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15 sept. 2026

Zacharie

Livre du prophète Zacharie

Introduction

Quelqu’un est débrouillard quand il sait utiliser ce qu’il a sous la main. Avec une telle déclaration, je n’ai pas inventé la poudre. Par contre, ce qui est tout à fait intéressant à noter est que l’Éternel met lui aussi à son service les ressources qui sont à sa disposition ; en d’autres mots il fait avec ce qu’il a sous la main. Dieu choisit donc « Zacharie » pour prophète et comme ce dernier est né juif et a été élevé en Babylonie, il a subi l’influence de ces deux milieux que Dieu utilise quand il inspire son serviteur.

En effet, les prêtres païens sont alors connus pour leurs transes et manifestations extatiques, ce qu’on retrouve dans le comportement de Zacharie qui s’exprime d’une manière très grandiose. Les visions qu’il décrit sont marquées par le surnaturel car des anges figurent dans chaque révélation qu’il reçoit et même Satan apparaît dans l’une d’entre elles (Zacharie 3.2). Il voit des êtres et des objets ayant une apparence ou une forme extraordinaire ou qui sont très bizarres (Zacharie 1.8, 18 ; 3.9 ; 4.2 ; 5.2, 9 ; 6.1-3).

Le prophète Ézéchiel qui fait partie de la charrette des Juifs déportés à Babylone reçoit lui aussi des visions tout à fait fantasmagoriques. Cependant, chez Zacharie comme chez Ézéchiel, l’influence babylonienne s’arrête à l’aspect extérieur de la vision car cette influence n’a absolument aucune action sur le contenu, sur la pensée proprement dite, sur les espérances, les convictions et la conception du monde du prophète.

Zacharie reçoit sa formation à l’école des prophètes et il continue l’œuvre de ses prédécesseurs dont il s’inspire. Son livre contient en effet de nombreuses allusions aux écrits des prophètes antérieurs, au moins six ainsi que David (comparez Zacharie 1.12 et Jérémie 25.14-12 ; Zacharie 2.13 et Habaquq 2.20 ; Zacharie 3.2 et Amos 4.11 ; Zacharie 4.9 et Ézéchiel 6.7, 10 ; Zacharie 6.13 et Psaumes 110.4 ; Zacharie 7.9 et Ézéchiel 18.8 ; Zacharie 8.21 et Ésaïe 2.3 ; Zacharie 2.13 et Habaquq 2.20 ; Zacharie 8.13 et Sophonie 3.16 ; Zacharie 8.23 et Ésaïe 4.1).

Le nom « Zacharie » (Zecaria en hébreu) est très fréquent dans l’Ancien Testament puisqu’au moins vingt personnes différentes se nomment ainsi. « Zacharie » signifie « celui dont l’Éternel se souvient », ou simplement « l’Éternel se souvient ».

Zacharie dit être le « fils de Barachie, fils d’Iddo ». Esdras (Esdras 5.1 et 6.14) cite Zacharie à côté d’Aggée comme ayant, avec lui, exhorté les colons juifs à reconstruire le Temple, mais il dit qu’il est le « fils d’Iddo ». Cette différence est due au fait que dans une généalogie, les auteurs sacrés passent souvent sous silence des intermédiaires pour ne relever que les noms principaux qu’ils rattachent les uns aux autres. Par exemple Matthieu écrit :

Asa eut pour descendant Josaphat. Josaphat eut pour descendant Yoram. Yoram eut pour descendant Ozias (Matthieu 1.8).

Or, entre Yoram et Ozias, quatre rois de Juda sont omis. Tout ça pour dire que le mot « fils » prend parfois le sens de « descendant » et que Zacharie est le fils de Barachie et le petit-fils d’Iddo.

