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07 juil. 2025

1 Timothée 5.1-21

Chapitre 5

Introduction

Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de Solon d’Athènes (640-558) l’un des sept sages de la Grèce antique, pourtant ce personnage est intéressant parce que c’est lui qui a posé les fondements de la démocratie athénienne et qui a décrété que les enfants sont légalement obligés de s’occuper de leurs parents démunis sous peine de perdre leurs droits civiques. Or justement, l’apôtre Paul aborde ces questions d’ordre très pratique dans le cinquième chapitre de sa première lettre à Timothée que je commence à lire.

Verset 1

Ne rudoie pas un homme âgé, mais encourage-le comme s’il était ton père. Traite de la même manière les jeunes gens comme des frères (1 Timothée 5.1).

Le mot traduit par « rudoie » rend bien l’intensité du grec ; il s’agit ici d’une violence verbale. Dans l’Église qui est la famille de Dieu, un tel comportement est inacceptable surtout envers une personne âgée. Même si elle mérite d’être corrigée, cela doit se faire sans brutalité mais avec respect et douceur comme si on s’adressait à un parent. Sous le régime de l’Ancienne Alliance, la Loi ordonne d’honorer les personnes d’âge mûr (comparez Lévitique 19.32 ; Proverbes 16.31 ; 20.29 ; Job 32.4, 6).

Timothée est encore relativement jeune mais comme il doit exhorter, encourager et corriger tous les membres de l’assemblée, cela inclue forcément des personnes plus âgées que lui. L’apôtre lui demande donc de les réprimander avec tact et délicatesse. Pour ce qui est des hommes de sa génération ou plus jeunes que lui, il doit aussi les traiter comme s’ils étaient ses frères de sang.

Verset 2

Je continue.

(Traite) les femmes âgées comme des mères, les plus jeunes comme des sœurs, en toute pureté (1 Timothée 5.2).

Quand on parle à une femme mûre, on lui doit le respect comme lorsqu’on s’adresse à sa propre mère ; c’est ce qu’enseigne la loi de Moïse (Exode 20.12). Quant aux jeunes femmes, Timothée doit les considérer comme des sœurs ; ce sont des membres de son église comme les autres et pas des objets de convoitise. Timothée doit donc se montrer vigilant pour que ne se développe, ni même ne soit supposé, quelque intérêt malsain ou une familiarité inconvenante.

Un jour, j’ai entendu un prédicateur américain dire : « Si j’avais 10 centimes pour chaque pasteur qui s’est laissé séduire par une femme de son assemblée, je serais millionnaire ». Je pense qu’il exagère un peu, mais c’est une façon de dire que l’impureté sexuelle dans l’église n’est pas aussi rare qu’on voudrait le croire. Dans le livre des Proverbes, il est dit :

Ne convoite pas (la femme immorale) dans ton cœur à cause de sa beauté, ne te laisse pas séduire par ses œillades ! (Proverbes 6.25).

Et le patriarche Job donne lui un très bon conseil que je lis :

J’avais conclu un pacte avec mes yeux : ils ne devaient jamais porter un regard chargé de désir sur une jeune fille (Job 31.1).

Verset 3

Je continue le texte.

Honore les veuves, c’est-à-dire celles qui sont réellement privées de soutien (1 Timothée 5.3 ; Autre).

Le mot « veuve » signifie « privée de mari, abandonnée » mais sans plus de détails. Il peut donc s’agir d’un décès, divorce, abandon, emprisonnement ou même d’une femme qui ne s’est jamais mariée. Le mot « Honore » veut dire « respecter mais aussi aider matériellement ». Matthieu rapporte que pour Jésus, honorer son père et sa mère veut aussi dire les soutenir financièrement en cas de besoin (Matthieu 15.1-6 ; comparez Exode 22.21 ; Deutéronome 24.17 ; Jacques 1.27).

