croire en lui et en lui seul ainsi qu’à l’efficacité de l’œuvre qu’il a réalisée sur la croix. C’est par le Christ et uniquement par lui que Dieu offre gratuitement la vie éternelle à tout être humain.
Je disais donc que dans le livre du Lévitique, Dieu donne les recettes pour confectionner les offrandes végétales consumées par le feu. Pour la fête de la Pentecôte, les Israélites devaient faire une offrande végétale à l’Eternel en signe de gratitude pour ses bienfaits. Ces galettes étaient cuites avec les fruits des premières récoltes et contenaient du levain. Par contre, elles ne pouvaient pas être brûlées sur l’autel. Quand je dis que ces règles sont compliquées, lourdes, encombrantes et pénibles, je ne plaisante pas. Je continue maintenant à lire dans le second chapitre du Lévitique avec la suite des recettes.
On salera toute offrande qu’on apportera. On n’omettra jamais de mettre du sel, qui représente l’alliance conclue par ton Dieu (Lévitique 2.13).
Contrairement au levain, qui par son action altère les autres ingrédients, le sel a un effet conservateur et empêche la corruption de s’établir. Le sel relève aussi le goût des aliments et dans ce sens, il représente quelque chose de substantiel et de sérieux. À cette époque, on partageait le sel avec l’hôte que l’on recevait : il symbolise le lien solide qui désormais les unit. Pour cette raison, de toute antiquité, en Orient, et aujourd’hui encore chez les Arabes, le sel est employé dans les cérémonies qui accompagnent la conclusion d’une alliance. L’expression « alliance de sel (Nombres 18.19; 2 Chroniques 13.5; comparer Marc 9.50). » signifie qu’elle est inviolable et est comme le sel, qui est pratiquement indestructible car c’est un produit de composition chimique très stable.
Versets 14-16
Je continue jusqu’à la fin du chapitre 2.
Si on apporte à l’Éternel une offrande des premiers épis de la moisson, on présentera des grains qu’on aura broyés après avoir grillé les épis au feu pour cette offrande. Vous y verserez de l’huile et vous mettrez de l’encens dessus ; c’est une offrande. Le prêtre brûlera comme mémorial une partie du grain et de l’huile avec tout l’encens. C’est une offrande consumée par le feu pour être offerte à l’Éternel (Lévitique 2.14-16).
Comme les premiers-nés, les premiers produits de la terre appelés les prémices, appartiennent à Dieu. Ici comme souvent, la partie représente le tout. La plus grande partie des premiers épis n’était pas brûlée mais revenait aux prêtres qui la consommait; il fallait bien qu’ils vivent. Les épis grillés et broyés sont une nourriture très appréciée des Orientaux. Une fois rôtis, ils sont froissés puis grossièrement moulus, et c’est sous cette forme qu’on les mangeait et les offrait à Dieu. Toutes ces offrandes strictement réglementées pour le service du culte correspondent aussi à la façon courante des Israélites de les préparer pour eux-mêmes car elles font partie de leur nourriture habituelle. Comme je l’ai dit, ces offrandes sont l’expression du sentiment de reconnaissance de l’Israélite à l’Eternel pour ses bienfaits. Il lui rend hommage avec le meilleur de ses aliments, et sous la forme dont il s’en nourrit lui-même. En agissant ainsi, il fait en quelque sorte de l’Éternel son hôte, qui de son côté accepte l’offrande qui lui est faite, cependant, Dieu en attribue la plus grande partie à ses serviteurs, les prêtres-sacrificateurs.
Mis à part les premières récoltes d’épis, les offrandes végétales, qui étaient des dons volontaires, étaient toujours constituées de fleur de farine, c’est-à-dire le meilleur de ce qu’il y avait de disponible. Cela fait penser à Dieu qui en donnant son Fils au monde, a, Lui aussi, partagé avec la race humaine ce qu’Il avait de mieux. L’huile rappelle le Saint-Esprit ; l’encens est la bonne odeur de la vie terrestre du Christ ; le sel est un signe d’alliance ; et l’absence de miel et de levain signifie que le Christ n’était ni mondain ni profane, mais saint et consacré à Dieu son Père.