Zacharie est né en exil en Babylonie environ une quinzaine d’années avant l’édit de Cyrus. Avec sa famille, il fait partie du convoi de Juifs qui retourne en Juda (en 538-537 avant Jésus-Christ). Le livre de Néhémie mentionne Iddo, le grand-père de Zacharie, comme chef d’une famille de prêtres rentrés de captivité avec Zorobabel et le grand-prêtre Josué. À Josué succèdent Yoyakim (Néhémie 12.10) puis son fils Éliashib (en l’an 445 ; Néhémie 3.1). Zacharie est de la même génération que Éliashib. Cependant, sous la prêtrise de Yoyakim le père de Éliashib, Zacharie est déjà chef de la famille sacerdotale de Iddo (Néhémie 12.16) alors que ça aurait dû être son père Barachie. Ces détails barbants signifient que si Zacharie succède rapidement à son père, c’est tout simplement parce que ce dernier est mort. Et en l’an 520, quand Zacharie débute dans son ministère prophétique, il a tout juste dépassé la trentaine.

Le style de Zacharie est d’une grande simplicité. Même dans les visions les plus chargées en symboles extraordinaires, il conserve toujours un comportement calme et tranquille. Il ne s’emballe jamais et dit seulement : « je regardai et je vis » (Zacharie 2.1, 5), puis il décrit ce qu’il voit sans montrer d’émotions particulières, même quand un ange le réveille sans ménagement (Zacharie 4.1). Zacharie se contente de raconter et rapporter les ordres ou les promesses que Dieu lui donne sans nous faire part de ses sentiments personnels. Zacharie écrit toutes ses visions en prose à l’exception d’un petit morceau qui est poétique (Zacharie 2.10-17). Son hébreu est pur et sans trace des langues parlées en Perse.

Les huit premiers chapitres du livre de Zacharie et les oracles du prophète Aggée datent de la même époque, mais pour bien les comprendre, il est nécessaire de les replacer dans leur contexte historique. En l’an 586 avant Jésus-Christ, Nabuchodonosor, roi de Babylone, met fin au royaume de Juda et déporte la plupart de ses habitants, tout comme les Assyriens avaient effacé de la carte, le royaume israélite des X tribus du Nord en l’an 722.

Pendant l’exil babylonien, Dieu révèle au prophète Daniel que les puissances de ce monde domineront Israël jusqu’à ce que le « temps des nations » ou « temps de la domination des païens » comme Jésus l’appelle (Luc 21.24), arrive à son terme et soit remplacé par le royaume de Dieu.

Après la chute de Babylone (en 539 avant Jésus-Christ) sous les coups de boutoir des Perses, l’empereur Cyrus le Grand décrète que les descendants d’Israël peuvent retourner dans leur pays afin de reconstruire le Temple de l’Éternel leur Dieu (Esdras 1.2-4 ; Ésaïe 44.28). Cependant, la première caravane ne comporte qu’environ 50 000 colons, c’est à dire une petite minorité de Juifs. Parmi eux se trouvent les prophètes Zacharie et Aggée. Ils sont conduits par Zorobabel qui est leur chef civil et l’héritier du trône du roi David, ainsi que par Josué le grand-prêtre (Esdras 2). Plein d’enthousiasme, les colons rétablissent tout de suite l’autel des holocaustes afin d’y offrir des sacrifices à l’Éternel (Esdras 3.1-6), puis posent les fondations du Temple (Esdras 3.8-13 ; 5.16).

Cependant, l’opposition des populations païennes voisines, et surtout des Samaritains très hostiles, fait cesser les travaux. Les colons découragés abandonnent alors totalement l’idée de reconstruire le Temple pour se concentrer sur eux-mêmes. Seize ans d’apathie spirituelle s’écoulent jusqu’à la venue de Darius Hystaspe à la tête de l’Empire perse (522-486). Ce monarque consacre les deux premières années de son règne à mater les révoltes qui ont éclaté entre la mort de son prédécesseur et sa montée au pouvoir. La seconde année de son règne, à la fin août 520, Aggée appelle les colons à rouvrir le chantier du Temple laissé à l’abandon (Esdras 5.1-2 ; Aggée 1.1). Trois semaines plus tard, ils s’attellent à la tâche. Ils subissent à nouveau l’opposition de leurs voisins mais obtiennent l’aval de Darius et peuvent continuer le travail.