Dans la société antique, une femme qui n’a plus aucune famille se trouve en situation de grande précarité matérielle. C’est probablement pour cette raison que selon le livre des Actes, la première opération caritative de l’Église apostolique fut une action en faveur des veuves (Actes 6).

Paul recommande à Timothée de s’assurer qu’une femme qui dit être sans soutien l’est véritablement, car quelle que soit l’époque, il y a des resquilleurs qui essaient de profiter du bon cœur des chrétiens.

Verset 4

Je continue le texte.

Si une veuve a des enfants ou des petits-enfants, ceux-ci doivent apprendre, avant tout, à traduire leur attachement à Dieu dans l’attachement à leur propre famille. Qu’ils s’acquittent de leur dette envers leurs parents, car cela plaît à Dieu (1 Timothée 5.4).

Enfants et petits-enfants sont responsables de pourvoir aux besoins de leur mère veuve. C’est à la famille de s’occuper de ses membres et l’église ne doit intervenir que si la pauvre femme est vraiment sans soutien.

Verset 5

Je continue.

La veuve qui est restée vraiment seule et privée de soutien met son espérance en Dieu et passe ses jours et ses nuits à faire toutes sortes de prières (1 Timothée 5.5).

Dans son évangile, Luc rapporte un exemple semblable de piété en la personne d’Anne (Luc 2.36-37).

Une assemblée chrétienne a le devoir de s’occuper de ses membres qui sont veuves quand celles-ci n’ont pas de famille pour les aider, mais ont placé leur espérance en Dieu, c’est-à-dire qu’elles possèdent une foi authentique et invoquent le Seigneur pour qu’il prenne soin d’elles.

Versets 6-7

Je continue.

Quant à celle qui court après les plaisirs, elle est déjà morte, quoique vivante. Transmets-leur ces avertissements afin qu’elles mènent une vie irréprochable (1 Timothée 5.6-7).

Il s’agit d’une veuve joyeuse. Du temps de son mari, elle fréquentait l’assemblée, mais maintenant qu’il n’est plus là, elle fait la fête. Étant donné qu’elle se comporte comme une non-croyante, l’église n’a pas de responsabilité envers elle. C’est ce que Timothée est chargé de lui dire avec douceur mais fermeté. L’objectif n’est pas de punir les veuves joyeuses mais de leur faire prendre conscience de l’état de leur âme.

Verset 8

Je continue.

Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, en particulier des membres de sa famille, il a renié la foi et il est pire qu’un incroyant (1 Timothée 5.8).

Paul élargit son discours et rappelle une fois encore le principe de l’entraide mutuelle dans la famille. Le soi-disant croyant qui refuse de contribuer financièrement au soutien des siens qui sont démunis, rejette l’essence du christianisme qui est l’amour d’autrui. Son comportement est donc pire que celui des païens parce que les Grecs au moins viennent en aide à leur famille même si c’est une obligation purement civique.

Dans notre société, il n’est pas rare qu’un divorce soit la cause d’une détresse matérielle et c’est généralement la femme et les enfants qui en pâtissent le plus. Quand un couple de croyants se sépare, et ça arrive de plus en plus fréquemment, ils doivent être équitables et s’assurer du bien-être de leurs enfants.

L’exemple suprême d’aide à une veuve, dont le fils unique est en train de mourir, nous est donné par Jésus. Alors qu’il agonise sur la croix, Marie et l’apôtre Jean sont présents, alors dit le texte :

En voyant sa mère et, à côté d’elle, le disciple qu’il aimait, Jésus dit à sa mère : — Voici ton fils. Puis il dit au disciple : — Voici ta mère. À partir de ce moment-là, le disciple la prit chez lui (Jean 19.26-27).

Même mourant, Jésus s’est assuré que quelqu’un s’occuperait de Marie.

Verset 9

Je continue le texte.

Qu’une veuve, pour être inscrite sur le rôle, n’ait pas moins de soixante ans, qu’elle ait été femme d’un seul mari (1 Timothée 5.9 ; LSG).