En comparant la relation d’Israël envers l’Éternel avec ce qui avait cours dans la région du croissant fertile et au Proche-Orient ancien, on pourrait penser que ces offrandes sont l’équivalent du tribut du peuple vassal à son suzerain. Mais le texte indique que seule une toute petite partie de ces offrandes est consumée par le feu. Lorsque Jésus-Christ s’est offert lui-même pour expier les fautes de tous ceux qui croiraient en Lui, il accomplissait la fonction de l’offrande. L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit :
Les grands-prêtres sont obligés d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour leurs propres péchés, ensuite pour ceux du peuple. Jésus-Christ n’en a pas besoin, car il a tout accompli une fois pour toutes, en s’offrant lui-même (Hébreux 7.27).
Chapitre 3
Introduction
Nous arrivons maintenant au chapitre 3 du Lévitique qui va développer les sacrifices dits d’actions de grâces. Ils ne sont pas obligatoires comme les holocaustes ou d’autres dont il sera question plus loin. Ils sont offerts par ceux qui sont déjà en paix avec Dieu et dans le but de communier avec Lui, ainsi qu’au moment de la fête de la Pentecôte. En offrant un sacrifice d’actions de grâces, l’Israélite désire simplement s’approcher de son Dieu avec qui il veut établir une relation personnelle. Dans le contexte de la Nouvelle Alliance, l’apôtre Paul écrit :
Ainsi, il (Jésus) est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin et la paix à ceux qui étaient proches. Car, grâce à lui, nous avons accès, les uns comme les autres, auprès du Père, par le même Esprit (Éphésiens 2.17-18).
Il y a trois sortes de sacrifices d’actions de grâces : celui de la reconnaissance, qui est offert pour une bénédiction inespérée ou une délivrance que Dieu a accordée ; le sacrifice d’acquittement suite à l’exaucement d’une demande accompagnée d’un vœu ; enfin, celui de l’offrande volontaire, tout court, qui exprime l’affection de l’adorateur pour Dieu à cause de ses bienfaits en général, sans rapport avec une bénédiction spécifique.
Ces actions de grâces étaient possibles parce que la paix et la réconciliation entre l’Éternel et son peuple avaient été scellées par des sacrifices sanglants obligatoires. Sous la Nouvelle Alliance, c’est par la croix du Christ que la paix est scellée. L’apôtre Paul écrit :
Dieu a voulu par Jésus-Christ réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix (Colossiens 1.20).
Aujourd’hui, il existe deux sortes de paix : la réconciliation dont je viens de parler en citant le passage de l’apôtre Paul et la communion dont parlait Jésus à ses disciples quand il leur a dit :
Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point (Jean 14.27).
Il y a donc deux sortes de paix avec Dieu : la réconciliation parce que la justice divine est satisfaite, et la relation amicale et filiale entre le Créateur et sa créature. De la même manière que nous avons les 4 Évangiles dans le Nouveau Testament pour bien comprendre la personne et l’œuvre de Jésus sur terre, le livre du Lévitique décrit plusieurs types d’offrandes qui préfigurent chacune à sa façon, une facette de la personne et de l’œuvre du Christ.
Versets 1-2
Je commence à lire le chapitre 3.
Si on offre en sacrifice de communion une tête de gros bétail, mâle ou femelle, on offrira un animal sans défaut à l’Éternel. On posera la main sur la tête de la victime avant de l’égorger à l’entrée de la tente de la Rencontre. Les prêtres, descendants d’Aaron, aspergeront de son sang tous les côtés de l’autel (Lévitique 3.1-2).
Ici encore, il s’agit de réglementer un genre de sacrifice qui existait déjà depuis la plus haute antiquité. Mais ce n’est qu’une approximation très sommaire qui sera complétée plus loin dans le livre avec davantage de détails. Les holocaustes et les sacrifices d’actions de grâces avaient plusieurs points communs. Dans les deux cas : victime sans défaut, imposition des mains, immolation et aspersion du sang tout autour de l’autel. La victime peut être une tête de gros bétail, un ovin comme une chèvre par exemple, en fonction des ressources de l’adorateur. Mais ce qui distingue le plus les actions de grâces des autres sacrifices, est qu’ils se terminent par un repas auquel participent celui qui a fait l’offrande ainsi que tous les membres de sa famille qui sont rituellement purs. A cette particularité s’ajoutent quelques différences secondaires. Dans les sacrifices d’actions de grâces, les oiseaux étaient exclus, parce que ce sont des offrandes trop petites pour servir d’aliment ensuite ; les femelles, vaches, brebis et chèvres sont agréées ; rien n’est stipulé concernant l’âge de la victime ; au lieu d’être brûlée tout entière, celle-ci est divisée en trois parts : seule une partie de la graisse est brûlée en offrande à l’Éternel ; c’est la part qui lui revient. La poitrine et la cuisse droite sont aussi offertes à Dieu, mais données par Lui à ses serviteurs les prêtres-sacrificateurs; c’étaient leur part. Tout le reste était consommé par l’adorateur, sa famille et ses amis. L’action de grâce est le seul sacrifice dont le propriétaire peut manger la viande. Ce repas de fête représente la communion dans la présence de Dieu réconcilié avec l’adorateur. Ce sacrifice accompagnait souvent les holocaustes quotidiens, ceux du matin et du soir pour des raisons pratiques.
