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19 avril 2024

Esther 8.1-17

Chapitre 8

Introduction

Dans la vie, il arrive parfois des renversements de situation qui sont pour le mieux ou pour le pire. Au temps où la Perse règne en maître sur tout le Proche et Moyen-Orient, Haman, un conseiller du roi Xerxès est élevé au rang de grand vizir. Il est aussi l’instigateur d’un complot qui vise à exterminer tous les Juifs de l’empire. Mais l’Éternel, le Dieu d’Israël, veille. Il a modelé les circonstances de façon à ce que cet homme sanguinaire soit exécuté. Ce qui est arrivé à Haman illustre une grande vérité enseignée par la Parole de Dieu et qui dit : Ne vous y trompez pas : Dieu ne se laisse pas traiter avec mépris. On récolte ce que l’on a semé (Galates 6.7).

Jacob, l’ancêtre du peuple d’Israël a fait cette amère expérience après avoir trompé son père Isaac aveugle. Au moment de recevoir la bénédiction paternelle, aidé par sa mère Rebecca, il se substitue à son frère Esaü qui est l’aîné des deux jumeaux. Il revêt ses habits desquels émane une forte odeur de venaison car ce dernier est un grand chasseur, et à cette époque les gens ne possèdent pas tous les déodorants parfumés d’aujourd’hui. Jacob se couvre aussi les mains d’une peau de chèvre pour paraître poilu comme son frère. Le vieux père Isaac n’y voit que du feu. Il sent Jacob ainsi affublé, le touche et dit : « C’est bien mon fils Ésaü » et c’est ainsi que Jacob vole la bénédiction qui revient de droit à son frère. Il s’est cru très intelligent, mais il n’a pas emporté cette action vile avec lui au paradis car Dieu ne l’a pas laissé impuni.

Un jour et alors que Jacob est déjà vieux et père de douze fils, 10 d’entre eux vendent comme esclave leur frère Joseph. Ensuite et pour cacher leur crime, ils apportent à leur père la tunique multicolore de Joseph tachée du sang d’une chèvre et lui demandent « Est-ce bien la tunique de ton fils Joseph ? » La ruse fonctionne comme sur des roulettes. Dix de ses fils se sont mis d’accord pour tromper ainsi leur père qui éclate en sanglots car il croit que Joseph est mort, déchiré par une bête sauvage. C’est ainsi que Dieu a rendu à Jacob la monnaie de sa pièce.

Haman, « l’ennemi des Juifs » est mort. Cependant un problème majeur demeure : le décret de Haman ordonnant le massacre des Juifs tient toujours, car ayant été scellé avec l’anneau du roi, il fait partie de la loi des Mèdes et des Perses, et ne peut donc en aucun cas être révoqué.

Versets 1-2

Je commence à lire le chapitre 8 du livre d’Esther.

Ce même jour, l’empereur Xerxès fit don à l’impératrice Esther de tous les biens de Haman, le persécuteur des Juifs, et Mardochée fut introduit en présence de l’empereur, car Esther avait révélé quel était son lien de parenté avec elle. Alors l’empereur retira de son doigt l’anneau qu’il avait repris à Haman et il le donna à Mardochée. Esther le chargea de gérer les biens de Haman (Esther 8.1-2).

L’historien grec Hérodote confirme que, selon la coutume perse, les biens d’un condamné à mort étaient confisqués par le pouvoir impérial. Le patrimoine d’Haman étant considérable, sa gestion nécessite un administrateur à plein temps. En confiant sa nouvelle fortune à son père adoptif, Esther ne peut pas faire mieux ni pour lui ni pour elle-même.

Dès que le roi apprend que Mardochée est le père adoptif de sa reine, il lui permet non seulement d’avoir accès à lui, comme à ses plus hauts fonctionnaires, mais il lui donne en plus son anneau, ce qui fait de Mardochée le nouveau grand vizir.