Dans la culture grecque, 60 ans est l’âge où on part à la retraite pour se consacrer à une vie contemplative jusqu’à la fin de ses jours.

On sait aussi de sources extra bibliques que dans les premiers siècles, existent des groupes de veuves qui ont dans l’Église un ministère auprès des femmes et des enfants. Parmi elles, certaines reçoivent un subside de la part de l’assemblée tandis que d’autres ont des ressources personnelles.

Le « rôle » dont parle Paul n’est pas la liste des veuves assistées, mais la liste des femmes diacres, qui ont au moins 60 ans, et qui n’ayant plus ni mari ni enfants chez elle, peuvent aller de maison en maison pour exercer un ministère à plein temps auprès des jeunes femmes et des enfants, surtout des orphelins.

Deuxièmement, pour « être inscrite sur le rôle », cette veuve d’au moins 60 ans, doit avoir été, littéralement « une femme d’un mari », ce qui ne veut pas dire qu’elle ne s’est mariée qu’une seule fois puisque plus loin (1 Timothée 5.14) Paul conseille aux jeunes veuves de se remarier. Cette expression signifie qu’elle a été une épouse fidèle. Dans le cas contraire, elle ne peut pas être un bon exemple pour les jeunes femmes.

Verset 10

Je continue le texte.

Elle doit être connue pour ses œuvres bonnes, avoir bien élevé ses enfants, ouvert sa maison aux étrangers, lavé les pieds de ceux qui appartiennent à Dieu, secouru les malheureux, et pratiqué toutes sortes d’actions bonnes (1 Timothée 5.10).

Pour faire partie du « rôle », une femme doit être connue pour ses « œuvres bonnes ». C’est une troisième condition et Paul précise ce qu’il veut dire. Il faut premièrement, qu’elle ait « bien élevé des enfants », soit les siens, soit des orphelins, mais il lui faut l’expérience d’une maman qui a réussi l’éducation de ses gosses, parce que c’est ce qui la rend apte à conseiller les jeunes femmes (comparez Tite 2.3-5).

Deuxièmement, elle a « ouvert sa maison » à des croyants de passage (comparez Romains 16.2). À cette époque, il n’y a que des auberges minables qui font bordels et sont des repaires de brigands. Mais comme les gens n’ouvrent pas leur porte au premier venu, les croyants qui voyagent dépendent les uns des autres beaucoup plus que de nos jours.

Troisièmement il faut que la veuve ait « lavé les pieds des croyants », ce qui est un devoir d’hospitalité. En effet, à cette époque, les routes n’étant pas goudronnées et les voies romaines très poussiéreuses, quand des hôtes débarquent chez vous, l’esclave de service leur lave les pieds. Mais Jésus a dit à ses disciples qu’ils devaient s’acquitter eux-mêmes de cette tâche subalterne. Tout ça pour dire que ces femmes sont suffisamment humbles pour accepter les besognes les plus serviles.

Quatrièmement, ces femmes ont « secouru les malheureux» ; le mot grec se réfère à un soutien financier.

Finalement, elle a « pratiqué toutes sortes d’actions bonnes ». Le mot pour « pratiqué » est très fort et décrit une consécration active et énergique. Comme toutes ces caractéristiques décrivent une veuve qualifiée pour servir le Seigneur et l’église locale, elles sont également applicables à toute femme croyante.

Versets 11-12

Je continue le texte.

Quant aux veuves plus jeunes, n’accepte pas de les inscrire, car il arrive que leurs désirs se raniment et les éloignent du service du Christ ; elles veulent alors se remarier, et encourent ainsi le reproche d’avoir rompu l’engagement de service qu’elles avaient pris auparavant (1 Timothée 5.11-12).

« N’accepte pas » les jeunes veuves est un verbe très fort ; Paul l’a déjà utilisé quand il a dit à Timothée (4.7) de rejeter les fausses doctrines.