Ainsi, lors des grandes festivités prescrites par la Loi, des milliers d’animaux étaient offerts et consommés par les fidèles. Au moins ce qu’on peut dire des Israélites, c’est qu’ils savaient faire la fête. Cela dit, lorsque l’adorateur a les moyens d’offrir une tête de gros bétail, le taureau est le premier choix parce qu’il préfigure l’aspect serviteur du Christ; c’est un animal domestiqué et utilisé pour porter des charges et travailler dur dans les champs. A cette époque, il représente le transport et le commerce. Le taureau était à la fois au service de l’homme et son ami. Cela ne veut pas dire que sur terre Jésus était le valet de l’homme, mais il est quand même venu en tant que serviteur, obéissant en cela à son Père céleste.
Versets 3-4
Je continue le texte.
De ce sacrifice de communion, on offrira à l’Éternel, en les consumant par le feu, la graisse qui recouvre les entrailles et toute celle qui y est attachée, les deux rognons et la graisse qui les enveloppe et qui couvre les flancs, ainsi que le lobe du foie, qu’on ôtera avec les rognons (Lévitique 3.3-4).
C’est l’Israélite lui-même qui remet au prêtre de service les morceaux qui composent la part de l’Éternel et qu’il doit brûler. Il y en a quatre sortes : la graisse qui entoure les entrailles : c.est une masse très poisseuse qui s’étend de l’estomac jusqu’aux intestins et les recouvre d’une couche très épaisse, surtout chez les mammifères ruminants ; puis il y a la graisse qui s’attache aux entrailles formant des appendices aux intestins inférieurs ; puis, les deux rognons et la graisse très abondante qui les enveloppe et qui s’étend jusque dans la région ombilicale ; et finalement, le prolongement toujours très gras s’étendant du foie jusqu’aux rognons.
En offrant toutes ces graisses à l’Éternel, on obéit à la règle qui est énoncée plus loin et qui est : Toute graisse appartient à l’Éternel ! Cette graisse qui devait être entièrement brûlée sur l’autel, ne comprenait pas ce que nous appelons le gras et qui en fait est la cellulite, c’est-à-dire ce qui est extérieur, immédiatement sous la peau et qui est intimement liée aux muscles. Certains d’entre nous aimeraient bien s’en débarrasser parce que non seulement c’est lourd et encombrant, mais ce n’est pas très joli sur la plage. La graisse intérieure, dont parle ici le texte, est l’essentiel de ce qui est consumé par le feu. C’est ce que l’Éternel considère de meilleur et qui lui est offert en sacrifice.
Cela peut sembler un peu curieux, mais symboliquement, on peut considérer que la graisse de l’animal représente l’âme de l’être humain, cette partie de notre être qui doit être consacrée à l’Eternel. C’est bien la partie de l’homme, souvent appelée « coeur » dans les Ecritures, qui compte le plus pour Dieu, ce qu’atteste un passage de l’Ancien Testament que je cite :
L’Éternel ne considère pas ce que l’homme considère ; l’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au cœur (1Samuel 16.7).
Verset 5
Je continue le chapitre trois du Lévitique.
Les descendants d’Aaron feront brûler la graisse sur l’autel, par-dessus l’holocauste déjà placé sur les bûches qui sont sur le feu. Ce sera un sacrifice consumé par le feu, dont l’odeur apaise l’Éternel (Lévitique 3.5).