Le renversement de situation est total. Le gibet qu’Haman avait fait élever pour pendre Mardochée a été pour lui, et tout ce qu’il possède, son pouvoir et ses richesses est attribué à Esther et géré par Mardochée. Mais il reste encore ce contrat d’extermination qui pèse contre tous les Juifs de l’empire et le temps avance inexorablement vers la date fatidique.

Versets 3-4

Je continue.

Puis Esther parla de nouveau à l’empereur. Elle se jeta à ses pieds, et le supplia en pleurant de réduire à néant le mal organisé par Haman d’Agag, et les projets qu’il avait formés contre les Juifs. L’empereur tendit le sceptre d’or à Esther. Alors elle se releva et se tint debout devant lui (Esther 8.3-4).

Esther n’est plus personnellement concerné par l’édit d’extermination des Juifs; elle est désormais prospère car dotée d’une immense fortune personnelle. Mais elle n’oublie pas son peuple qu’elle veut sauver, car la mort d’Haman n’a pas annulé le décret de condamnation à mort de tous les Juifs de l’empire. Alors elle se rend une fois encore chez l’empereur sans avoir été invitée ce qui veut dire qu’elle risque à nouveau sa vie, mais il aime bien sa reine et lui tend son sceptre pour lui signifier de se lever et de se mettre debout.

Versets 5-6

Je continue.

Si l’empereur le veut bien, dit-elle, et si vraiment j’ai obtenu sa faveur, si ma demande lui paraît convenable et s’il trouve plaisir en moi, qu’il veuille bien révoquer par écrit les lettres conçues par Haman, fils d’Hammedata l’Agaguite, et qu’il avait rédigées dans le but de faire périr les Juifs qui vivent dans toutes les provinces de l’empire. En effet, comment pourrais-je supporter de voir le malheur s’abattre sur mon peuple ? Oui, comment pourrais-je supporter la vue de la disparition de ma race ? (Esther 8.5-6).

On peut imaginer la scène et comment s’est passée cette entrevue. Après s’être faite belle comme un cœur et sans crier gare, la reine Esther se rend chez le roi pour plaider la cause de son peuple. Elle a gain de cause parce que de toute façon, grâce à Dieu, l’empereur est sous ses charmes et ne peut donc lui refuser quoi que ce soit. Esther commence par formuler sa demande de la même façon que la première fois, mais cette fois-ci elle implore le roi avec insistance et de tout son être parce que sa requête est très grave. Malheureusement, ce qu’elle demande est impossible. En effet et comme je l’ai dit, quand un décret est enregistré en bonne et due forme, il est irrévocable, et même l’empereur ne peut changer ce principe de fonctionnement de l’administration perse.

Versets 7-8

Je continue.

L’empereur Xerxès répondit à l’impératrice Esther et au Juif Mardochée : — En ce qui me concerne, j’ai déjà donné à Esther les biens de Haman, et lui, je l’ai fait pendre à la potence parce qu’il voulait porter la main sur les Juifs. Vous, maintenant, rédigez des lettres concernant les Juifs, comme vous le jugerez bon. Écrivez-les au nom de l’empereur et cachetez-les avec le sceau impérial. En effet, un document rédigé au nom de l’empereur et cacheté avec son sceau est irrévocable (Esther 8.7-8).

L’empereur semble légèrement irrité. Indirectement, il dit à sa reine : « Pourquoi douter de ma bienveillance, après les preuves que j’en ai déjà données ? » Ensuite, il lui fait remarquer ainsi qu’à Mardochée qui vient d’apparaître, que le pouvoir et les ressources qui étaient à Haman leur appartiennent désormais et qu’ils n’ont qu’à les utiliser à leur avantage.