La raison de cette interdiction est que les jeunes veuves risquent de faire le vœu, qu’elles ne pourront pas tenir, de ne pas se remarier afin de se consacrer entièrement à l’église, soit par reconnaissance pour le soutien financier qu’elles reçoivent, soit pour oublier la peine suscitée par la perte de leur époux. Mais à la différence des femmes âgées, avec le temps elles désirent à nouveau un homme dans leur vie et donc rompre l’engagement de service qu’elles ont pris. Le verbe traduit par « rompre » désigne un bœuf qui essaie de secouer son joug. Cette femme se rend alors coupable de violer le vœu de ne pas se remarier et de se consacrer entièrement au service du Seigneur. On peut imaginer que dans une telle situation, cette femme sera très malheureuse et vulnérable aux tentations.

Verset 13

Je continue le texte.

Avec cela, elles prennent l’habitude de ne rien faire et elles passent leur temps à aller de maison en maison, et pas seulement pour n’y rien faire, mais encore pour se répandre en commérages, se mêler de tout et parler à tort et à travers (1 Timothée 5.13).

La deuxième raison invoquée par Paul contre l’enrôlement des jeunes veuves est qu’au lieu de se rendre utiles, elles risquent de passer leur temps à s’occuper des affaires des autres et à colporter des cancans. Pour un ministère d’aide, il faut une maturité spirituelle et une expérience de la vie qu’une jeune veuve n’a pas.

Versets 14-15

Voilà pourquoi, Paul continue et dit :

C’est pourquoi je préfère nettement que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants, et tiennent bien leur ménage afin de ne pas prêter le flanc aux critiques de nos adversaires. Il y en a, hélas, déjà plusieurs qui se sont détournées du droit chemin pour suivre Satan (1 Timothée 5.14-15).

Dans la culture juive, les jeunes veuves qui sont encore en âge d’avoir des enfants, sont encouragées à se remarier dès que le temps de deuil est terminé.

La recommandation de l’apôtre à Timothée arrive déjà trop tard pour certaines veuves qui non seulement ont renié leur vœu, mais sont tombées dans l’impudicité.

Verset 16

Je continue.

Si une croyante a des veuves dans sa famille, qu’elle subvienne à leurs besoins, et que l’Église n’en ait pas la charge pour pouvoir réserver son assistance aux veuves qui n’ont pas de soutien (1 Timothée 5.16).

Paul conclut son exhortation en rappelant une fois encore que c’est à la famille de s’occuper de ses veuves : cette responsabilité incombe d’abord aux enfants et petits-enfants et en dernier recours à une parente, si elle le peut évidemment.

Verset 17

Je continue.

Les responsables qui dirigent bien l’Église méritent un double honneur, notamment ceux qui se dévouent au ministère astreignant de la prédication et de l’enseignement (1 Timothée 5.17 ; Autre).

Le mot pour « honneur » signifie « respect et soutien financier ». Le mot pour « se dévouer » veut dire « travailler jusqu’à épuisement ». Paul fait une différence entre l’enseignement et la prédication mais en fait, elle n’est pas conséquente. L’enseignement consiste à communiquer les vérités des Écritures et à les différencier des fausses doctrines, tandis que la prédication a aussi pour objectif de toucher les cœurs des auditeurs afin qu’ils modèlent leur vie selon la volonté de Dieu.

Paul dit ici que les responsables qui méritent d’être honorés davantage à cause de leur consécration exemplaire, doivent aussi être rémunérés en conséquence et cet avantage n’est pas un don mais un dû.

Verset 18

Je continue.

Car l’Écriture déclare : Tu ne mettras pas de muselière au bœuf qui foule le grain et encore : L’ouvrier mérite son salaire (1 Timothée 5.18).

Dans la loi de Moïse, il est dit que l’animal qui foule le grain a le droit d’en manger (Deutéronome 25.4 ; comparez 1 Corinthiens 9.9). Paul veut que ce principe moral soit aussi appliqué aux responsables afin que ceux-ci soient rémunérés en fonction de leur dévouement au service des paroissiens.