C’est en octobre-novembre 520, un peu plus de deux mois après la première prédication d’Aggée, que Zacharie entre en scène et donne son premier discours (Zacharie 1.2-6) par lequel il soutient l’action d’Aggée avec le même message que lui. En décembre, Aggée reçoit de nouveaux oracles, ses derniers. En tout, Aggée prêche quatre sermons en quatre mois puis disparaît de la scène prophétique. Zacharie commence son ministère pour les mêmes raisons que Aggée et dans les mêmes circonstances, ce que reflète le début de son livre.

En février 519, alors que les colons travaillent avec zèle, en une seule nuit, Zacharie reçoit une série de huit visions sous forme de rêves prémonitoires (Zacharie 1.7-6.8). Ces visions qui vont par paires décrivent une sorte de mouvement concentrique. Les visions 1 et 8 (Zacharie 1.7-17 ; 6.1-8) forment une paire qui concerne l’ensemble des nations et qui encadre les six autres. Les visions 2 et 3 visent plus particulièrement Jérusalem, et les visions 6 et 7 décrivent l’état du peuple de Juda.

Les deux visions centrales 4 et 5 concernent le Temple ainsi que Zorobabel et Josué, les deux principaux chefs du peuple. De toute évidence, Zacharie est appelé à un ministère d’une envergure bien plus grande que celui que Dieu a confié au prophète Aggée.

Prononcées pendant la reconstruction du temple de l’Éternel, les visions de Zacharie forment son deuxième discours. Elles sont comme des pierres apportées à l’édifice que les colons bâtissent. Il encourage, console, exhorte, en montrant l’avenir brillant réservé à Israël ainsi que les bénédictions abondantes qui résulteront de la restauration du Temple de l’Éternel. Celui-ci est terminé et consacré en l’an 515 (Esdras 6.15).

Les huit visions nocturnes de Zacharie (Zacharie 1.7-6.8) sont clôturées par un oracle (Zacharie 6.9-15) qu’il reçoit à l’occasion de l’arrivée à Jérusalem d’Israélites porteurs de dons provenant des communautés juives de Babylonie et destinés à la reconstruction du Temple. C’est son troisième discours. Sur ordre de l’Éternel, une partie de ces dons est utilisée pour fabriquer une couronne royale que l’on pose sur la tête du grand-prêtre Josué.

Josué a déjà appris qu’il est une préfiguration de celui que l’Éternel appelle « mon Serviteur le Germe » (chapitre 3) qui est un titre messianique. Le geste symbolique de la couronne royale est l’occasion de donner des précisions concernant ce personnage. « Le Germe » bâtira lui aussi un nouveau temple et cumulera les fonctions de prêtre et de roi. Des peuples issus de toutes les nations viendront à Jérusalem pour participer à la construction de ce nouveau Temple.

Suite à l’oracle de Zacharie au sujet des dons venus de Babylonie, le chapitre 7 ouvre la deuxième section du livre, qui comme la première section est chronologiquement bien répertoriée.

C’est en décembre 518, deux ans après la fin du ministère d’Aggée, que Zacharie intervient publiquement pour la quatrième fois (chapitre 7-8). Ce discours est une réponse à une question concernant le rituel des jeûnes qui commémorent les événements douloureux de la fin du royaume de Juda (en 587-586). Faut-il continuer à les observer ?