S’il est vrai qu’un édit royal est irrévocable, rien n’empêche d’en émettre un nouveau qui va dans le sens opposé au premier, qui le neutralise en quelque sorte parce qu’il autorise les Juifs à se défendre s’ils sont attaqués. Curieusement, et sans trop s’inquiéter des conséquences, l’empereur très cool donne à Mardochée carte blanche tout comme il l’avait fait au grand vizir Haman. Apparemment, que des peuples s’entre-tuent dans son royaume ne concerne pas le roi; ce n’est pas ce genre de détail qui l’empêche de dormir la nuit.

Versets 9-10

Je continue.

On convoqua les secrétaires impériaux sur-le-champ, le vingt-troisième jour du troisième mois, c’est-à-dire du mois de Sivan. On écrivit aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux ministres des cent vingt-sept provinces qui s’étendaient de l’Inde à l’Éthiopie, tout ce qu’ordonna Mardochée. On rédigea les lettres avec l’écriture de chaque province et selon la langue de chaque peuple. De même, on écrivit aux Juifs avec leur écriture et dans leur langue. Les lettres furent écrites au nom de l’empereur Xerxès et cachetées avec son sceau, et on les expédia par des coursiers montés sur des pur-sang de race Ahachtrane sélectionnés par l’administration impériale (Esther 8.9-10).

Le dernier verset est difficile à traduire. Dans sa version, Darby le rend ainsi : « par des coursiers à cheval, montés sur des coursiers, des chevaux de race, produits des haras ».

Dans des inscriptions cunéiformes, on a trouvé le mois de Sivan et il correspond à mai juin. Ce second décret est rédigé exactement deux mois et dix jours après la publication du premier. Alors que le précédent n’a été envoyé qu’aux officiels de l’empire, ce qui se comprend, celui-là est aussi rédigé en hébreu et envoyé aux Juifs.

Aucune modification n’est apportée au décret d’origine, mais le second est rédigé et signé tout comme le premier et avec le même cachet du roi. Toute son autorité manifestée au travers de son armée et de ses hauts fonctionnaires est désormais au service du peuple juif.

On se met au travail au plus vite. Comme l’Empire perse est polyglotte, Mardochée utilise tous les scribes disponibles pour traduire le nouveau décret dans toutes les langues et dialectes des cent vingt-sept provinces. Le nouvel édit est en route ; il chevauche au galop et distribué aussi vite que possible dans les moindres recoins de l’empire ; Mardochée a recours aux moyens de communication les plus rapides de son époque et les coursiers utilisent les meilleurs chevaux du roi afin d’arriver à temps.

Pour atteindre certains endroits reculés et désertiques, les coursiers utilisent des chameaux et des dromadaires, comme pour franchir le désert d’Arabie. Puis ils continuent jusqu’en Inde ou en Afrique.

Versets 11-12

Je continue.

Par cet édit, l’empereur autorisait les Juifs de chaque ville à se regrouper pour défendre leur vie, à massacrer, tuer et exterminer toute bande armée d’un peuple ou d’une province qui les attaquerait, y compris leurs enfants et leurs femmes, et à piller les biens de ces gens. Cette autorisation était valable pour un jour, le treizième jour du douzième mois qui est le mois d’Adar, dans toutes les provinces de l’empereur Xerxès (Esther 8.11-12).

On peut facilement s’imaginer que quand ce nouvel édit parvient aux Juifs, ils sont remplis de joie, car ils ne sont plus à la merci de leurs ennemis et peuvent se défendre, et même exterminer tous ceux qui s’en prennent à eux.

Alors que le premier décret autorise un génocide pur et simple, un massacre orchestré par le pouvoir perse, grâce au second édit, les Juifs ne sont plus en danger de la part des autorités en place. Cependant, ils sont encore menacés par leurs ennemis de race, mais avec l’entière liberté de se défendre. Évidemment, ils ne vont pas s’en prendre à des gens paisibles, mais seulement à ceux qui se disposent à les attaquer. De plus, à l’exemple d’Esther et de Mardochée qui ont pris possession de tout ce qui appartenait à Haman, les Juifs peuvent également piller les biens de leurs ennemis. Ce conflit armé ne durera qu’un seul jour, le 7 mars 473 avant J-C.