La phrase : « L’ouvrier mérite son salaire » est sans doute un proverbe connu que cite Jésus et qu’on trouve dans l’évangile selon Luc (10.7). Dans sa première épître aux Corinthiens (11.24), Paul cite une autre parole de Jésus également tirée de Luc, ce qui montre qu’il considère son évangile comme vérité inspirée par Dieu.

Verset 19

Je continue le texte.

N’accepte pas d’accusation contre un responsable d’Église si elle n’est pas appuyée par deux ou trois témoins (1 Timothée 5.19).

Il y a toujours des mauvaises langues prêtes à cracher leur venin sur un ancien ou n’importe quelle personne fidèle à Dieu. Ceux qui propagent des mensonges ont une dent contre leur victime ; ils lui en veulent soit parce qu’elle est leur mauvaise conscience, ou par jalousie, par envie ou par simple méchanceté. Peu importe la raison, ces mauvais coucheurs sont des messagers de Satan dont ils font le travail. Beaucoup d’hommes de Dieu, comme Moïse, David, Jérémie, Néhémie, Jésus et l’apôtre Paul ont souffert à cause de fausses accusations portées contre eux.

Un écrivain (John Trapp) de l’époque puritaine a écrit : « la vérité a toujours un visage écorché. Si de telles accusations sont crues, bien que fausses, le ministère de la personne attaquée part en fumée ». Comme la calomnie pose un grave danger à l’église et aux croyants concernés, Paul explique comment y faire face.

Premièrement, les responsables doivent ignorer une accusation qui est sans fondement ; les « on dit » et « il paraît que » sont des cancans dangereux. Par contre, si au moins deux personnes (Deutéronome 19.15) prétendent avoir des faits précis ou avoir été témoins de la faute commise par l’ancien incriminé, alors une enquête doit être ouverte.

Verset 20

Je continue.

Ceux qui ont péché, reprends-les devant tous, afin que cela inspire de la crainte aux autres (1 Timothée 5.20).

S’il s’avère que ce responsable a péché, les faits doivent être communiqués à l’église ; il sera mis en accusation devant tous et il ne pourra plus exercer une fonction d’ancien. Les péchés de ceux qui occupent une position d’autorité dans l’église sont plus graves que ceux du paroissien moyen parce que quand un dirigeant tombe il risque d’entraîner d’autres personnes avec lui. S’il est réprimandé publiquement, c’est afin que tous les membres se rendent compte que Dieu a le péché en horreur et pour qu’eux aussi s’abstiennent de pécher. Un tel acte disciplinaire a donc pour but de motiver les paroissiens à marcher droit (Proverbes 9.10). De plus, si la situation est sobrement mais clairement exposée, elle coupera court aux cancans qui autrement ne manqueront pas de circuler dans l’assemblée.

Verset 21

Je continue.

Je te conjure solennellement devant Dieu, devant Jésus-Christ et ses anges élus, d’observer ces règles sans parti-pris ni favoritisme (1 Timothée 5.21).

La démarche disciplinaire décrite par Paul demande beaucoup de courage de la part des responsables parce qu’ils doivent condamner l’un des leurs. Pour cette raison, Paul rappelle à Timothée que c’est la pureté de l’église qui est importante et non pas la réaction des gens.

Nul ne doit bénéficier d’un régime de faveur parce qu’il est populaire, riche ou occupe une haute position sociale. Ce qu’il est ne doit pas influencer la façon dont il est évalué et il doit être traité comme tout le monde, et s’il a péché, il sera réprimandé et disqualifié comme ancien.

Servir Dieu est un immense privilège, mais aussi une grande responsabilité qu’il faut prendre très au sérieux parce que le Seigneur n’apprécie pas du tout qu’on se moque de lui.

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

sept. 17 2024

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