La réponse du prophète est dure. Il dit que les Israélites feraient mieux de réfléchir aux causes des malheurs qui les ont frappés et en tirer les conséquences, et les exhorte à se détourner des comportements condamnables des générations passées pour vivre dans l’obéissance à la Loi, notamment dans les rapports sociaux, parce que l’exploitation des faibles par les puissants était l’une des causes principales du jugement de Juda et de l’exil. Mais en même temps, le prophète fait des promesses encourageantes en expliquant que les jours de jeûnes seront changés en jours de fête. En effet, l’Éternel va transformer la situation de son peuple et le bénir. À la fin des temps, il le ramènera de la diaspora dans son pays pour qu’il le reconstruise ; il lui accordera alors la sécurité, la paix et la prospérité. En outre, les Israélites seront la source de bénédiction de toutes les nations qui enverront des émissaires pour apprendre à connaître l’Éternel.

La troisième section du livre (chapitre 9-14) est d’un caractère très différent des deux précédentes car elle appartient au genre apocalyptique. Ce sont principalement des promesses adressées à Israël concernant sa restauration et son brillant avenir. On n’y retrouve plus la préoccupation pour le Temple ; Josué et Zorobabel n’y sont pas mentionnés et il n’y a pas d’appel à l’action ou à la repentance comme dans les sections précédentes. Ces prophéties ne contiennent aucun indice qui permettent de les dater, mais de toute évidence elles furent rédigées bien plus tard que les précédentes et dans des circonstances très différentes.

Ces prophéties ont quatre volets principaux, et comme les huit visions elles suivent un mouvement concentrique. Le premier volet a deux paragraphes qui se trouvent au début et à la fin, et il concerne le sort des nations : d’abord celles qui sont voisines d’Israël puis toutes les nations du monde. Zacharie annonce leur jugement mais dit aussi qu’un reste rescapé participera au salut du peuple de Dieu (Zacharie 9.1-8 ; 14.16-21).

Le second volet de ces prophéties parle d’un personnage important en quatre paragraphes mis en parallèles. C’est un roi présenté sous les traits d’un berger, dans lequel on reconnaît le Messie. Le premier paragraphe le présente comme un roi opprimé par ses ennemis mais sauvé par l’Éternel (Zacharie 9.9-10). Le deuxième paragraphe prédit le rejet du roi par le peuple de Dieu (Zacharie 11.4-17). Le troisième paragraphe de ce second volet annonce que le Messie sera transpercé et mis à mort par son peuple, mais ce peuple finira par se repentir de ce crime sous l’action purificatrice de l’Esprit de Dieu (Zacharie 12.10-13.1). Le quatrième paragraphe évoque à nouveau la mise à mort du Berger-roi et précise que l’Éternel fera passer son peuple dans le creuset de l’épreuve afin de le purifier (Zacharie 13.7-9).

Le troisième volet de ces prophéties est également en quatre paragraphes (Zacharie 9.11-10.1 ; 10.3-11.3 ; 12.1-9 ; 14.1-15). Il parle des guerres à venir du peuple de Dieu et de la victoire qui lui sera miraculeusement accordée contre des ennemis bien plus puissants et mieux équipés.

Dans le dernier paragraphe qui se trouve vers la fin du livre, Zacharie brosse un tableau grandiose de la future Jérusalem transfigurée, à l’aube d’une nouvelle création (Zacharie 14.6-11).

Le quatrième et dernier volet de ces prophéties est en deux paragraphes très brefs (Zacharie 10.2 ; 13.2-6) qui soulignent que même après l’exil, Israël a encore besoin d’être purifié de l’idolâtrie et des faux prophètes.

Comme tous les autres livres des Textes sacrés, Zacharie a fait l’objet d’un feu nourri de la part de ceux qui adoptent une attitude critique à l’égard de la Parole de Dieu. Il est vrai qu’il existe des différences marquées dans le genre littéraire, le style et le vocabulaire, entre la première grande moitié du livre (chapitre 1-8) qui se compose d’oracles et de visions, et la seconde partie (chapitre 9-14) qui est du genre apocalyptique. Mais ces divergences ne signifient pas pour autant que ces deux parties du livre sont écrites par des auteurs différents. En effet, si Zacharie reprend sa plume après une pause de trente ans par exemple, on s’attend à ce que la situation ait bien changé et que les préoccupations et les besoins des colons aient évolué avec le temps. Tous les manuscrits du livre que nous possédons le traitent comme un tout, une unité. De plus, à côté des différences entre les deux parties du livre, il existe aussi des similarités. Par exemple, Zacharie a une prédilection pour le chiffre 4 qui se trouve partout, et l’expression, « personne qui passe et qui repasse », qui n’est utilisée que par lui, se trouve dans les deux sections du livre (Zacharie 7.14 ; 9.8).