Sous le régime de l’Ancienne Alliance, les châtiments et les jugements divins concernent l’ensemble de la famille, voilà pourquoi le texte mentionne les femmes et les enfants. Je sais bien que pour nous, habitants civilisés du 21e siècle, ça choque. D’accord, mais le 20e siècle a vu le massacre de plus de 60 millions de personnes dont plusieurs séries d’exterminations systématiques de populations et aujourd’hui nous avons même des femmes qui torturent des prisonniers et des enfants-soldats qui commettent les pires atrocités, des horreurs qui n’existaient pas aux époques antérieures. Il me paraît donc évident qu’en 25 siècles, l’humanité n’a pas évolué d’un iota.

Les Juifs ont d’abord appris avec horreur qu’un contrat visant leur extermination a été signé contre eux et les voue à une mort certaine. Ensuite, ils apprennent que l’empereur a rédigé un nouvel édit pour les sauver. Ces deux décrets sont une image de la condition de l’homme devant Dieu. Après la faute de nos premiers parents, l’Éternel a dit à Adam : « Tu es poussière et tu retourneras dans la poussière. (Genèse 3.19) ». Et le prophète Ézéchiel écrit : « L’âme qui pèche mourra (Ézéchiel 18.4) ». Cette sentence n’est pas spécifique aux criminels ou à certains individus louches issus des quartiers mal famés, mais elle concerne chaque être humain sans exception. Le prophète Ésaïe dit :

Nous sommes tous semblables à des êtres impurs, toute notre justice est comme des linges souillés. Nous sommes tous flétris comme un feuillage, nos fautes nous emportent comme le vent (Ésaïe 64.5).

Et l’apôtre Paul écrit : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu (Romains 3.23) ».

Jésus a dit à ses contemporains :

C’est du cœur que proviennent les mauvaises pensées qui mènent au meurtre, à l’adultère, à l’immoralité, au vol, aux faux témoignages, aux blasphèmes. Voilà ce qui rend l’homme impur (Matthieu 15.19).

Comme le mal est en moi, je ne peux pas devenir suffisamment bon, et encore moins parfait, pour plaire à Dieu et être admis dans sa présence. Lui de son côté ne peut m’accepter tel que je suis parce qu’il est saint. Telle est la condition de toute l’humanité.

La pollution la plus grave ne concerne pas les sites industriels, les fleuves et les villes, mais le cœur de chaque homme. Dieu qui est parfaitement juste doit donc exercer son jugement. Mais comme il aime sa créature, de son trône il a émis un second décret qui nous offre la possibilité d’être réconciliés avec lui par son Fils Jésus, Dieu fait homme. Le Christ est notre médiateur ;  il représente le royaume de Dieu et sa miséricorde. C’est lui qui a pris notre péché sur ses épaules et l’a crucifié. C’est par son intermédiaire que j’ai accès à Dieu, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Comme je ne pouvais rien faire pour adoucir le cœur de Dieu envers moi, Jésus l’a fait. Depuis l’événement historique de la croix, Dieu est pour nous et nous sommes réconciliés avec lui. Le nouveau décret est tout simple : Crois au Seigneur Jésus-Christ et tu seras sauvé (Actes 16.31).

Dieu m’offre le salut et la vie éternelle, mais je dois venir à lui par la foi afin de naître de nouveau. Dans son entretien avec Nicodème, l’un des chefs religieux d’Israël, Jésus a été catégorique; il a dit :

Vraiment, je te l’assure : à moins de renaître d’en haut, personne ne peut voir le royaume de Dieu. Ne sois donc pas surpris si je t’ai dit : Il vous faut renaître d’en haut (Jean 3.3, 7).