Celui qui offre un sacrifice d’actions de grâces y joint habituellement un holocauste. Si par contre il veut l’offrir seul, alors le prêtre lui demande souvent, pour des raisons pratiques, de l’offrir en même temps que l’holocauste obligatoire du matin et du soir. Comme tous les autres sacrifices, cet holocauste quotidien a valeur d’expiation des fautes, car c’est « un sacrifice consumé par le feu, dont l’odeur apaise l’Éternel » Cette phrase qui revient souvent peut nous sembler curieuse à lire et à entendre. Elle est répétée afin de marteler constamment dans l’esprit de ceux qui veulent bien écouter, que la culpabilité du peuple de Dieu, moi compris, exige un sacrifice perpétuel. Mais comme je l’ai déjà dit, les sacrifices d’animaux couvraient les péchés sans jamais les ôter; un tel système ne pouvait donc pas durer indéfiniment.
Par contre, la valeur rédemptrice de la mort du Christ est éternelle et définitive; « Il est mort une fois pour toutes (Romains 6.10; Hébreux 7.27). » Il n’y a rien à y ajouter et ce sacrifice est valable sur la terre entière, 24 h sur 24, 7 jours sur 7 sans interruption 365 jours par an. Je n’aime pas trop ramener le mérite infini du sacrifice de Jésus à des notions bassement terre-à-terre, mais au moins sous cette forme, il est facilement compréhensible.
Versets 6-7
Je continue.
Si c’est du petit bétail qu’on offre en sacrifice de communion à l’Éternel, on offrira un mâle ou une femelle sans défaut. Si l’on offre un mouton en sacrifice, on l’apportera devant l’Éternel (Lévitique 3.6-7).
Ce sacrifice ressemble en tout au précédent, sauf en ce qui est dit un peu plus loin de la queue. Les moutons de Syrie et d’Afrique ont une queue très grosse et tout enveloppée d’une excroissance graisseuse qui, chez certaines espèces pèse 8 kg voire même plus, de sorte que quelques fois on la place sur une planchette munie de roulettes, qui ressemble à un petit chariot, et qui est attelé à l’animal. Dans le sacrifice consumé par le feu, cette queue très grasse est considérée comme le meilleur morceau pour l’Éternel.
L’agneau était le premier choix du menu bétail. Généralement sacrifié à l’âge d’un an, il pouvait cependant être remplacé par un bélier. L’agneau est sans aucun doute l’animal qui représente le mieux Jésus-Christ. D’ailleurs lorsqu’au tout début de son ministère, Il fut introduit au peuple par Jean-Baptiste qui a déclaré :
– Voici l’Agneau de Dieu, celui qui enlève le péché du monde (Jean 1.29) !
Jésus est comparable à un agneau pour plusieurs raisons. Il est doux, inoffensif et donc facile à sacrifier. A ce sujet, je rappelle un passage du prophète Ésaïe qui est très parlant :
On l’a frappé, et il s’est humilié, il n’a pas dit un mot. Semblable à un agneau mené à l’abattoir, tout comme la brebis muette devant ceux qui la tondent, il n’a pas dit un mot (Ésaïe 53.7).
De plus, un agneau dépend entièrement du berger pour survivre, tout comme Jésus qui s’en remettait à son Père en toutes choses. Finalement, dans le livre de l’Apocalypse, le dernier du Nouveau Testament, Jésus apparaît à deux reprises sous la forme d’un agneau : une fois comme victime, ce qui correspond à sa première venue sur terre, et la deuxième fois comme conquérant, ce qui sera le cas quand Il reviendra pour prendre possession de son royaume par la force. Je cite ces deux textes :
Alors je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un Agneau qui se tenait debout. Il semblait avoir été égorgé. Puis je vis l’Agneau ouvrir le sixième sceau et il y eut un violent tremblement de terre. Le soleil devint noir comme une toile de sac, la lune tout entière devint rouge comme du sang. Ils criaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous et cachez-nous loin du regard de celui qui siège sur le trône, loin de la colère de l’Agneau (Apocalypse 5.6 ; 6.12, 16).
Le tout premier sacrifice offert par l’homme à son Créateur fut celui d’Abel, qui offrit un agneau de son troupeau. Bien qu’aucun texte ne le précise, lorsque Dieu habilla Adam et Ève de peaux d’animaux, il y a de fortes chances qu’elles provenaient d’agneaux. Ce sont ces bêtes douces et sans défense qui furent les premières créatures à payer de leur vie le péché d’Adam et Eve.
Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.