Il faut aussi remarquer que certains thèmes reviennent tout au long du livre, comme l’espérance messianique, la conversion des nations, le retour du peuple élu de la diaspora, la gloire de Jérusalem, l’importance de la purification, de revenir à l’Éternel, et de changer de comportement.

Le livre de Zacharie a un enseignement très riche qui porte sur de nombreux sujets, au point où Luther a dit qu’il était la quintessence des prophètes (l’essentiel, le meilleur et le parfait). Dans le chapitre 3 par exemple, la réhabilitation du grand-prêtre Josué est une merveilleuse illustration de la doctrine de la justification du croyant par la grâce de Dieu. Dans ce passage, après avoir fait taire Satan l’accusateur, l’Éternel ordonne qu’on ôte de Josué ses vêtements souillés qui représentent les péchés de son peuple, et qu’on les remplace par des habits de fête.

Comme je l’ai déjà fait remarquer, Zacharie parle beaucoup du Messie que l’Éternel appelle « mon Serviteur le Germe » (Zacharie 3.8 ; 6.12) parce qu’il est à la fois le descendant du roi David annoncé par les prophètes (Jérémie 23.5 ; 33.15 ; Ésaïe 11.1) et « le Serviteur de l’Éternel » prophétisé par Ésaïe, qui devait mourir en sacrifice pour les péchés du peuple de Dieu (Ésaïe 52.13-53.12).

Le Messie glorieux et le Messie souffrant ne font qu’un. En tant que grand-prêtre qui s’offre lui-même en sacrifice, Zacharie prophétise qu’il sera humilié (Zacharie 9.9), trahi (Zacharie 11.12-13), et mis à mort (Zacharie 12.10 ; 13.9), cependant, il s’assoira sur le trône de David. Le cumul de la royauté et de la prêtrise par le Messie implique la fusion du politique et du cultuel, ainsi que l’abolition de la séparation entre le sacré et le profane qui est très nette dans la loi de Moïse mais qui est effacée dans le Nouveau Testament (Marc 7.14-23 ; 1Corinthiens 10.31 ; Colossiens 3.17).

En outre, comme Zorobabel et Josué, les deux hommes qui ont dirigé la reconstruction du Temple de l’Éternel, le Messie en bâtira un nouveau (Zacharie 6.13). Tous les symboles messianiques qui sont dans le livre de Zacharie et les autres prophètes annoncent Jésus, et c’est en lui que les prophéties trouvent leur plein accomplissement.

Zacharie voit aussi l’humanité divisée en deux camps : Jérusalem et Babylone, le peuple de Dieu et les nations païennes. Cependant, cette ligne de démarcation partage toutes les nations en deux, y compris Israël. C’est l’attitude adoptée par les uns et les autres vis-à-vis du messie (chapitre 11) qui constitue le critère de séparation entre les boucs et les brebis (Matthieu 25.33). Comme d’autres prophètes, Zacharie annonce plusieurs fois le salut des non-Juifs (Zacharie 6.15 ; 8.13, 20-23 ; 9.1-2, 7-8 ; 14.16) qui seront pleinement incorporés au peuple de Dieu (Zacharie 2.15). La question qui se pose est donc celle-ci : en ferez-vous partie ?

Commentaire biblique radiophonique écrit par le pasteur et docteur en théologie : Vernon McGee (1904-1988) et traduit par le pasteur Jacques Iosti.

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