Dans l’histoire de la reine Esther, dans la mesure où les Juifs donnent foi au second décret qui leur parvient, ils échappent à une mort certaine. C’est pareil pour moi. Si je place ma confiance en Jésus-Christ, je suis sauvé et je reçois la vie éternelle.

Versets 13-14

Je continue le texte.

Une copie du texte de la lettre devait être promulguée comme ayant force de loi dans chaque province, et portée à la connaissance de toute sa population, afin que les Juifs se tiennent prêts à se faire justice de leurs ennemis ce jour-là. Les coursiers montés sur les pur-sang de l’administration impériale partirent à bride abattue, par ordre de l’empereur, tandis que l’édit était immédiatement publié dans la citadelle de Suse (Esther 8.13-14).

Il reste presque neuf mois avant la date fatidique, mais il faut que le nouveau décret parvienne à temps dans les provinces les plus reculées de l’empire ; donc le temps presse.

Versets 15-16

Je continue.

Mardochée sortit de chez l’empereur revêtu d’un habit impérial violet et blanc, et portant une grande couronne d’or et un manteau de byssus et de pourpre. Toute la ville de Suse retentissait de cris de joie et se réjouissait. Pour les Juifs, ce fut un jour lumineux, un jour de bonheur, de joie et de gloire (Esther 8.15-16).

Mardochée porte la tenue officielle de grand vizir ; il est revêtu de vêtements princiers aux couleurs impériales perses et il est ceint du diadème, signe de sa fonction. Cette apparition coïncide avec la publication de l’édit en faveur des Juifs. Mardochée occupe la position qui était celle d’Haman, le méchant homme qui a eu l’idée de profiter de sa position pour se venger de Mardochée qui refusait de lécher ses bottes. Quand il a promulgué le décret d’anéantissement des Juifs, cet acte injuste avait plongé la ville de Suse dans la plus grande consternation. Sous l’administration de Mardochée qui a émis le nouveau décret, tous les habitants de la capitale sont dans l’allégresse parce qu’ils pensent qu’il n’y aura pas de tuerie. Malheureusement, un noyau dur, mal intentionné et incorrigiblement hostile aux Juifs provoquera quand même une effusion de sang.

C’est vrai que la paix est sans prix, mais ce qui a encore davantage de valeur c’est la tranquillité de l’âme et de l’esprit. Cependant, ce privilège n’appartient qu’à ceux qui ont reçu le pardon de Dieu et qui savent que leurs fautes ont été pardonnées. Certes, on peut toujours aller dans une boîte de nuit et bien s’amuser, manger comme une vache et se bourrer la gueule à être noir comme une cheminée. Mais ce genre de divertissement n’apporte ni paix ni joie, et il est toujours suivi de lendemains difficiles et surtout déprimants. Cette dépression n’est pas que physique, à cause de la gueule de bois, mais elle est surtout due au vide existentiel qu’on éprouve après une grosse bringue.

Verset 17

Je finis de lire le chapitre 8.

En chaque province, en chaque ville, et en tout lieu où parvenaient l’ordonnance et l’édit de l’empereur, ce fut pour les Juifs le bonheur et la joie, ainsi qu’une occasion de festin et de fête. Un grand nombre de gens du pays se firent Juifs, tant les Juifs leur inspiraient de crainte (Esther 8.17).

Comme Xerxès porte dans son cœur l’impératrice et le grand vizir Mardochée, père adoptif de la reine, tous deux descendants d’Abraham, le roi est également bien disposé envers tous les Juifs. Certains ayant eu vent de ce revirement extraordinaire de l’administration perse, embrassent le judaïsme de manière intéressée, mais d’autres se sont probablement convertis par conviction après avoir compris que tous les événements qu’ils ont vécus ces derniers temps, ne sont pas de simples coïncidences, mais que ce peuple aux coutumes étranges possède un Dieu bienveillant qui veille sur lui et le protège. C’est cette même bonté qui s’est manifestée en la personne de Jésus-Christ.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

nov. 14 2024

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